La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1676)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1676) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1676)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1675) -
Chapitre 51 : Une overdose de sexe -
J’étais à mon tour habité par la baise… Je me sentais et me voyais perdu, sombrant dans un océan de folie orgiaque pure, ma peau gorgée de chaudes sensations électrisées incroyables, comme si j’étais dévoré de l’intérieur. Je suffoquais même. Ma chair devant supporter des tensions insupportables, des milliers d’étincelles scintillaient devant mes yeux. Un ouragan de sensations plus excitantes les unes que les autres me plongeait dans les abimes de la démence pornographique emplie de perversité que je subissais. Mon cul cognait de l’intérieur, des ondes longues et violentes se répandaient dans mon ventre. Ainsi je me sentais m’envoler vers une autre dimension, où plus aucun aspect de ma vie ou de mon identité n’avait de sens. J’agonisais, et je jubilais tout à la fois, en poussant des cris d’horreur, des cris à la fois d’épouvante et de bonheur ultime résonnant dans ce vaste local sordide… Inutile de dire, combien j’étais heureux d’entendre, au bout d’un temps certain, des pas venir à ma rencontre ! J’espérais qu’on me libère, qu’on m’encule, qu’on me fasse jouir, qu’on en finisse avec moi. Mais celui qui était là, n’était autre que ce pervers Maxence. Il me regardait avec son rictus odieux et obscène. Sans un mot, juste sous mes yeux, il sortait d’une boite en métal, deux seringues remplies d’un liquide incolore. Il plaçait tranquillement des aiguilles stériles sur ces seringues, avant de me contourner et de se placer entre mes jambes. Je m’étranglais en hurlant :
- Non Monsieur, pitié Monsieur, ne voyez-vous pas que je n’en peux plus ! S’il vous plait Monsieur, baisez-moi !

Mes suppliques ne servaient à rien, mise à part que j’eus comme réponse une fulgurante paire de gifles… Maxence, toujours silencieux, toujours sans un mot, dans la plus grande indifférence, me plantait ensuite une aiguille dans le quart supérieur externe de la fesse droite et injectait lentement le liquide se trouvant dans la seringue. Cette injection intramusculaire me brûlait dès lors que le produit injecté se répandait dans mon lobe fessier. Mais Maxence, une fois encore ne se souciait guère de mes ressentis. Au contraire même, il semblait prendre un véritable plaisir sadique à m’entendre gémir et supplier. Il œuvrait encore avec cette fois-ci cette seconde aiguille qu’il me plantait ici ou là, sur toute cette zone péri-anale écartelée par les liens me maintenant ainsi offert. Maintenant que je connaissais les conséquences de ces injections, je les redoutais d’autant plus, mais peine perdue, j’avais beau contracter mon périnée, je sentais cette fine aiguille me pénétrer douloureusement. Très vite mes couilles furent en feu, mon cul tout autant, ma nouille raide palpitait sous mon abdomen, nouille d’ailleurs saisie et ramenée vers l’arrière, vers mon cul par cet homme diabolique. Je ne voyais pas ce qu’il faisait avec elle, je percevais simplement qu’il tirait sur mon prépuce afin de dégager largement mon gland tumescent. Je sentais seulement qu’il enfonçait un plug pénien dans mon urètre qu’il fixait avec un anneau en silicone extensible qu’il plaçait derrière mon gland.

Ce système permettait de maintenir le plug, l’empêchant tout simplement de glisser à l’intérieur ou l’extérieur de ma nouille, tout en stimulant le frein de mon prépuce. Et comble de l’horreur, j’étais saisi de vibrations pénétrantes lorsque Maxence appuyait sur un petit bouton se trouvant sur ce matériel machiavélique. Machiavélique… était-ce d’ailleurs le mot approprié pour qualifier les sensations perçues ? Sitôt les premières ondes ressenties, une envie forte d’éjaculer se faisait sentir, mais cet odieux mini-vibromasseur m’empêchait d’expédier mon foutre, il freinait et réprimait mon éjaculation. Alors, comme si je perdais connaissance, tous les rouages hallucinés de mon être tournaient à plein régime, sous l’effet de ce matériel placé au bout de ma nouille, sous l’effet de ces injections ! Dans la nuit noire, pourtant en plein jour, je m’inscrivais alors dans un schéma vivant, mouvant, révélant ma propre vie, dévoilant ma nature profonde de salope dépravée. Je n’étais plus que ça… rien que ça ! Alors, à peine si je sentais les pompes à air que Maxence me plaçait sur mes mamelons, aspirant et tirant dans ce tube plastique mes tétons. La douleur se mêlait au plaisir et m’emmenait inexorablement vers l’abandon, la déchéance, l’effroi, la torpeur, le désir, le plaisir… tout était paradoxal en moi !

