La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1675)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1675)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1674) -
Chapitre 50 bis : Habité par la baise –
- …Voilà la vie qui t’attend, la chienne de pute…
Je restai immobile, à genoux, contemplant d’un œil vide cette femme hideuse… Elle se penchait vers moi et déposait ses lèvres vers mon oreille.
- Tu le sais que tu es une pute, tu ne peux plus te mentir, ton corps servile connait ta nature profonde. Regarde ta nouille comme elle remplit cette cage. Si je la libérais, elle se redresserait aussitôt. Ecarte les jambes, regarde la, boursouflée comme elle est !
Alors que j’obéissais, Madame Brigitte me donnait un coup de pied dans les couilles… Coup qui me coupait la respiration sous la douleur.
- Hors de question que je te libère de ce machin métallique… Les femelles comme toi jouissent du cul… Avec nous, tu vas apprendre à jouir ainsi, à jouir avec ton cul femellisé, vaginalisé, me disait-elle !
Alors que je reprenais tout juste mes esprits et mon souffle, cette sinistre femme se redressait en me souriant sinistrement.
- Pisse salope, pisse-toi dessus la chienne !
Sans que je puisse le contrôler, presque par instinct, je libérai les muscles de ma vessie. L’urine jaillissait de ma cage de chasteté. J’inondais et éclaboussais mes cuisses et mes pieds par un flot continu. La femme me regardait en silence, testant ma docilité et mon obéissance, les yeux froids et calculateurs. Peu après, elle tendait face à mon visage son pied nu et recouvert de saletés. Sa plante était à quelques millimètres de ma bouche. Je pouvais humer son odeur forte, une odeur d’humiliation et d’abattement.
- Lèche, la chienne.
Je me penchais en avant, les yeux fermés, puis passait ma langue depuis le talon jusqu’aux orteils, léchant encore et encore, du mieux que je le pouvais, léchant comme une chienne affectueuse.
- Lèche, entre mes orteils !
Là encore, je m’exécutais rapidement, obéissant instantanément à chaque ordre dicté, enfonçant ma langue dans chaque interstice de ses orteils, y récurant la sueur avant de l’avaler, récoltant par la même occasion ma propre ignominie et ma totale déchéance.
- On voit que cette chienne appartient à Monsieur le Marquis, elle est parfaitement dressée… C’est bon, Pierre, tu peux l’emmener chez Maxence.
- C’est vrai que Monsieur le Marquis possède les meilleurs spécimens. Il n’est pas un des plus grands Maîtres au monde pour rien !
- Oui, Monsieur le Marquis est d’ailleurs notre plus gros client…. Aller, j’emmène Sa chienne chez Maxence …
Pierre donc, n’était autre que cet homme trapu et puissant… Sans crier gare, il m’attrapait sous son bras, me décollait du sol en un temps record sans le moindre effort. Surpris, je l’étais… même si je n’étais pas bien lourd, je pesais malgré tout 68 kilos ! Lui, me portait sans délicatesse, me comprimait contre le haut de ses hanches et sous son bras musclé, comme si de rien n’était, tel un vulgaire sac de patates. Lorsqu’il me relâchait, je me retrouvais à quatre pattes dans un bureau médical aux murs blanc où de nombreux dessins grands comme des posters de diverses anatomies du corps humains, y étaient affichés. Devant moi, un homme en blouse blanche assis derrière un bureau en train de taper sur un clavier d’ordinateur.
- Salut Maxence, voilà la nouvelle chienne que nous attendions ! Mais pas n’importe quelle chienne, celle-là appartient à Monsieur le Marquis d’Evans et donc elle aura droit, cette petite pute, au traitement haut de gamme, le plus onéreux, mais le plus efficace pour faire d’elle, ce que Monsieur le Marquis veut en faire…- Parfait !, Si cette sale putain appartient à Monsieur le Marquis, nous nous emploierons tout particulièrement de son cas avec au programme, en effet, le traitement le plus adapté, cela est une évidence, répondait Maxence à Pierre tout en restant concentré sur son écran.
