La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1669)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1669)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1662) -
Chapitre 48 : Des retrouvailles surprenantes -
… alors que mon cul était toujours amplement encombré de cet imposant double gode... Lorsque je passais devant ce grand miroir, je ne me reconnaissais pas… Plus aucune humanité dans mon regard, les traits tirés, les paupières gonflées, les yeux hagards perdus dans le vide, les tétons violacés et gonflés, la poitrine en sueur striée par le fouet, les traces séchées de foutre et de cyprine sur ma gueule de trainée… Je puais le cul… Je n’en pouvais plus ! A peine si je pouvais encore tenir debout. Ces trois pervers m’avaient détruit, ruiné, vidé, je n’étais plus rien, juste une chose, un objet utilisé pour satisfaire la perversité et le sadisme de ces trois détraqués, juste là pour exacerber leurs plaisirs lubriques les plus vicieux, les plus scabreux, les plus obscènes. Je n’espérais qu’une seule chose, regagner la Bastide au plus vite pour me doucher et me coucher. C’était mon souhait le plus absolu alors que Walter s’occupait de moi, ou plus précisément de ma nouille, tout en m’injuriant :
- Espèce de grosse salope de sale chienne, tu vas débander, sinon j’utilise les gros moyens et je peux t’assurer qu’elle va se ramollir rapidement !
Le Majordome cherchait désespérément à fermer cette cage de chasteté sur ma nouille, alors qu’elle demeurait raide, comme figée, tétanisée et pétrifiée ! Walter mettait à exécution ses menaces, il me pressait les couilles, les remontait sur mon cul pour les tirer et les loger sous mes fesses, il giflait ma nouille tendue à maintes reprises pour que celle-ci cède… Et dieu merci, après un temps certain, douloureux et cuisant, elle cédait !, diminuant de volume sous le traitement du Majordome. J’étais de nouveau encagé et… frustré de n’avoir joui ! … Alors trainé par les cheveux, Walter me faisait descendre rapidement, les deux étages pour regagner le rez-de-chaussée de cette auguste Demeure. Là, dans cet immense hall au carrelage de damier blanc et noir, j’espérais qu’il me lâche, qu’il me dise « Casse-toi, dégage salope ! ». Mais très vite, je compris qu’il en avait été décidé autrement. Le Majordome m’entrainait, toujours derrière lui, plié en deux, à l’opposé de l’entrée principale du Château. Nous longions ce majestueux et esthétique escalier de marbre blanc pour emprunter ensuite ce long couloir également dallé noir et blanc, dans lequel, étaient accrochés sur les murs, d’immenses toiles, des portraits des Aïeuls de Monsieur le Marquis d’Evans. Nous allions entrer dans la vaste salle de réception, une pièce démesurée, richement meublée, soigneusement décorée digne d’une pièce royale de Versailles, avec ces grandes baies vitrées donnant sur l’immense parc de la propriété. A cet instant donc, sortaient Madame Marie accompagnée d’esclave Katia tenu à quatre pattes et en laisse, avec le cul rougi par la cravache de cette sinistre et odieuse cuisinière. Un instant, elle s’arrêtait et me toisait de son regard le plus sombre puis s’adressait à Walter.
- J’emmène cette pute faire les chiottes…
Madame Marie donnait un énième coup de cravache sur le cul de mon congénère, qui lui, stoïque ne bronchait pas. Seul un gémissement sortait de ses lèvres fermées.
- Ce bâtard ne sera pas de trop… je suppose ?, questionnait Walter en tirant sur ma tignasse.
- Oh que oui, y a du boulot ! J’espère que cette salope saura faire preuve d’énergie et d’excellence, malgré les trois heures passées au service de Karaine et de ces deux sbires ! Il parait qu’on lui a bien défoncé le cul à cette chienne, reprenait Madame Marie.
Je laissais les doigts de la cuisinière effleurer ma corolle poisseuse. Elle y cueillait des restes de sécrétions du bout de son majeur, majeur qu’elle enfournait ensuite dans la bouche d’esclave Katia.