Combien de temps restais-je ainsi, seul, habité par des tourments et des sensations extrêmes ? Impossible de le dire… Maxence était reparti, en m’humiliant tacitement. Pas un mot, seul des sourires pervers et des regards malsains et dépravés se lisaient sur son visage. Mon corps ravagé ondulait frénétiquement, mon corps suait, de ma bouche s’échappait des flots de salive incessants, mon cul tressaillait. Je n’étais plus moi mais plutôt devenu plus que rien, ce qui d’ailleurs était la même chose, mais une chose ou une chienne endiablée, enflammée, excitée, pervertie… Impossible de dire qui m’avait détaché, qui m’avait ôté ces dispositifs posés sur mon corps, qui m’avait conduit dans cette cellule assez large dont un pan était entièrement vitré donnant dans un couloir fort éclairé, tant j’étais anéanti, tant mon mental était accaparé et éprouvé peut-être même nourri par ces émotions et sensations perverses. En tout état de cause, j’étais là, allongé sur le sol, toujours emportés par les épreuves imposées. Ma nouille était de nouveau enfermée dans une cage un peu plus longue que d’habitude mais munies à l’intérieur de l’étui pénien de petites pointes acérées et blessantes en cas de bandaison torride. Je tremblais, non de froid, mais d’excitation. Mon corps n’était plus connecté à mon cerveau ou mon cerveau n’était plus raccorder à mon corps ?

Lorsque je reprenais plus ou moins conscience, je constatais que j’étais donc exposé dans cette cellule épurée, à la lumière blanche de laboratoire, derrière cette haute vitrine comme d’autres ! En effet de l’autre côté de la vitrine se trouvait ce long et large couloir où de chaque côté étaient disposées d’autres cellules vitrées toutes identiques à la mienne. Chaque cellule était occupée d’une ou d’un esclave nu, des femelles, des mâles à raison d’un spécimen par cellule. On aurait cru, à mon instar, être tous, des rats de laboratoire… Dans la cellule en face de la mienne, il y avait une femelle nue, une jeune femme brune et très belle, aux tétons annelés, d’une vingtaine d’année environ. Elle était couchée sur le dos à même le sol, les cuisses largement écartées, les genoux relevés face à mon regard. Son bassin se soulevait du sol alors qu’elle se masturbait frénétiquement et sans modération. J’avais l’impression qu’elle jouissait sans interruption par des cris que je n’entendais pas, les cellules devaient être insonorisées, mais l’expression de son visage laissait à penser qu’elle hurlait de plaisir à ne plus pouvoir s’arrêter. Je comprenais alors qu’elle devait avoir été conditionnée par un traitement l’ayant rendu constamment en chaleur excessive… Oui nous étions vraiment des souris blanches de laboratoire…
Mon attention que je portais à cette jeune femelle qui se branlait sans aucune pudeur, sans aucune gêne, était interrompue quand une personne entra dans mon champ de vision dans le couloir… En effet, je voyais désormais Madame Brigitte derrière cette vitre, elle me regardait d’un air fier et hautain. Elle tenait en ses mains un gode de bonne dimension, en latex noir, lubrifié, qu’elle branlait doucement, délicatement, sous mes yeux mi-clos… « Quelle garce ! » pensais-je… Je voyais bien qu’elle faisait ça pour m’humilier une fois encore, je voyais bien qu’elle cherchait par tout moyen à m’abaisser, à me rendre plus encore dépendant de sexe, alors que je hoquetais, suais, percevais encore et toujours ces chahuts incessants au fond de mon cul, alors que ma nouille réclamait le traitement qu’elle donnait à ce bout de plastique.

- Ton cul à faim, salope, il est devenu ta chatte de femelle soumise qui réclame… Je suis certaine qu’elle aimerait se faire bourrer… peut-être même que ce gode pourrait satisfaire ta chatte affamée !

Quelle odieuse femme, quelle horrible femme, qu’elle était laide avec ces rictus sur ses lèvres pincées. Je la détestais simplement.

