La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1678)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1678)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1671) –
Le Majordome me met la laisse, me gifle et je quitte à regret les Pieds du Maitre ... Monsieur Walter une nouvelle fois me conduit en me tirant la laisse sans aucun ménagement au travers de longs couloirs. Mes genoux me font mal et je me demande bien ce qui m’attend aujourd’hui. Il me sort jusqu’à la cour arrière, on arrive devant une espèce de bétaillère, il baisse le rideau arrière et me dit :
- Monte, espèce de salope !
Et me voilà à l’arrière de ce véhicule, nu et en plein air. Je deviens véritablement un chien, plus rien d’autre qu’un chien. Je sens ma vie d’homme s’éloigner de plus en plus et je suis là me tenant comme je peux car Monsieur Walter roule assez vite sur un chemin rocailleux et sinueux. Une bonne quinzaine de minutes après le véhicule s’arrête, il me fait descendre et je me retrouve sur le lieu dont parlait le Maître. Un endroit magnifique, majestueux ! Un merveilleux étang très large et assez long car je n’arrive pas à en voir le bout, entouré d’une magnifique forêt touffue aux nombreuses essences. J’entends les oiseaux qui chantent et le bruit reposant d’une rivière qui vient alimenter cet étang. C’est vraiment un endroit superbe, j’avance dans cette herbe haute et qui a encore gardé un peu la fraîcheur de la nuit car elle mouille mes pieds et jambes ou plutôt mes pattes !... Tout à coup, j’entends des voix et j’aperçois une grande et haute bâtisse d’apparence très ancienne en pisé et en pleine restauration. Il y a des échafaudages tout autour, et devant ce vieil édifice, une bétonneuse, une grue, des sacs de mortier, tas de sable, etc…
- Monsieur Le Marquis a décidé de créer un musée dédié au Marquis de Sade. Et comme ce célèbre écrivain a lui-même foulé les pieds de cette ancienne écurie-grange où d’ailleurs il y a même fouetté sa Justine, à une poutre maitresse, c’est donc ici dans cet ancien bâtiment, que ce musée va voir le jour ! Tu es chargé de faire les plans de tout le système électrique à savoir non seulement l’électricité classique, mais aussi la ventilation, la climatisation, les installations électriques des futures salles d’expositions, les alarmes incendies, vol, etc. Tout cela doit être bien fait et aux normes règlementaires. Il y aura aussi des installations importantes qui devront être sécurisées. Pour réaliser ce travail, tu as à ta disposition tous les plans précis réalisés par un architecte-maître d’œuvre et ami du Maître, T’a bien compris sale bâtard ?
- Oui Monsieur Walter
On entre ensuite dans cette ancienne grange où j’entends et voit à l’intérieur des ouvriers qui posent des cloisons. Je suis tout à coup honteux et gêné d’être là à quatre pattes et totalement nu. Ils sont quatre..
- Salut Walter, qu’est-ce que tu nous amène là ?
- C’est le nouveau chien de Monsieur Le Marquis et c’est lui qui va s’occuper de toute la partie électrique. Il doit faire les plans électriques basés sur les plans de l’architecte et si Monsieur Le Marquis approuve, il se chargera de tout le travail. Il est là aussi pour s’occuper de vous les gars, vous soulager de toute la fatigue que vous cause votre travail.
Tous se mettent à rire et je vois des regards carnassiers des quatre ouvriers à l’appétit visiblement prédateur !
- Toi salope, tu vas suivre Paolo.
Un homme s’approche alors de moi, il est grand, une montagne de muscles et typé portugais. Monsieur Walter m’a enlevé ma laisse.
- Suit moi, tafiole !
J’ai quand même honte d’être traité de tafiole devant tous ces gens. Je le suis à quatre pattes quand il me dit :
- Pour le travail, tu peux te mettre debout, dépêche on n’a pas que cela à faire.
Paolo m’emmène à l’étage, me fait entrer dans une pièce où toutes les cloisons ont été posées.
- Tout le matériel dont tu as besoin est là. Commence par l’étage, les Exigences de Monsieur le Marquis sont là dans ce classeur, ainsi que les plans détaillés de l’architecte… A toi de faire du bon travail, tafiole. Paolo me laisse là et je les entends parler en bas, rirent et quelques minutes plus tard, j’entends la voiture de Monsieur Walter s’en aller.
