La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°217)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°217)
Nat au Château
"C'est bien ma veine" pensait Nat alors qu'elle était assise sur une vieille souche d'une foret du Beaujolais au Nord de Lyon.
Détrempée par la pluie, perdue au milieu des bois, seule et surtout avec une cheville endolorie, elle s'était retrouvée dans une sacrée posture à cause d'une simple envie soudaine. Passionnée de randonnée, la pauvre avait attendu des mois d'avoir enfin des vacances pour avoir l'occasion de crapahuter dans les forets françaises. Le plaisir de la liberté, le plaisir de voir les beautés de la nature de près, et de s'écarter, enfin des bruits de la civilisation qui la harcelaient nuit et jour. Elle avait besoin de faire un break. Fascinée d'histoire, elle avait entendu parlé de chemin de traverses parcourant les bois. Après avoir laissé sa voiture près de la départementale et avoir fait quelques pas dans les bois, elle avait l'espoir fou de marcher sur des chemins oubliés découvrir des endroits à peine parcourus par l'homme, suivre les vestiges du passé pour tomber sur un trésor naturel.
Mais mère nature en avait décidé autrement, la météo avait tourné au vinaigre contre toute attente, et les chemins oubliés depuis bien trop longtemps avait sensiblement subit les affres du temps et les avait rendu glissants. Une glissade, une chute, et la pauvre Victoria se retrouvait piégée. Au milieu de nulle part. L'humidité et la température baissant, elle prit son courage à deux mains avant de tenter d'avancer mais le rythme était lent et la fatigue se faisait sentir. Marchant, serrant les dents, elle tentait d'aller vers le Sud, vers le premier village à proximité, espérant que la chance la fera tomber sur des vignes ou sur une demeure excentrée des habitations. Mais le destin avait décidé de lui faire découvrir bien mieux ... en un sens. Suivant les restes du chemin, la jeune femme tomba sur un mur de pierre haut de 3 mètres. La pluie ruisselante et la végétation grimpante avait assailli l'édifice humain, saison après saison, fissurant les pierres, mettant à jours les briques et effaçant sa présence lentement mais surement
.
Un simple mur, un espoir de découvrir quelqu'un. L'espoir de pouvoir enfin se reposer, l'espoir de s'en être sortie par sa simple volonté et sa ténacité. Le chemin menait à une grille de ce mur, une vielle grille en fer forgé, sans fioriture et sans volonté artistique. Une entrée dérobée de serviteur surement mais la rouille ... elle n'était presque plus présente. L'émail qui la recouvrait semblait entretenu régulièrement, ce qui fit encore une fois bondir le coeur de la jeune femme. L'endroit était habité, il y avait des gens qui vivaient ici. Le soleil apparaissait et déjà son entrain revenait. La chance ne l'avait pas abandonné en fin de compte. Boitant, toujours en train de se retenir avec un morceau de bois, la pluie cessant de s'abattre sur ses épaules, un sourire apparaissait sur son visage juste avant qu'elle ne voit une petite maison toujours entourée de bois. Une lumière laissait présager que quelqu'un habitait là.
S'approchant de la fenêtre, elle tapa mais personne ne semblait dans cette pièce. Elle fit alors le tour pour arriver près d'une nouvelle fenêtre où enfin elle entendait du bruit. L'espoir naissait. Du bruit, un bruit qu'elle n'avait pas même essayé d'identifier. Un bruit qui aurait surement évité la surprise de ce qu'elle vit. Un femme était là, à quatre pattes, tenue en laisse par un homme qui la saillit comme si c'était une chienne. Tirant sur la laisse, il lui faisait lever le visage et rythmait ses coups de butoir puissants et dominants. Les gémissements de la femme était bestiaux animaux alors que l'homme aux cheveux poivre et sel lui parlait
"Alors, sale chienne ? Tu ne me remercies pas ?"
La femme se mit alors à hurler au rythme de sa saillie. Elle hurlait comme une folle.
"Oui Maitre ! Merci Maitre ! Merci Maitre ! Merci merci merci !"
Sa voix montait au rythme du plaisir qui prenait possession de son corps. Elle suppliait son Maitre de la laisser jouir, mais celui-ci restait intraitable et la fessait attirant l'attention de Nat sur une marque écrit sur la croupe de la chienne. "esclave de MDE" étaient les mots qu'elle découvrait. Elle n'était pas une nonne, mais elle n'avait jamais vu, autre part que dans l'imagination de certains pornographes, de femme ainsi attachée, soumise, extatique. La scène était envoûtante, hypnotisant, mais bien trop surprenante. Agissant presque de manière animale, guidée par une morale trop longtemps incrustée en elle, Nat recula pensant que s'écarter de la scène allait la rendre fausse ou simplement irréelle. Des pas dans une campagne détrempée et avec une cheville encore douloureuse. Le sol se déroba sous ses pieds. Glissant, elle tomba lourdement sur le sol. Son visage disparaissant dans l'herbe et la boue.
La fatigue reprit son du, la douleur aussi. Epuisée, elle laissa les ténèbres prendre possession de son esprit.
