La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1672)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1672) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1672)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1670) -
Chapitre 49 : Toujours plus de sexe en mode dépravé ! -
- Je ne pense plus qu’à baiser, Alex, je n’arrête pas bander, toute la journée…
Le calme donnait une impression étrange à la suite de cette possession sauvage, seuls les quelques sanglots d’Antoine venaient rompre ce lourd silence. Il déculait en me soutenant et en me soulevant pour que sa nouille poisseuse, pas encore totalement flasque, se loge sous mes lobes fessiers. Son foutre s’échappait de mon anus béant… Je le regardais avec compassion, lui, me caressait tendrement et amoureusement le visage avant de rapprocher ses lèvres sur les miennes, me déposant de multiples petits baisers délicats, doux et caressants. Juliensoumis, assis en tailleur, près de nous, nous regardait avec douceur et gentillesse.

- Le calme avant une nouvelle tempête dévastatrice !, soupirait Antoine.

Je ne comprenais pas ses propos, je le voyais perdu, anxieux, tourmenté, presque angoissé. :
- Il m’est désormais impossible de contenir mes pulsions, et celles-ci reviennent régulièrement, plusieurs fois par heure… Mon ventre me chauffe, puis me brule, ma nouille se tend à l’extrême, s’enflamme, mes couilles s’alourdissent et là je suis incapable de me contrôler, je me sens dans un état en rut comme jamais j’ai pu l’être jadis. Alors, il me faut une bouche, un vagin, un cul… c’est une obsession, une hantise, un véritable cauchemar, je suis devenu une machine à forniquer… L’excitation s’impose à mon esprit sans relâche, j’ai besoin de sexe, le sexe accapare le champ de ma conscience, comme si mon cerveau était désormais logé au bout de ma nouille, expliquait Antoine en gémissant.

Alors que Juliensoumis et moi l’écoutions, à cet instant précis, la porte du Cachot s’ouvrait. La sadique et perverse Madame Marie entrait, avec son éternel sourire obscène aux lèvres et sa cravache en main :
- Alors les putes, on baise ?, nous lançait-elle.

Un coup sec tombait sur une de mes épaules, un autre plus cinglant encore, s’abattait sur l’une de mes fesses.

- Dégage salope !, me lançait elle
Très vite, je me désolidarisais des bras d’Antoine pour me placer contre et près de Juliensoumis. Tous deux, étions effrayés… La cravache de cette satanée cuisinière ne cessait de frapper Antoine, qui lui, de guerre lasse, ne cherchait même plus à esquiver les coups. Assis, jambes repliées, la tête entre ses genoux, ses doigts crochetés derrière la nuque, il encaissait en gémissant et pleurant !

- Sale bâtard, espèce de petite merde que tu es, on fait tout ici pour te conditionner en un mâle reproducteur, on te donne un traitement hormonal et aphrodisiaque pour stimuler ta nouille et tes couilles de chien soumis, on t’enferme avec deux putes pour que tu puisses les baiser tant et plus. Et toi… toi, tu fais quoi de tout ça ?… Tu devises en pleurnichant, sale bâtard !

Les coups pleuvaient encore, la cuisinière reprenait ses griefs :
- Les deux chiennes, ces deux salopes près de toi n’attendent qu’une chose : Se faire tringler et enculer, elles sont là uniquement pour ça… Ecarte tes cuisses de putain, montre leur ta nouille, montre-leur la chance que tu as de pouvoir disposer de ce bout de chair pendant entre tes cuisses.

La cuisinière venait de stopper ses coups de cravache pour attraper Juliensoumis par son collier et le placer debout, dos face à Antoine.

- Cambre-toi salope, écarte ton cul, lui ordonnait-elle
Peu après, elle empoignait les couilles d’Antoine, le faisait se lever en le tirant ainsi. Une fois debout, elle le branlait rapidement, jusqu’à ce que sa nouille devienne raide et elle le devint rapidement, très rapidement. Alors, Antoine était pris de tremblements, ses yeux brillaient, son visage se fermait et exprimait même une forme de dureté, de bestialité sauvage. Tout en continuant à le branler, Madame Marie l’approchait du cul de Juliensoumis, jusqu’à ce que son gland vienne en contact avec cette rondelle offerte.

- Baise cette chienne !, ordonnait une nouvelle fois cette perverse cuisinière.

Antoine ancrait ses griffes sur les hanches de Juliensoumis, tel un mâle assoiffé de sexe avide à la copulation forcenée... Je le voyais désormais comme une bête sauvage, libérée de tout son verni. Il s’enfonçait brutalement en lui, le pénétrant avec violence, en se révélant tel un animal affamé, ne cherchant que la viande, la proie, la victime à dévorer, à enculer sauvagement. Juliensoumis se mettait à gémir sans pouvoir s’arrêter, des cris douloureux mais aussi langoureux qui s’éternisaient, sans la moindre pause, alors que son corps se cambrait, sa tête se renversait en arrière. Antoine délaissait les hanches de celui qu’il possédait, il lui attrapait les deux fesses et les écartaient jusqu’à ce que cela soit douloureux afin de le pénétrer plus profondément. De là où j’étais, je pouvais sentir une chaleur intense, je voyais ses deux mains fermement ancrées sur les hanches de Juliensoumis, qui le malaxaient et le broyaient, tandis que cette monstrueuse nouille, devenue grosse bite, fendait en deux ce cul écartelé. Des coups de butoir, des grands coups puissants de hanches claquaient sur les fesses de mon congénère, Antoine s’enfonçait encore et encore en grognant tel un mâle en rut. Juliensoumis semblait être lui aussi, en surchauffe, il soufflait, transpirait, son corps tout entier était secoué par les vibrations de ses muscles, la bouche entrouverte, les yeux révulsés, il poussait des petits cris à chaque nouveau coup de reins de son viril sodomite, qui faisait trembler toutes ses jambes et son torse jusqu’à la nuque. Dans la pénombre, je n’entendais que le son de cette baise, son odeur et cela durait plusieurs minutes encore, jusqu’à ce nouvel ordre, précédé d’un claquement de cravache sur le cul d’Antoine :
- Si ta nouille sort de ce cul, je te pends par les couilles !, menaçait la sadique Madame Marie.