- Tiens la pute, avale ça, c’est plein de vitamines, c’est bon pour les chiennes de ton espèce.
esclave Katia ne bronchait pas, se contentait de sucer ce doigt en fermant les yeux… Était-ce par dégoût ou bien par délectation que ses paupières restaient closes ? Impossible de le savoir bien sûr, Madame Marie entrainait esclave Katia derrière elle, alors que Walter me faisait entrer dans ce lieu où déjà une dizaine d’esclaves, mâles et femelles, tous nus, travaillaient d’arrache-pied à laver, frotter, épousseter cette vaste et majestueuse pièce du sol au plafond. A genoux, avec un seau, une brosse et une serpillère, Walter m’avait désigné le lieu que je devais laver et faire briller. Je m’appliquais ardemment, je m’employais à exécuter les ordres prescrits avec soin et attention. Le ménage n’était pas un problème pour moi, bien au contraire, j’étais plutôt rigoureux, voire maniaque… Chez moi, à la Bastide, bien souvent Louise se moquait gentiment de moi… « Encore un chiffon à la main, Monsieur Alexandre », me disait-elle avec un large sourire ! Alors que je me remémorais ces bons moments de complicité avec cette bonne Louise quand une porte claquait derrière mon dos, me faisant sursauter et stopper dans mon travail et mes rêveries. Madame Marie entrait en hurlant :
- Cette putain a oublié ! Je peux vous garantir qu’elle n’oubliera plus !, disait-elle en assénant de furieux coups de cravache sur le cul d’esclave Katia.
Je ne comprenais rien, mais rien du tout de ce qui se passait… La Cuisinière semblait hystérique, incontrôlable, dans une furie comme jamais je ne l’avais vu… Elle claquait le cul de mon congénère tant et plus, sans arrêt, encore un long instant, jusqu’à ce qu’elle l’oblige à grimper sur cette large et longue table en bois massif. Elle l’attachait, l’écartelait et sitôt après qu’il fut solidement immobilisé, elle fouettait esclave Katia sur le dos, le cul, les cuisses… Lui pleurait, suppliait… mais la Cuisinière continuait, sans relâche, à tel point que de grosses gouttes de sueur tombaient de son front… Elle s’acharnait encore jusqu’à ces cinq derniers coups, torrides et abominables ! … esclave Katia semblait en perdition, plus totalement avec nous, les yeux hagards, baignés de larmes.
- Que ça vous serve de leçon, à tous. Le premier qui n’a pas fait son travail comme il faut, recevra la même chose, bande de sales bâtards, alors au boulot et que ça frotte, les chiens !
Tous les esclaves reprenaient leur poste de travail, laissant notre congénère dans l’effroi, la stupeur et l’excitation, me semblait-il… Et pendant encore un long moment, toutes et tous, nous nous activions plus scrupuleusement, car toutes et tous craignions la rage de cette foutue sadique femme ! Au bout d’un temps certain, Madame Marie, toujours avec sa cravache en main, passait en revue le travail de chacune et chacun, elle scrutait avec attention chaque faits et gestes, claquant ici ou là un cul pour réprimander, rappeler à l’ordre ou sermonner untel ou un autre. Lorsqu’elle s’approchait de moi… je n’en menais pas large… je tremblais même… Le plat de sa cravache effleurait mon trou, alors que je laissais mon entrejambe grand ouvert. Peu après, elle s’accroupissait juste à mes côtés, tirait sur ma chevelure pour redresser ma tête, pour que mon oreille vienne près de sa bouche…
- Tu schlingues salope, tu sens la femelle en chaleur qui s’est fait remplir la chatte durant trois heures de temps et qui en redemande… Tu aimes ça, hein !… Te faire enculer et remplir, n’est-ce pas la pute ? On dirait même que ça te motive… tu as fait du bon boulot, un boulot d’enculée de bonniche !, me susurrait-elle à l’oreille.
Avec toujours sa main agrippée dans mes cheveux, elle me tournait la tête, afin de me regarder droit dans les yeux. Pendant un long moment, elle me dévisageait, avec ses grands yeux ronds, sévères et sadiques. De son autre main, avec son index pointé sur l’une de mes joues, elle reprenait la parole :
- Et là, c’est quoi la pute ? C’est de la mouille… Non ? A qui elle appartient cette mouille séchée sur ton visage de salope ? A cette petite garce que tu as léché avec application ou est-elle celle de Maitresse Karaine ?
Je ne répondais rien à cette énième humiliation… mais sentait qu’elle produisait ces effets… ma nouille gonflait dans sa prison métallique !
- Tu sais que tu ne ressembles à rien… même pas à une putain ! Ou alors si, à une catin largement fouettée qui se néglige, qui ne se lave pas, qui pue du bocal, qui sent le trop plein de foutre et de cyprine… Ouvre ta petite gueule de salope !
