La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1677)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1677) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1677)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1676) -
Chapitre 51 bis : Une overdose de sexe -
A quatre pattes, il s’avançait vers cette femelle soumise esclave pour ensuite placer sa queue directement dans la bouche de celle qui continuait à se goder comme une folle en manque de saillies... Antoine ne me regardait pas, son regard sans expression restait figé au sol. Il se faisait biberonner sans état d’âme pour assouvir ses besoins lubriques qu’on lui avait provoqué. Il s’enfonçait dans cette bouche et faisant bouger simplement ses hanches pour se faire dévorer. Il baisait cette cavité buccale jusqu’au fond de la gorge de cette femelle en rut, jusqu’à ce que son visage soit enfoui entre ses cuisses, respirant follement au-dessus d’elle, faisant coulisser son sexe parfois avec lenteur, parfois avec sauvagerie… Après un long moment ainsi, Antoine se retirait enfin, se cambrant vers l’arrière, me laissant voir entre ses cuisses son sexe ruisselant, pour saisir et retourner cette femelle en levrette et la sodomiser sauvagement dans un copulation anale digne d’une saillie équestre, d’un étalon sur sa jument.

A cet instant, entraient dans ma cellule, Pierre et Maxence. Avant que je puisse faire un quelconque mouvement, le lourd et costaud Pierre se jetait sur moi, m’immobilisant au sol, à plat ventre, en posant ses fesses sur mes épaules. Ses deux grosses paluches m’écartaient les fesses, dégageant ainsi mon sillon, alors que Maxence m’injectait une nouvelle fois, pour la troisième fois, des aphrodisiaques puissants. Cette fois-ci, plus encore j’étais terrassé, je sentais la main immense de Pierre qui m’enserrait la nuque, tout mon corps se décollait du sol, et mes genoux frottaient contre ce linoléum, à mesure que ce type me trainait derrière lui, comme on traine un chien qui a mal agi. Trop défoncé par ces drogues pour faire quoi que ce soit, je me laissais malmener, d’ailleurs qu’aurais-je pu faire d’autre ?... Je me contentai de pleurer, mon corps chaud, parcouru de frissons et de suées, mes yeux embués de larmes. J’étais emmené vers un autre lieu à travers ce long couloir de laboratoire où je voyais défiler maintes cellules occupées de chaque côté au fur et à mesure que j’avançais. Nous quittions ce couloir prenant une porte latérale pour emprunter des escaliers, ressemblant à ceux d’un hôpital, pour arriver dans le sous-sol de l’établissement… Sans un mot, sans même paraitre faire le moindre effort, Pierre balançait son bras vers l’avant, et je m’envolais, retombant lourdement sur le sol dans cette pièce sombre où nous étions désormais arrivés. Je restais de longues minutes ainsi, secoué par des spasmes odieux, mon corps et principalement mon entrejambe en chaleur, le souffle court. Ici, je respirai une odeur animale, de sueur et de sexe. Je relevais enfin la tête pour enfin apercevoir sous la lumière d’un soupirail, trois hommes enchainés, suants, complètement nus, sexes bandés.

Dès qu’ils furent détachés, ils se rapprochaient de moi, à quatre pattes, avec dans chacune de ses paires de yeux un désir immonde, terrifiant, de prédateurs et de carnassiers. L’un d’eux plus rapide que les deux autres se jetait déjà sur mon corps nu. A cet instant, je crus sombrer alors qu’une bouche avide venait de s’emparer de mes couilles, les salivait, les aspirait. Je me laissais manipuler, deux mains s’emparaient de ma tête, une bouche vorace s’entrouvrait au-dessus de mon visage, tandis qu’une langue pendante venait répandre en haletant et en grognant sa salive entre mes lèvres entrouvertes. Ces fluides avaient un gout salé, et lorsqu’ils me coulèrent dans la gorge, ce fut tout une explosion d’orgasmes intérieurs, et de tensions folles qui se répandaient dans mon ventre. L’homme qui me maintenait la tête entre ses mains, posait maintenant ses lèvres sur les miennes et me roulait une pelle d’enfer, aspirant ma langue, me baisant la bouche par sa simple force animale. Ce baiser me rendait dingue, ma nouille cherchait douloureusement à s’épanouir dans cette putain de cage de chasteté.

