La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°204)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°204)
La Marquise Aurore d'Evans (suite) -
Quelle bonne idée qu’a eu Monsieur le Marquis d’avoir fait installer le buffet-apéro au fond du parc fleuri du château sur les belles pelouses verdoyantes impeccablement tondues d’un vert digne d’un terrain de golf et sous les grands et majestueux marronniers deux fois centenaires. Il faisait si chaud en cette fin de matinée de juillet, que la fraîcheur de la pierre de la chapelle était déjà occultée par les 26 degrés à l’ombre des marronniers si feuillus. Cette ombre naturelle jointe au petit air légèrement brassé par les branches des arbres donnait un semblant de fraîcheur aux convives. Il devait y avoir environ plus de 10 mètres de tables jointes au cordeau devant et à environ 1,50 mètre des troncs d’arbres en suivant l’alignement de ceux-ci. Toutes les tables étaient judicieusement décorées de nappes blanches. Garnies de tout ce que l’on pouvait trouver en la circonstance. Il y a avait de quoi combler les plus grands appétits en toasts divers, en fougasses aux lardons, tartines poire-roquefort, saumon, tranches fines de poulet, sans oublier le caviar, etc … etc … Des jus de fruits, au meilleur champagne, les flûtes de celui-ci était exposées avec goût en pyramide. Des seaux à glaçons, en argent brillant étaient bien remplis, tous les mètres et des immenses bouquets de fleurs colorées dans des volumineux vases ornaient tous les 2 mètres l’ensemble. Derrière les tables, une dizaine d’esclaves femelles, presque nues que l’on reconnaissait par l’espèce de pagne sur le devant qu’elles portaient mais qui laissaient leurs fesses libres du regard. Les seins nus, elles avaient toutes des chaînettes en Or qui allaient d’un téton à l’autre. Leur collier avec une chaîne-laisse complétait leur tenue.
L’apéritif était animé entre les 50 notables invités et le champagne coulait à flot. Les conversations étaient gaies, ici on flattait la mariée, sa magnifique robe, de la chance qu’elle avait, là on parlait du sermon du curé sur les illustres ancêtres du Marquis, etc … Et soudain, ce qui devait arriver, arriva !!! Les esprit chauffés par l’alcool et la chaleur aidant, une Domina à l’allure provoquant, se mit à se faire remarquer de tous en criant d’un timbre affûté et après son 5 ème verre de champagne :
- ‘’Qu’on me donne un chien esclave, maintenant ou jamais !!!!’’
D’abord les convives surpris se retournèrent en sa direction pour ensuite éclater d’un rire complice. Visiblement éméchée, la Domina levait son verre, le bras haut, en titubant dans son déplacement se dirigeant vers Monsieur le Marquis :
- Edou … Edouard … hips … Ton exquis champagne me donne des en… des envies ! … hips … T’as pas une … T’as pas une petite salope mâle … hips … à me mettre sous la … chatte ?
- Voyons chère Caroline … J’ai dit que j’offrais à tous, mes esclaves et cela quand bon vous semblera … Pas de souci ! Vas-y, fait ton choix ! Ne te gêne surtout pas ! Répondit le Noble avec un sourire des plus satisfaits.
- - Edou … Edouard … hips … Tu es le plus … merveilleux … des … Marquis de la … terre ! … hips !
Domina Caroline enivrée avait choisi le premier esclave mâle qu’elle avait dans son champ de vision. Le hasard a voulu que ce soit Cyrillia qui était agenouillé aux pieds d’Aurore tandis qu’émeline étaient de même position aux pieds du Marquis. Ils étaient encore endimanchés mais pour chacun une laisse reliée à leur cou était tenue fermement entre les doigts du Châtelain. Voyant cela, Caroline arrivée à portée de main de Cyrillia et tout en caressant le crâne chauve de l’esclave :
- Ton chien là … Il a pas … à être habillé comme ça … la cérémonie est finie … alors à poil … le chien … tout de suite … hips … ! ta … ta chienne aussi d’ailleurs …, dit-elle en regardant émeline.
Cyrillia et émeline levèrent la tête pour chercher l’approbation de leur Maître qui ne tarda pas à réagir d’un claquement de doigts qui signifiait d’obéir promptement. Il fallut que quelques secondes aux deux esclaves pour se redresser et commencer à se déshabiller devant le regard vicieux des autres convives. Une fois nus, les vêtements déposés sur la pelouse, tous purent découvrir la cage de chasteté de cyrillia et le sexe parfaitement épilé d’émeline. Puis ils se remirent de suite à genoux, buste droit, tête baissée et mains derrière le dos face à Domina Caroline. Le Marquis tendit les deux laisses-chaînes des deux esclaves en disant à la Maîtresse :
- Tient Caro, ils sont à toi ! Fait-en ce que tu veux !!!
