La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1683)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1683)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1680) –
Je m'endors avec une terrible envie de me branler et de vider mes couilles, mais cette cage de chasteté me rappelle à chaque instant ce que je suis… Le lendemain se passe rapidement entre le nettoyage et la préparation de la grande salle de réception ainsi que les petites salles à la lumière tamisée équipées de larges fauteuils confortables et banquettes majestueuses. Quelle classe cette Demeure, j'en suis chaque jour stupéfait de ce luxe à outrance, où tout est bien agencé et riche dans le décorum que ce soit sur le mobilier, les tentures, les tapisseries, les objets d’art ou les tableaux à faire pâlir plus d’un musée… Il est déjà 20h et nous sommes à genoux côte à côte, têtes baissés comme les esclaves que nous sommes et je trouve maintenant normal d'être là, à genoux, nu en collier, ma nature servile contrôle maintenant totalement ma vie et je sens à chaque instant ce bien être de savoir que je vais servir des Etres Supérieurs à la mienne. Soudain, le Maitre entre, c’est à genoux que nous nous courbons, pliant le dos en avant et que nous nous prosternons devant le Châtelain.
- Debout, esclaves !
Rapidement, nous sommes tous debout, têtes baissées, mains dans le dos et tous bien alignés. Je ressens une forte excitation d'être ainsi devant le Maitre. Juste Sa Présence suffit à me faire ressentir tant de choses où je me sens tout petit, tel un insecte, une sous-merde… Je ressens aussi que je Lui appartiens maintenant complètement et un vif plaisir d'être là comme un simple esclave servile à Le Servir me provoque une érection douloureuse car encagée… Puis la voix clair et calme du Noble se fait entendre, après nous avoir longuement dévisagé les uns après les autres dans un silence absolu, nous ayant tous passé en revue à la suite, le Maître évoluant doucement devant chacun de nous …
- Monsieur Walter va enlever la cage de tous les mâles.... S’il y en a un qui ose toucher sa nouille de chien, Je le corrigerai Moi-même et Il s'en souviendra toute sa misérable vie. Vous avez le droit de bander et c’est tout ! Est-ce bien clair, Mes esclaves ?
- Oui Maitre... répondons-nous, tous ensemble.
Le Majordome passe de l'un à l'autre et le voilà qui arrive vers moi. Ca y est, il libère ma nouille et je n'ai plus de cage et là, c'est terrible l'envie de me branler... Depuis le temps, je bande et j'en ai un peu honte, mais je vois que tous mes compagnons de soumission bandent fort également. C'est terrible cette envie de me branler sans autorisation de se toucher. Je dois me contrôler afin de ne pas toucher ma nouille qui ne demande que ça.
- Mes Invités vont arriver les uns après les autres. Deux par deux, vous les recevrez sur le perron et les conduirez à leur table que Mme Marie vous désignera…. Mais avant cela, dès qu'ils seront sur le perron, vous vous prosternerez et leur embrasserez les Pieds, pour bien montrer votre respect et soumission. Faites honneur à Mon dressage et à Mon éducation… Est-ce bien clair ?
- Oui, Maitre- Si certains sont en couple, alors l'un de vous deux, embrassera les Pieds de Madame et l'autre les Pieds de Monsieur. Si certains sont seuls, l'un et l'autre embrassez les Pieds droit et gauche. Ensuite seulement vous vous relevez et ils seront invités par Madame Marie de vous suivre. Vous, vous fermez vos gueules, vous n'avez rien à dire... Juste obéir, servir et subir. Est-ce clair, bandes de salopes ?
- Oui, Maitre.
- Celles et ceux qui sont ce soir désignés afin de satisfaire les Invités, vous pouvez aller revêtir vos tenues de putains et quand on vous dira de danser, vous devrez être très excitantes et excitants, lascifs. Les autres resteront au couloir, à genoux, en attendant les Invités… Voilà, ne fautez pas, ça vaudrait mieux pour vous ! Je n’accepterai aucun faux pas, alors attention soyez parfaits dans votre attitude d’esclave…- Oui, Maitre.
