La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1682)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1682) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1682)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1681) -
Chapitre 52 bis : Loué à un inconnu -
- Voyez la qualité de cette rondelle, à la fois souple et tonique ! Comme vous le savez, mon cher Jean, les putains de Monsieur le Marquis sont tous des esclaves de qualité, que du haut de gamme ! … Le prenez-vous ?...
- Tout dépend du prix…, reprenait Jean ! Car je suppose qu’un esclave de Monsieur le Marquis d’Evans doit être inabordable.
- Le prix n’est qu’un détail, mon cher ami car j’ai eu juste avant votre venue, tantôt, une discussion téléphonique avec le Châtelain en personne. Et Il est d’accord pour louer Sa chienne a un prix raisonnable, je vous rassure. La seule chose qui compte pour Lui est de faire de Sa chienne une bête de sexe, une femelle assoiffée de copulations, d’en faire une femelle en constante chaleur à l’appétit insatiable… Et comme le plaisir n’a pas de prix, vous le savez bien, je puis vous assurer que vous ne serez pas déçu. Vous avez une occasion unique d’utiliser une chienne d’un des plus Grands Maîtres au monde et cela pour un prix acceptable… Et au pire, si vous étiez déçu, je peux vous assurer que cette chienne passerait un sale quart d’heure !

Madame Brigitte retirait ces deux doigts, qu’elle me donnait aussitôt à sucer. Et dès que le nécessaire fut fait, elle s’éloignait en tirant Monsieur Jean par la veste de son costume pour aller discuter un peu plus loin avec lui. Je les entendais chuchoter, mais n’entendais rien de ce qu’ils se disaient, alors que moi, ou plus précisément mes neurones se reconnectaient. Je réalisais que je n’étais plus qu’une chose, une valeur marchande, une véritable putain que l’on louait et que dans leurs chuchotement, ledit tarif acceptable se négociait… Une nouvelle humiliation, terrible, odieuse, qui pourtant me transcendait d’être loué comme une marchandise !

- Très bien Jean, je vous fais livrer cette chienne dans votre cabine habituelle, disait Madame Brigitte cette fois-ci à haute et intelligible voix.

Cet homme me répugnait, me rebutait. Il était là, devant moi, en sous vêtement, un slip difforme, à l’origine blanc, caché par un abdomen proéminant, flasque, tout débordant de graisse, avec des bourrelets de tous côtés. Il m’attendait, l’impassibilité froide au visage et un fouet à la main. Je connaissais mon rôle à présent, mon rôle de putain obligée, contrainte à subir les assauts de cet homme, alors à quatre pattes, je bombais mon cul devant lui pour qu’il le frappe.

- Tu n’as rien compris salope !, m’hurlait-il…
Sa voix résonnait dans cette pièce pourtant assez grande.

- Combien de coups de fouet te faudra-t-il pour que tu comprennes ce que tu es, sale merde, je veux te voir misérable, lamentable et rampant à mes pieds. Je veux te voir sucer mes orteils, la chienne...

Je me laissais tomber au sol, et ventre à terre, rampant sur mes coudes tractant le reste de mon corps, j’approchais de ces pieds plus que potelés et puants la transpiration. Alors que les premiers coups de fouet tombaient sur mon torse nu, sur l’intérieur de mes cuisses, sur la plante de mes pieds, je gémissais, pleurais mais acceptais chaque nouvel assaut sans jamais l’éviter, l’esquiver. J’étais là, à ma place de soumis-esclave-maso, agonisant de douleurs et de plaisirs, m’effondrant dans la souffrance et la délectation de mon masochisme inné, baignant dans des sensations terribles et jouissives, emporté par les endorphines sécrétées par mon corps défait. J’éprouvais même une forme de déception lorsque les coups cessèrent, lorsqu’il m’exigeait de me remettre à quatre pattes, alors qu’il enfilait un gant et plongeait sa main dans un sac plastique pour en ressortir et tenir entre ses doigts de grasses tiges de feuilles d’orties urticantes qu’il me montrait avec un pervers sourire en un rictus satanique et sadique.

