La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1673)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1673) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1673)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1672) -
Chapitre 49 bis : Toujours plus de sexe en mode dépravé ! -
Comme s’il voulait en finir, comme s’il espérait jouir au plus vite…
- Voyez Madame Marie, l’avantage de ce traitement, en plus de maintenir excité quasiment en permanence ce chien, c’est qu’il retarde l’éjaculation, et plus l’éjaculation est longue à venir plus ce bâtard a besoin de baiser….
- Mouais !, répondait Madame Marie d’un ton courroucé.
- Je crois que Monsieur le Marquis nous attend, moi et mes deux collaborateurs ici présents, sommes venus lui parler de ce traitement et du suivi de cette thérapie…, disait encore cette femme
J’entendais des claquements de talons près de mon visage, puis une porte s’ouvrir. Je reconnaissais la voix du Maître.

- Bonjour Brigitte, Bonjour Chantal, bonjour Franck, je suis heureux de vous revoir - Nous aussi, Monsieur le Marquis, recevez toute notre considération- Entrez, installez-vous tous les trois, j’arrive dans une seconde.

Peu après, en aparté, le Maître s’adressait à sa cuisinière
- Merci Marie, je m’occupe de Mes deux esclaves, je te laisse conduire Juliensoumis chez Walter. Il va avoir besoin de lui.

La cuisinière, marmonnait quelque chose d’inaudible et repartait en maugréant encore tout en frappant les fesses de Juliensoumis de sa cravache, tandis que le Maître me sommait de me mettre à quatre pattes tout en gardant la nouille d’Antoine enfoncée dans mon cul de salope.

- Aller, Mes chiens, venez avec Moi !

Bien difficile de marcher à quatre pattes, avec Antoine quasiment couché sur mon dos, ses mains accrochés à mes épaules, sa nouille longue et épaisse toujours ancrée au plus profond de mon conduit brulant. A peine, venions-nous d’être installés au milieu des quatre fauteuils formant un arc de cercle qu’Antoine reprenait ses va-et-vient incessants, sans se soucier des regards de ces trois inconnus, portés sur nous… Lui, comme moi gémissions tant et plus, comme deux salopes en rut et en chaleur !

- Regardez ces putains comme ils baisent, il n’y a plus rien d’humain dans leur comportement, juste de la bestialité gagnée par la fornication excessive, et encore… les animaux eux, ne font ça uniquement pour se reproduire, ces deux bâtards sont contraints de se défoncer devant nous parce que nous les obligeons, parce qu’ils sont esclaves de leur corps, parce que nous les aidons à être des putains de salope… C’est bien ce que vous souhaitiez, Monsieur le Marquis ?
- Exactement, ma chère Brigitte !, répondait Monsieur le Marquis, d’un ton courtois et posé.

Le sexe d’Antoine écartait mes sphincters et se glissait tout entier à l’intérieur de mon ventre, jusqu’à ce que son bassin frappe violemment contre mon cul. Nous poussions des soupirs, les uns rauques et satisfaits, les autres pitoyables et tendres, désireux d’en avoir plus. Je gesticulais, me cambrais, offrait mon cul, contractais mes sphincters autour de ce sexe massif. La sensation de cet énorme morceau de chair au fond de mon ventre avait quelque chose d’ahurissant, d’onirique, de presque impossible. C’était comme un bâton de braise ardente qui me perçait le corps. Antoine resserrait son emprise sur mes hanches avant de prendre son élan, de se retirer, puis de se renfoncer, plus violemment encore et toujours. Je poussais des cris rauques lorsque je sentais le frottement brulant de ce pieu contre ma prostate, j’étais prêt à jouir… mais les assauts continuaient sans ménagement, sans pause, sans atténuation, toujours aussi virils et profonds. A nouveau Antoine plongeait en moi, avant d’accélérer le mouvement et de recommencer à baiser en rythme, dehors, dedans, dehors, dedans. Je savourais chaque sensation à chaque coup de reins. Je me faisais défoncer, sans avoir véritablement honte, en regardant ces trois inconnus nous dévisageant.

