La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°235)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°235)
Suite de l'épisode N°232 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -
Thaïs avait fini par sombrer dans les bras de Morphée sur la descente de lit, telle la petite chienne qu’elle était pour son Maître Vénéré, dormant à la place dont elle avait toujours rêvé aux pieds de celui qu’elle reconnaissait comme étant une vraie chance dans sa vie de soumise en devenir. Elle s’était recroquevillée inconsciemment dans une position fœtale, ne songeant même pas à revêtir le dessus de lit que son Maître avait laissé à sa disposition pour se couvrir. Elle était nue comme pendant les neuf mois de la gestation dans le ventre procréateur duquel elle était sortie en naissant à la vie. Au lieu du cordon ombilical qui la reliait au ventre nourricier, elle portait symboliquement la laisse que son Maître lui avait offerte et qu’IL avait lui-même accroché à sa ceinture, de laquelle pendait une laisse qui marquait la relation D/s qui la liait à son Maître Vénéré. De lui, elle recevait toute la nourriture spirituelle que son âme avait envie pour subvenir à ses besoins et de lui aussi, elle espérait sans cesse le nectar qui pourrait enfin étancher sa soif et combler les vides de son corps et de son cœur…
Le Marquis s’éveille doucement tandis que la clarté du jour commence à envahir la chambre à travers les épais rideaux. Sans le moindre bruit, Il se redresse et regarde à Ses pieds sa soumise profondément endormie. IL peut décider de la réveiller sans attendre car Sa virilité a déjà pointé en ce matin et Son désir de mâle cherche à se satisfaire au plus tôt. Et pourtant, IL choisit de prendre le temps de regarder et d’admirer celle qui dort à Ses pieds, au visage parfois si radieux et apaisé, et parfois si crispé et inquiet, qu’IL ne comprend pas toujours très bien à quoi peut rêver ou penser Sa soumise, qui passe aussi vite d’un état à un autre, comme si elle était déchirée entre deux états extrêmes, qui bercent son sommeil et se jouent de sa vie en dualité. C’est de la femme qui s’ouvre et s’offre comme un lotus et non du fœtus refermé sur son passé que le Marquis attend le réveil. IL la contemple longuement sans la déranger, voulant se laisser le temps de savourer le silence de ces instants volés aux regards de la dormeuse. Son érection est extrême et son excitation est à son comble de la voir ainsi nue à Ses pieds, si vulnérable, si fragile. Le petit jour est en train de poindre depuis quelque temps, quand son Maître se décide à réveiller enfin Sa soumise, toujours endormie, d’une voix coquine et matinale :
- Thaïs, Ma petite chienne, approche de plus près, j’ai une surprise à te montrer !
IL pose Son pied à plat sur le corps de la belle endormie pour la secouer et la sortir de ses songes. Thaïs ressent la chaleur du pied de son Maître qui parcourt son corps dont la peau s’est rafraîchie pendant la nuit. Elle sursaute quand elle sent la jambe du Marquis qui cherche à dérouler son corps et à se faire une petite place entre ses cuisses. Le Maître se penche sur le rebord du lit et tend le bras pour attraper la main de la petite chienne qui est toujours allongée sur la descente de lit au pied du grand lit qui a servi de couche moelleuse et chaude au Marquis d’Evans. IL la tire jusqu’à lui sous l’épaisse couche de la couette blanche et la prend dans Ses bras pour la réchauffer et finir d’éveiller ses sens. C’est là qu’IL s’aperçoit que Thaïs a des larmes qui viennent de couler de ses yeux.
- Pourquoi pleures-tu Ma belle ? L’heure n’est sûrement pas aux larmes, c’est le matin, l’heure est aux câlins avec entrain.
- Mon Maître Vénéré, c’est que je viens de faire un horrible cauchemar. Puis-je Vous le raconter car il hante mon souvenir et je ne voudrais pas qu’il s’agisse d’un rêve prémonitoire (le Maître acquiesce d’un signe de tête). J’étais dans un marais puant, si embourbé, et j’avais mis le pied dans un sable mouvant qui m’avalait sans cesse. Plus j’essayais de me débattre, plus je m’enfonçais et je me sentais perdue prête à succomber étouffée. Je cherchais en vain une branche pour m’accrocher et ne pas m’enliser, mais autour de moi, il n’y avait que du vide et personne pour entendre mes cris de désespoir. Tout d’un coup, venue de nulle part, une branche amie s’est penchée vers moi et m’a dit « accroche toi, tu n’as rien à craindre, je suis là ». J’ai cru que je pouvais l’attraper en confiance, ne voyant pas d’autres solutions à portée de mains et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, tout à disparu comme par magie, à la place du sable mouvant, il y avait un gouffre qui me dévorait et labourait chaque parcelle de mon corps, abîme sans fond dans lequel je sombrais indéfiniment, ayant perdu toute consistance, sauf la conscience d’une douleur sans nom.
