La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1681)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 352 052 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 420 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1681)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1677) -
Chapitre 52 : Loué à un inconnu -
Alors, de bon gré, en levrette, je lui offrais ma raie en écartant de mes deux mains mes fesses, pour qu’il puisse agir ! Après avoir pris un modeste repas, à quatre pattes, cul en l’air et reins cambrés, tête plongée dans une gamelle métallique… après avoir avalé une bouillie infâme, sans saveur… j’étais maintenant couché, à plat dos, sur une table, les jambes attachées en l’air, le cul au bord de cette table, les cuisses maintenues écartées, les mains derrière la tête, prises dans des sangles de cuir m’empêchant de les utiliser. Madame Brigitte après m’avoir ôté cette cage de chasteté me pressait les couilles douloureusement en me disant.
- Je ne suis pas sûr que tu passes une bonne nuit, la salope… mais ici, il faut que tu t’habitues à dormir la croupe en l’air. Ton cul vaginalisé qui devient donc désormais ta chatte de chienne en chaleur peut servir à tout moment, nuit et jour, alors il faut qu’elle soit toujours accessible, toujours offerte à la saillie, tu comprends ça… Hein la putain !
Cette perverse bonne femme me laissait là, immobile, dans le désarroi, dans le tumulte de mes pulsions, pulsions exacerbées par ces drogues que l’on m’injectait que je supposais être des mélanges d’hormones et d’aphrodisiaques et de je ne sais quoi d’autres… Maxence, quant à lui, toujours sans un mot, comme si je n’étais rien, comme si je n’existais pas, préparait deux pinces qu’il me plaçait peu après sur les tétons… Ces pinces mordaient terriblement mes chairs sensibles, si bien que je gueulais en me débattant. Comme consolation, Maxence me giflait à deux reprises avec un mépris certain… Peu après, tous deux me laissait là ! Il m’était bien difficile de trouver le sommeil, surtout dans cette posture et lorsque j’y parvenais, quelques minutes après, j’étais réveillé en sursaut par des cris ou des gémissements, par des portes qui claquaient, par des feulements de mâles en rut, des jouissances bruyantes et certainement non retenues au niveau sonore… Bref, je savais que cette nuit-là allait être cauchemardesque ! Le silence était revenu, la lumière s’était éteinte, malgré les crampes me tenaillant le corps, malgré les pinces posées sur mes tétons, malgré les soubresauts explosifs dans mon ventre, malgré ma nouille en permanence érigée, je me sentais sombré, mon esprit s’embrumait doucement mais surement jusqu’à ce que des images incroyables défiles sous mes yeux, jusqu’à ce que j’entraperçoive un vaste champ empli de fleurs colorées et bordé d’une nuit étoilée…
Il y avait là du monde, beaucoup de monde qui dansait et chantait, des centaines de personnes nues qui avaient entamé une danse, une danse d’amour ou le sexe rayonnait, où le sexe était roi. Un décor de paradis terrestre avec des scènes de luxure peu compatibles avec ce magnifique cadre de l’Eden. J’étais conduit là au travers des corps en rut, des odeurs de sperme, de cyprine, et de sueur, jusqu’à une haute et immense sculpture trônant au centre de ce champ fleuri, où un buste d’un étalon dressé sur ses pattes arrière, en rut, dont le sexe crachait un laser rouge vers le ciel. A l’arrière, à l’emplacement du cul de la statue équestre, une porte immense où j’entrai comme attiré par un instinct primitif me dictant le passage de la porte… L’instant d’après, je me retrouvais à l’intérieur d’une vaste pièce remplie de corps d’hommes et de femmes entièrement dénudés qui s’ébattaient, dansaient à même le sol de terre battue, gémissaient, orgasmaient, se caressaient, se léchaient, se doigtaient, se baisaient. Une véritable et prodigieuse orgie de sexe s’offrait à mon regard. La lumière tamisée ici était presque éteinte, et je devais faire attention où je mettais les pieds pour continuer à