...
"C'est bien ma veine" pensait Nat alors qu'elle était assise sur une vieille souche d'une foret du Beaujolais au Nord de Lyon.
Détrempée par la pluie, perdue au milieu des bois, seule et surtout avec une cheville endolorie, elle s'était retrouvée dans une sacrée posture à cause d'une simple envie soudaine. Passionnée de randonnée, la pauvre avait attendu des mois d'avoir enfin des vacances pour avoir l'occasion de crapahuter dans les forets françaises. Le plaisir de la liberté, le plaisir de voir les beautés de la nature de près, et de s'écarter, enfin des bruits de la civilisation qui la harcelaient nuit et jour. Elle avait besoin de faire un break. Fascinée d'histoire, elle avait entendu parlé de chemin de traverses parcourant les bois. Après avoir laissé sa voiture près de la départementale et avoir fait quelques pas dans les bois, elle avait l'espoir fou de marcher sur des chemins oubliés découvrir des endroits à peine parcourus par l'homme, suivre les vestiges du passé pour tomber sur un trésor naturel.
Mais mère nature en avait décidé autrement, la météo avait tourné au vinaigre contre toute attente, et les chemins oubliés depuis bien trop longtemps avait sensiblement subit les affres du temps et les avait rendu glissants. Une glissade, une chute, et la pauvre Victoria se retrouvait piégée. Au milieu de nulle part. L'humidité et la température baissant, elle prit son courage à deux mains avant de tenter d'avancer mais le rythme était lent et la fatigue se faisait sentir. Marchant, serrant les dents, elle tentait d'aller vers le Sud, vers le premier village à proximité, espérant que la chance la fera tomber sur des vignes ou sur une demeure excentrée des habitations. Mais le destin avait décidé de lui faire découvrir bien mieux ... en un sens. Suivant les restes du chemin, la jeune femme tomba sur un mur de pierre haut de 3 mètres. La pluie ruisselante et la végétation grimpante avait assailli l'édifice humain, saison après saison, fissurant les pierres, mettant à jours les briques et effaçant sa présence lentement mais surement
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Un simple mur, un espoir de découvrir quelqu'un. L'espoir de pouvoir enfin se reposer, l'espoir de s'en être sortie par sa simple volonté et sa ténacité. Le chemin menait à une grille de ce mur, une vielle grille en fer forgé, sans fioriture et sans volonté artistique. Une entrée dérobée de serviteur surement mais la rouille ... elle n'était presque plus présente. L'émail qui la recouvrait semblait entretenu régulièrement, ce qui fit encore une fois bondir le coeur de la jeune femme. L'endroit était habité, il y avait des gens qui vivaient ici. Le soleil apparaissait et déjà son entrain revenait. La chance ne l'avait pas abandonné en fin de compte. Boitant, toujours en train de se retenir avec un morceau de bois, la pluie cessant de s'abattre sur ses épaules, un sourire apparaissait sur son visage juste avant qu'elle ne voit une petite maison toujours entourée de bois. Une lumière laissait présager que quelqu'un habitait là.
S'approchant de la fenêtre, elle tapa mais personne ne semblait dans cette pièce. Elle fit alors le tour pour arriver près d'une nouvelle fenêtre où enfin elle entendait du bruit. L'espoir naissait. Du bruit, un bruit qu'elle n'avait pas même essayé d'identifier. Un bruit qui aurait surement évité la surprise de ce qu'elle vit. Un femme était là, à quatre pattes, tenue en laisse par un homme qui la saillit comme si c'était une chienne. Tirant sur la laisse, il lui faisait lever le visage et rythmait ses coups de butoir puissants et dominants. Les gémissements de la femme était bestiaux animaux alors que l'homme aux cheveux poivre et sel lui parlait
"Alors, sale chienne ? Tu ne me remercies pas ?"
La femme se mit alors à hurler au rythme de sa saillie. Elle hurlait comme une folle.
"Oui Maitre ! Merci Maitre ! Merci Maitre ! Merci merci merci !"
Sa voix montait au rythme du plaisir qui prenait possession de son corps. Elle suppliait son Maitre de la laisser jouir, mais celui-ci restait intraitable et la fessait attirant l'attention de Nat sur une marque écrit sur la croupe de la chienne. "esclave de MDE" étaient les mots qu'elle découvrait. Elle n'était pas une nonne, mais elle n'avait jamais vu, autre part que dans l'imagination de certains pornographes, de femme ainsi attachée, soumise, extatique. La scène était envoûtante, hypnotisant, mais bien trop surprenante. Agissant presque de manière animale, guidée par une morale trop longtemps incrustée en elle, Nat recula pensant que s'écarter de la scène allait la rendre fausse ou simplement irréelle. Des pas dans une campagne détrempée et avec une cheville encore douloureuse. Le sol se déroba sous ses pieds. Glissant, elle tomba lourdement sur le sol. Son visage disparaissant dans l'herbe et la boue.
La fatigue reprit son du, la douleur aussi. Epuisée, elle laissa les ténèbres prendre possession de son esprit.
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