Je commence à lire les Exigences du Maître (Lumières, interrupteurs, chauffage, ventilations, alarmes, etc…). Je prends le mètre, une planche de travail, des crayons et me voilà commençant à mesurer, calculer me basant sur les cotes précises de l’architecte. Je suis bien sûr complètement nu, juste avec mon collier et ma cage ! Deux bonnes heures passent et je me rends même plus compte que je suis nu, je mesure, je réfléchis comment faire ceci ou cela, genre où passer les gaines, où placer les tableaux électriques, etc ... (Je fais grâce aux lecteurs des détails techniques)…Tout à coup, j’entends un cri.
- C’est la pause les gars, j’ai servi l’apéro !
Je continue à travailler car je comprends bien que c’est pour cela que je suis là, mais j’entends :
- Hé, la salope là-haut, descend, vient nous rejoindre !
Je pose mon matériel dans un coin et je descends les escaliers me ramenant au rez-de-chaussée. Je m’aperçois qu’ils sont dehors, ils ont allumé un feu et des grillades sont en train de cuire dans un barbecue. Tout à coup, je ressens la faim en humant cette bonne odeur de viande grillée.
U n des ouvriers me voyant arriver, me dit d’une voix très autoritaire
- Quand tu t’arrêtes de bosser, tu te mets à 4 pattes, le clébard.
Et aussitôt, je me retrouve à quatre pattes à quelques pas de ces quatre ouvriers… Un autre se lève et pose à mes pieds une gamelle et il ouvre une boite de pâté pour chien et la verse dedans. Franchement, c’est dégueulasse ! C’est de la pâtée coulante et puante !
- Regarde comme Monsieur le Marquis prend bien soin de toi salope, allez mange !
Et ils se mettent tous à rire. Mais c’est vraiment pour moi pas possible.
- Merci, mais je n’ai pas vraiment faim.
Paolo pose son verre de Pastis, me regarde.
- Ecoute bien, sale pute, quand on te dit mange, tu manges ! Obéit, ça vaudra mieux pour toi …
Saisi de peur, je plonge mon visage dans la gamelle et je commence à manger cette pâtée pour chien. Pendant ce temps, ils mangent de bonnes grillades avec un bon verre de vin rouge. Moi j’en ai plein le visage, je pue cette pâtée, j’ai envie de manger comme eux.
- Viens ici sale clébard !, dépêche-toi !
Je lève la tête et je vois un des ouvriers, il s’appelle Virgil je crois. Je m’approche de lui et je vois qu’il a enlevé chaussures et ses chaussettes.
- Lèche-moi les pieds et masse-moi, ils en ont besoin.
Que puis-je faire d’autre que d’obéir ? Ils ne sont pas très propres, transpirants mais à genoux, je baisse la tête et commence à lécher ses pieds. Je passe ma langue sur toute la surface de chaque pied.
- Suce mes doigts de pieds, salope !
Et me voilà suçant les orteils de cet homme. Je suis là, à le lécher depuis plus de 10 minutes quand Paolo m’exige :
- Viens ici, tafiole
Je lève la tête et je vois Paolo pantalon baissé et surtout une grosse queue circoncise, tendu, avec un gland énorme et violacé.
- Va y, suce moi salope, et applique-toi !
Je lèche ce volumineux sexe, je le prends en bouche et je commence à monter et descendre comme la putain que je deviens. Je l’entends gémir, soupirer. Il me prend la tête et la dirige vers ses couilles. Je comprends de suite et je me mets à lui lécher ses couilles tout en le branlant.
- Prend-les, dans ta bouche, salope !
Puis, tous se mettent à rire en me voyant gober les couilles de Paolo dans ma bouche et sa queue sur mon visage. Que suis-je devenu ? Je m’aperçois que malgré moi je bande dans ma cage, je comprends que mon moi disparaît, que je n’ai plus d’égo, et que ma nature servile a besoin maintenant d’être humiliée et rabaissée. Il me tire en arrière par les cheveux pour me relever la tête :
- Ouvre ta gueule et tire ta langue, tafiole !