avancer. Arrivé au milieu de la vaste pièce, je trébuchais sur une hanche et me vautrais nu parmi les autres corps nus, dans un océan de mains, de ventres, de sexes affamés, d’odeurs animales. Quelques mains venaient recouvrir mon corps servile, ma vue se perdait dans les ténèbres de la perversion, de l’extase, de la luxure. Je discernais aussi, mais à peine, l’odeur d’encens étrange, des fleurs que je ne connaissais pas. Une main dans mon dos me poussait à me retourner, alors je me retrouvais face à une silhouette, mi-homme, mi-femme qui posait ses deux mains sur mes pectoraux, et me pinçait les tétons jusqu’à ce que je crie. Cette créature profitait de mon cri pour me dévorer la bouche, puis elle me poussait sur et contre le sol, ma tête reposant sur une cuisse chaude et contractée qui ne faisait que s’agiter, alors que la créature, dont je ne discernais à peine les traits saisissaient mes deux cuisses, les relevaient pour poser un sexe bandé à l’entrée de mon cul…
Mon rêve érotique continuait : Je murmurais alors une supplique, mais cet être, maintenant mi-homme, mi-animal, plutôt que de me pénétrer laissait là son sexe bandé, comme une menace, saisissait dans sa main mon chibre couvert de sperme et me branlait en même temps qu’il se branlait, d’une main experte. Mon esprit s’envolait encore et je trouvais une autre partenaire, une jeune femme très belle, aux cheveux clairs et longs ondulés et qui me prenait tout contre elle. Elle semblait vouloir me serrer comme un frère entre ses bras, tout en me faisant un véritable appel à la copulation en écartant généreusement ses cuisses… Elle gémissait lorsque je la pénétrais de ma nouille bandée. Je la baisais et lui donnais tout ce que j’avais au fond du ventre, et elle le recevait au fond du sien, m’embrassant à pleine bouche au moment de l’orgasme, me murmurant qu’elle m’aimait. Alors j’ôtais mon sexe luisant de cyprine et de suite je replongeais dans la foule de corps nus enchevêtrés de l’orgie, de gémissements de plaisirs, de râles jouissifs venant de toute part. Je m’y laissais retomber comme une vague de feu, un amant malade et rampant. Je sentais ce doigt dans mon cul, bien droit, bien rigide me poussant vers une chatte offerte et que ma langue léchait. Je tanguais d’un corps à l’autre, je léchais des hanches invisibles, je m’enveloppais dans certains corps transgenres, je suçais des doigts, des tétons, des culs odorants, des couilles lourdes, je me faisais manipuler par des mains innombrables, des sexes me pénétraient, je léchais des cuisses dégoulinants de sperme ou de cyprine, je bouffais des culs et des chattes bien écartés, contre lesquels je sentais la tiédeur de la pièce, emplie encore une fois, de ces râles et de gémissements d’ivresse, je respirais l’odeur du stupre et de la luxure en rampant à quatre pattes...
Mais soudainement, j’étais tiré de mon sommeil brutalement, de ce sulfureux rêve divinement orgiaque. En effet, Maxence me giflait d’abord méthodiquement, avec une énergie déconcertante, sans une once de pitié et encore moins de compassion. Ensuite, lorsqu’il cessa, il posait sa main derrière ma nuque pour soulever ma tête. Du bout de ses doigts, de son autre main, il m’écartait la bouche, m’obligeant à la garder grande ouverte. Alors, il glissait dans mon orifice buccal deux comprimés, puis se saisissait d’un gobelet plastique posé à proximité, qu’il me présentait aux lèvres. J’avalais ces comprimés et ce liquide froid et malodorant qui n’était autre que de la pisse. Je me retenais pour ne pas gerber alors que Maxence, me regardait toujours sans un mot, d’un œil pervers et dépravé pour m’humilier davantage, pour me montrer ma véritable nature d’esclave. Constamment il m’écrasait un peu plus, me détruisait et m’annihilait en me faisant ramper dans la dépravation la plus totale. Il lâchait son regard du mien pour s’installer entre mes cuisses relevées. Sa main se saisissait de ma nouille érigée, pressait douloureusement mon gland duquel s’échappait un liquide visqueux et translucide.