Domina Caroline tira sur les deux laisses et tout en se retournant, elle fit un clin d’oeil au Marquis en guise de remerciements. Elle commença par les promener doucement dans l’herbe, en titubant légèrement. Les deux soumis suivirent docilement à quatre pattes, tirés par leur laisse. Tout d’un coup, elle aperçut les deux balançoires disposées sur un solide portique au beau milieu de la pelouse verdoyante et à quelques mètres des tables. Elle s’en approcha pour faire un constat des plus insolites : Les deux balançoires n’étaient pas tout à fait comme devraient être de véritables balançoires. En effet, leurs sièges étaient équipés en leur centre d’un volumineux phallus solidement fixé à la verticale. Ces grosses verges en plastique dur étaient préalablement lubrifiées car elles étaient toutes gluantes. Il ne fallut pas longtemps pour que la Domina réagisse et sur un ton autoritaire, elle s’exclama auprès de cyrillia et d’émeline :
- Allez les chiennes … hips … empalez-vous sur ces balançoires ….hips … je vais m’amuser un peu … hips !
C’est doucement que cyrillia et émeline debout fesses contre le siège qu’ils prirent chacun le siège en le faisant basculer verticalement afin de faire pivoter le phallus un peu à l’horizontal. Et écartant les jambes un maximum, tout en pliant légèrement les genoux, ils firent ainsi entrer cette volumineuse fausse verge en poussant sur celle-ci. La lubrification préalable des phallus facilite la pénétration et ainsi ils purent par la suite s’asseoir sur les sièges comme s’ils faisaient normalement de la balançoire, mais sans se balancer pour le moment.
- Qu’on m’apporte … de quoi … de quoi … hips … être plus haute, dit-elle …
Le Marquis ne tarda pas à réagir en faisant signe à deux esclaves mâles d’apporter une table vide et inutilisée laissée entre deux troncs d’arbre, en cas de besoin. C’est le cul donc bien rempli que les deux esclaves aperçurent la Domina en train de monter avec un peu de difficulté causée par l’alcool, mais étant aidée par les 2 esclaves ayant apporté la table, elle se retrouva debout face à cyrillia et à émeline. Jambes bien écartées, ce qui permettait à Maîtresse Caroline de tenir debout sans tomber et se trouver ainsi la taille au niveau des bouches des 2 chiennes empalées sur les balançoires. Elle fit tomber sa jupe de cuire noir et c’est donc sans culotte qu’elle dévoila un magnifique sexe touffu celui-ci. Elle pris alors d’une main ferme la tête de cyrillia et lui dit sévèrement :
- Maintenant, … lèche-moi avec ta langue de salope … hips … et apporte moi du plaisir … je m’occuperai de ta sœur après … hips …
(A suivre …)
Quelle bonne idée qu’a eu Monsieur le Marquis d’avoir fait installer le buffet-apéro au fond du parc fleuri du château sur les belles pelouses verdoyantes impeccablement tondues d’un vert digne d’un terrain de golf et sous les grands et majestueux marronniers deux fois centenaires. Il faisait si chaud en cette fin de matinée de juillet, que la fraîcheur de la pierre de la chapelle était déjà occultée par les 26 degrés à l’ombre des marronniers si feuillus. Cette ombre naturelle jointe au petit air légèrement brassé par les branches des arbres donnait un semblant de fraîcheur aux convives. Il devait y avoir environ plus de 10 mètres de tables jointes au cordeau devant et à environ 1,50 mètre des troncs d’arbres en suivant l’alignement de ceux-ci. Toutes les tables étaient judicieusement décorées de nappes blanches. Garnies de tout ce que l’on pouvait trouver en la circonstance. Il y a avait de quoi combler les plus grands appétits en toasts divers, en fougasses aux lardons, tartines poire-roquefort, saumon, tranches fines de poulet, sans oublier le caviar, etc … etc … Des jus de fruits, au meilleur champagne, les flûtes de celui-ci était exposées avec goût en pyramide. Des seaux à glaçons, en argent brillant étaient bien remplis, tous les mètres et des immenses bouquets de fleurs colorées dans des volumineux vases ornaient tous les 2 mètres l’ensemble. Derrière les tables, une dizaine d’esclaves femelles, presque nues que l’on reconnaissait par l’espèce de pagne sur le devant qu’elles portaient mais qui laissaient leurs fesses libres du regard. Les seins nus, elles avaient toutes des chaînettes en Or qui allaient d’un téton à l’autre. Leur collier avec une chaîne-laisse complétait leur tenue.
L’apéritif était animé entre les 50 notables invités et le champagne coulait à flot. Les conversations étaient gaies, ici on flattait la mariée, sa magnifique robe, de la chance qu’elle avait, là on parlait du sermon du curé sur les illustres ancêtres du Marquis, etc … Et soudain, ce qui devait arriver, arriva !!! Les esprit chauffés par l’alcool et la chaleur aidant, une Domina à l’allure provoquant, se mit à se faire remarquer de tous en criant d’un timbre affûté et après son 5 ème verre de champagne :
- ‘’Qu’on me donne un chien esclave, maintenant ou jamais !!!!’’
D’abord les convives surpris se retournèrent en sa direction pour ensuite éclater d’un rire complice. Visiblement éméchée, la Domina levait son verre, le bras haut, en titubant dans son déplacement se dirigeant vers Monsieur le Marquis :
- Edou … Edouard … hips … Ton exquis champagne me donne des en… des envies ! … hips … T’as pas une … T’as pas une petite salope mâle … hips … à me mettre sous la … chatte ?