La cuisinière attrapait Juliensoumis par son collier et le faisait avancer, jusqu’à le sortir de ce Cachot, suivi de très près par Antoine accolé, toujours profondément ancré et emboité à ce trou maintenant parfaitement dilaté, leur deux corps ne faisant plus qu’un. Leur démarche était simplement grotesque et ridicule.

- Qu’attends-tu pour nous suivre, la chienne !, me lançait la cuisinière.

J’étais derrière eux, à quatre pattes, je les voyais imbriqué l’un à l’autre, ou plutôt l’un dans l’autre. Antoine s’arrimant à Juliensoumis pour le tenir emmanché profondément. Le plus dur pour eux deux, fut la montée d’escaliers sans lâcher cet accouplement dépravé et imposé. Je voyais Antoine se cramponner aux épaules de Juliensoumis, qui lui, cambrait son cul au maximum. Parfois Antoine était contraint de donner de furieux coups de reins, pour maintenir sa nouille raidie ancrée au plus profond de cet antre écartelé. Et de temps à autre, cette vicieuse cuisinière accélérait le pas pour tester leur capacité à rester emboiter, parfois elle s’arrêtait pour passer une main entre les cuisses d’Antoine afin de vérifier si l’étreinte imposés était toujours d’actualité. Parfois encore, elle exigeait d’Antoine qu’il fasse encore des allers-retours dans ce cul soumis, qu’il fornique et baise plus violemment encore alors que moi, toujours à quatre pattes, étais contraint à regarder ce bel enchevêtrement de ces deux corps transis par la baise. Etais-je un peu jaloux ? Voir mon futur époux tringler un autre soumis et d’y prendre plaisir, là, devant moi, me contrariait, je devais bien me l’avouer, mais que faire, que dire… avais-je le choix ? Et puis je savais que le Maître m’avait souvent dit que la jalousie ne pouvait pas exister chez un esclave… Alors que nous arrivions devant la porte du bureau du Châtelain, après ce long chemin, parsemé d’embuches et d’obscénités, Madame Marie ordonnait, à grands coups de cravache sur les omoplates d’Antoine :
- Change de chatte, bâtard !

Je n’avais pas compris cet ordre… Antoine si ! Il se dégageait du cul de Juliensoumis pour venir, très rapidement, s’agenouiller derrière moi, entre mes jambes. Et là, d’un coup puissant, d’un seul, il me pénétrait, me plantait sa nouille bandée violemment, si violemment dans le cul que je m’écrasais au sol en hurlant… Le corps d’Antoine avait suivi le mien, couché sur moi, m’écrasant sur l’épaisse moquette du couloir, il me défonçait sans se préoccuper de mes longs gémissements. Antoine remuait, allait et venait, me labourait tel un chien enragé. Je souffrais… mais cette souffrance, cette douleur me faisait perdre la raison : La situation était-elle si terrible ?, devais-je me plaindre ? Combien étaient-ils à désirer subir ce que je subissais ? Combien priaient-ils chaque jour pour que quelqu’un les trouve et les réduise en esclavage ? Moi j’avais cette chance d’avoir tout cela, la souffrance, l’humiliation, la dépravation… toutes ces sensations qui colonisaient ma vie servile sans même avoir à fournir le moindre effort. N’étais-je pas né pour ramper, n’était-ce pas ma vie que d’obéir, d’être souillé, de lécher des culs transpirants, de sucer des chattes ou des bites ruisselantes, de ramper aux pieds des puissants pour les faire jouir, de me faire enculer par eux, quel que soit le lieu, quelle que soit la position !

- Mon traitement semble agir correctement !, disait une voix féminine inconnue - Pas autant que nous puissions l’espérer, répondait Madame Marie avec sa voix revêche et autoritaire.
- Comment ça ?, questionnait de nouveau cette voix étrangère.
- J’ai surpris ce bâtard entrain de pleurnicher dans les Cachots, alors que nous lui avions mis à disposition deux salopes à baiser !
- Vous vous méprenez Madame, regardez ces deux putains comme ils forniquent à nos pieds… Regardez comme ce bâtard s’emploie à enculer cette chienne, ne voyez-vous pas comment il lui ravage le cul… Regardez ce mâle soumis s’agripper à sa femelle, ce mâle avec son visage crispé, avec ses yeux exorbités, la bave qui coule de sa bouche, sa langue bien pendante et cette nouille si dure, si raide, si dressée qui coulisse, qui entre et sort inlassablement, dans le cul de cette salope. Je vous le confirme Madame Marie, le traitement que nous lui donnons est très efficace… Mais si Monsieur le Marquis veut plus encore, alors nous pourrons adapter ce protocole thérapeutique, sans souci….

Je ne voyais pas qui était cette femme qui dialoguait avec cette satanée cuisinière. Antoine, couché sur moi, m’écrasant même de tout son poids, me maintenait la tête au sol avec ses deux mains posées sur et derrière ma nuque et continuait à me baiser inlassablement, avec des coups de butoirs violents et incessants… Comme s’il voulait en finir, comme s’il espérait jouir au plus vite…
(A suivre…)

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