- Salope de chienne !, lançait-il
C’était la première fois qu’il s’adressait indirectement à moi… Du bout de son index, il collectait ma mouille, index qu’il me carrait dans le cul immédiatement après. Puis, sauvagement, il caressait et massait ma rondelle offerte pour venir ensuite placer un appareil tout près de mon anus, sans doute un laser fonctionnant à lumière pulsée. Je sentais seulement des picotements et de la chaleur, mais rien de douloureux ! Au bout de quelques minutes seulement l’appareil était débranché, et Maxence repartait en me laissant dans l’inconfort et de nouveau seul. Impossible de refermer les yeux, je restais ainsi, les muscles totalement ankylosés et tétanisés. Pourtant au bout de quelques minutes seulement, je sentais dans mes veines une forme d’apaisement, de relaxation complète, lorsque la drogue de ces deux comprimés commençait à faire leur effet. C’était comme une chaleur intense qui remontait depuis mon bassin, jusqu’à ma nuque, envahissant tout mon dos. Je me sentais bien, je me sentais lascif, chienne, chienne en chaleur plus exactement, tout mon corps baignait dans une sensation d’osmose totale, et je n’associais pas autant cela à la drogue qu’à ma position de soumis, attaché, le cul écartelé. A mon grand étonnement j’aimais ça, ma nouille ne pouvait me contredire, elle était totalement tendue, reposant sur mon abdomen, mon gland humide inondant mon nombril. A cet instant, Madame Brigitte arrivait, escortée d’un homme lourd et massif, au bord de l’obésité, vêtu d’un costume froissé gris anthracite. Il suait abondamment.
- J’ai pensé à cette chienne, mon cher Jean ! Elle appartient à un des plus grands des Maîtres mondiaux !
- Ah ?, et qui est-il, ce grand Maître ?
- Monsieur le Marquis d’Evans, en personne !
- Monsieur le Marquis d’Evans ? … Wouhaaa ! Rien que ça ! C’est La Référence en la matière ! Le plus grand des plus grands d’entre nous, en effet. J’ai une très grande admiration pour Lui… Et rien que de me trouver face à une de Ses chiennes, me comble d’un grand privilège !
- Oui, Il ne prend à Son service que des chiennes d’excellence, des putes qui ont besoin d’être baisées, souillées et humiliées. Et celle-ci en est une, vous pouvez faire ce que vous voulez de cette catin !
- Merci, mais je ne sais pas si j’ai le droit de toucher à une chienne du Grand Maître d’Evans ?
- Si, si, Jean vous pouvez, car Monsieur le Marquis d’Evans nous a donné carte blanche pour faire de cette chienne une véritable machine à sexe…- Ah ! Alors dans ce cas, je ne vais pas me priver… Ce n’est pas tous les jours qu’une telle occasion se présente ! Utiliser une chienne appartenant au Monsieur le Marquis d’Evans, c’est tout de même incroyable ! C’est comme, je sais pas moi, heu … comme par exemple, utiliser l’harmonica de Mick Jagger pour un fan des Rolling Stones !
L’homme en question, ce trapu dénommé Jean, se penchait vers moi, et m’embrassait avec violence, glissant sa langue entre mes lèvres entrouvertes. Je le laissais me pénétrer entièrement, allant même jusqu’à apprécier son goût et son parfum, alors que nos langues se rencontraient et jouaient l’une avec l’autre. Lorsqu’il se redressait, je me sentais totalement envouté, comme sous l’effet d’une autre drogue, j’étais complètement dans les vapes, heureux, béat, alors que cet homme était parfaitement hideux, gras et sale ! Il posait sa grosse main poisseuse et moite sur ma nouille terriblement durcit et me branlait doucement.
- Vous pouvez branler cette chienne des heures durant, elle n’éjaculera pas ! Nous avons fait le nécessaire pour qui en soit ainsi. Elle demeurera terriblement excitée en érection constante, mais rien ne sortira de ses couilles, ni de sa nouille dressée… Nous l’habituons à jouir uniquement par le cul, cul que nous sommes en train de vaginaliser et de blanchir. Regardez cette rondelle, n’est-elle pas accueillante.
Monsieur Jean se penchait m’écrasant de tout son poids, alors que Madame Brigitte me fourrait un, puis deux doigts ans mon anus bien dilaté.