Brigitte était une petite femme maigre avec les cheveux grisonnants tirés en un chignon serré. Elle portait des lunettes demi-lune au bout de son nez crochu. Les lèvres fines et pincées, le regard noir porté dans le mien, des rides profondes entouraient ses yeux… un physique ingrat me faisant penser à ces personnages de sorcières que l’on retrouvait dans ces livres de contes pour enfants. Les deux autres personnes, assises près d’elles, plus jeunes étaient une femme et un homme d’environ mon âge, une trentaine d’années, semblaient plutôt réservés et sages… trop sages peut-être ! Celle prénommée Chantal, vêtue d’un tailleur strict bleu marine, ressemblait à une hôtesse de l’air. De grands yeux bleus éclairaient son visage altier, ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval. L’homme, quant à lui, vêtu d’un complet gris anthracite, d’une chemise blanche avec une cravate bordeaux, avait des airs de fils à papa ou de gendre idéal issu d’une famille bourgeoise. Il nous regardait tête haute, l’air hautain, avec un petit sourire condescendant aux bords des lèvres.

- Chantal, pouvez-vous donner à Monsieur le Marquis, les résultats d’analyse de sang que nous avons pratiqué récemment sur Son esclave ?
- Tenez Monsieur le Marquis… tout est parfaitement normal… le métabolisme de ce putain de chien soumis est excellent malgré le traitement médical que nous lui imposons… Les boosters de libido, la testostérone, les aphrodisiaques, les injections d’acide hyaluronique dans la nouille de Votre clébard, ne modifient en rien son état de santé…
Cette Chantal, bon chic bon genre, sauf dans ses propos, était contrainte de se taire un instant tant les cris d’Antoine étaient assourdissants. Il venait de se cambrer, de se cabrer en moi en jouissant violemment telle une bête en rut, Il aspergeait et en tapissait mon cul d’une quantité de foutre incroyable…. Antoine et moi, étions terrassés par l’extase, alors nous affaissions au sol, sans plus bouger, trempés de sueur en gémissant seulement !

- Je vous disais Monsieur le Marquis que le traitement imposé à Votre esclave mâle ne modifie en rien le bon fonctionnement de son métabolisme et donc de sa santé… Alors, je ne vois aucun problème à poursuivre le traitement, si telle est Votre Volonté, Monsieur le Marquis…- Sinon l’augmenter un peu, car si j’en crois votre cuisinière, il ne serait pas totalement suffisant à Vos yeux, reprenait Brigitte.
- Je crois que ce ne sera pas nécessaire, Brigitte…, répondait le Maître- Je le pense aussi mon cher Edouard, la démonstration que vient de nous faire ce bâtard vient de nous prouver que le traitement était amplement suffisant, annonçait Brigitte !

Je n’écoutais plus, parce que seulement ravagé, après avoir été pilonné et détruit, tabassé par cette nouille énorme qui avait explosé toutes les barrières de mon corps et de mon esprit. J’avais quasiment perdu conscience, planant dans un royaume qui n’était plus humain, un royaume plus enivré que celui des amours, plus redoutable et pernicieux que celui de toutes les guerres. Je vivais à présent au-delà des confins de l’univers connu, propulsé toujours plus loin par ces plaisirs lubriques, humiliants et dépravés. Lorsque je reprenais enfin pied, j’entendais ce Franck donner des explications quant aux traitements infligés à la nouille d’Antoine :
- Nous nous sommes appliqués à injecter des substances vasodilatatrices dans les corps caverneux de la nouille de Votre esclave, Monsieur le Marquis. L’objectif étant de provoquer un relâchement des fibres musculaires élastiques qui les composent, permettant à ces corps caverneux de se gonfler de sang, comme une éponge et entrainant de fortes érections inévitables. A cela, nous lui avons donné des compléments alimentaires, et quelques pilules pour agrandir et élargir sa nouille et booster ses érections, comme sa libido via des aphrodisiaques naturels et sans danger mais à longue portée, c’est-à-dire agissant sur un temps long. Puis, nous avons contraint la nouille de Votre esclave à des exercices réguliers, via des extenseurs, des dispositifs mécaniques qui se fixent au sexe, entrainant une traction sur la verge… Enfin, nous avons provoqué et démultiplié sa libido par stimulations électriques régulières et quotidiennes via des petites électrodes apposées sur sa hampe et ses couilles…- Parfait, Je suis satisfait de votre travail, la nouille de Mon chien a atteint un bon volume, c’est ce que je voulais…, reprenait le Maître.
- Ne soyez pas surpris Monsieur le Marquis, Votre chien a désormais, des éjaculations importantes, des volumes substantiels de foutre liés à la prise de testostérone ! Foutre que nous avons analysés bien évidemment par des traites régulières de Votre esclave. Les résultats des divers spermogrammes nous ont permis d’apprécier la vitalité, la forme et la mobilité ainsi que le nombre de spermatozoïdes présents… Tout est parfaitement normal ! Là encore, Vous sachant soucieux de la bonne santé de Vos esclaves, Monsieur le Marquis, je ne peux que Vous rassurer et Vous dire que nous pouvons poursuivre le traitement sans la moindre difficulté, annonçait Franck.
- Bien, merci pour vos informations, Mesdames et Monsieur… Je savais que je pouvais compter sur vous et votre professionnalisme. Maintenant, si vous le voulez bien, venons-en à ce dont nous avons parlé, ma chère Brigitte…
A cet instant, Monsieur le Marquis, sans se lever, attrapait ma tignasse, me tirait à Lui, en m’obligeant à me prosterner à Ses pieds. Tout en m’écartant largement les fesses de Ses deux mains pour rendre bien visible ma rondelle. Le Maitre reprenait la parole.