Le Maitre nous regarde de nouveau longuement, dans le silence, suivant Ses propos. Puis Il quitte la salle afin de se parer pour la soirée. 20h30... ça fait plus de 30 minutes que nous sommes à genoux, mains dans le dos et tête baissée. La première voiture arrive. Madame Marie nous interpelle
- Debout vermines !
C’est un couple qui arrive. La Cuisinière les accueille avec respect. Elle est sur son 31.
- Bonsoir Madame la Comtesse De Vermont, Bonsoir Monsieur le Compte De Vermont … Soyez les bienvenus dans la Demeure de Monsieur le Marquis d’Evans qui vous saluera Lui-même tout à l'heure.
Les deux premiers esclaves, une femelle et un mâle s'empressent de se mettre à genoux afin d'embrasser les pieds du couple. La femelle embrasse donc les chaussures de Monsieur le Comte et le mâle celles de Madame la Comtesse. La femme qui a l'air autoritaire et relève son pied afin de présenter la semelle de son escarpin et exige à l’esclave mâle :
- Lèche ici, salope !
Sans aucune discussion, l'esclave mâle lèche la semelle pas très propre. Et ainsi défile pendant plus d'une heure tous les Invités du Maitre. Ce sont tous des Dominants, des notables pour la plupart, des hommes politiques, des industriels etc… J’ai même reconnu le préfet du département lequel j’avais vu la photo dans le journal, alors je l’ai aisément reconnu ! J'ai même vu quelques Dominants venir accompagnés d'esclaves enchaînés. J'ai, pour ma part, attendu environ 40 minutes avant d'être appelé par Madame Marie avec mon autre compagnon esclave… Et là... Et là, quel choc ! Je me trouve devant Maxime en personne ! Mon directeur ! Non, ce n’est pas possible, pas lui ! J'ai juste envie de m’enfuir à toutes jambes, de m'en aller, de disparaître… Car ça fait tout bizarre de se montrer nu, tel que la nature m’a fait devant quelqu’un que je connais depuis si longtemps et, de plus est, qui est mon supérieur hiérarchique dans mon milieu professionnel... La Cuisinière, Marie, le salue et je sais que je n'ai aucun moyen d'échapper à cette situation. C’est donc honteux, les joues empourprées, en sueur que je me mets à genoux et que je pose mes lèvres sur sa chaussure pendant que l'autre esclave fait de même sur les chaussures de l’épouse de Maxime, Mireille, qui me connait aussi depuis très longtemps...
- Tiens donc, regarde Mireille, qui est là. C’est Matthieu... Ou plutôt ce qu’il en reste !
Son épouse avec qui on a plusieurs fois déjeuné ensemble avec mon directeur me regarde étonné car visiblement, elle ne savait pas que je faisais partie des esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans.
- Je t'avais dit que tu aurais une surprise ! lui lance Maxime, tout sourire aux lèvres…- Matthieu ? Ce n’est pas vrai ! C'est toi Matthieu ? Tu es donc un soumis ? Je n’aurai Jamais cru ça de toi ! Moi qui te croyait plutôt du genre macho ! Ça se sentait tellement dans tes conversations à table ! Je n’en reviens pas !
- Aller Matthieu, ou plutôt, allez salope, embrasse les chaussures de Madame, reprend Maxime sur un ton beaucoup plus sévère à mon égard.
Honteux, humilié, anéanti, j’embrasse fébrilement les chaussures de Mireille, qui cette dernière, jadis, avait été attablée assez souvent et amicalement dans des repas d’amis ou des déjeuner d’affaires avec son mari directeur, Maxime. Moi qui buvait aussi chaque matin le café avec lui, moi qui avait le privilège de souper et d'aller au restaurant avec eux deux, et ma femme, on était devenu des amis et voilà que je suis en train d'embrasser leurs chaussures dans une autre relation qui n’est absolument plus du tout amicale mais, de fait, dans une relation de Dominants/dominé... Et à ce moment-là, le Maitre arrive...
- Bonsoir chère Mireille et cher Maxime, comment allez-vous ?