- Voyez la qualité de cette rondelle, à la fois souple et tonique ! Comme vous le savez, mon cher Jean, les putains de Monsieur le Marquis sont tous des esclaves de qualité, que du haut de gamme ! … Le prenez-vous ?…
(A suivre…)
Chapitre 52 : Loué à un inconnu -
Alors, de bon gré, en levrette, je lui offrais ma raie en écartant de mes deux mains mes fesses, pour qu’il puisse agir ! Après avoir pris un modeste repas, à quatre pattes, cul en l’air et reins cambrés, tête plongée dans une gamelle métallique… après avoir avalé une bouillie infâme, sans saveur… j’étais maintenant couché, à plat dos, sur une table, les jambes attachées en l’air, le cul au bord de cette table, les cuisses maintenues écartées, les mains derrière la tête, prises dans des sangles de cuir m’empêchant de les utiliser. Madame Brigitte après m’avoir ôté cette cage de chasteté me pressait les couilles douloureusement en me disant.
- Je ne suis pas sûr que tu passes une bonne nuit, la salope… mais ici, il faut que tu t’habitues à dormir la croupe en l’air. Ton cul vaginalisé qui devient donc désormais ta chatte de chienne en chaleur peut servir à tout moment, nuit et jour, alors il faut qu’elle soit toujours accessible, toujours offerte à la saillie, tu comprends ça… Hein la putain !
Cette perverse bonne femme me laissait là, immobile, dans le désarroi, dans le tumulte de mes pulsions, pulsions exacerbées par ces drogues que l’on m’injectait que je supposais être des mélanges d’hormones et d’aphrodisiaques et de je ne sais quoi d’autres… Maxence, quant à lui, toujours sans un mot, comme si je n’étais rien, comme si je n’existais pas, préparait deux pinces qu’il me plaçait peu après sur les tétons… Ces pinces mordaient terriblement mes chairs sensibles, si bien que je gueulais en me débattant. Comme consolation, Maxence me giflait à deux reprises avec un mépris certain… Peu après, tous deux me laissait là ! Il m’était bien difficile de trouver le sommeil, surtout dans cette posture et lorsque j’y parvenais, quelques minutes après, j’étais réveillé en sursaut par des cris ou des gémissements, par des portes qui claquaient, par des feulements de mâles en rut, des jouissances bruyantes et certainement non retenues au niveau sonore… Bref, je savais que cette nuit-là allait être cauchemardesque ! Le silence était revenu, la lumière s’était éteinte, malgré les crampes me tenaillant le corps, malgré les pinces posées sur mes tétons, malgré les soubresauts explosifs dans mon ventre, malgré ma nouille en permanence érigée, je me sentais sombré, mon esprit s’embrumait doucement mais surement jusqu’à ce que des images incroyables défiles sous mes yeux, jusqu’à ce que j’entraperçoive un vaste champ empli de fleurs colorées et bordé d’une nuit étoilée…
Il y avait là du monde, beaucoup de monde qui dansait et chantait, des centaines de personnes nues qui avaient entamé une danse, une danse d’amour ou le sexe rayonnait, où le sexe était roi. Un décor de paradis terrestre avec des scènes de luxure peu compatibles avec ce magnifique cadre de l’Eden. J’étais conduit là au travers des corps en rut, des odeurs de sperme, de cyprine, et de sueur, jusqu’à une haute et immense sculpture trônant au centre de ce champ fleuri, où un buste d’un étalon dressé sur ses pattes arrière, en rut, dont le sexe crachait un laser rouge vers le ciel. A l’arrière, à l’emplacement du cul de la statue équestre, une porte immense où j’entrai comme attiré par un instinct primitif me dictant le passage de la porte… L’instant d’après, je me retrouvais à l’intérieur d’une vaste pièce remplie de corps d’hommes et de femmes entièrement dénudés qui s’ébattaient, dansaient à même le sol de terre battue, gémissaient, orgasmaient, se caressaient, se léchaient, se doigtaient, se baisaient. Une véritable et prodigieuse orgie de sexe s’offrait à mon regard. La lumière tamisée ici était presque éteinte, et je devais faire attention où je mettais les pieds pour continuer à avancer. Arrivé au milieu de la