Evidemment j’obéissais. Alors là, tel un homme, la Cuisinière se raclait la gorge et m’envoyait un bon mollard en fond de bouche. Je restais ainsi, gueule grande ouverte jusqu’à obtenir son autorisation de la refermer et d’ingurgiter. Peu après, Madame Marie m’envoyait un gifle cinglante, comme ça, gratuitement, juste par plaisir sadique … Puis elle se redressait, me laissait, pour regagner le centre de la pièce. Je pensais en avoir fini avec elle… évidemment, une nouvelle fois je me trompais. Elle me sommait de venir près d’elle, ainsi que juliensoumis. Tous deux, en quadrupédie, avancions timidement, effrayés par le sort qu’elle allait nous réserver… Elle lançait à la cantonade :
- Vous deux, vous avez bien travaillés, vous allez être récompensés. Sachez que ce ne serait que de moi, vous ne mériteriez rien du tout, à part ma cravache, mais le Maitre, dans sa grande bonté, a décidé ce matin que les deux meilleurs, ceux qui auraient le plus soigneusement effectués le travail exigé, auraient le privilège de se vider les couilles. Et bien vous deux, esclav’alex et juliensoumis, vous allez pouvoir vous vider les couilles en baisant cette salope, disait-elle en désignant esclave Katia toujours allongés et attachés sur cette table.
Je n’en revenais pas… récompensé ! Et en plus… par une purge de mes burnes, depuis combien de jours je ne m’étais pas vidé ? Dès qu’esclave Katia fut libéré des liens le maintenant écartelés, nous les trois esclaves, suivions à quatre pattes, l’un derrière l’autre, Madame Marie. J’avais sous les yeux, à seulement quelques centimètres de ma bouche, la croupe d’esclave Katia, ce cul alléchant qui m’attirait déjà, ce cul se dandinant sous mes yeux, cette rondelle glabre que je dégustais avant même de l’avoir gouté. Ma nouille s’affolait, cognait contre cette cage, ruisselait entre mes cuisses…. Je ne comprenais pas pourquoi, nous nous retrouvions là… dans des toilettes pour hommes en cette pièce entièrement carrelée de carreaux blancs ! Sitôt entrés, la Cuisinière ôtait ma cage de chasteté, ainsi que celle de juliensoumis, sans omettre de nous empoigner notre hampe et de la serrer fortement de sa poigne dessus, avant de relâcher sa prise. Nos deux nouilles s’érigeaient instantanément… Alors qu’à coups de cravache encore, Madame Marie imposait une posture grotesque et des plus humiliantes à esclave Katia : A quatre pattes, devant les chiottes, la tête dans la cuvette. D’une main ferme, elle attrapait ma chevelure pour que je me retrouve derrière mon congénère prêt à la saillie.
- Tu as intérêt de défoncer cette salope, espèce de bâtard !
Plongé dans une excitation incroyable, avec ce collier au cou comme seule possession, je me sentais soudain libéré de toute forme d’attache, comme un navire qui viendrait de larguer les amarres, sans pilote, sans marin pour le guider. Je positionnais mes mains de chaque côté des hanches d’esclave Katia, prenant le haut de ses cuisses et laissais mon gland épouser l’antre tiède de mon congénère … Et d’un seul coup de bassin, mon membre dur, dressé glissait tout entier en lui. esclave Katia se raidissait et hurlait, tandis que j’entamais les premiers va-et-vient, dehors, dedans, dehors, dedans partageant la tiédeur de la pièce et l’antre brûlante de ses chairs. Agrippé à ses jambes, je prenais de nouveau mon élan et le baisais sans me soucier de ses gémissements de victime, de ses cris aigus de douleur ou de plaisir. Je le baisais d’abord doucement, par des petits à-coups qui faisaient vibrer les muscles de son cul. Puis ma peau brûlante venait frapper la sienne plus rapidement, je le pénétrais alors avec plus de violences, mes coups de reins devenaient sans doute douloureux entre ses fesses, alors que mes doigts mordaient la chair de ses cuisses. Les muscles de son sphincter se resserraient comme des étaux autour de ma nouille, en un massage délicieux, qui ajoutait encore à mon excitation. Mon envie d’aller plus loin, de frapper encore plus fort dans le cul de mon congénère, de cogner mes hanches contre son cul se faisait sentir ma grosse nouille durcie et inquisitrice…
(A suivre…)
Chapitre 48 : Des retrouvailles surprenantes -
… alors que mon cul était toujours amplement encombré de cet imposant double gode... Lorsque je passais devant ce grand miroir, je ne me reconnaissais pas… Plus aucune humanité dans mon regard, les traits tirés, les paupières gonflées, les yeux hagards perdus dans le vide, les tétons violacés et gonflés, la poitrine en sueur striée par le fouet, les traces séchées de foutre et de cyprine sur ma gueule de trainée… Je puais le cul… Je n’en pouvais plus ! A peine si je pouvais encore tenir debout. Ces trois pervers m’avaient détruit, ruiné, vidé, je n’étais plus rien, juste une chose, un objet utilisé pour satisfaire la perversité et le sadisme de ces trois détraqués, juste là pour exacerber leurs plaisirs lubriques les plus vicieux, les plus scabreux, les plus obscènes. Je n’espérais qu’une seule chose, regagner la Bastide au plus vite pour me doucher et me coucher. C’était mon souhait le plus absolu alors que Walter s’occupait de moi, ou plus précisément de ma nouille, tout en m’injuriant :
- Espèce de grosse salope de sale chienne, tu vas débander, sinon j’utilise les gros moyens et je peux t’assurer qu’elle va se ramollir rapidement !