J’osais lever mon regard sur cet homme… Cet homme que dis-je… un dieu… d’une beauté à tomber par terre. Mince, très brun, les cheveux courts, les yeux bleus, la quarantaine, sa blouse blanche quelque peu déboutonnée laissait entrevoir un torse poilu. Maxence, sans me regarder, comme si je n’existais pas, demandait à Pierre de m’installer. Je m’attendais à être allongé sur une table d’auscultation, mais non ! En lieu et place, toujours à quatre pattes, j’étais attaché dans des sangles passant sous mon torse et mon abdomen, d’autres m’écartant largement les cuisses, d’autres encore entravant mes pieds et mes bras. Bref, très vite je me retrouvais suspendu à l’horizontale, les jambes écartées, les bras et les mains attachées par des cordages, tirés vers l’avant de mon corps. Toutes ces sangles semblaient être reliées entre elles et attachées à un palan électrique se trouvant juste au-dessus de mon dos. J’avais l’impression de flotter dans les airs après que le palan m’ait levé du sol. La position m’était très inconfortable mais à ce moment-là, Maxence se levait et directement se plaçait derrière moi, entre mes jambes grandes ouvertes. Toujours sans un mot, sans une attention particulière, comme si je n’étais qu’une chose, une de ses mains tirait sur l’un de mes lobes fessiers, afin de dégager mon sillon, alors qu’un doigt de son autre main me pénétrait violemment l’anus, m’obligeant à pousser un long râle guttural. Pendant de longues minutes ce doigt me fouillait, tirait sur ma corolle flétrie par des mouvements circulaires, plongeait dans mon cul pour ressortir ensuite, et recommencer. Puis s’en vint le moment où ce doigt s’arrêtait sur ma glande intime. Il massait énergiquement ma prostate, alors que Pierre libérait ma nouille de cette maudite cage de chasteté pour ensuite presser douloureusement mes couilles et ma tige tumescente, sans se soucier de mes plaintes et mes cris :
- Je crois que nous avons suffisamment de mouille pour nos analyses !, lançait Pierre en montrant à Maxence la petite coupelle qu’il avait placé sous ma nouille.
Toujours sans un mot, Maxence, retirait alors son doigt de mon cul, puis attrapait ma chevelure, pour me faire redresser la tête. Il m’enfilait ce doigt, tout juste sorti de mon antre anale, dans la bouche tout en me regardant droit dans les yeux avec une indifférence et un mépris extraordinaire. Manifestement, je n’étais rien pour Maxence… seulement une chose à humilier, à bafouer, à souiller, à avilir. Peu après que j’eusse léché et sucé ce majeur, Maxence s’essuyait dans ma chevelure, puis partait quelques secondes pour revenir avec un cathéter qu’il me plantait dans le pli de mon coude droit. Plusieurs tubes de sang m’étaient prélevés…
- Emmène ça au labo !, ordonnait Maxence à l’intention de Pierre.
Alors que Pierre partait, Maxence se plaçait une nouvelle fois derrière moi, entre mes cuisses écartelées, glissant sa main sur mes fesses, étirant une nouvelle fois mes lobes. Ses doigts froids touchaient la peau fine de mon anus, alors qu’un frisson me traversait le corps. Il maintenait ma raie écartée d’une poigne solide alors qu’une aiguille pénétrait lentement mon périnée. Je ressentais une brûlure intense alors que cette aiguille, millimètre par millimètre s’introduisait lentement. Cette aiguille aussi petite soit-elle, prenait dans mon esprit, une dimension impossible tant sa longue pénétration me donnait la possibilité de prendre conscience de sa douloureuse présence. Je ne tentais cependant pas de bouger pour m’échapper de cette souffrance… Je ne bougeai pas d’un poil, d’ailleurs comme aurais-je pu me défendre tant j’étais entravé et sans plus aucune force ? La sensation de brûlure s’intensifiait encore plus lorsque Maxence m’injectait, à maintes reprises un produit infâme, dans toute cette zone péri-anale, à plusieurs endroits, tout autour de mon anus, mais aussi à la racine de mes couilles. Je ressentais mes tissus périnéaux s’étirer, la douleur s’accroitre… Je tremblais, mon corps suait. Lorsqu’il eut fini toutes ces injections, un de ses doigts tartinait abondamment mon trou de salope, tant sur les parois externes qu’internes, d’une crème épaisse et extrêmement froide.