L’un des trois hommes glissait ses bras noueux autour de mes jambes, enserrant mes genoux et les soulevait du sol, avant de glisser son corps entre mes mollets, pour coller son bassin nu contre le mien. Je sentais sa tige battre contre mon cul, des vibrations prémonitoires et enivrantes… J’avais besoin d’être enculé…, je voulais cette queue en moi. L’autre se plaisait à glisser sa langue dans ma bouche, il ne me laissait même pas respirer, collant ses lèvres aux miennes, agitant en moi son appendice humide comme s’il voulait me bouffer l’intérieur du crâne. Le troisième mâle était penché sur mes tétons, qu’il mordait à pleines dents, étirant vers le haut mes bouts bandés jusqu’à me faire hurler de douleur. Je me laissais aller, cherchant désespérément de ma main cette queue à l’orée de mon cul. Je voulais que cet homme me pénètre, me laboure, me remplisse, me besogne. Mon corps servile tout entier était parcouru de formidables courants électriques, des torrents d’endorphine, alors qu’une main me malaxait les couilles, les serrait douloureusement jusqu’à ce que je hurle, je supplie. Mais cette main s’accrochait à mes burnes, les étirait le long de mes cuisses, les tordait violemment, alors qu’une bite raide et gluante me pénétrait la bouche. Il me baisait longuement, je goutais ses arômes délicieux de sauvagerie, il me baisait comme une chienne, sans même se soucier de mes gémissements. Il me baisait la bouche jusqu’à ce que ses abdominaux se tendent, et qu’il expulse en grognant son foutre chaud, au gout fort et racé que j’avalais instantanément.

J’étais retourné brutalement, mon corps écrasé par la violence, mon seul réflexe était de cambrer mes reins pour faciliter la pénétration. Le mâle allongé sur moi bandait, je sentais sa grosse bite chaude contre mes fesses bien entrouvertes par l’excitation. D’un coup, il me pénétrait le cul, alors qu’une autre queue imposante me défonçait la bouche. Pris en sandwich, embroché de part et d’autre, ces queues embrasaient mon cerveau, je branlais ces chibres, tant avec ma bouche qu’avec mon cul, sans relâche avec assiduité, avec plaisir et une certaine délectation. Je sentais une douleur vive au fond de mon rectum, suivi d’un bonheur intense, comme une drogue folle qui me coulait dans les veines, un orage qui me fracassait les muscles de mon cul, une tempête sauvage balayant mon cerveau. Les deux mains de cet homme occupé à me sodomiser, m’empoignaient violemment les hanches, incrustant ses doigts au plus profond de ma chair jusqu’à y laisser des marques rouge et douloureuses, alors qu’il entamait des va-et-vient de plus en plus profonds. Je soufflais, souffrais, jouissais mentalement de le sentir en moi. Il me souillait et me ravageait de l’intérieur. Je me cabrai comme une chienne en chaleur, suppliant en geignant, frappant le sol avec mes mains, alors que par la seule force de ses bras, il me plaquait violemment au sol avant de gicler sa semence remplie d’addictifs qui me coulait dans le ventre me réchauffant le corps et l’âme. L’autre, celui installé dans ma cavité buccale arrosait peu après ma bouche, tapissait ma gorge par de longs et abondants jets crémeux.

Il n’y avait plus aucune humanité dans nos comportements, uniquement de la bestialité, et encore ! N’étais-je pas qu’une chose dégénérée, totalement dépravée et décérébrée, esclave de mon cul vaginalisé… Je restais allongé à même le sol, les trois mâles étaient de nouveau enchainés. Tous trois me regardaient avec férocité, tels des fauves toujours plus affamés. Le premier ayant giclé dans ma bouche se masturbait de nouveau, il se branlait lentement en écartant largement les jambes. Sans la moindre pudeur, il s’affichait ostensiblement, comme s’il voulait me montrer, que lui, esclave mâle, il pouvait user de sa queue comme il l’entendait, comme il le voulait, ainsi, il me montrait sa supériorité face à moi qui n’était qu’une femelle à couilles selon les dires de Madame Brigitte. Je prenais ainsi conscience de la place qui était mienne, au plus bas dans la hiérarchie sexuelle, juste un oméga transformé en une chienne lubrique affamée de bites. Et cette bite, là, branlée sous mes yeux, bien raide et bien dure, ne m’appelait-elle pas, ne me conviait-elle pas, ne m’invitait-elle pas ? Oh que si… Il me la fallait, je la voulais. Alors sans plus réfléchir, j’allais à sa rencontre, avançant vers elle à quatre pattes, langue pendante telle une vraie salope en chaleur. Oui en chaleur ! J’étais bel et bien surexcité, surchauffé, enflammé totalement déchainé. A moitié fou, délirant dans les vapes de plaisir, accroupi, sans aucun préliminaire, je plantais mon cul sur ce chibre d’un bon calibre et m’enfonçait, m’empalait doucement mais sûrement en poussant un feulement, telle une tigresse en chasse d’un mâle. Les puissants aphrodisiaques qu’on m’avait inoculés agissant à l’évidence avec une redoutable efficacité.