Le Majordome cherchait désespérément à fermer cette cage de chasteté sur ma nouille, alors qu’elle demeurait raide, comme figée, tétanisée et pétrifiée ! Walter mettait à exécution ses menaces, il me pressait les couilles, les remontait sur mon cul pour les tirer et les loger sous mes fesses, il giflait ma nouille tendue à maintes reprises pour que celle-ci cède… Et dieu merci, après un temps certain, douloureux et cuisant, elle cédait !, diminuant de volume sous le traitement du Majordome. J’étais de nouveau encagé et… frustré de n’avoir joui ! … Alors trainé par les cheveux, Walter me faisait descendre rapidement, les deux étages pour regagner le rez-de-chaussée de cette auguste Demeure. Là, dans cet immense hall au carrelage de damier blanc et noir, j’espérais qu’il me lâche, qu’il me dise « Casse-toi, dégage salope ! ». Mais très vite, je compris qu’il en avait été décidé autrement. Le Majordome m’entrainait, toujours derrière lui, plié en deux, à l’opposé de l’entrée principale du Château. Nous longions ce majestueux et esthétique escalier de marbre blanc pour emprunter ensuite ce long couloir également dallé noir et blanc, dans lequel, étaient accrochés sur les murs, d’immenses toiles, des portraits des Aïeuls de Monsieur le Marquis d’Evans. Nous allions entrer dans la vaste salle de réception, une pièce démesurée, richement meublée, soigneusement décorée digne d’une pièce royale de Versailles, avec ces grandes baies vitrées donnant sur l’immense parc de la propriété. A cet instant donc, sortaient Madame Marie accompagnée d’esclave Katia tenu à quatre pattes et en laisse, avec le cul rougi par la cravache de cette sinistre et odieuse cuisinière. Un instant, elle s’arrêtait et me toisait de son regard le plus sombre puis s’adressait à Walter.
- J’emmène cette pute faire les chiottes…
Madame Marie donnait un énième coup de cravache sur le cul de mon congénère, qui lui, stoïque ne bronchait pas. Seul un gémissement sortait de ses lèvres fermées.
- Ce bâtard ne sera pas de trop… je suppose ?, questionnait Walter en tirant sur ma tignasse.
- Oh que oui, y a du boulot ! J’espère que cette salope saura faire preuve d’énergie et d’excellence, malgré les trois heures passées au service de Karaine et de ces deux sbires ! Il parait qu’on lui a bien défoncé le cul à cette chienne, reprenait Madame Marie.
Je laissais les doigts de la cuisinière effleurer ma corolle poisseuse. Elle y cueillait des restes de sécrétions du bout de son majeur, majeur qu’elle enfournait ensuite dans la bouche d’esclave Katia.