J’étais détaché, puis emmené par Pierre dans un autre local bien différent. La porte que nous venions de franchir donnait directement sur une passerelle élevée d’un mètre au-dessus des installations qui se séparaient de façon égale de chaque côté de celle-ci. Des installations constituées de grands compartiments délimités de lourds barreaux de fer. Il n’y avait personne ici. Alors que je marchais à quatre pattes, je sentais une pression s’exercer au niveau de mon périnée, de mon cul, de mes couilles. Chaque pas m’élançait, j’avais l’impression que mes burnes avaient gonflées, je les sentais battre contre l’intérieur de mes cuisses, ma nouille, quant à elle, était tendue à l’extrême. Cette marche forcée en quadrupédie devenait presque intenable, insupportable. Je soufflais, râlais sans même m’en rendre compte. Mon esprit devenait flou, la chaleur ressentie me donnait des frissons. La fièvre m’envahissait lentement, remontait mon torse avant de gagner ma tête pour embrumer mon jugement, pour redescendre ensuite le long de ma colonne vertébrale pour atteindre mes reins qui se cambraient naturellement à l’exhibition.
Cette vague intense continuait son parcourt, amenant mes cuisses à s’écarter d’elles-mêmes puis remontait dans mon entrejambe entrainant une humidité certaine au bout de ma nouille. Pierre m’attachait, la tête et les bras enfermés dans un pilori, le ventre sur un banc court et étroit, les jambes terriblement écartées, avec les pieds au sol, entravés et attachés à de courtes sangles en cuir. Le temps semblait s’être arrêté alors que la douleur se mêlait à l’excitation. Les mains rudes de Pierre contrastaient avec ma peau lisse et sensible, mais toute la force de sa poigne, toute la rudesse dont il pouvait faire preuve à ce moment-là, se transformait inexorablement en excitation. Toute la brusquerie de cet homme se transférait en autant de chaleur et de désirs, alors que mes couilles étaient pétries vicieusement. Et lorsqu’il glissa ses doigts à la base de mon cou, ses énormes mains puissantes glissant d’abord sur mes épaules puis évoluant lentement sur mon dos en direction de mes reins, il m’était alors impossible de retenir mes gémissements. Madame Brigitte nous avait rejoint, elle était là, devant moi, avec deux grosses seringues remplies d’un liquide blanchâtre. Elle me souriait vicieusement.
- Voilà de bonnes vitamines, spéciales chienne en chaleur, effets garantis ! Ouvre ta gueule, salope !
Après avoir passé une main sous mon menton, pour tenir mon visage redressé, elle me plantait l’une des deux seringues dans la bouche. Son pouce pressait sur le piston…
- Avale salope, ne recrache surtout rien !
Immédiatement je reconnaissais, le goût, la texture… Cette garce me faisait avaler du foutre ! Elle prenait son temps, me laissant déglutir, et m’humiliait encore…
- Oh oui que c’est bon ça, pas vrai la chienne… tu aimes le jus de mâle, ça se voit… t’inquiète pas ma pute, ici tu vas en boire du foutre !
Lorsque la première seringue fut terminée, cette sorcière délaissait ma bouche pour s’installer entre mes jambes ouvertes. Là, elle abreuvait mon fion… glissant le tube plastique dans mon antre, injectant rapidement le contenu dans mon cul…
- Ton cul est plus gourmand que ta petite gueule de pute.
Madame Brigitte repartait sans autre commentaire humiliant, me laissant là, seul, dans le silence et l’obscurité totale… Une dizaine de minutes plus tard environ, le souffle court, mon corps ruisselant de sueur, mes hanches ondulantes instinctivement, je me mettais à râler puis à hurler tant ce que je ressentais au niveau de mon cul était terrible… Je le sentais palpiter, battre, tressaillir, vibrer… Je ne parvenais plus à le maitriser… une chaleur épouvantable envahissait mon ventre, mes entrailles, mon corps s’effaçait l’espace de longs instants et des frissons me traversaient jusqu’à la racine de mes cheveux. Je perdais la raison, les tiraillements, les picotements, les fourmillements, les démangeaisons ressentis sur mon anus ne me laissaient aucun répit, je sentais monter une incessante excitation ! J’avais besoin d’être baisé, enculé, rempli. Je criais, hurlais, braillais à m’en époumoner… Hélas personnes ne m’entendait ! J’étais à mon tour habité par la baise…
(A suivre…)
Chapitre 50 bis : Habité par la baise –
- …Voilà la vie qui t’attend, la chienne de pute…
Je restai immobile, à genoux, contemplant d’un œil vide cette femme hideuse… Elle se penchait vers moi et déposait ses lèvres vers mon oreille.