- Pensez-vous pouvoir femelliser plus encore cette chatte soumise, la rendre plus esthétique, plus réceptive, plus attrayante ?
- Oh que oui, cher Edouard, nous pouvons embellir le trou de cette putain et encore mieux le vaginaliser. Vous le savez, nous Vous l’avons démontré sur plusieurs de Vos esclaves… Vous voulez faire de celui-ci, une bonne femelle, et Vous connaissez le principe dans ce monde BDSM, ceux qui ont été dotés par erreur de la nature, d’une nouille et d’une paire couilles, comme cette pute, doivent être facilement repérables, répondait Madame Brigitte.

Je restais figé, contraint, écartelé… J’écoutais tremblant, qu’avaient-ils imaginé encore ?

- Faites attention Monsieur le Marquis, Votre pute a des fuites…, lançait Chantal en voyant dégouliner du sperme de mon cul !

Le Maitre alors passait Son doigt sur ma raie, cueillait les sécrétions intimes laissées dans mon antre par Antoine, pour ré-enfourner immédiatement et sans ménagement Son doigt dans mon cul.

- Oui, je veux que Ma putain soit immédiatement identifiable comme telle, une chienne femellisée, vaginalisée, une véritable chienne avide de sexe !, reprenait le Noble
- Alors je me permets de Vous rappeler le seul principe reconnu, cher Edouard : Le blanchiment anal, crèmes aphrodisiaques, pénétrations intensives et invasives pour assouplir, tonifier et muscler les sphincters de cette salope. Je vous rappelle aussi que nous travaillons toujours dans une hygiène parfaite, avec du matériel top niveau, un laser nouvelle génération pour ce qui concerne la dépigmentation de la peau autour de l’anus. Toutes nos crèmes ont été testées et sont redoutables d’efficacité… Nous disposons d’un matériel conséquent pour élargir et tonifier un cul à transformer en garage à bites, répondait cette perverse Brigitte.

- Bien… et qu’en est-ce que je peux vous confier Ma pute, alors ?
- Nous pouvons l’embarquer immédiatement, Monsieur le Marquis, répondait Franck.
- Ok, alors je vous la confie, prenez-en soin et poursuivez le traitement de ce chien également. Faites de Mon couple d’esclaves, un mâle en rut et une femelle en chaleur, constamment drogués de sexe, que la copulation leur devienne vitale, indispensable au quotidien, que plusieurs fois par jour, ce besoin de copuler soit fort intense et très puissant… Votre prix sera le mien, je ne regarde pas à la dépense …
Ainsi, un quart d’heure après cet échange, Antoine et moi, étions mis dans une cage et embarqués dans une camionnette, vers une destination inconnue !…
(A suivre…)

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