L’homme assis par terre, le dos en appui contre la cloison me laissait faire. J’allais et venais sur la bite de ce mâle que je ne regardais même pas, tout entier plongé dans le plaisir du corps qu’il me procurait. Je dansais sur ce pieu de chair, tanguais et vacillais au son d’une petite musique qui me disait : « Vas-y salope, défonce-toi, démène-toi, drogue-toi sur ce chibre incandescent ! ». Je m’enfonçais encore, me soulevais par la seule force de mes muscles de mes deux jambes, puis me laissais retomber m’empalant encore et encore, tout en contemplant autour de moi les deux autres mâles qui étaient eux aussi de nouveau en rut. Ils se caressaient les couilles, la bite alors que je m’activais toujours sur ce braquemart brulant. Je sentais monté la pression, une délicieuse tension venant de mes burnes et grimpant au bout de ma nouille tuméfiée, jusqu’à mon gland enflé, boursouflé et écrasé sur ces piques au fond de cette cage. Et là, d’un coup d’un seul, ma semence jaillissait et éclaboussait sur l’abdomen, le torse et le menton de mon enculeur. Lui aussi soupirait d’aise, maintenant il se cramponnait à mes hanches, ne voulant pas que mon cul quitte son membre, il n’en avait pas fini avec moi… Par des mouvements saccadés il me pénétrait, me besognait sans vergogne, il s’aventurait encore, inlassablement, s’engageait, se retirait, s’enfonçait, plongeait, me transperçait, me brisait sans parvenir à jouir. Alors il me basculait, de telle sorte que je me retrouve allongé à plat dos, cuisses écartées sous son corps en sueur. Il continuait à manœuvrer ainsi, infatigablement, jusqu’à cet instant, où d’un coup de reins puissant, il se redressait pour se retirer de mon cul. Il éjaculait puissamment, abondamment, par saccades sur mon ventre et ma poitrine.

Je ne savais plus ou j’étais, je ne savais plus qui j’étais. C’était à peine si je reconnaissais ce colosse de Pierre qui se rapprochait de moi, me contemplant d’en haut, l’air sévère. Il déboutonnait son pantalon et retirait son sexe, un chibre énorme, lourd et sombre, à demi-bandé, pointant vers mon corps nu affalé au sol. Pierre fermait les yeux, levait son pied pour le poser fermement sur ma joue, écrasant mon visage sur le béton froid. Je fermais les yeux, alors que je sentais les premiers jets d’urine chaude venir m’éclabousser le torse, le ventre, nettoyant ma peau de toute la poussière de toute ma sueur, de toutes ses souillures. Je ne songeais même pas à m’échapper de dessous de ce pied, ne pensais à rien d’autre qu’à cette pisse qui dégoulinait le long de mon ventre puis remontait en crépitant vers mon cou. Pierre ôtait son pied, tout en continuant à pisser, sur mon crâne, mes joues, une pisse non diluée et parfaitement ammoniaquée.

Pierre me laissait là, dans sa pisse, dans cette chaleur étouffante, dans ces odeurs de mâles en rut, l’esprit envolé, évaporé, presque dans une transe morbide, dans l’extase d’un moment de déprave et de totale perversion. Je devenais poussière, accessoirement ombre et lumière, totalement défait, incapable de bouger, de me relever. Non sans mal, Pierre parvenait à faire sortir de cet enclos, les trois mâles enfiévrés. Avant de partir l’un des trois était venu me flairer, le lécher, avait tenté de me saillir une nouvelle fois, mais sous les coups puissants d’une badine, avait renoncé. J’étais là, gisant, mourant après cette overdose de sexe à attendre ; à attendre quoi précisément ?... Je n’attendais certainement pas celui qui venait d’entrer… Maxence était là, ses pieds à quelques centimètres de mon visage posé au sol, dans chacune de ses mains, deux seringues. Il attendait patiemment que je prenne la bonne posture. Alors, de bon gré, en levrette, je lui offrais ma raie en écartant de mes deux mains mes fesses, pour qu’il puisse agir !

(A suivre…)

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