- Tu le sais que tu es une pute, tu ne peux plus te mentir, ton corps servile connait ta nature profonde. Regarde ta nouille comme elle remplit cette cage. Si je la libérais, elle se redresserait aussitôt. Ecarte les jambes, regarde la, boursouflée comme elle est !
Alors que j’obéissais, Madame Brigitte me donnait un coup de pied dans les couilles… Coup qui me coupait la respiration sous la douleur.
- Hors de question que je te libère de ce machin métallique… Les femelles comme toi jouissent du cul… Avec nous, tu vas apprendre à jouir ainsi, à jouir avec ton cul femellisé, vaginalisé, me disait-elle !
Alors que je reprenais tout juste mes esprits et mon souffle, cette sinistre femme se redressait en me souriant sinistrement.
- Pisse salope, pisse-toi dessus la chienne !
Sans que je puisse le contrôler, presque par instinct, je libérai les muscles de ma vessie. L’urine jaillissait de ma cage de chasteté. J’inondais et éclaboussais mes cuisses et mes pieds par un flot continu. La femme me regardait en silence, testant ma docilité et mon obéissance, les yeux froids et calculateurs. Peu après, elle tendait face à mon visage son pied nu et recouvert de saletés. Sa plante était à quelques millimètres de ma bouche. Je pouvais humer son odeur forte, une odeur d’humiliation et d’abattement.
- Lèche, la chienne.
Je me penchais en avant, les yeux fermés, puis passait ma langue depuis le talon jusqu’aux orteils, léchant encore et encore, du mieux que je le pouvais, léchant comme une chienne affectueuse.
- Lèche, entre mes orteils !
Là encore, je m’exécutais rapidement, obéissant instantanément à chaque ordre dicté, enfonçant ma langue dans chaque interstice de ses orteils, y récurant la sueur avant de l’avaler, récoltant par la même occasion ma propre ignominie et ma totale déchéance.
- On voit que cette chienne appartient à Monsieur le Marquis, elle est parfaitement dressée… C’est bon, Pierre, tu peux l’emmener chez Maxence.
- C’est vrai que Monsieur le Marquis possède les meilleurs spécimens. Il n’est pas un des plus grands Maîtres au monde pour rien !
- Oui, Monsieur le Marquis est d’ailleurs notre plus gros client…. Aller, j’emmène Sa chienne chez Maxence …
Pierre donc, n’était autre que cet homme trapu et puissant… Sans crier gare, il m’attrapait sous son bras, me décollait du sol en un temps record sans le moindre effort. Surpris, je l’étais… même si je n’étais pas bien lourd, je pesais malgré tout 68 kilos ! Lui, me portait sans délicatesse, me comprimait contre le haut de ses hanches et sous son bras musclé, comme si de rien n’était, tel un vulgaire sac de patates. Lorsqu’il me relâchait, je me retrouvais à quatre pattes dans un bureau médical aux murs blanc où de nombreux dessins grands comme des posters de diverses anatomies du corps humains, y étaient affichés. Devant moi, un homme en blouse blanche assis derrière un bureau en train de taper sur un clavier d’ordinateur.
- Salut Maxence, voilà la nouvelle chienne que nous attendions ! Mais pas n’importe quelle chienne, celle-là appartient à Monsieur le Marquis d’Evans et donc elle aura droit, cette petite pute, au traitement haut de gamme, le plus onéreux, mais le plus efficace pour faire d’elle, ce que Monsieur le Marquis veut en faire…- Parfait !, Si cette sale putain appartient à Monsieur le Marquis, nous nous emploierons tout particulièrement de son cas avec au programme, en effet, le traitement le plus adapté, cela est une évidence, répondait Maxence à Pierre tout en restant concentré sur son écran.
