La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1671)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1671) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1671)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1668) –
- Merci Maitre de m'avoir puni et de me faire l’honneur d’avaler Votre crachat ! …
Je suis anéanti et pourtant à ce moment précis où mon corps est un nid de douleur où la souffrance est terrible, je sais que ma place ne peut plus être ailleurs qu'ici, Aux Pieds Du Maitre. Je sens que toute volonté disparaît et que je deviens véritablement esclave et j’en sens un bienfait inexplicable, une prodigieuse excitation phénoménale, plus je soufre et plus je suis excité... Quand une exigence laconique tombe :
- Sous le bureau salope !

Je m'exécute rapidement en ressentant une vive douleur sur mon dos et mon cul. Jamais, je n'ai été battu comme cela et ma Nature servile trouve normal d'être puni, maltraité de la sorte, j’arrive même à en éprouver du plaisir de ressentir d’avoir besoin de subir un tel traitement. Ça peut paraitre très contradictoire, car en principe peu de personnes aiment être frappées, battues et pourtant j’en ressens profondément le besoin… Je pense donc tout simplement que mon masochisme inné s’exprime par ce besoin puissant… Je passe alors sous le bureau du Maître. Il est encore en peignoir aux bonnes senteurs de fraicheur d’un assouplissant de lessive. Après m’avoir tapoté le crâne, Il ouvre Son ample peignoir en pure soie bleu roy, aux épaisses coutures de liserés en or, avec à l’emplacement de la poche poitrine et savamment dessinées, le deux lions dressés des Armoiries de la Famille des Evans également brodées en liserés en or, bref un peignoir digne de celui d’un roi. Puis le Châtelain se redresse, là, devant moi. La divine Verge du Maitre, cette Verge à laquelle je n'ai pas cessé de penser depuis deux jours est dressée, tendue à l'extrême, le gland et magnifique, violacé et gonflé, la hampe raidie et saillante, fortement veinée me donne des frissons d’excitation... Je ne sais pas ce qui m'arrive, je suis hypnotisé par cet impressionnant phallus en érection !

- Lèche Mes couilles, salope !

Sans hésiter, je sors ma langue et je lèche, je passe ma langue sur les couilles du Maitre. Je remonte le long de la hampe et je redescends sur Ses couilles exquises. Je m'applique à lécher pour satisfaire Le Maitre. Pendant plus de 10 minutes je suis un lécheur de couilles telle une chienne. Je prends délicatement un testicule que j’aspire en ma bouche et comme j’entends des petits grognements de bien-être du Noble, je m’encourage à poursuite mon initiative ! Alors je fais la même chose avec le second testicule, je le gobe délicatement et je passe ma langue doucereuse sur chaque repli de la peau flétrie, quand j’entends, tout aussi laconiquement :
- Maintenant, suce, sale bâtard !

Je prends alors Son volumineux Sexe en bouche et je suce, je monte et descend sur ce gros Vit, aspirant, je pompe comme le ferai une vraie putain, mais il me faut être lucide, c'est ce que je suis devenue maintenant, une véritable putain qui suce comme un mort de faim, affamé de sexe, avec ce besoin incompressible de me faire baiser. J'entends le Maitre se servir un autre café tout en se faisant sucer. Je sens que c'est là ma place, servir et donner du plaisir à tous Les Supérieurs, les Dominants dont Le Maitre est Le Digne Représentant. Ma nature servile trouve normal de sucer le Maitre pendant qu'il déguste un café, c’est même devenu une Evidence, une nécessité, un besoin... C'est mon rôle, ma place, ma vocation, je sais désormais que je suis né pour ça, que ma destinée servile est une réalité. Puis le Noble me prend la tête et m’impose avec force des gorges profondes. J'en pleure, j'en bave, je manque de m’étouffer et dès que Sa grosse Verge ressort afin que je puisse reprendre mon souffle, une quantité importante de salive tombe sur mon torse et sur mes jambes. Ça dure environ 20 minutes où ma cavité buccale est ainsi investie, possédée, encombrée jusqu’au fond de ma gorge de salope...

- Maintenant, tu prends Ma grosse bite, sale bâtard, et tu la branles dans ta bouche de pute, jusqu'à ce que je te dise d'arrêter, exécution Ma chienne !

Jamais j'ai fait ça, mais je prends la Verge du Maitre je la rentre dans ma bouche et de ma main je la branle à sa base... Quatre ou cinq bonnes minutes ainsi sans m’arrêter se passent quand je sens sur ma langue, la grosse bite du Châtelain faire des soubresauts de plus en plus évocateurs accompagnés des longs râles de jouissance digne d’un mâle en rut alors que Sa Verge qui tressaillit encore plus fortement dans ma bouche, un flot de sperme inonde mon gosier et part directement dans mon estomac, tandis que le Noble me maintient fermement la nuque afin que ma tête reste plaquée contre son pubis…... Je continue à branler jusqu'à la dernière goutte puis, sous Son Exigence, je nettoie la Verge du Maitre…
- Stop, mains dans le dos, tête baissée, salope… Lèche Mes pieds, maintenant !

Et me voilà léchant les pieds du Châtelain, je passe ma langue entre chaque doigt de pieds, je suce les doigts un à un, mélangeant petits suçons et petits baisers de reconnaissance. Je ne me reconnais plus, je passe aussi ma langue sur le dessus de l’avant pied et lèche avec avidité ainsi les deux pieds du Maitre, alternant de l’un à l’autre.