- Très bien Cher Édouard et merci pour ton accueil, toujours aussi parfait !
- Soyez les bienvenus, mes amis, et que cette soirée soit inoubliable pour vous deux… Mireille, tu as reconnu cette salope de chienne ?
- Édouard, je ne le croyais pas, c’est fou !... C'est dingue, je n'aurais jamais imaginé qu'il faisait partie des inférieurs lui qui toujours se faisait passer pour un macho dans nos repas entre amis !
- Comme tu dis Mireille, qui se faisait passer... Car en vérité ton mari avait remarqué depuis longtemps son comportement de soumis par des attitudes peu perceptibles pour le non initié. Mais Maxime a l’œil et a vu juste, alors il s’est arrangé pour le faire venir au Château via un prétexte professionnel afin que je juge, par Moi-même, s’il méritait un quelconque intérêt… Et Je l'ai complètement mis en lumière, c'est en effet une véritable lope, une vraie de vraie, une salope soumise sans conteste, un être inférieur, naturellement servile et uniquement là pour Nous servir… Je l’ai révélé, à lui-même, sa nature profonde et je lui ai fait prendre conscience de ce qu’il est en réalité… Et voilà le résultat, c’est devenu une chienne parfaitement obéissante, et ce soir il est entièrement à Votre service. Vous pourrez l’utiliser selon votre bon vouloir et autant que vous en aurez envie. Et surtout, n’oubliez pas qu’à l’instar de ses congénères, plus vous l’utiliserez et plus il sera heureux de se sentir en phase avec sa nature servile……
Tous les trois se mettent à rire et le Maitre avec une voix extrêmement autoritaire m’ordonne :
- Nettoie leur semelle, avec ta langue, la pute.
Honteux, je me penche et sous leurs rires, je lèche les semelles sales de mon directeur et de Mireille, son épouse. Puis je me relève et c’est complètement nu devant eux que je les conduis à leur table non sans me sentir gêné de m’afficher dénudé ainsi, devant ceux qui étaient mes amis avant que je devienne ce que je suis désormais…
(A suivre …)
Je m'endors avec une terrible envie de me branler et de vider mes couilles, mais cette cage de chasteté me rappelle à chaque instant ce que je suis… Le lendemain se passe rapidement entre le nettoyage et la préparation de la grande salle de réception ainsi que les petites salles à la lumière tamisée équipées de larges fauteuils confortables et banquettes majestueuses. Quelle classe cette Demeure, j'en suis chaque jour stupéfait de ce luxe à outrance, où tout est bien agencé et riche dans le décorum que ce soit sur le mobilier, les tentures, les tapisseries, les objets d’art ou les tableaux à faire pâlir plus d’un musée… Il est déjà 20h et nous sommes à genoux côte à côte, têtes baissés comme les esclaves que nous sommes et je trouve maintenant normal d'être là, à genoux, nu en collier, ma nature servile contrôle maintenant totalement ma vie et je sens à chaque instant ce bien être de savoir que je vais servir des Etres Supérieurs à la mienne. Soudain, le Maitre entre, c’est à genoux que nous nous courbons, pliant le dos en avant et que nous nous prosternons devant le Châtelain.
- Debout, esclaves !
Rapidement, nous sommes tous debout, têtes baissées, mains dans le dos et tous bien alignés. Je ressens une forte excitation d'être ainsi devant le Maitre. Juste Sa Présence suffit à me faire ressentir tant de choses où je me sens tout petit, tel un insecte, une sous-merde… Je ressens aussi que je Lui appartiens maintenant complètement et un vif plaisir d'être là comme un simple esclave servile à Le Servir me provoque une érection douloureuse car encagée… Puis la voix clair et calme du Noble se fait entendre, après nous avoir longuement dévisagé les uns après les autres dans un silence absolu, nous ayant tous passé en revue à la suite, le Maître évoluant doucement devant chacun de nous …
- Monsieur Walter va enlever la cage de tous les mâles.... S’il y en a un qui ose toucher sa nouille de chien, Je le corrigerai Moi-même et Il s'en souviendra toute sa misérable vie. Vous avez le droit de bander et c’est tout ! Est-ce bien clair, Mes esclaves ?