J’osais lever mon regard sur cet homme… Cet homme que dis-je… un dieu… d’une beauté à tomber par terre. Mince, très brun, les cheveux courts, les yeux bleus, la quarantaine, sa blouse blanche quelque peu déboutonnée laissait entrevoir un torse poilu. Maxence, sans me regarder, comme si je n’existais pas, demandait à Pierre de m’installer. Je m’attendais à être allongé sur une table d’auscultation, mais non ! En lieu et place, toujours à quatre pattes, j’étais attaché dans des sangles passant sous mon torse et mon abdomen, d’autres m’écartant largement les cuisses, d’autres encore entravant mes pieds et mes bras. Bref, très vite je me retrouvais suspendu à l’horizontale, les jambes écartées, les bras et les mains attachées par des cordages, tirés vers l’avant de mon corps. Toutes ces sangles semblaient être reliées entre elles et attachées à un palan électrique se trouvant juste au-dessus de mon dos. J’avais l’impression de flotter dans les airs après que le palan m’ait levé du sol. La position m’était très inconfortable mais à ce moment-là, Maxence se levait et directement se plaçait derrière moi, entre mes jambes grandes ouvertes. Toujours sans un mot, sans une attention particulière, comme si je n’étais qu’une chose, une de ses mains tirait sur l’un de mes lobes fessiers, afin de dégager mon sillon, alors qu’un doigt de son autre main me pénétrait violemment l’anus, m’obligeant à pousser un long râle guttural. Pendant de longues minutes ce doigt me fouillait, tirait sur ma corolle flétrie par des mouvements circulaires, plongeait dans mon cul pour ressortir ensuite, et recommencer. Puis s’en vint le moment où ce doigt s’arrêtait sur ma glande intime. Il massait énergiquement ma prostate, alors que Pierre libérait ma nouille de cette maudite cage de chasteté pour ensuite presser douloureusement mes couilles et ma tige tumescente, sans se soucier de mes plaintes et mes cris :
- Je crois que nous avons suffisamment de mouille pour nos analyses !, lançait Pierre en montrant à Maxence la petite coupelle qu’il avait placé sous ma nouille.
Toujours sans un mot, Maxence, retirait alors son doigt de mon cul, puis attrapait ma chevelure, pour me faire redresser la tête. Il m’enfilait ce doigt, tout juste sorti de mon antre anale, dans la bouche tout en me regardant droit dans les yeux avec une indifférence et un mépris extraordinaire. Manifestement, je n’étais rien pour Maxence… seulement une chose à humilier, à bafouer, à souiller, à avilir. Peu après que j’eusse léché et sucé ce majeur, Maxence s’essuyait dans ma chevelure, puis partait quelques secondes pour revenir avec un cathéter qu’il me plantait dans le pli de mon coude droit. Plusieurs tubes de sang m’étaient prélevés…
- Emmène ça au labo !, ordonnait Maxence à l’intention de Pierre.
Alors que Pierre partait, Maxence se plaçait une nouvelle fois derrière moi, entre mes cuisses écartelées, glissant sa main sur mes fesses, étirant une nouvelle fois mes lobes. Ses doigts froids touchaient la peau fine de mon anus, alors qu’un frisson me traversait le corps. Il maintenait ma raie écartée d’une poigne solide alors qu’une aiguille pénétrait lentement mon périnée. Je ressentais une brûlure intense alors que cette aiguille, millimètre par millimètre s’introduisait lentement. Cette aiguille aussi petite soit-elle, prenait dans mon esprit, une dimension impossible tant sa longue pénétration me donnait la possibilité de prendre conscience de sa douloureuse présence. Je ne tentais cependant pas de bouger pour m’échapper de cette souffrance… Je ne bougeai pas d’un poil, d’ailleurs comme aurais-je pu me défendre tant j’étais entravé et sans plus aucune force ? La sensation de brûlure s’intensifiait encore plus lorsque Maxence m’injectait, à maintes reprises un produit infâme, dans toute cette zone péri-anale, à plusieurs endroits, tout autour de mon anus, mais aussi à la racine de mes couilles. Je ressentais mes tissus périnéaux s’étirer, la douleur s’accroitre… Je tremblais, mon corps suait. Lorsqu’il eut fini toutes ces injections, un de ses doigts tartinait abondamment mon trou de salope, tant sur les parois externes qu’internes, d’une crème épaisse et extrêmement froide.