- Laisse tomber tes états d’âme, Thaïs, tu sais bien à quel point, ils peuvent être néfastes pour toi. J’ai déjà essayé de te prévenir mais tu ne m’écoutes pas assez et tu manques de confiance en toi et surtout en Moi. Tu sais bien que Je ne laisserai jamais tomber la soumise que tu es devenue pour Moi et J’espère bien que tu ne renonceras jamais à ton Maître Vénéré, car notre histoire ne fait que commencer… Tu es glacée, laisse moi te réchauffer, il est temps de penser à autre chose de plus ré-jouissant et de bien, bien plus réel et excitant. Promets-moi d’oublier cela, tu vois bien que ce n’était qu’un cauchemar, la réalité est là, tu es à Mes côtés et je vais m’occuper de toi, Ma Thaïs, Ma soumise, Je te le promets et puis J’ai besoin de toi pour Mes affaires, as-tu déjà oublié pourquoi tu es venue me rejoindre ce Week-end. Mais avant de recevoir nos invités et de faire affaire avec eux, J’ai à faire avec toi et avec tes orifices… Descends un peu plus bas, il y a une surprise qui t’attend depuis trop longtemps à ‘’l’étage au dessous’’.
Le Maître pousse la tête de la soumise vers son bas-ventre où se trouve un pieu majestueusement dressé qu’elle découvre en se rapprochant, encore plus gros que ce qu’il était dans son souvenir. Mais dans le même temps, IL attrape les chevilles, l’une après l’autre de Sa soumise qu’IL ramène vers lui, lui faisant enjamber son corps pour qu’elle se retrouve en levrette inversée, lui offrant une vue imprenable sur le sexe et la croupe redressée de la chienne qui s’était très vite réchauffée. Tel le lotus, les lèvres de la soumise ouvrent leur corolle onctueuse de rosée déjà présente en ces heures matinales. Tandis qu’elle a de quelques baisers préalables et coups de langue sur tout le Vit, finit pas accueillir le membre gonflé de son Maître au plus profond de sa gorge. Cherchant à faire venir le désir dans la queue qu’elle lèche avec un réel plaisir et une expérience certaine. Car elle a décidé que tant que son Maître ne lui dirait rien et ne montrerait pas d’empressement à jouir, elle ferait durer Son plaisir au maximum. Le lâchant juste avant le moment où elle sent Son désir prêt à jaillir, pour pouvoir de savoureux coups de langue sur Ses couilles gonflées et sur Son bâton de joie lui laisser le temps de reprendre son souffle et de pouvoir profiter encore de cet instant déjà captivant qui précède l’éjaculation. Revenant ensuite à l’assaut faisant tourner sa langue sur le gland si gonflé qu’elle humidifie de sa salive si onctueuse pour enfin de ses lèvres humides. Embrassant cette verge tendue, voluptueusement, l’aspirant et le dévorant, avant de laisser replonger le pieu viril dans sa bouche grandement ouverte et offerte.
C’est alors que le Maître attrape l’un des godes qu’IL a pris soin de déposer sur la table de nuit à portée de mains, et qu’IL le trempe dans la caverne onctueuse de la femelle qui s’ouvre encore plus laissant couler quelques gouttes de sa cyprine abondante sur la main et le torse de son amant. IL ne fait que quelques allers et venues au sein de la chatte si réceptive, pour se frayer aussi sec un chemin dans le plus petit sentier qui sépare les deux globes de ses fesses. Thaïs est si excitée qu’elle s’ouvre encore plus et projette ses fesses en arrière pour s’empaler elle-même sur le leurre en plastique qui lui pourfend le cul, tandis que le sexe bien réel de son Maître est en train de la baiser sauvagement dans la bouche et qu’elle sent qu’IL va se répandre bientôt en elle, tandis que les coups s’accélèrent et se font plus sauvages.