- En levrette salope, écarte ton cul de putain de tes deux mains.

Il me fouettait avec les orties sans modérer ses coups… La douleur brulante se répandait tout au long de ma raie, sur mon anus, sur mes couilles et sur ma nouille, qui brutalement débandait. J’allais hurler lorsque ce sadique dépravé posait son pied nu sur ma tête m’écrasant violemment sur le sol, en ordonnant :
- Ta gueule salope, t’en désire encore ? Embrasse mon pied, la chienne !

J’embrassai, mon cul rendu fou par la douleur terrible des démangeaisons urticantes, je serrais les poings pour ne pas sombrer, pour ne pas me toucher le cul et les couilles, de ne pas me gratter les démangeaisons quasi insupportables. J’ouvrais grand la bouche et léchais ce pied immonde, prélevais la transpiration sous sa plante et comme lui ne réagissait pas, je continuais, léchant entre ses orteils, cherchant par ma langue n’importe quel moyen de l’apaiser et d’échapper à sa fureur. Au bout de quelques minutes, Monsieur Jean ôtait enfin son pied de mon visage pour le poser sur mes couilles, qu’il écrasait violement. Je pleurais, hurlais, lui me contemplait comme on contemple une pauvre bête, pitoyable, quelque chose qu’on ne veut pas retrouver chez soi, quelque chose qui nous apparait si pauvre et misérable qu’on est tenté de détourner le regard pour ne pas le blesser. Je l’entendais murmurer entre ses dents :
- C’est évident que tu aimes ça, la pute, sinon tu te serais défendu… t’es ce genre de petite merde qui aime souffrir, une petite lope qui aime et qui a besoin de se donner à n’importe quel prix. Tiens, prends ça maintenant.

En me disant ça, il m’attrapait par mon collier pour que mon visage arrive au niveau de sa grosse bite raide, sortie de ce slip peu ragoutant, glissée sous ses couilles poilues.

- Avale, salope, décrasse-moi, montre-moi ce que tu sais faire avec ta petite gueule de chienne en chaleur !

Son volumineux chibre décalotté sentait la pisse pourtant ma bouche s’activait sur ce sexe circoncis de belle dimension. Je léchais, suçais, avalais, laissais glisser doucement cette énorme bite entre mes lèvres pour mieux l’enfourner et la dévorer, tel que l’on m’avait appris à le faire au Château d’Evans. L’homme râlait, je ne parvenais pas à voir son visage, tant il avait un ventre énorme… A cet instant, je me souvenais d’une petite histoire qui m’avait été raconté par le passé : « Un homme est gros lorsqu’il ne se voit plus pisser, un homme est obèse lorsqu’il ne voit plus qui le suce ! » C’était son cas… oui, énorme, gras, ventripotent… Je souriais la bouche pleine tout en continuant à savourer la rugosité et le goût acide de cette lourde et longue tige cognant mon palais et ma glotte. Cette hampe était à son paroxysme, gonflée, dure et tendue à l’extrême. Je me l’enfonçais jusqu’à aller respirer l’odeur fauve de sa touffe pubienne. Je le voulais en moi, tout entier en moi, alors que tout explosait dans mon crâne, mon torse, et ma gorge. A ce stade de ma décadence, je réalisais que j’étais devenu un vrai pervers, bouffeur de bites, toutes les bites mêmes celles appartenant à des hommes laids, hideux et monstrueux. Ainsi je façonnais mon univers, mes désirs d’extrême soumission, mes désirs générés par un masochisme profonds me façonnaient… Cet homme face à moi que j’aurai fui autrefois, aujourd’hui, je le désirais, il m’embarquait au sens propre comme au figuré. Ses deux grosses mains me saisissaient les épaules et me trainait avec lui sur quelques mètres. Je le laissais agir, nonchalant comme si je n’étais qu’un pantin de chiffon désarticulé, envouté par sa force et sa robustesse. Il me plaquait contre un mur, mains plaquées sur celui-ci. D’un coup de pied entre mes chevilles, Monsieur Jean exigeait que j’écarte davantage les jambes. Alors je me cambrais instinctivement, lui en profitait pour me saisir les couilles dans sa main, les serrait, les tirait vers le bas pour me faire gueuler.