J’étais détaché, puis emmené par Pierre dans un autre local bien différent. La porte que nous venions de franchir donnait directement sur une passerelle élevée d’un mètre au-dessus des installations qui se séparaient de façon égale de chaque côté de celle-ci. Des installations constituées de grands compartiments délimités de lourds barreaux de fer. Il n’y avait personne ici. Alors que je marchais à quatre pattes, je sentais une pression s’exercer au niveau de mon périnée, de mon cul, de mes couilles. Chaque pas m’élançait, j’avais l’impression que mes burnes avaient gonflées, je les sentais battre contre l’intérieur de mes cuisses, ma nouille, quant à elle, était tendue à l’extrême. Cette marche forcée en quadrupédie devenait presque intenable, insupportable. Je soufflais, râlais sans même m’en rendre compte. Mon esprit devenait flou, la chaleur ressentie me donnait des frissons. La fièvre m’envahissait lentement, remontait mon torse avant de gagner ma tête pour embrumer mon jugement, pour redescendre ensuite le long de ma colonne vertébrale pour atteindre mes reins qui se cambraient naturellement à l’exhibition.
Cette vague intense continuait son parcourt, amenant mes cuisses à s’écarter d’elles-mêmes puis remontait dans mon entrejambe entrainant une humidité certaine au bout de ma nouille. Pierre m’attachait, la tête et les bras enfermés dans un pilori, le ventre sur un banc court et étroit, les jambes terriblement écartées, avec les pieds au sol, entravés et attachés à de courtes sangles en cuir. Le temps semblait s’être arrêté alors que la douleur se mêlait à l’excitation. Les mains rudes de Pierre contrastaient avec ma peau lisse et sensible, mais toute la force de sa poigne, toute la rudesse dont il pouvait faire preuve à ce moment-là, se transformait inexorablement en excitation. Toute la brusquerie de cet homme se transférait en autant de chaleur et de désirs, alors que mes couilles étaient pétries vicieusement. Et lorsqu’il glissa ses doigts à la base de mon cou, ses énormes mains puissantes glissant d’abord sur mes épaules puis évoluant lentement sur mon dos en direction de mes reins, il m’était alors impossible de retenir mes gémissements. Madame Brigitte nous avait rejoint, elle était là, devant moi, avec deux grosses seringues remplies d’un liquide blanchâtre. Elle me souriait vicieusement.
- Voilà de bonnes vitamines, spéciales chienne en chaleur, effets garantis ! Ouvre ta gueule, salope !
Après avoir passé une main sous mon menton, pour tenir mon visage redressé, elle me plantait l’une des deux seringues dans la bouche. Son pouce pressait sur le piston…
- Avale salope, ne recrache surtout rien !
Immédiatement je reconnaissais, le goût, la texture… Cette garce me faisait avaler du foutre ! Elle prenait son temps, me laissant déglutir, et m’humiliait encore…
- Oh oui que c’est bon ça, pas vrai la chienne… tu aimes le jus de mâle, ça se voit… t’inquiète pas ma pute, ici tu vas en boire du foutre !
Lorsque la première seringue fut terminée, cette sorcière délaissait ma bouche pour s’installer entre mes jambes ouvertes. Là, elle abreuvait mon fion… glissant le tube plastique dans mon antre, injectant rapidement le contenu dans mon cul…
- Ton cul est plus gourmand que ta petite gueule de pute.
Madame Brigitte repartait sans autre commentaire humiliant, me laissant là, seul, dans le silence et l’obscurité totale… Une dizaine de minutes plus tard environ, le souffle court, mon corps ruisselant de sueur, mes hanches ondulantes instinctivement, je me mettais à râler puis à hurler tant ce que je ressentais au niveau de mon cul était terrible… Je le sentais palpiter, battre, tressaillir, vibrer… Je ne parvenais plus à le maitriser… une chaleur épouvantable envahissait mon ventre, mes entrailles, mon corps s’effaçait l’espace de longs instants et des frissons me traversaient jusqu’à la racine de mes cheveux. Je perdais la raison, les tiraillements, les picotements, les fourmillements, les démangeaisons ressentis sur mon anus ne me laissaient aucun répit, je sentais monter une incessante excitation ! J’avais besoin d’être baisé, enculé, rempli. Je criais, hurlais, braillais à m’en époumoner… Hélas personnes ne m’entendait ! J’étais à mon tour habité par la baise…
(A suivre…)
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