- Tu ne jouis pas Thaïs ! Tu as bien compris, je ne t’en ai pas donné l’autorisation !
- Non Maître, je sais que Vous ne m’avez rien autorisé, dit-elle tandis qu’elle reprend son souffle entre deux assauts de son Maître.
- D’ailleurs, je ne veux pas que tu jouisses de cette fellation et de ma pénétration, j’ai d’autres exigences pour toi, envie de te faire vivre autre chose ce matin. Ne me déçois pas ! Ne jouis pas et retiens toi. J’ai dit.
Le Maître pour bien marquer son emprise donne aussi sec deux fessées bien appuyées sur la chienne qu’IL travaille dans son fondement tout en même temps qu’IL lui baise la bouche et qu’IL vient de laisser la trace rouge de ses deux grandes mains dominatrices sur chacune des fesses de la soumise. Thaïs ne sait comment faire pour résister, elle tente de se concentrer juste sur le plaisir de son Maître qui la laboure des deux côtés à la fois, et elle sent enfin la Semence de son amant se répandre au fond de sa gorge, un nectar chaud et puissant qui jaillit longuement et abondamment, allant presque jusqu’à l’étouffer car IL lui faudra plusieurs déglutitions pour pouvoir à nouveau retrouver la possibilité d’ouvrir la bouche et d’y faire pénétrer assez d’air pour lui laisser reprendre son souffle.
- Ah, c’est bon de jouir en toi, bonne chienne ! Tu m’as vraiment vidé ce matin, as-tu conscience de la dose que tu m’as fait gicler, ajoute-t’Il tandis qu’Il dégage peu à peu son sexe de la bouche de la chienne qui l’avait conduit jusqu’au plaisir extrême.
Thaïs ne sait ce qu’elle doit faire tandis que son Maître reprend Ses forces, allongé et bras inertes, ayant fermé les yeux quelques secondes pour prolonger le plaisir dont Il a pu jouir. Elle n’ose bouger pour ne pas rompre cet instant qu’elle sait sublime, quand le corps s’apaise dans le bien-être après la montée en puissance. Elle est heureuse d’avoir été source de plaisirs pour son Maître Vénéré. Elle se met soudain à repenser au cauchemar au sortir duquel elle s’est réveillée quelques minutes plus tôt, ne sachant plus très bien si ce n’est pas en ce moment qu’elle est en train de rêver et si ce n’est pas dans quelques instants qu’elle va à nouveau se réveiller pour s’apercevoir que la réalité était autre et qu’elle a juste imaginé avoir pu trouver un Maître Vénéré aux pieds duquel elle aurait la chance de pouvoir trouver enfin le bonheur pour la soumise qu’elle cherchait à devenir. Mais Thaïs n’a pas le temps de se laisser reprendre dans ses songes perturbateurs, le Maître s’est levé du lit et Il se tient debout, droit, si grand et de Sa voix lourde et imposante, Il scande :
- Aux pieds de ton Maître, chienne ! … Tu sais bien que ta place est ici et seulement ici ! … Qui es-tu ?
- Je suis l’esclave-soumise Thaïs de mon Maître Vénéré, le Marquis d’Evans ;
- En es-tu certaine ?
- Oui, Maître. Et s’il m’arrivait un jour de l’oublier ou d’en douter, s’il vous plait, mon Maître, ne l’oubliez pas, Vous, surtout.
- A qui appartiens-tu ?
- Tant que Vous m’accepterez comme soumise, je Vous appartiens corps, esprit et âme. Je suis toute à Vous, avec tout ce que je suis, le bon de moi et le moins bon aussi, avec ma force de caractère et toute ma fragilité intérieure.
- En es-tu certaine ?
- Oui, Maître, j’en suis certaine. Je Vous appartiens de toute éternité et pour toujours, que Vous vouliez ou non de moi et que Vous me reconnaissiez ou non comme Votre soumise MDE. Je porte Vos initiales autour de mon cou et la marque de Votre pouvoir sur moi gravée de manière invisible au plus profond de mon âme, là où personne ne peut l’effacer, car une marque au fer rouge n’a que peu de prise sur un corps que l’on peut écorcher vif, seul ce qui s’inscrit dans l’invisible du cœur et de l’âme que Vous avez su atteindre et ébranler est marqué à vie comme marque de Votre possession authentique…
Et la soumise ajoute d’une petite voix tandis qu’elle se penche pour déposer sur les pieds de son Maître Vénéré un baiser humble et respectueux
- Mais je n’ai, mon Maître Vénéré, que moi à Vous offrir, et non pas une autre. Et c’est tout moi, que je voulais et croyais devoir Vous offrir, car je suis entière et ne sait pas retenir une partie de moi qui ne se livrerait pas avec le reste, et je ne sais pas plus me partager sans me consumer.