- Voyons chère Caroline … J’ai dit que j’offrais à tous, mes esclaves et cela quand bon vous semblera … Pas de souci ! Vas-y, fait ton choix ! Ne te gêne surtout pas ! Répondit le Noble avec un sourire des plus satisfaits.
- - Edou … Edouard … hips … Tu es le plus … merveilleux … des … Marquis de la … terre ! … hips !
Domina Caroline enivrée avait choisi le premier esclave mâle qu’elle avait dans son champ de vision. Le hasard a voulu que ce soit Cyrillia qui était agenouillé aux pieds d’Aurore tandis qu’émeline étaient de même position aux pieds du Marquis. Ils étaient encore endimanchés mais pour chacun une laisse reliée à leur cou était tenue fermement entre les doigts du Châtelain. Voyant cela, Caroline arrivée à portée de main de Cyrillia et tout en caressant le crâne chauve de l’esclave :
- Ton chien là … Il a pas … à être habillé comme ça … la cérémonie est finie … alors à poil … le chien … tout de suite … hips … ! ta … ta chienne aussi d’ailleurs …, dit-elle en regardant émeline.
Cyrillia et émeline levèrent la tête pour chercher l’approbation de leur Maître qui ne tarda pas à réagir d’un claquement de doigts qui signifiait d’obéir promptement. Il fallut que quelques secondes aux deux esclaves pour se redresser et commencer à se déshabiller devant le regard vicieux des autres convives. Une fois nus, les vêtements déposés sur la pelouse, tous purent découvrir la cage de chasteté de cyrillia et le sexe parfaitement épilé d’émeline. Puis ils se remirent de suite à genoux, buste droit, tête baissée et mains derrière le dos face à Domina Caroline. Le Marquis tendit les deux laisses-chaînes des deux esclaves en disant à la Maîtresse :
- Tient Caro, ils sont à toi ! Fait-en ce que tu veux !!!
Domina Caroline tira sur les deux laisses et tout en se retournant, elle fit un clin d’oeil au Marquis en guise de remerciements. Elle commença par les promener doucement dans l’herbe, en titubant légèrement. Les deux soumis suivirent docilement à quatre pattes, tirés par leur laisse. Tout d’un coup, elle aperçut les deux balançoires disposées sur un solide portique au beau milieu de la pelouse verdoyante et à quelques mètres des tables. Elle s’en approcha pour faire un constat des plus insolites : Les deux balançoires n’étaient pas tout à fait comme devraient être de véritables balançoires. En effet, leurs sièges étaient équipés en leur centre d’un volumineux phallus solidement fixé à la verticale. Ces grosses verges en plastique dur étaient préalablement lubrifiées car elles étaient toutes gluantes. Il ne fallut pas longtemps pour que la Domina réagisse et sur un ton autoritaire, elle s’exclama auprès de cyrillia et d’émeline :
- Allez les chiennes … hips … empalez-vous sur ces balançoires ….hips … je vais m’amuser un peu … hips !
C’est doucement que cyrillia et émeline debout fesses contre le siège qu’ils prirent chacun le siège en le faisant basculer verticalement afin de faire pivoter le phallus un peu à l’horizontal. Et écartant les jambes un maximum, tout en pliant légèrement les genoux, ils firent ainsi entrer cette volumineuse fausse verge en poussant sur celle-ci. La lubrification préalable des phallus facilite la pénétration et ainsi ils purent par la suite s’asseoir sur les sièges comme s’ils faisaient normalement de la balançoire, mais sans se balancer pour le moment.
- Qu’on m’apporte … de quoi … de quoi … hips … être plus haute, dit-elle …
Le Marquis ne tarda pas à réagir en faisant signe à deux esclaves mâles d’apporter une table vide et inutilisée laissée entre deux troncs d’arbre, en cas de besoin. C’est le cul donc bien rempli que les deux esclaves aperçurent la Domina en train de monter avec un peu de difficulté causée par l’alcool, mais étant aidée par les 2 esclaves ayant apporté la table, elle se retrouva debout face à cyrillia et à émeline. Jambes bien écartées, ce qui permettait à Maîtresse Caroline de tenir debout sans tomber et se trouver ainsi la taille au niveau des bouches des 2 chiennes empalées sur les balançoires. Elle fit tomber sa jupe de cuire noir et c’est donc sans culotte qu’elle dévoila un magnifique sexe touffu celui-ci. Elle pris alors d’une main ferme la tête de cyrillia et lui dit sévèrement :
- Maintenant, … lèche-moi avec ta langue de salope … hips … et apporte moi du plaisir … je m’occuperai de ta sœur après … hips …
(A suivre …)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Maître
Vos histoires sont sublimes à lire. Elle me donne de plus en plus envie de me soumettre, d'être l'esclave d'un maître, son objet sexuel, ou le vôtre Maître
Vos histoires sont sublimes à lire. Elle me donne de plus en plus envie de me soumettre, d'être l'esclave d'un maître, son objet sexuel, ou le vôtre Maître