- Remercie-Moi mieux que ça ! Je veux t’entendre exprimer ta reconnaissance, Ma putain…- Oh, Maître, merci, mille mercis de m’avoir fait l’honneur de Vous avoir en bouche et surtout d’avoir eu ce privilège d’avaler Votre noble Semence, merci, merci, merci, ma gratitude est si forte que je ne trouve pas les mots pour l’exprimer, je suis à Vous, rien qu’à Vous, faites de moi ce que bon Vous semble…
Je suis très sincère dans mes propos et c’est une gratitude sans faille que je Lui exprime… Je suis devenu un être inférieur, je le ressens de plus en plus et ça m’apporte un bien-être fou de me trouver dans cet état de servilité à l’écoute de ma profonde Nature. Je sens que c'est ma vie maintenant de servir Les êtres Supérieurs et surtout que je sais pourquoi je deviens ce sous-homme, parce que je suis né pour cela, depuis que ma Nature servile a été révélée par le Maître, alors ma queue est tendue dans la cage à la pensée de cette délicieuse réalité... Pendant plus de 30 minutes, je passe ainsi d'un pied à l'autre. Je suce, lèche, embrasse et nettoie les pieds du Châtelain et je sens de nouveau ce bien-être de faire cela, naturellement, toujours comme une Evidence… Quelqu'un frappe à la porte.

- Entrer... Ah, c'est toi Walter. Dis-Moi, la livraison s'est bien passée ce matin ?
- Oui Monsieur le Marquis, tout va bien, Bernard vous a encore gâté avec ses meilleurs produits toujours aussi qualitatifs.
- Tu l'as récompensé comme il se doit, en plus d’une bonne rémunération méritée ?
- Oui, Monsieur le Marquis, Votre nouvel esclave lui a vidé les couilles... Bernard ne voulait pas, car sa queue n’était pas très propre…
Les deux Dominants se mettent à rire...

- Je lui ai dit que ces êtres inférieurs, ces sales bâtards n’ont pas à choisir une bite sale ou une bite propre, qu’ils doivent sucer tout ce que leur impose… De toute façon, toute bite imposée les excite, car c’est leur Nature d’obéir …- Tout à fait vrai... Mon cher Walter.

Le Noble et Son Majordome parlent entre eux du programme de la journée, des rdv du Maitre alors que moi je continue silencieusement à lécher Ses Pieds sans bruit, je fais mon travail de soumis, d'être inférieur, d'esclave, tout en bandant comme un fou dans ma cage qui comprime ma nouille douloureusement.

- Comment avance la construction de la nouvelle grange sur le terrain, près du grand étang des Perrières ?
- Ça avance, Monsieur Le Marquis, les gars font vraiment un super boulot, ils sont hyper sérieux.
- Bon c'est bien, tu y amènes aujourd'hui la salope qui est là, sous Mon bureau et il se chargera de faire tout le plan électrique, câblages, etc…, et de mettre tout aux normes de sécurité, c’était son job avant...
- Bien, Monsieur Le Marquis- Ah l’étang des Perrières ! Tu vois, Walter, c’est un de Mes étangs sur les Terres du Domaine de la Famille des Evans que je préfère et pour deux raisons ! D’abord pour la raison panoramique car le cadre est très verdoyant en pleine nature sauvage et quasiment paradisiaque, l’étang étant entouré de sous-bois aux délicieux ombrages… Et la deuxième raison est historique car je te rappelle que c’est sur cet étang que le fameux Marquis de Sade, lors d’un de ses nombreux séjours chez Mon aïeul avait mené Sa Justine sur une barque jusqu’en plein milieu de l’étang pour l’attacher solidement couchée nue sur l’embarcation, bras et jambes écartées afin de la posséder durant des heures entières, à la besogner sans modération par tous ses orifices… Bref la nouvelle grange y sera donc très bien située à côté de ce prestigieux étang…- En effet, Monsieur le Marquis, je trouve même que Vous avez eu raison d’y avoir installé aux abords de l’étang, un large panneau explicatif sur cette anecdote historique, ça fait un très beau panneau touristique fort instructif !
- Mais revenons à Ma putain, là sous le bureau ! Je disais donc que l’électricité reste son domaine ! C’était donc un spécialiste dans son métier avant- Oui Monsieur avant ! Avant, maintenant c'est une de Vos putes, à Votre service.
- Justement Walter, veille, donc, à ce qu'il fasse les plans électriques pour poser l'électricité et qu'il soit ensuite utilisé pour remercier nos quatre ouvriers exemplaires. Ils ont bien mérité un peu de détente !
- Bien, Monsieur le Marquis
Je n'ai rien à dire, le Maitre ne m'a pas parlé. Il aurait pu me demander si je savais faire ce genre de projets pour l'électricité, mais rien... Et récompensé ces ouvriers ? Ça veut dire quoi ? Que je sois utilisé, a t-Il dit ! Je pense comprendre désormais, ce à quoi le Maître attend de moi…
- Sort de là-dessous espèce de vermine
Et me voilà à genoux au milieu de la pièce.

- Il doit cette semaine apprendre à obéir à tous les ordres, alors Walter, soit strict et sévère avec lui…- N'ayez crainte Monsieur, cette salope, d'ici huit jours ne refusera plus rien ! Aller vient sale bâtard, laisse le Maître tranquille.

Le Majordome me met la laisse, me gifle et je quitte à regret les Pieds du Maitre ...

(A suivre …)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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