Le Maître ne peut que se trouver attendri car Thaïs est vraiment particulière, authentique et bien plus sensible que toutes les soumises qui se sont jetés à Ses pieds. Faisant confiance à son intuition, Il sait qu’Il entraînera loin Sa soumise Thaïs pour peu qu’Il sache la comprendre et l’entendre.
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te faire goûter à quelque chose de nouveau pour toi. C’est une jouissance d’une autre nature que je veux te faire découvrir. La femme en toi apprécie déjà les plaisirs charnels de toutes sortes et la femme fontaine que tu es depuis des années coule déjà abondamment dans les orgasmes qui chavirent son corps, mais la soumise que tu n’es pas encore ne sait rien ou si peu de la joie d’être sous le joug de son dominant, totalement à sa merci et du réel plaisir de la présence d’un Vrai Maître à Ses côtés.
Thaïs redresse sa tête qui est encore posée au sol devant les pieds de son Maître et se met à quatre pattes comme son Maître vient de l’exiger. Elle garde la tête baissée, les yeux fermés et ne dit mot. Elle sent la laisse se tendre et se laisse conduire sans savoir où Il l’entraîne à sa suite. La chambre est gigantesque, on pourrait presque y construire un appartement de deux ou trois pièces. Le plafond est composé d’immenses poutres en bois d’origine. La pièce a presque deux étages de haut, et à une hauteur déjà conséquente, il y a deux poutres majestueuses qui traversent de part en part la grande pièce. Sûrement dans des temps anciens, le château a eu d’autres utilisations et d’autres séparations de niveau. Ces deux poutres maîtresses sont restées telle une ossature mise à nue par des transformations de structure. Elles se trouvent à plus de deux mètres de haut et le Marquis a tout de suite eu l’idée de s’en servir pour y faire suspendre les cordes qu’Il avait fait livrer dans le carton afin de s’amuser un peu avec Sa soumise et lui faire découvrir toutes ces belles choses auxquelles Il veut l’initier pour qu’elle devienne une soumise accomplie qui se pliera à tous Ses désirs pervers ou non.
Après lui avoir fait faire quelques pas pour la positionner au bon endroit, le Marquis d’Evans prend un foulard noir qu’Il noue sur les yeux de Thaïs, l’enfermant dans la nuit des sensations décuplées et laissant la belle ignorante de tout de ce que son Maître manigance. Il retourne dans le salon de la suite et récupère tout le matériel dont Il a besoin pour entraver la soumise, la voulant totalement à Sa merci, encore plus mise à nue dans sa fragilité. Il jette par-dessus chacune des deux poutres une corde et se trouve donc avec quatre brins qui pendent à sa portée. Il redresse Thaïs qui ne l’ayant pas senti sursaute tandis qu’Il passe Sa main sous son bras pour la faire se lever. La soumise sent son cœur qui se met à battre, elle comprend bien que ce qui va se passer et qui encore fait partie d’un monde inconnu d’elle. Le marquis attache chacune de ses mains à l’un des brins de la corde pour l’instant toujours sans tension. Thaïs commence à trembler mais elle n’ose toujours pas parler. Elle croyait bien qu’Il lui dirait avant ce qu’Il allait lui faire subir, mais le silence de son Maître lui parait si pesant en cet instant. Thaïs laisse son Maître tendre les cordes qui ont pour effet d’étirer ses bras en croix. Le Maître récupère les deux autres brins qu’Il attache aussi sec aux pieds de la soumise qui se trouve ainsi écartelée en croix, les muscles étirés en X entre les deux poutres. Sous son bandeau, elle ferme ses yeux et se sent si vulnérable, mais en train d’oublier les chaînes de son passé et de renaître en ce jour, librement entravée par celui à Qui elle s’est offerte...