vaste pièce, je trébuchais sur une hanche et me vautrais nu parmi les autres corps nus, dans un océan de mains, de ventres, de sexes affamés, d’odeurs animales. Quelques mains venaient recouvrir mon corps servile, ma vue se perdait dans les ténèbres de la perversion, de l’extase, de la luxure. Je discernais aussi, mais à peine, l’odeur d’encens étrange, des fleurs que je ne connaissais pas. Une main dans mon dos me poussait à me retourner, alors je me retrouvais face à une silhouette, mi-homme, mi-femme qui posait ses deux mains sur mes pectoraux, et me pinçait les tétons jusqu’à ce que je crie. Cette créature profitait de mon cri pour me dévorer la bouche, puis elle me poussait sur et contre le sol, ma tête reposant sur une cuisse chaude et contractée qui ne faisait que s’agiter, alors que la créature, dont je ne discernais à peine les traits saisissaient mes deux cuisses, les relevaient pour poser un sexe bandé à l’entrée de mon cul…
Mon rêve érotique continuait : Je murmurais alors une supplique, mais cet être, maintenant mi-homme, mi-animal, plutôt que de me pénétrer laissait là son sexe bandé, comme une menace, saisissait dans sa main mon chibre couvert de sperme et me branlait en même temps qu’il se branlait, d’une main experte. Mon esprit s’envolait encore et je trouvais une autre partenaire, une jeune femme très belle, aux cheveux clairs et longs ondulés et qui me prenait tout contre elle. Elle semblait vouloir me serrer comme un frère entre ses bras, tout en me faisant un véritable appel à la copulation en écartant généreusement ses cuisses… Elle gémissait lorsque je la pénétrais de ma nouille bandée. Je la baisais et lui donnais tout ce que j’avais au fond du ventre, et elle le recevait au fond du sien, m’embrassant à pleine bouche au moment de l’orgasme, me murmurant qu’elle m’aimait. Alors j’ôtais mon sexe luisant de cyprine et de suite je replongeais dans la foule de corps nus enchevêtrés de l’orgie, de gémissements de plaisirs, de râles jouissifs venant de toute part. Je m’y laissais retomber comme une vague de feu, un amant malade et rampant. Je sentais ce doigt dans mon cul, bien droit, bien rigide me poussant vers une chatte offerte et que ma langue léchait. Je tanguais d’un corps à l’autre, je léchais des hanches invisibles, je m’enveloppais dans certains corps transgenres, je suçais des doigts, des tétons, des culs odorants, des couilles lourdes, je me faisais manipuler par des mains innombrables, des sexes me pénétraient, je léchais des cuisses dégoulinants de sperme ou de cyprine, je bouffais des culs et des chattes bien écartés, contre lesquels je sentais la tiédeur de la pièce, emplie encore une fois, de ces râles et de gémissements d’ivresse, je respirais l’odeur du stupre et de la luxure en rampant à quatre pattes...
Mais soudainement, j’étais tiré de mon sommeil brutalement, de ce sulfureux rêve divinement orgiaque. En effet, Maxence me giflait d’abord méthodiquement, avec une énergie déconcertante, sans une once de pitié et encore moins de compassion. Ensuite, lorsqu’il cessa, il posait sa main derrière ma nuque pour soulever ma tête. Du bout de ses doigts, de son autre main, il m’écartait la bouche, m’obligeant à la garder grande ouverte. Alors, il glissait dans mon orifice buccal deux comprimés, puis se saisissait d’un gobelet plastique posé à proximité, qu’il me présentait aux lèvres. J’avalais ces comprimés et ce liquide froid et malodorant qui n’était autre que de la pisse. Je me retenais pour ne pas gerber alors que Maxence, me regardait toujours sans un mot, d’un œil pervers et dépravé pour m’humilier davantage, pour me montrer ma véritable nature d’esclave. Constamment il m’écrasait un peu plus, me détruisait et m’annihilait en me faisant ramper dans la dépravation la plus totale. Il lâchait son regard du mien pour s’installer entre mes cuisses relevées. Sa main se saisissait de ma nouille érigée, pressait douloureusement mon gland duquel s’échappait un liquide visqueux et translucide.