- Tiens la pute, avale ça, c’est plein de vitamines, c’est bon pour les chiennes de ton espèce.
esclave Katia ne bronchait pas, se contentait de sucer ce doigt en fermant les yeux… Était-ce par dégoût ou bien par délectation que ses paupières restaient closes ? Impossible de le savoir bien sûr, Madame Marie entrainait esclave Katia derrière elle, alors que Walter me faisait entrer dans ce lieu où déjà une dizaine d’esclaves, mâles et femelles, tous nus, travaillaient d’arrache-pied à laver, frotter, épousseter cette vaste et majestueuse pièce du sol au plafond. A genoux, avec un seau, une brosse et une serpillère, Walter m’avait désigné le lieu que je devais laver et faire briller. Je m’appliquais ardemment, je m’employais à exécuter les ordres prescrits avec soin et attention. Le ménage n’était pas un problème pour moi, bien au contraire, j’étais plutôt rigoureux, voire maniaque… Chez moi, à la Bastide, bien souvent Louise se moquait gentiment de moi… « Encore un chiffon à la main, Monsieur Alexandre », me disait-elle avec un large sourire ! Alors que je me remémorais ces bons moments de complicité avec cette bonne Louise quand une porte claquait derrière mon dos, me faisant sursauter et stopper dans mon travail et mes rêveries. Madame Marie entrait en hurlant :
- Cette putain a oublié ! Je peux vous garantir qu’elle n’oubliera plus !, disait-elle en assénant de furieux coups de cravache sur le cul d’esclave Katia.
Je ne comprenais rien, mais rien du tout de ce qui se passait… La Cuisinière semblait hystérique, incontrôlable, dans une furie comme jamais je ne l’avais vu… Elle claquait le cul de mon congénère tant et plus, sans arrêt, encore un long instant, jusqu’à ce qu’elle l’oblige à grimper sur cette large et longue table en bois massif. Elle l’attachait, l’écartelait et sitôt après qu’il fut solidement immobilisé, elle fouettait esclave Katia sur le dos, le cul, les cuisses… Lui pleurait, suppliait… mais la Cuisinière continuait, sans relâche, à tel point que de grosses gouttes de sueur tombaient de son front… Elle s’acharnait encore jusqu’à ces cinq derniers coups, torrides et abominables ! … esclave Katia semblait en perdition, plus totalement avec nous, les yeux hagards, baignés de larmes.
- Que ça vous serve de leçon, à tous. Le premier qui n’a pas fait son travail comme il faut, recevra la même chose, bande de sales bâtards, alors au boulot et que ça frotte, les chiens !
Tous les esclaves reprenaient leur poste de travail, laissant notre congénère dans l’effroi, la stupeur et l’excitation, me semblait-il… Et pendant encore un long moment, toutes et tous, nous nous activions plus scrupuleusement, car toutes et tous craignions la rage de cette foutue sadique femme ! Au bout d’un temps certain, Madame Marie, toujours avec sa cravache en main, passait en revue le travail de chacune et chacun, elle scrutait avec attention chaque faits et gestes, claquant ici ou là un cul pour réprimander, rappeler à l’ordre ou sermonner untel ou un autre. Lorsqu’elle s’approchait de moi… je n’en menais pas large… je tremblais même… Le plat de sa cravache effleurait mon trou, alors que je laissais mon entrejambe grand ouvert. Peu après, elle s’accroupissait juste à mes côtés, tirait sur ma chevelure pour redresser ma tête, pour que mon oreille vienne près de sa bouche…
- Tu schlingues salope, tu sens la femelle en chaleur qui s’est fait remplir la chatte durant trois heures de temps et qui en redemande… Tu aimes ça, hein !… Te faire enculer et remplir, n’est-ce pas la pute ? On dirait même que ça te motive… tu as fait du bon boulot, un boulot d’enculée de bonniche !, me susurrait-elle à l’oreille.
Avec toujours sa main agrippée dans mes cheveux, elle me tournait la tête, afin de me regarder droit dans les yeux. Pendant un long moment, elle me dévisageait, avec ses grands yeux ronds, sévères et sadiques. De son autre main, avec son index pointé sur l’une de mes joues, elle reprenait la parole :
- Et là, c’est quoi la pute ? C’est de la mouille… Non ? A qui elle appartient cette mouille séchée sur ton visage de salope ? A cette petite garce que tu as léché avec application ou est-elle celle de Maitresse Karaine ?
Je ne répondais rien à cette énième humiliation… mais sentait qu’elle produisait ces effets… ma nouille gonflait dans sa prison métallique !
- Tu sais que tu ne ressembles à rien… même pas à une putain ! Ou alors si, à une catin largement fouettée qui se néglige, qui ne se lave pas, qui pue du bocal, qui sent le trop plein de foutre et de cyprine… Ouvre ta petite gueule de salope !