(A suivre …)
Thaïs avait fini par sombrer dans les bras de Morphée sur la descente de lit, telle la petite chienne qu’elle était pour son Maître Vénéré, dormant à la place dont elle avait toujours rêvé aux pieds de celui qu’elle reconnaissait comme étant une vraie chance dans sa vie de soumise en devenir. Elle s’était recroquevillée inconsciemment dans une position fœtale, ne songeant même pas à revêtir le dessus de lit que son Maître avait laissé à sa disposition pour se couvrir. Elle était nue comme pendant les neuf mois de la gestation dans le ventre procréateur duquel elle était sortie en naissant à la vie. Au lieu du cordon ombilical qui la reliait au ventre nourricier, elle portait symboliquement la laisse que son Maître lui avait offerte et qu’IL avait lui-même accroché à sa ceinture, de laquelle pendait une laisse qui marquait la relation D/s qui la liait à son Maître Vénéré. De lui, elle recevait toute la nourriture spirituelle que son âme avait envie pour subvenir à ses besoins et de lui aussi, elle espérait sans cesse le nectar qui pourrait enfin étancher sa soif et combler les vides de son corps et de son cœur…
Le Marquis s’éveille doucement tandis que la clarté du jour commence à envahir la chambre à travers les épais rideaux. Sans le moindre bruit, Il se redresse et regarde à Ses pieds sa soumise profondément endormie. IL peut décider de la réveiller sans attendre car Sa virilité a déjà pointé en ce matin et Son désir de mâle cherche à se satisfaire au plus tôt. Et pourtant, IL choisit de prendre le temps de regarder et d’admirer celle qui dort à Ses pieds, au visage parfois si radieux et apaisé, et parfois si crispé et inquiet, qu’IL ne comprend pas toujours très bien à quoi peut rêver ou penser Sa soumise, qui passe aussi vite d’un état à un autre, comme si elle était déchirée entre deux états extrêmes, qui bercent son sommeil et se jouent de sa vie en dualité. C’est de la femme qui s’ouvre et s’offre comme un lotus et non du fœtus refermé sur son passé que le Marquis attend le réveil. IL la contemple longuement sans la déranger, voulant se laisser le temps de savourer le silence de ces instants volés aux regards de la dormeuse. Son érection est extrême et son excitation est à son comble de la voir ainsi nue à Ses pieds, si vulnérable, si fragile. Le petit jour est en train de poindre depuis quelque temps, quand son Maître se décide à réveiller enfin Sa soumise, toujours endormie, d’une voix coquine et matinale :
- Thaïs, Ma petite chienne, approche de plus près, j’ai une surprise à te montrer !
IL pose Son pied à plat sur le corps de la belle endormie pour la secouer et la sortir de ses songes. Thaïs ressent la chaleur du pied de son Maître qui parcourt son corps dont la peau s’est rafraîchie pendant la nuit. Elle sursaute quand elle sent la jambe du Marquis qui cherche à dérouler son corps et à se faire une petite place entre ses cuisses. Le Maître se penche sur le rebord du lit et tend le bras pour attraper la main de la petite chienne qui est toujours allongée sur la descente de lit au pied du grand lit qui a servi de couche moelleuse et chaude au Marquis d’Evans. IL la tire jusqu’à lui sous l’épaisse couche de la couette blanche et la prend dans Ses bras pour la réchauffer et finir d’éveiller ses sens. C’est là qu’IL s’aperçoit que Thaïs a des larmes qui viennent de couler de ses yeux.
- Pourquoi pleures-tu Ma belle ? L’heure n’est sûrement pas aux larmes, c’est le matin, l’heure est aux câlins avec entrain.
- Mon Maître Vénéré, c’est que je viens de faire un horrible cauchemar. Puis-je Vous le raconter car il hante mon souvenir et je ne voudrais pas qu’il s’agisse d’un rêve prémonitoire (le Maître acquiesce d’un signe de tête). J’étais dans un marais puant, si embourbé, et j’avais mis le pied dans un sable mouvant qui m’avalait sans cesse. Plus j’essayais de me débattre, plus je m’enfonçais et je me sentais perdue prête à succomber étouffée. Je cherchais en vain une branche pour m’accrocher et ne pas m’enliser, mais autour de moi, il n’y avait que du vide et personne pour entendre mes cris de désespoir. Tout d’un coup, venue de nulle part, une branche amie s’est penchée vers moi et m’a dit « accroche toi, tu n’as rien à craindre, je suis là ». J’ai cru que je pouvais l’attraper en confiance, ne voyant pas d’autres solutions à portée de mains et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, tout à disparu comme par magie, à la place du sable mouvant, il y avait un gouffre qui me dévorait et labourait chaque parcelle de mon corps, abîme sans fond dans lequel je sombrais indéfiniment, ayant perdu toute consistance, sauf la conscience d’une douleur sans nom.