- Oui Maitre... répondons-nous, tous ensemble.
Le Majordome passe de l'un à l'autre et le voilà qui arrive vers moi. Ca y est, il libère ma nouille et je n'ai plus de cage et là, c'est terrible l'envie de me branler... Depuis le temps, je bande et j'en ai un peu honte, mais je vois que tous mes compagnons de soumission bandent fort également. C'est terrible cette envie de me branler sans autorisation de se toucher. Je dois me contrôler afin de ne pas toucher ma nouille qui ne demande que ça.
- Mes Invités vont arriver les uns après les autres. Deux par deux, vous les recevrez sur le perron et les conduirez à leur table que Mme Marie vous désignera…. Mais avant cela, dès qu'ils seront sur le perron, vous vous prosternerez et leur embrasserez les Pieds, pour bien montrer votre respect et soumission. Faites honneur à Mon dressage et à Mon éducation… Est-ce bien clair ?
- Oui, Maitre- Si certains sont en couple, alors l'un de vous deux, embrassera les Pieds de Madame et l'autre les Pieds de Monsieur. Si certains sont seuls, l'un et l'autre embrassez les Pieds droit et gauche. Ensuite seulement vous vous relevez et ils seront invités par Madame Marie de vous suivre. Vous, vous fermez vos gueules, vous n'avez rien à dire... Juste obéir, servir et subir. Est-ce clair, bandes de salopes ?
- Oui, Maitre.
- Celles et ceux qui sont ce soir désignés afin de satisfaire les Invités, vous pouvez aller revêtir vos tenues de putains et quand on vous dira de danser, vous devrez être très excitantes et excitants, lascifs. Les autres resteront au couloir, à genoux, en attendant les Invités… Voilà, ne fautez pas, ça vaudrait mieux pour vous ! Je n’accepterai aucun faux pas, alors attention soyez parfaits dans votre attitude d’esclave…- Oui, Maitre.
Le Maitre nous regarde de nouveau longuement, dans le silence, suivant Ses propos. Puis Il quitte la salle afin de se parer pour la soirée. 20h30... ça fait plus de 30 minutes que nous sommes à genoux, mains dans le dos et tête baissée. La première voiture arrive. Madame Marie nous interpelle
- Debout vermines !
C’est un couple qui arrive. La Cuisinière les accueille avec respect. Elle est sur son 31.
- Bonsoir Madame la Comtesse De Vermont, Bonsoir Monsieur le Compte De Vermont … Soyez les bienvenus dans la Demeure de Monsieur le Marquis d’Evans qui vous saluera Lui-même tout à l'heure.
Les deux premiers esclaves, une femelle et un mâle s'empressent de se mettre à genoux afin d'embrasser les pieds du couple. La femelle embrasse donc les chaussures de Monsieur le Comte et le mâle celles de Madame la Comtesse. La femme qui a l'air autoritaire et relève son pied afin de présenter la semelle de son escarpin et exige à l’esclave mâle :
- Lèche ici, salope !
Sans aucune discussion, l'esclave mâle lèche la semelle pas très propre. Et ainsi défile pendant plus d'une heure tous les Invités du Maitre. Ce sont tous des Dominants, des notables pour la plupart, des hommes politiques, des industriels etc… J’ai même reconnu le préfet du département lequel j’avais vu la photo dans le journal, alors je l’ai aisément reconnu ! J'ai même vu quelques Dominants venir accompagnés d'esclaves enchaînés. J'ai, pour ma part, attendu environ 40 minutes avant d'être appelé par Madame Marie avec mon autre compagnon esclave… Et là... Et là, quel choc ! Je me trouve devant Maxime en personne ! Mon directeur ! Non, ce n’est pas possible, pas lui ! J'ai juste envie de m’enfuir à toutes jambes, de m'en aller, de disparaître… Car ça fait tout bizarre de se montrer nu, tel que la nature m’a fait devant quelqu’un que je connais depuis si longtemps et, de plus est, qui est mon supérieur hiérarchique dans mon milieu professionnel... La Cuisinière, Marie, le salue et je sais que je n'ai aucun moyen d'échapper à cette situation. C’est donc honteux, les joues empourprées, en sueur que je me mets à genoux et que je pose mes lèvres sur sa chaussure pendant que l'autre esclave fait de même sur les chaussures de l’épouse de Maxime, Mireille, qui me connait aussi depuis très longtemps...