- Hélas, ma salope, ce n’est pas pour toi… mais pour une autre femelle, une femelle sans couilles, qui elle aussi subit le même traitement que toi, mais depuis plus longtemps que toi… Elle n’en peut plus, la pauvre… Tu vas voir comme elle va être heureuse de s’empaler sur cet objet !, regarde bien salope !

A cet instant, la cloison aveugle de ma cellule, du côté droit, se soulevait tel un large volet roulant électrique, pour laisser apparaitre une autre épaisse vitre qui donnait sur la cellule d’à-côté, celle juste accolée à la mienne…Il y avait dedans une femme, une soumise-esclave nue d’une cinquantaine d’années qui, sous mon regard, venait d’être poussée et jetée à l’intérieur de la cellule. Elle avait un regard brillant de femelle en chaleur, les cheveux noirs coupés très courts, la poitrine tuméfiée car ligotée par un bondage serré. Sa vulve béante ruisselait, vulve d’ailleurs qu’elle frottait au sol, ne pouvant s’empêcher de se donner du plaisir. Elle aussi était visiblement en chaleur excessive et permanente…
- Tu vois cette chienne, cette lamentable salope qui refuse de se faire enculer par son mari… Eh bien ce dernier a donc fait appel à nos services et nous rémunère grassement pour faire du cul de sa salope de femme, un véritable garage à bites, afin qu’il puisse l‘enculer sans modération ! Et tu vas voir comme elle va aimer se défoncer le fion… et en plus devant toi ! Tu vas assister à un joli spectacle, la pute, je suis sûre que tu vas te régaler et la jalouser… car toi, tu aimerais bien avoir une grosse bite dans le cul… même celle-ci en plastique !

Madame Brigitte disparaissait… pour réapparaitre quelques instants plus tard dans la cellule enfermant cette femme soumise qui refusait donc jusqu’à présent d’être sodomisée par son mari. La saisissant par le cordage enfermant ses seins, Madame Brigitte obligeait la femelle à s’allonger à plat dos au sol, la contraignait à relever les jambes sur son ventre, à les écarter afin que je puisse bien voir son cul et sa chatte largement exhibés à mon regard. Les parois vitrées m’empêchant d’entendre ce que Brigitte lui ordonnait, mais celle-ci semblait obéir strictement. Elle venait de s’emparer de ce gode pour le placer sur son anus. D’un coup sec, elle le faisait pénétrer dans son antre pour l’avaler complètement… Malgré les vitres épaisses nous séparant et l’insonorisation, j’entendais ses geignements de plaisir dans une petite enceinte de haut-parleur fixée au plafond de ma cellule et qu’on venait d’enclencher. Je la voyais se défoncer à toute vitesse, pousser et retirer ce gode, pour recommencer encore et encore. Elle ne gémissait plus, elle braillait tout en continuant à s’exciter sur ce sexe factice. Elle se branlait le cul alors que Brigitte lui pinçait, tirait, pinçait et tirait, tordait ses tétons. De temps à autre, elle changeait d’orifice, se plantait ce chibre en latex dans sa chatte, comme pour le lubrifier davantage, faisait quelques allers-retours, pour ensuite s’enculer de nouveau avec frénésie, se tordant le bassin, l’ondulant à outrance. Et moi dans tout ça… Je n’en pouvais plus, mon regard envieux ne pouvait se détacher de ce cul et de cette moule détrempée, de ce gode pénétrant, fourrant sauvagement en alternance le cul et la chatte de cette femelle assoiffée de sexe…
Mon cul battait, réclamait, ma nouille se heurtait à ces pointes acérées de ma cage de chasteté, je mouillais terriblement. Oui, Madame Brigitte avait vu juste, je jalousais cette femme qui se donnait manifestement du plaisir, sa cyprine abondante coulait sur et entre ses cuisses... Mais soudainement j’étais consterné, la porte de la cellule d’à-côté s’ouvrait de nouveau. Antoine était là, introduit dans cet espace brutalement… Antoine toujours et constamment en rut, la nouille dure, bandée, très large, très longue, complètement décalotté, dont l’extrémité perlait de liquide transparent qui dégoulinait au sol. A quatre pattes, il s’avançait vers cette femelle soumise esclave pour ensuite placer sa queue directement dans la bouche de celle qui continuait à se goder comme une folle en manque de saillies...

(A suivre…)

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