Me voilà à genoux plein de bave qui coule sur mon menton, bouche ouverte et langue tirée. Il racle sa gorge et me crache un gros mollard dans ma bouche.
- Avale, salope !
Écœuré, j’avale et je me remets à sucer sous les insultes des quatre ouvriers.
Paolo me pousse à nouveau à genoux, il me tient par le cou et il se branle au-dessus de mon visage et au bout de quelques minutes c’est en hurlant son plaisir éjaculatoire qu’il gicle une quantité incroyable de foutre chaud sur ma gueule de chien ! Mes yeux, mon front, ma bouche sont souillés par six ou sept abondantes giclées sur ma gueule et ça coule sur tout mon corps.
- Nettoie, sale pute !
Je lèche, je suce, cette queue ne laissant plus aucune trace de sperme.
Ensuite, je dois sucer les trois autres, Virgil me gifle plusieurs fois, il se vide dans ma bouche et me force à tout avaler. Les deux autres se vident sur mon visage qui n’est plus qu’un réceptacle à foutre. Je suis poussé à terre par le dernier d’un pied énergique. Ils rient, plaisantent, parlent d’autres choses en buvant un bon café et mangeant une tarte. Je suis là vautré par terre, le sperme collant à mon visage, puant la transpiration et la pâtée pour chien. Pourtant et c’est incompréhensible, je trouve normal d’être là, j’en ressens même un certain bienfait, portant je suis insulté, humilié, bafoué, souillé, mais je me sens vraiment être inférieur et ma nature servile me fait bien comprendre et ressentir que c’est ma place maintenant !
- Allez dégage, va bosser, espèce de faignasse !
Alors me voilà reparti à l’étage afin de continuer mon travail de mesures et de calculs afin de préparer pour Le Maître les plans électriques attendus. J’ai sur le visage un masque de sperme séché et ce gout de semence dans ma bouche toute l’après-midi. Je ne vois pas le temps passer, quand soudain une main ferme sur l’épaule me retourne rapidement. C’est Paolo. Il me crache au visage, me retourne contre le mur, écarte mes jambes et me dit :
- Maintenant tu vas gouter à nos queues, la pute !…
(A suivre …)
Le Majordome me met la laisse, me gifle et je quitte à regret les Pieds du Maitre ... Monsieur Walter une nouvelle fois me conduit en me tirant la laisse sans aucun ménagement au travers de longs couloirs. Mes genoux me font mal et je me demande bien ce qui m’attend aujourd’hui. Il me sort jusqu’à la cour arrière, on arrive devant une espèce de bétaillère, il baisse le rideau arrière et me dit :
- Monte, espèce de salope !
Et me voilà à l’arrière de ce véhicule, nu et en plein air. Je deviens véritablement un chien, plus rien d’autre qu’un chien. Je sens ma vie d’homme s’éloigner de plus en plus et je suis là me tenant comme je peux car Monsieur Walter roule assez vite sur un chemin rocailleux et sinueux. Une bonne quinzaine de minutes après le véhicule s’arrête, il me fait descendre et je me retrouve sur le lieu dont parlait le Maître. Un endroit magnifique, majestueux ! Un merveilleux étang très large et assez long car je n’arrive pas à en voir le bout, entouré d’une magnifique forêt touffue aux nombreuses essences. J’entends les oiseaux qui chantent et le bruit reposant d’une rivière qui vient alimenter cet étang. C’est vraiment un endroit superbe, j’avance dans cette herbe haute et qui a encore gardé un peu la fraîcheur de la nuit car elle mouille mes pieds et jambes ou plutôt mes pattes !... Tout à coup, j’entends des voix et j’aperçois une grande et haute bâtisse d’apparence très ancienne en pisé et en pleine restauration. Il y a des échafaudages tout autour, et devant ce vieil édifice, une bétonneuse, une grue, des sacs de mortier, tas de sable, etc…
- Monsieur Le Marquis a décidé de créer un musée dédié au Marquis de Sade. Et comme ce célèbre écrivain a lui-même foulé les pieds de cette ancienne écurie-grange où d’ailleurs il y a même fouetté sa Justine, à une poutre maitresse, c’est donc ici dans cet ancien bâtiment, que ce musée va voir le jour ! Tu es chargé de faire les plans de tout le système électrique à savoir non seulement l’électricité classique, mais aussi la ventilation, la climatisation, les installations électriques des futures salles d’expositions, les alarmes incendies, vol, etc. Tout cela doit être bien fait et aux normes règlementaires. Il y aura aussi des installations importantes qui devront être sécurisées. Pour réaliser ce travail, tu as à ta disposition tous les plans précis réalisés par un architecte-maître d’œuvre et ami du Maître, T’a bien compris sale bâtard ?
- Oui Monsieur Walter
On entre ensuite dans cette ancienne grange où j’entends et voit à l’intérieur des ouvriers qui posent des cloisons. Je suis tout à coup honteux et gêné d’être là à quatre pattes et totalement nu. Ils sont quatre..
- Salut Walter, qu’est-ce que tu nous amène là ?
- C’est le nouveau chien de Monsieur Le Marquis et c’est lui qui va s’occuper de toute la partie électrique. Il doit faire les plans électriques basés sur les plans de l’architecte et si Monsieur Le Marquis approuve, il se chargera de tout le travail. Il est là aussi pour s’occuper de vous les gars, vous soulager de toute la fatigue que vous cause votre travail.
Tous se mettent à rire et je vois des regards carnassiers des quatre ouvriers à l’appétit visiblement prédateur !
- Toi salope, tu vas suivre Paolo.
Un homme s’approche alors de moi, il est grand, une montagne de muscles et typé portugais. Monsieur Walter m’a enlevé ma laisse.
- Suit moi, tafiole !
J’ai quand même honte d’être traité de tafiole devant tous ces gens. Je le suis à quatre pattes quand il me dit :
- Pour le travail, tu peux te mettre debout, dépêche on n’a pas que cela à faire.
Paolo m’emmène à l’étage, me fait entrer dans une pièce où toutes les cloisons ont été posées.
- Tout le matériel dont tu as besoin est là. Commence par l’étage, les Exigences de Monsieur le Marquis sont là dans ce classeur, ainsi que les plans détaillés de l’architecte… A toi de faire du bon travail, tafiole. Paolo me laisse là et je les entends parler en bas, rirent et quelques minutes plus tard, j’entends la voiture de Monsieur Walter s’en aller.
Je commence à lire les Exigences du Maître (Lumières, interrupteurs, chauffage, ventilations, alarmes, etc…). Je prends le mètre, une planche de travail, des crayons et me voilà commençant à mesurer, calculer me basant sur les cotes précises de l’architecte. Je suis bien sûr complètement nu, juste avec mon collier et ma cage ! Deux bonnes heures passent et je me rends même plus compte que je suis nu, je mesure, je réfléchis comment faire ceci ou cela, genre où passer les gaines, où placer les tableaux électriques, etc ... (Je fais grâce aux lecteurs des détails techniques)…Tout à coup, j’entends un cri.
- C’est la pause les gars, j’ai servi l’apéro !
Je continue à travailler car je comprends bien que c’est pour cela que je suis là, mais j’entends :
- Hé, la salope là-haut, descend, vient nous rejoindre !
Je pose mon matériel dans un coin et je descends les escaliers me ramenant au rez-de-chaussée. Je m’aperçois qu’ils sont dehors, ils ont allumé un feu et des grillades sont en train de cuire dans un barbecue. Tout à coup, je ressens la faim en humant cette bonne odeur de viande grillée.
U n des ouvriers me voyant arriver, me dit d’une voix très autoritaire
- Quand tu t’arrêtes de bosser, tu te mets à 4 pattes, le clébard.
Et aussitôt, je me retrouve à quatre pattes à quelques pas de ces quatre ouvriers… Un autre se lève et pose à mes pieds une gamelle et il ouvre une boite de pâté pour chien et la verse dedans. Franchement, c’est dégueulasse ! C’est de la pâtée coulante et puante !
- Regarde comme Monsieur le Marquis prend bien soin de toi salope, allez mange !
Et ils se mettent tous à rire. Mais c’est vraiment pour moi pas possible.
- Merci, mais je n’ai pas vraiment faim.
Paolo pose son verre de Pastis, me regarde.
- Ecoute bien, sale pute, quand on te dit mange, tu manges ! Obéit, ça vaudra mieux pour toi …
Saisi de peur, je plonge mon visage dans la gamelle et je commence à manger cette pâtée pour chien. Pendant ce temps, ils mangent de bonnes grillades avec un bon verre de vin rouge. Moi j’en ai plein le visage, je pue cette pâtée, j’ai envie de manger comme eux.
- Viens ici sale clébard !, dépêche-toi !
Je lève la tête et je vois un des ouvriers, il s’appelle Virgil je crois. Je m’approche de lui et je vois qu’il a enlevé chaussures et ses chaussettes.
- Lèche-moi les pieds et masse-moi, ils en ont besoin.
Que puis-je faire d’autre que d’obéir ? Ils ne sont pas très propres, transpirants mais à genoux, je baisse la tête et commence à lécher ses pieds. Je passe ma langue sur toute la surface de chaque pied.
- Suce mes doigts de pieds, salope !
Et me voilà suçant les orteils de cet homme. Je suis là, à le lécher depuis plus de 10 minutes quand Paolo m’exige :
- Viens ici, tafiole
Je lève la tête et je vois Paolo pantalon baissé et surtout une grosse queue circoncise, tendu, avec un gland énorme et violacé.
- Va y, suce moi salope, et applique-toi !
Je lèche ce volumineux sexe, je le prends en bouche et je commence à monter et descendre comme la putain que je deviens. Je l’entends gémir, soupirer. Il me prend la tête et la dirige vers ses couilles. Je comprends de suite et je me mets à lui lécher ses couilles tout en le branlant.
- Prend-les, dans ta bouche, salope !
Puis, tous se mettent à rire en me voyant gober les couilles de Paolo dans ma bouche et sa queue sur mon visage. Que suis-je devenu ? Je m’aperçois que malgré moi je bande dans ma cage, je comprends que mon moi disparaît, que je n’ai plus d’égo, et que ma nature servile a besoin maintenant d’être humiliée et rabaissée. Il me tire en arrière par les cheveux pour me relever la tête :
- Ouvre ta gueule et tire ta langue, tafiole !
Me voilà à genoux plein de bave qui coule sur mon menton, bouche ouverte et langue tirée. Il racle sa gorge et me crache un gros mollard dans ma bouche.
- Avale, salope !
Écœuré, j’avale et je me remets à sucer sous les insultes des quatre ouvriers.
Paolo me pousse à nouveau à genoux, il me tient par le cou et il se branle au-dessus de mon visage et au bout de quelques minutes c’est en hurlant son plaisir éjaculatoire qu’il gicle une quantité incroyable de foutre chaud sur ma gueule de chien ! Mes yeux, mon front, ma bouche sont souillés par six ou sept abondantes giclées sur ma gueule et ça coule sur tout mon corps.
- Nettoie, sale pute !
Je lèche, je suce, cette queue ne laissant plus aucune trace de sperme.
Ensuite, je dois sucer les trois autres, Virgil me gifle plusieurs fois, il se vide dans ma bouche et me force à tout avaler. Les deux autres se vident sur mon visage qui n’est plus qu’un réceptacle à foutre. Je suis poussé à terre par le dernier d’un pied énergique. Ils rient, plaisantent, parlent d’autres choses en buvant un bon café et mangeant une tarte. Je suis là vautré par terre, le sperme collant à mon visage, puant la transpiration et la pâtée pour chien. Pourtant et c’est incompréhensible, je trouve normal d’être là, j’en ressens même un certain bienfait, portant je suis insulté, humilié, bafoué, souillé, mais je me sens vraiment être inférieur et ma nature servile me fait bien comprendre et ressentir que c’est ma place maintenant !
- Allez dégage, va bosser, espèce de faignasse !
Alors me voilà reparti à l’étage afin de continuer mon travail de mesures et de calculs afin de préparer pour Le Maître les plans électriques attendus. J’ai sur le visage un masque de sperme séché et ce gout de semence dans ma bouche toute l’après-midi. Je ne vois pas le temps passer, quand soudain une main ferme sur l’épaule me retourne rapidement. C’est Paolo. Il me crache au visage, me retourne contre le mur, écarte mes jambes et me dit :
- Maintenant tu vas gouter à nos queues, la pute !…
(A suivre …)
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