- Tiens donc, regarde Mireille, qui est là. C’est Matthieu... Ou plutôt ce qu’il en reste !
Son épouse avec qui on a plusieurs fois déjeuné ensemble avec mon directeur me regarde étonné car visiblement, elle ne savait pas que je faisais partie des esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans.
- Je t'avais dit que tu aurais une surprise ! lui lance Maxime, tout sourire aux lèvres…- Matthieu ? Ce n’est pas vrai ! C'est toi Matthieu ? Tu es donc un soumis ? Je n’aurai Jamais cru ça de toi ! Moi qui te croyait plutôt du genre macho ! Ça se sentait tellement dans tes conversations à table ! Je n’en reviens pas !
- Aller Matthieu, ou plutôt, allez salope, embrasse les chaussures de Madame, reprend Maxime sur un ton beaucoup plus sévère à mon égard.
Honteux, humilié, anéanti, j’embrasse fébrilement les chaussures de Mireille, qui cette dernière, jadis, avait été attablée assez souvent et amicalement dans des repas d’amis ou des déjeuner d’affaires avec son mari directeur, Maxime. Moi qui buvait aussi chaque matin le café avec lui, moi qui avait le privilège de souper et d'aller au restaurant avec eux deux, et ma femme, on était devenu des amis et voilà que je suis en train d'embrasser leurs chaussures dans une autre relation qui n’est absolument plus du tout amicale mais, de fait, dans une relation de Dominants/dominé... Et à ce moment-là, le Maitre arrive...
- Bonsoir chère Mireille et cher Maxime, comment allez-vous ?
- Très bien Cher Édouard et merci pour ton accueil, toujours aussi parfait !
- Soyez les bienvenus, mes amis, et que cette soirée soit inoubliable pour vous deux… Mireille, tu as reconnu cette salope de chienne ?
- Édouard, je ne le croyais pas, c’est fou !... C'est dingue, je n'aurais jamais imaginé qu'il faisait partie des inférieurs lui qui toujours se faisait passer pour un macho dans nos repas entre amis !
- Comme tu dis Mireille, qui se faisait passer... Car en vérité ton mari avait remarqué depuis longtemps son comportement de soumis par des attitudes peu perceptibles pour le non initié. Mais Maxime a l’œil et a vu juste, alors il s’est arrangé pour le faire venir au Château via un prétexte professionnel afin que je juge, par Moi-même, s’il méritait un quelconque intérêt… Et Je l'ai complètement mis en lumière, c'est en effet une véritable lope, une vraie de vraie, une salope soumise sans conteste, un être inférieur, naturellement servile et uniquement là pour Nous servir… Je l’ai révélé, à lui-même, sa nature profonde et je lui ai fait prendre conscience de ce qu’il est en réalité… Et voilà le résultat, c’est devenu une chienne parfaitement obéissante, et ce soir il est entièrement à Votre service. Vous pourrez l’utiliser selon votre bon vouloir et autant que vous en aurez envie. Et surtout, n’oubliez pas qu’à l’instar de ses congénères, plus vous l’utiliserez et plus il sera heureux de se sentir en phase avec sa nature servile……
Tous les trois se mettent à rire et le Maitre avec une voix extrêmement autoritaire m’ordonne :
- Nettoie leur semelle, avec ta langue, la pute.
Honteux, je me penche et sous leurs rires, je lèche les semelles sales de mon directeur et de Mireille, son épouse. Puis je me relève et c’est complètement nu devant eux que je les conduis à leur table non sans me sentir gêné de m’afficher dénudé ainsi, devant ceux qui étaient mes amis avant que je devienne ce que je suis désormais…
(A suivre …)
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