- Je vais te baiser comme une chienne, je vais de faire crier avec ma grosse bite !

Je lui tournais toujours le dos, lui plaçait sa bite à l’entrée de mon cul. Ses grognements et gémissements se répandaient dans toute la pièce. Direct, il m’enfournait tout entier, il m’enfonçait son gros sexe dans le cul. Monsieur Jean me perçait, me baisait, me dévorait, je sentais en moi toute l’onctuosité de sa force, de sa virilité, de sa folie, de sa fièvre puante, alors qu’il entamait ses mouvements si connus de va-et-vient, et à chaque coup de hanches, je partais avec lui. Il me baisait violemment, dans cette saillie bestiale, sa chair écrasant la mienne, tout entier en moi. Je me sentais être femelle, profondément femelle avec cette incompressible envie de me sentir pleine, remplie, profondément remplie, profondément baisée dans mon cul devenu un vagin à encombrer. Je criais, hurlais, de douleur, de plaisir, sous ses impressionnants grands coups de reins, à grands coups de butoir incessants, virils, amples et sauvages, Monsieur Jean me défonçait, me ramonait, me labourait alors que je décollais pour aller chercher l’extase, le plaisir extrême, et lorsqu’il jouissait dans mon cul, au plus profond de mes entrailles, j’avais l’impression d’avoir atteint le nirvana, j’avais aussi l’impression d’avoir des litres de foutre dans mon antre brulant, semence que je sentais s’écouler dans mon fondement.

Monsieur Jean restait ensuite en un coït anal et profond complètement immobile, sa grosse verge toujours plantée en moi, je sentais sa poitrine épouser la forme de mon dos, ses mains m’enlaçaient après les avoir passées sous mes aisselles. Il me maintenait bien enlacé, ainsi comme pour me faire ressentir sa prise de possession de mon corps, au sens physique autant qu’un sens mental. Mon sodomite ne bougeait pas, ses mains m’enserraient fort comme si nos deux corps ne faisaient plus qu’un. Je restais ainsi sous son emprise physique un long moment jusqu’à que Monsieur Jean débanlait. C’est alors qu’il déculait, retirant sa bite hors de mon cul, il laissait couler son sperme le long de mes cuisses jusqu’au sol, et là encore, je gémissais toujours, telle une chienne en chaleur. Peu après, il me saisissait par la nuque et m’obligeait à me coucher au sol et à lécher ce foutre venant de déborder de mon cul. Alors que je m’appliquais, avec ma langue à tout nettoyer, lui passait son pied entre mes cuisses et me broyait la nouille et les couilles. Une nouvelle fois, j’hurlais de douleur alors qu’il faisait tourner son pied sur mes attributs masculins, pour les tordre, les écraser, les broyer. Bouche grande ouverte, cherchant vainement à trouver un peu d’air, lui en profitait pour y déposer un énorme mollard qui coulait dans ma gorge, et moi, humilié, nu, détruit, souillé à ses pieds, je ne pouvais m’empêcher de déguster le gout de ce crachat, le gout délicieux de ma nature profonde, un gout de chienne, de salope, de suceuse, qui ne pouvait s’arrêter en si bon chemin. Je bandais encore, toujours, je désirais du sexe, toujours plus de sexe, encore et encore, j’en devenais accro, plus qu’accro, je me sentais toujours et plus que jamais être devenue cette femelle affamée, m’affalant dans la sueur et dans le sperme, vaincu, brisé, humilié par tant de supériorité et de Domination. Je restais là, inerte mais excité, prenant tout le temps de reconnaitre quelques illusions du passé qui défilaient devant mon esprit drogué, ma famille, mes amis d’autrefois, mon trajet pour parvenir à cet instant de ma vie, la quête féroce de l’existence démultipliée et de la belle aventure que me faisait vivre le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans…
(A suivre…)

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