- Laisse tomber tes états d’âme, Thaïs, tu sais bien à quel point, ils peuvent être néfastes pour toi. J’ai déjà essayé de te prévenir mais tu ne m’écoutes pas assez et tu manques de confiance en toi et surtout en Moi. Tu sais bien que Je ne laisserai jamais tomber la soumise que tu es devenue pour Moi et J’espère bien que tu ne renonceras jamais à ton Maître Vénéré, car notre histoire ne fait que commencer… Tu es glacée, laisse moi te réchauffer, il est temps de penser à autre chose de plus ré-jouissant et de bien, bien plus réel et excitant. Promets-moi d’oublier cela, tu vois bien que ce n’était qu’un cauchemar, la réalité est là, tu es à Mes côtés et je vais m’occuper de toi, Ma Thaïs, Ma soumise, Je te le promets et puis J’ai besoin de toi pour Mes affaires, as-tu déjà oublié pourquoi tu es venue me rejoindre ce Week-end. Mais avant de recevoir nos invités et de faire affaire avec eux, J’ai à faire avec toi et avec tes orifices… Descends un peu plus bas, il y a une surprise qui t’attend depuis trop longtemps à ‘’l’étage au dessous’’.
Le Maître pousse la tête de la soumise vers son bas-ventre où se trouve un pieu majestueusement dressé qu’elle découvre en se rapprochant, encore plus gros que ce qu’il était dans son souvenir. Mais dans le même temps, IL attrape les chevilles, l’une après l’autre de Sa soumise qu’IL ramène vers lui, lui faisant enjamber son corps pour qu’elle se retrouve en levrette inversée, lui offrant une vue imprenable sur le sexe et la croupe redressée de la chienne qui s’était très vite réchauffée. Tel le lotus, les lèvres de la soumise ouvrent leur corolle onctueuse de rosée déjà présente en ces heures matinales. Tandis qu’elle a de quelques baisers préalables et coups de langue sur tout le Vit, finit pas accueillir le membre gonflé de son Maître au plus profond de sa gorge. Cherchant à faire venir le désir dans la queue qu’elle lèche avec un réel plaisir et une expérience certaine. Car elle a décidé que tant que son Maître ne lui dirait rien et ne montrerait pas d’empressement à jouir, elle ferait durer Son plaisir au maximum. Le lâchant juste avant le moment où elle sent Son désir prêt à jaillir, pour pouvoir de savoureux coups de langue sur Ses couilles gonflées et sur Son bâton de joie lui laisser le temps de reprendre son souffle et de pouvoir profiter encore de cet instant déjà captivant qui précède l’éjaculation. Revenant ensuite à l’assaut faisant tourner sa langue sur le gland si gonflé qu’elle humidifie de sa salive si onctueuse pour enfin de ses lèvres humides. Embrassant cette verge tendue, voluptueusement, l’aspirant et le dévorant, avant de laisser replonger le pieu viril dans sa bouche grandement ouverte et offerte.
C’est alors que le Maître attrape l’un des godes qu’IL a pris soin de déposer sur la table de nuit à portée de mains, et qu’IL le trempe dans la caverne onctueuse de la femelle qui s’ouvre encore plus laissant couler quelques gouttes de sa cyprine abondante sur la main et le torse de son amant. IL ne fait que quelques allers et venues au sein de la chatte si réceptive, pour se frayer aussi sec un chemin dans le plus petit sentier qui sépare les deux globes de ses fesses. Thaïs est si excitée qu’elle s’ouvre encore plus et projette ses fesses en arrière pour s’empaler elle-même sur le leurre en plastique qui lui pourfend le cul, tandis que le sexe bien réel de son Maître est en train de la baiser sauvagement dans la bouche et qu’elle sent qu’IL va se répandre bientôt en elle, tandis que les coups s’accélèrent et se font plus sauvages.