Evidemment j’obéissais. Alors là, tel un homme, la Cuisinière se raclait la gorge et m’envoyait un bon mollard en fond de bouche. Je restais ainsi, gueule grande ouverte jusqu’à obtenir son autorisation de la refermer et d’ingurgiter. Peu après, Madame Marie m’envoyait un gifle cinglante, comme ça, gratuitement, juste par plaisir sadique … Puis elle se redressait, me laissait, pour regagner le centre de la pièce. Je pensais en avoir fini avec elle… évidemment, une nouvelle fois je me trompais. Elle me sommait de venir près d’elle, ainsi que juliensoumis. Tous deux, en quadrupédie, avancions timidement, effrayés par le sort qu’elle allait nous réserver… Elle lançait à la cantonade :
- Vous deux, vous avez bien travaillés, vous allez être récompensés. Sachez que ce ne serait que de moi, vous ne mériteriez rien du tout, à part ma cravache, mais le Maitre, dans sa grande bonté, a décidé ce matin que les deux meilleurs, ceux qui auraient le plus soigneusement effectués le travail exigé, auraient le privilège de se vider les couilles. Et bien vous deux, esclav’alex et juliensoumis, vous allez pouvoir vous vider les couilles en baisant cette salope, disait-elle en désignant esclave Katia toujours allongés et attachés sur cette table.
Je n’en revenais pas… récompensé ! Et en plus… par une purge de mes burnes, depuis combien de jours je ne m’étais pas vidé ? Dès qu’esclave Katia fut libéré des liens le maintenant écartelés, nous les trois esclaves, suivions à quatre pattes, l’un derrière l’autre, Madame Marie. J’avais sous les yeux, à seulement quelques centimètres de ma bouche, la croupe d’esclave Katia, ce cul alléchant qui m’attirait déjà, ce cul se dandinant sous mes yeux, cette rondelle glabre que je dégustais avant même de l’avoir gouté. Ma nouille s’affolait, cognait contre cette cage, ruisselait entre mes cuisses…. Je ne comprenais pas pourquoi, nous nous retrouvions là… dans des toilettes pour hommes en cette pièce entièrement carrelée de carreaux blancs ! Sitôt entrés, la Cuisinière ôtait ma cage de chasteté, ainsi que celle de juliensoumis, sans omettre de nous empoigner notre hampe et de la serrer fortement de sa poigne dessus, avant de relâcher sa prise. Nos deux nouilles s’érigeaient instantanément… Alors qu’à coups de cravache encore, Madame Marie imposait une posture grotesque et des plus humiliantes à esclave Katia : A quatre pattes, devant les chiottes, la tête dans la cuvette. D’une main ferme, elle attrapait ma chevelure pour que je me retrouve derrière mon congénère prêt à la saillie.
- Tu as intérêt de défoncer cette salope, espèce de bâtard !
Plongé dans une excitation incroyable, avec ce collier au cou comme seule possession, je me sentais soudain libéré de toute forme d’attache, comme un navire qui viendrait de larguer les amarres, sans pilote, sans marin pour le guider. Je positionnais mes mains de chaque côté des hanches d’esclave Katia, prenant le haut de ses cuisses et laissais mon gland épouser l’antre tiède de mon congénère … Et d’un seul coup de bassin, mon membre dur, dressé glissait tout entier en lui. esclave Katia se raidissait et hurlait, tandis que j’entamais les premiers va-et-vient, dehors, dedans, dehors, dedans partageant la tiédeur de la pièce et l’antre brûlante de ses chairs. Agrippé à ses jambes, je prenais de nouveau mon élan et le baisais sans me soucier de ses gémissements de victime, de ses cris aigus de douleur ou de plaisir. Je le baisais d’abord doucement, par des petits à-coups qui faisaient vibrer les muscles de son cul. Puis ma peau brûlante venait frapper la sienne plus rapidement, je le pénétrais alors avec plus de violences, mes coups de reins devenaient sans doute douloureux entre ses fesses, alors que mes doigts mordaient la chair de ses cuisses. Les muscles de son sphincter se resserraient comme des étaux autour de ma nouille, en un massage délicieux, qui ajoutait encore à mon excitation. Mon envie d’aller plus loin, de frapper encore plus fort dans le cul de mon congénère, de cogner mes hanches contre son cul se faisait sentir ma grosse nouille durcie et inquisitrice…
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