- Salope de chienne !, lançait-il
C’était la première fois qu’il s’adressait indirectement à moi… Du bout de son index, il collectait ma mouille, index qu’il me carrait dans le cul immédiatement après. Puis, sauvagement, il caressait et massait ma rondelle offerte pour venir ensuite placer un appareil tout près de mon anus, sans doute un laser fonctionnant à lumière pulsée. Je sentais seulement des picotements et de la chaleur, mais rien de douloureux ! Au bout de quelques minutes seulement l’appareil était débranché, et Maxence repartait en me laissant dans l’inconfort et de nouveau seul. Impossible de refermer les yeux, je restais ainsi, les muscles totalement ankylosés et tétanisés. Pourtant au bout de quelques minutes seulement, je sentais dans mes veines une forme d’apaisement, de relaxation complète, lorsque la drogue de ces deux comprimés commençait à faire leur effet. C’était comme une chaleur intense qui remontait depuis mon bassin, jusqu’à ma nuque, envahissant tout mon dos. Je me sentais bien, je me sentais lascif, chienne, chienne en chaleur plus exactement, tout mon corps baignait dans une sensation d’osmose totale, et je n’associais pas autant cela à la drogue qu’à ma position de soumis, attaché, le cul écartelé. A mon grand étonnement j’aimais ça, ma nouille ne pouvait me contredire, elle était totalement tendue, reposant sur mon abdomen, mon gland humide inondant mon nombril. A cet instant, Madame Brigitte arrivait, escortée d’un homme lourd et massif, au bord de l’obésité, vêtu d’un costume froissé gris anthracite. Il suait abondamment.
- J’ai pensé à cette chienne, mon cher Jean ! Elle appartient à un des plus grands des Maîtres mondiaux !
- Ah ?, et qui est-il, ce grand Maître ?
- Monsieur le Marquis d’Evans, en personne !
- Monsieur le Marquis d’Evans ? … Wouhaaa ! Rien que ça ! C’est La Référence en la matière ! Le plus grand des plus grands d’entre nous, en effet. J’ai une très grande admiration pour Lui… Et rien que de me trouver face à une de Ses chiennes, me comble d’un grand privilège !
- Oui, Il ne prend à Son service que des chiennes d’excellence, des putes qui ont besoin d’être baisées, souillées et humiliées. Et celle-ci en est une, vous pouvez faire ce que vous voulez de cette catin !
- Merci, mais je ne sais pas si j’ai le droit de toucher à une chienne du Grand Maître d’Evans ?
- Si, si, Jean vous pouvez, car Monsieur le Marquis d’Evans nous a donné carte blanche pour faire de cette chienne une véritable machine à sexe…- Ah ! Alors dans ce cas, je ne vais pas me priver… Ce n’est pas tous les jours qu’une telle occasion se présente ! Utiliser une chienne appartenant au Monsieur le Marquis d’Evans, c’est tout de même incroyable ! C’est comme, je sais pas moi, heu … comme par exemple, utiliser l’harmonica de Mick Jagger pour un fan des Rolling Stones !
L’homme en question, ce trapu dénommé Jean, se penchait vers moi, et m’embrassait avec violence, glissant sa langue entre mes lèvres entrouvertes. Je le laissais me pénétrer entièrement, allant même jusqu’à apprécier son goût et son parfum, alors que nos langues se rencontraient et jouaient l’une avec l’autre. Lorsqu’il se redressait, je me sentais totalement envouté, comme sous l’effet d’une autre drogue, j’étais complètement dans les vapes, heureux, béat, alors que cet homme était parfaitement hideux, gras et sale ! Il posait sa grosse main poisseuse et moite sur ma nouille terriblement durcit et me branlait doucement.
- Vous pouvez branler cette chienne des heures durant, elle n’éjaculera pas ! Nous avons fait le nécessaire pour qui en soit ainsi. Elle demeurera terriblement excitée en érection constante, mais rien ne sortira de ses couilles, ni de sa nouille dressée… Nous l’habituons à jouir uniquement par le cul, cul que nous sommes en train de vaginaliser et de blanchir. Regardez cette rondelle, n’est-elle pas accueillante.
Monsieur Jean se penchait m’écrasant de tout son poids, alors que Madame Brigitte me fourrait un, puis deux doigts ans mon anus bien dilaté.
- Voyez la qualité de cette rondelle, à la fois souple et tonique ! Comme vous le savez, mon cher Jean, les putains de Monsieur le Marquis sont tous des esclaves de qualité, que du haut de gamme ! … Le prenez-vous ?…
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...