- Tu ne jouis pas Thaïs ! Tu as bien compris, je ne t’en ai pas donné l’autorisation !
- Non Maître, je sais que Vous ne m’avez rien autorisé, dit-elle tandis qu’elle reprend son souffle entre deux assauts de son Maître.
- D’ailleurs, je ne veux pas que tu jouisses de cette fellation et de ma pénétration, j’ai d’autres exigences pour toi, envie de te faire vivre autre chose ce matin. Ne me déçois pas ! Ne jouis pas et retiens toi. J’ai dit.
Le Maître pour bien marquer son emprise donne aussi sec deux fessées bien appuyées sur la chienne qu’IL travaille dans son fondement tout en même temps qu’IL lui baise la bouche et qu’IL vient de laisser la trace rouge de ses deux grandes mains dominatrices sur chacune des fesses de la soumise. Thaïs ne sait comment faire pour résister, elle tente de se concentrer juste sur le plaisir de son Maître qui la laboure des deux côtés à la fois, et elle sent enfin la Semence de son amant se répandre au fond de sa gorge, un nectar chaud et puissant qui jaillit longuement et abondamment, allant presque jusqu’à l’étouffer car IL lui faudra plusieurs déglutitions pour pouvoir à nouveau retrouver la possibilité d’ouvrir la bouche et d’y faire pénétrer assez d’air pour lui laisser reprendre son souffle.
- Ah, c’est bon de jouir en toi, bonne chienne ! Tu m’as vraiment vidé ce matin, as-tu conscience de la dose que tu m’as fait gicler, ajoute-t’Il tandis qu’Il dégage peu à peu son sexe de la bouche de la chienne qui l’avait conduit jusqu’au plaisir extrême.
Thaïs ne sait ce qu’elle doit faire tandis que son Maître reprend Ses forces, allongé et bras inertes, ayant fermé les yeux quelques secondes pour prolonger le plaisir dont Il a pu jouir. Elle n’ose bouger pour ne pas rompre cet instant qu’elle sait sublime, quand le corps s’apaise dans le bien-être après la montée en puissance. Elle est heureuse d’avoir été source de plaisirs pour son Maître Vénéré. Elle se met soudain à repenser au cauchemar au sortir duquel elle s’est réveillée quelques minutes plus tôt, ne sachant plus très bien si ce n’est pas en ce moment qu’elle est en train de rêver et si ce n’est pas dans quelques instants qu’elle va à nouveau se réveiller pour s’apercevoir que la réalité était autre et qu’elle a juste imaginé avoir pu trouver un Maître Vénéré aux pieds duquel elle aurait la chance de pouvoir trouver enfin le bonheur pour la soumise qu’elle cherchait à devenir. Mais Thaïs n’a pas le temps de se laisser reprendre dans ses songes perturbateurs, le Maître s’est levé du lit et Il se tient debout, droit, si grand et de Sa voix lourde et imposante, Il scande :
- Aux pieds de ton Maître, chienne ! … Tu sais bien que ta place est ici et seulement ici ! … Qui es-tu ?
- Je suis l’esclave-soumise Thaïs de mon Maître Vénéré, le Marquis d’Evans ;
- En es-tu certaine ?
- Oui, Maître. Et s’il m’arrivait un jour de l’oublier ou d’en douter, s’il vous plait, mon Maître, ne l’oubliez pas, Vous, surtout.
- A qui appartiens-tu ?
- Tant que Vous m’accepterez comme soumise, je Vous appartiens corps, esprit et âme. Je suis toute à Vous, avec tout ce que je suis, le bon de moi et le moins bon aussi, avec ma force de caractère et toute ma fragilité intérieure.
- En es-tu certaine ?
- Oui, Maître, j’en suis certaine. Je Vous appartiens de toute éternité et pour toujours, que Vous vouliez ou non de moi et que Vous me reconnaissiez ou non comme Votre soumise MDE. Je porte Vos initiales autour de mon cou et la marque de Votre pouvoir sur moi gravée de manière invisible au plus profond de mon âme, là où personne ne peut l’effacer, car une marque au fer rouge n’a que peu de prise sur un corps que l’on peut écorcher vif, seul ce qui s’inscrit dans l’invisible du cœur et de l’âme que Vous avez su atteindre et ébranler est marqué à vie comme marque de Votre possession authentique…
Et la soumise ajoute d’une petite voix tandis qu’elle se penche pour déposer sur les pieds de son Maître Vénéré un baiser humble et respectueux
- Mais je n’ai, mon Maître Vénéré, que moi à Vous offrir, et non pas une autre. Et c’est tout moi, que je voulais et croyais devoir Vous offrir, car je suis entière et ne sait pas retenir une partie de moi qui ne se livrerait pas avec le reste, et je ne sais pas plus me partager sans me consumer.
Le Maître ne peut que se trouver attendri car Thaïs est vraiment particulière, authentique et bien plus sensible que toutes les soumises qui se sont jetés à Ses pieds. Faisant confiance à son intuition, Il sait qu’Il entraînera loin Sa soumise Thaïs pour peu qu’Il sache la comprendre et l’entendre.
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te faire goûter à quelque chose de nouveau pour toi. C’est une jouissance d’une autre nature que je veux te faire découvrir. La femme en toi apprécie déjà les plaisirs charnels de toutes sortes et la femme fontaine que tu es depuis des années coule déjà abondamment dans les orgasmes qui chavirent son corps, mais la soumise que tu n’es pas encore ne sait rien ou si peu de la joie d’être sous le joug de son dominant, totalement à sa merci et du réel plaisir de la présence d’un Vrai Maître à Ses côtés.
Thaïs redresse sa tête qui est encore posée au sol devant les pieds de son Maître et se met à quatre pattes comme son Maître vient de l’exiger. Elle garde la tête baissée, les yeux fermés et ne dit mot. Elle sent la laisse se tendre et se laisse conduire sans savoir où Il l’entraîne à sa suite. La chambre est gigantesque, on pourrait presque y construire un appartement de deux ou trois pièces. Le plafond est composé d’immenses poutres en bois d’origine. La pièce a presque deux étages de haut, et à une hauteur déjà conséquente, il y a deux poutres majestueuses qui traversent de part en part la grande pièce. Sûrement dans des temps anciens, le château a eu d’autres utilisations et d’autres séparations de niveau. Ces deux poutres maîtresses sont restées telle une ossature mise à nue par des transformations de structure. Elles se trouvent à plus de deux mètres de haut et le Marquis a tout de suite eu l’idée de s’en servir pour y faire suspendre les cordes qu’Il avait fait livrer dans le carton afin de s’amuser un peu avec Sa soumise et lui faire découvrir toutes ces belles choses auxquelles Il veut l’initier pour qu’elle devienne une soumise accomplie qui se pliera à tous Ses désirs pervers ou non.
Après lui avoir fait faire quelques pas pour la positionner au bon endroit, le Marquis d’Evans prend un foulard noir qu’Il noue sur les yeux de Thaïs, l’enfermant dans la nuit des sensations décuplées et laissant la belle ignorante de tout de ce que son Maître manigance. Il retourne dans le salon de la suite et récupère tout le matériel dont Il a besoin pour entraver la soumise, la voulant totalement à Sa merci, encore plus mise à nue dans sa fragilité. Il jette par-dessus chacune des deux poutres une corde et se trouve donc avec quatre brins qui pendent à sa portée. Il redresse Thaïs qui ne l’ayant pas senti sursaute tandis qu’Il passe Sa main sous son bras pour la faire se lever. La soumise sent son cœur qui se met à battre, elle comprend bien que ce qui va se passer et qui encore fait partie d’un monde inconnu d’elle. Le marquis attache chacune de ses mains à l’un des brins de la corde pour l’instant toujours sans tension. Thaïs commence à trembler mais elle n’ose toujours pas parler. Elle croyait bien qu’Il lui dirait avant ce qu’Il allait lui faire subir, mais le silence de son Maître lui parait si pesant en cet instant. Thaïs laisse son Maître tendre les cordes qui ont pour effet d’étirer ses bras en croix. Le Maître récupère les deux autres brins qu’Il attache aussi sec aux pieds de la soumise qui se trouve ainsi écartelée en croix, les muscles étirés en X entre les deux poutres. Sous son bandeau, elle ferme ses yeux et se sent si vulnérable, mais en train d’oublier les chaînes de son passé et de renaître en ce jour, librement entravée par celui à Qui elle s’est offerte...
(A suivre …)
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Les avis des lecteurs
Merci. Une belle chienne soumise, attachée et offerte. