La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1679)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1679)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1678) –
- Maintenant tu vas gouter à nos queues la pute !…
Et, sans aucune préparation, il m’ordonne de me creuser mes reins et d’écarter encore mieux mes jambes, puis il défait son pantalon pour exhiber une verge déjà dure et dressée au zénith. Alors, il m’enfonce sans préambule sa grosse queue dans mon œillet flétri. Je gueule de douleur sous son énergique poussée à sec qui me sodomise d’un coup, mais il me dit de fermer ma gueule en me mettant sa grosse main sur ma bouche. Il me laboure littéralement le cul dans de rapides et fulgurants va-et-vient cadencés. Il me défonce comme une pute, ayant maintenant placé ses deux mains sur mes hanches, il me saillit sans se soucier de mes ressentis. Je me sens être juste un trou, un vide-couilles... J’essaie de me tenir au mur, ma tête frappe le mur à chaque coup de boutoir de Paolo, ce sodomite qui abuse de mon fondement à la hussarde, jusqu’à la garde. Ça dure plus de 10 minutes, je suis transpirant, vaincu, anéanti mais à ma honte je réponds à ses coups de mâle viril par de véritables gémissements de salope. Je couine comme une chienne et je ne peux me retenir, je sens un véritable besoin d’être ainsi enculé, sailli, c’est là ma place !... Tout d’un coup, un cri bestial et je sens mon cul se remplir de foutre, la semence chaude s’écouler dans mes entrailles. Je suis ensuite jeté à terre, mis à genoux et voilà que trois autres bites se dressent devant moi.
- Suce, salope, fais-nous durcir pour bien te défoncer !
Je suce alors avec avidité, gourmandise ces trois queues des autres ouvriers à tout de rôle, je me déplace d’une à l’autre. Ils me forcent même à en prendre deux dans la bouche à en étouffer. Et je suis ensuite enculé par chaque ouvrier alors que j’en suce un autre et que je branle le troisième et cela en alternance quand ils se remplacent dans mon cul, dans la bouche et ma main masturbatrice. Mais enculé durement, profondément à une cadence infernale dans mon orifice anal et sans aucun respect, comme une vulgaire putain, comme un simple objet sexuel, comme une chose, juste un trou à se vider dedans, un simple trou pour se soulager. Ensuite, Virgil me prend par le collier, attrape ma tête et la colle à son anus et tout en se penchant en avant, il m’ordonne :
- Lèche mon cul, la pute !
Complétement abandonné, brisé, vaincu, je sors ma langue et lèche son anus, passant ma langue entre ses parois anales et je ressens une forte odeur de transpiration. J’enfonce ma langue dans son cul comme il l’exige et je le branle en même temps, sous les moqueries des autres qui se branlent devant ce spectacle. Je ne suis plus rien qu’un lèche cul, un vide-couilles, une poupée sexuelle malléable et sans pouvoir l’expliquer j’en bande terriblement dans ma cage et je sens le bien-être d’être traité ainsi ! Je suis ensuite mis en levrette de nouveau et je sens son sexe me remplir le cul encore une fois et là ma nature servile qui maintenant écrase ma vie vanille, qui fait tomber tous les tabous, me pousse à gémir, mais gémir de plaisirs comme une chienne femelle en pleine chaleur animale, comment l’expliquer ? J’ai la tête plaquée sur le côté à même le sol, les reins creusés, le cul relevé et je suis sauvagement enculé, sodomisé et maltraité étant abondamment fessé de violentes claques qui fusent sans ménagement…
Et en même temps, je sens une jouissance mentale forte prendre la place, j’aimerai tellement me branler pour que mon orgasme soit aussi physique alors que ma nouille perle de ma mouille de salope… On me relève légèrement afin de me trouver à quatre pattes, disons plutôt à trois pattes car j’ai une main en l’air afin de branler un autre alors que je suis toujours enculé pendant que je dois encore sucer un troisième qui se relaie dans ma bouche avec le quatrième… Pendant plus d’une heure, je vais ainsi soulager ces quatre hommes qui ne sont pas rentrés chez eux depuis deux semaines ! Et qui visiblement avaient les couilles pleines avec ce fort besoin de se les vider… Je vous ne dis pas ce que j’ai pris ! Je suis là complétement brisé, le foutre coule de mon cul, de ma bouche, de mon nez même. Ils m’ont frappé, insulté, humilié, j’ai dû avaler leurs crachats et foutre. Ils sont là maintenant en train de boire une bière fraîche et ils rient tranquillement après avoir bien profités de la pute que je suis…. Monsieur Walter arrive environ 30 minutes après. Il descend de la voiture, s’approche de nous.
- Alors les gars, vous l’avez défoncé cette salope ! Mais dans quel état vous l’avez mise !
Les cinq hommes se mettent tous à rire, le Majordome le premier. Je ne suis qu’une loque puante, mes cheveux collant sont plein de sperme également, j’ai du mal à voir car ça colle aussi à mes yeux. Monsieur Walter s’aperçoit que ma gamelle n’a pas été compétemment finie.
- Oh, c’est quoi ça ? Monsieur Le Marquis daigne te nourrir et tu oses en laisser ! Viens ici, sale bâtard !
Le Majordome crache dans la gamelle, il me prend par le collier et me fourre la tête dedans.
- Va y, bouffe tout, le chien !
Complètement brisé, je finis toute cette pâtée puante, je ne laisse absolument rien.
- Tu pue vraiment, sale bâtard, c’est infect, aller, suis moi !
Le Majordome me remet la laisse et me conduit vers les ouvriers qui sont en train de ranger leurs outils dans leur camionnette.
- Eh les gars, vous m’avez souillé cette salope alors maintenant venez m’aider à nettoyer cette salope puante !
Monsieur Walter me force à me mettre à genoux mains derrière la tête relevée et bouche grande ouverte, langue tirée. Les cinq homme se mettent alors devant moi et sortent leur sexe. Non, ce n’est pas possible, ils ne vont pas faire cela, je suis déjà assez humilié. Mais, je n’ose rien dire et je vois arriver cinq jets de pisse qui déferlent sur moi. Ils m’en envoient partout en riant. Je suis nettoyé à la pisse !
- Ouvre bien, la gueule, mieux que ça, le putois !
Alors ils visent ma bouche et ma tête est complétement arrosée de pisse.
Avec tout ce qu’ils ont bu, ça dure plusieurs minutes avant que ça s’arrête, que leur vessie se soit vidée.
- Aller, c’est à ton tour de nous nettoyer, la pute !
Et à quatre pattes, je viens et nettoie chaque sexe avec ma langue et ma bouche de putain. Paolo me crache sur la gueule et les trois autres me giflent avec violence en riant. Monsieur Walter me dit sévèrement :
- Va les remercier pour t’avoir traité comme tu le mérites. Va lécher leurs chaussures.
Je n’ai vraiment pas envie, plus envie d’obéir mais je sais que je suis en train d’apprendre et je me souviens des Paroles du Maître, alors humilié, je viens lécher chaque chaussure en remerciant de m’avoir traité comme la pute que je suis.
- Monte dans la bétaillère, salope.
Me revoilà dans la bétaillère. Et à ma grande surprise, je ne suis pas seul à l’intérieur. Il y a un esclave mâle nu et souillé et je le reconnais, c’est Alexsoumis… A le voir, il a l’air d’être dans le même état que moi, puant la pisse, le sperme, il a sans aucun doute été utilisé tantôt je ne sais où, mais visiblement de la même manière que moi, par tous ses orifices… Je sais qu’on n’a pas le droit de se parler, alors ni lui, ni moi, conversons. On se contente de se regarder avec un air de compassion évident. Son sourire me fait comprendre que lui aussi, est heureux d’être dans cette situation si humiliante et dégradante. Sa nouille est aussi encagée que la mienne. A mon instar, il a les mains libres et c’est sans un seul mot qu’il vient se blottir contre moi alors que je viens de m’adosser contre la ridelle du véhicule. Fraternel, je le laisse poser sa tête contre mon torse et je l’enlace tendrement tout lui caressant le cuir chevelu… C’est un moment de pure tendresse, comme si Alexsoumis venait chercher ce moment tendre par besoin ou par estime de nos conditions serviles. Nous restons ainsi enlacés une bonne dizaine de minutes alors que la bétaillère n’a toujours pas démarré car le Majordome reste encore une bonne demi-heure à boire une bière avec eux et discuter de l’avancement des travaux…
Alexsoumis, durant ce temps, se met délicatement à me lécher les tétons dans une douceur délicieuse, je l’avoue. Sa main caresse mon torse, mon épaule, mon bras. Je me laisse faire appréciant chaque baiser, chaque caresse. Je ne suis pas particulièrement homosexuel mais ma condition d’esclave m’amène, de fait, à savourer tout attouchement qu’ils soient d’une femme ou d’un homme. Je me surprends même d’accepter et d’embrasser goulument sa bouche qu’il me présente à la mienne. Nous nous embrassons avec passion longtemps, mélangeant nos langues fougueusement tout en nous caressant mutuellement, quand tout d’un coup, au bout de la demi-heure, j’entends Monsieur Walter saluer les cinq ouvriers et leur dire :
- Demain, je vous le ramène les gars.
Tous se mettent à rire et demande à Monsieur Walter de bien remercier Monsieur le Marquis pour ce beau cadeau.
Je suis de retour vers le Château, anéanti, puant mais je me sens bander encore plus fort. Je sens un bien-être fou m’envahir d’avoir été traité ainsi et ma nature servile qui était depuis des années enfouie me dit : ‘C’est cela dont tu as besoin, c’est ta vie, tu es un chien, un bâtard, obéir et subir est ta seule vie qui te rendra heureux ! Je change jour après jour, tombant de plus en plus dans la déchéance, dans la dépravation la plus totale…
(A suivre …)
- Maintenant tu vas gouter à nos queues la pute !…
Et, sans aucune préparation, il m’ordonne de me creuser mes reins et d’écarter encore mieux mes jambes, puis il défait son pantalon pour exhiber une verge déjà dure et dressée au zénith. Alors, il m’enfonce sans préambule sa grosse queue dans mon œillet flétri. Je gueule de douleur sous son énergique poussée à sec qui me sodomise d’un coup, mais il me dit de fermer ma gueule en me mettant sa grosse main sur ma bouche. Il me laboure littéralement le cul dans de rapides et fulgurants va-et-vient cadencés. Il me défonce comme une pute, ayant maintenant placé ses deux mains sur mes hanches, il me saillit sans se soucier de mes ressentis. Je me sens être juste un trou, un vide-couilles... J’essaie de me tenir au mur, ma tête frappe le mur à chaque coup de boutoir de Paolo, ce sodomite qui abuse de mon fondement à la hussarde, jusqu’à la garde. Ça dure plus de 10 minutes, je suis transpirant, vaincu, anéanti mais à ma honte je réponds à ses coups de mâle viril par de véritables gémissements de salope. Je couine comme une chienne et je ne peux me retenir, je sens un véritable besoin d’être ainsi enculé, sailli, c’est là ma place !... Tout d’un coup, un cri bestial et je sens mon cul se remplir de foutre, la semence chaude s’écouler dans mes entrailles. Je suis ensuite jeté à terre, mis à genoux et voilà que trois autres bites se dressent devant moi.
- Suce, salope, fais-nous durcir pour bien te défoncer !
Je suce alors avec avidité, gourmandise ces trois queues des autres ouvriers à tout de rôle, je me déplace d’une à l’autre. Ils me forcent même à en prendre deux dans la bouche à en étouffer. Et je suis ensuite enculé par chaque ouvrier alors que j’en suce un autre et que je branle le troisième et cela en alternance quand ils se remplacent dans mon cul, dans la bouche et ma main masturbatrice. Mais enculé durement, profondément à une cadence infernale dans mon orifice anal et sans aucun respect, comme une vulgaire putain, comme un simple objet sexuel, comme une chose, juste un trou à se vider dedans, un simple trou pour se soulager. Ensuite, Virgil me prend par le collier, attrape ma tête et la colle à son anus et tout en se penchant en avant, il m’ordonne :
- Lèche mon cul, la pute !
Complétement abandonné, brisé, vaincu, je sors ma langue et lèche son anus, passant ma langue entre ses parois anales et je ressens une forte odeur de transpiration. J’enfonce ma langue dans son cul comme il l’exige et je le branle en même temps, sous les moqueries des autres qui se branlent devant ce spectacle. Je ne suis plus rien qu’un lèche cul, un vide-couilles, une poupée sexuelle malléable et sans pouvoir l’expliquer j’en bande terriblement dans ma cage et je sens le bien-être d’être traité ainsi ! Je suis ensuite mis en levrette de nouveau et je sens son sexe me remplir le cul encore une fois et là ma nature servile qui maintenant écrase ma vie vanille, qui fait tomber tous les tabous, me pousse à gémir, mais gémir de plaisirs comme une chienne femelle en pleine chaleur animale, comment l’expliquer ? J’ai la tête plaquée sur le côté à même le sol, les reins creusés, le cul relevé et je suis sauvagement enculé, sodomisé et maltraité étant abondamment fessé de violentes claques qui fusent sans ménagement…
Et en même temps, je sens une jouissance mentale forte prendre la place, j’aimerai tellement me branler pour que mon orgasme soit aussi physique alors que ma nouille perle de ma mouille de salope… On me relève légèrement afin de me trouver à quatre pattes, disons plutôt à trois pattes car j’ai une main en l’air afin de branler un autre alors que je suis toujours enculé pendant que je dois encore sucer un troisième qui se relaie dans ma bouche avec le quatrième… Pendant plus d’une heure, je vais ainsi soulager ces quatre hommes qui ne sont pas rentrés chez eux depuis deux semaines ! Et qui visiblement avaient les couilles pleines avec ce fort besoin de se les vider… Je vous ne dis pas ce que j’ai pris ! Je suis là complétement brisé, le foutre coule de mon cul, de ma bouche, de mon nez même. Ils m’ont frappé, insulté, humilié, j’ai dû avaler leurs crachats et foutre. Ils sont là maintenant en train de boire une bière fraîche et ils rient tranquillement après avoir bien profités de la pute que je suis…. Monsieur Walter arrive environ 30 minutes après. Il descend de la voiture, s’approche de nous.
- Alors les gars, vous l’avez défoncé cette salope ! Mais dans quel état vous l’avez mise !
Les cinq hommes se mettent tous à rire, le Majordome le premier. Je ne suis qu’une loque puante, mes cheveux collant sont plein de sperme également, j’ai du mal à voir car ça colle aussi à mes yeux. Monsieur Walter s’aperçoit que ma gamelle n’a pas été compétemment finie.
- Oh, c’est quoi ça ? Monsieur Le Marquis daigne te nourrir et tu oses en laisser ! Viens ici, sale bâtard !
Le Majordome crache dans la gamelle, il me prend par le collier et me fourre la tête dedans.
- Va y, bouffe tout, le chien !
Complètement brisé, je finis toute cette pâtée puante, je ne laisse absolument rien.
- Tu pue vraiment, sale bâtard, c’est infect, aller, suis moi !
Le Majordome me remet la laisse et me conduit vers les ouvriers qui sont en train de ranger leurs outils dans leur camionnette.
- Eh les gars, vous m’avez souillé cette salope alors maintenant venez m’aider à nettoyer cette salope puante !
Monsieur Walter me force à me mettre à genoux mains derrière la tête relevée et bouche grande ouverte, langue tirée. Les cinq homme se mettent alors devant moi et sortent leur sexe. Non, ce n’est pas possible, ils ne vont pas faire cela, je suis déjà assez humilié. Mais, je n’ose rien dire et je vois arriver cinq jets de pisse qui déferlent sur moi. Ils m’en envoient partout en riant. Je suis nettoyé à la pisse !
- Ouvre bien, la gueule, mieux que ça, le putois !
Alors ils visent ma bouche et ma tête est complétement arrosée de pisse.
Avec tout ce qu’ils ont bu, ça dure plusieurs minutes avant que ça s’arrête, que leur vessie se soit vidée.
- Aller, c’est à ton tour de nous nettoyer, la pute !
Et à quatre pattes, je viens et nettoie chaque sexe avec ma langue et ma bouche de putain. Paolo me crache sur la gueule et les trois autres me giflent avec violence en riant. Monsieur Walter me dit sévèrement :
- Va les remercier pour t’avoir traité comme tu le mérites. Va lécher leurs chaussures.
Je n’ai vraiment pas envie, plus envie d’obéir mais je sais que je suis en train d’apprendre et je me souviens des Paroles du Maître, alors humilié, je viens lécher chaque chaussure en remerciant de m’avoir traité comme la pute que je suis.
- Monte dans la bétaillère, salope.
Me revoilà dans la bétaillère. Et à ma grande surprise, je ne suis pas seul à l’intérieur. Il y a un esclave mâle nu et souillé et je le reconnais, c’est Alexsoumis… A le voir, il a l’air d’être dans le même état que moi, puant la pisse, le sperme, il a sans aucun doute été utilisé tantôt je ne sais où, mais visiblement de la même manière que moi, par tous ses orifices… Je sais qu’on n’a pas le droit de se parler, alors ni lui, ni moi, conversons. On se contente de se regarder avec un air de compassion évident. Son sourire me fait comprendre que lui aussi, est heureux d’être dans cette situation si humiliante et dégradante. Sa nouille est aussi encagée que la mienne. A mon instar, il a les mains libres et c’est sans un seul mot qu’il vient se blottir contre moi alors que je viens de m’adosser contre la ridelle du véhicule. Fraternel, je le laisse poser sa tête contre mon torse et je l’enlace tendrement tout lui caressant le cuir chevelu… C’est un moment de pure tendresse, comme si Alexsoumis venait chercher ce moment tendre par besoin ou par estime de nos conditions serviles. Nous restons ainsi enlacés une bonne dizaine de minutes alors que la bétaillère n’a toujours pas démarré car le Majordome reste encore une bonne demi-heure à boire une bière avec eux et discuter de l’avancement des travaux…
Alexsoumis, durant ce temps, se met délicatement à me lécher les tétons dans une douceur délicieuse, je l’avoue. Sa main caresse mon torse, mon épaule, mon bras. Je me laisse faire appréciant chaque baiser, chaque caresse. Je ne suis pas particulièrement homosexuel mais ma condition d’esclave m’amène, de fait, à savourer tout attouchement qu’ils soient d’une femme ou d’un homme. Je me surprends même d’accepter et d’embrasser goulument sa bouche qu’il me présente à la mienne. Nous nous embrassons avec passion longtemps, mélangeant nos langues fougueusement tout en nous caressant mutuellement, quand tout d’un coup, au bout de la demi-heure, j’entends Monsieur Walter saluer les cinq ouvriers et leur dire :
- Demain, je vous le ramène les gars.
Tous se mettent à rire et demande à Monsieur Walter de bien remercier Monsieur le Marquis pour ce beau cadeau.
Je suis de retour vers le Château, anéanti, puant mais je me sens bander encore plus fort. Je sens un bien-être fou m’envahir d’avoir été traité ainsi et ma nature servile qui était depuis des années enfouie me dit : ‘C’est cela dont tu as besoin, c’est ta vie, tu es un chien, un bâtard, obéir et subir est ta seule vie qui te rendra heureux ! Je change jour après jour, tombant de plus en plus dans la déchéance, dans la dépravation la plus totale…
(A suivre …)
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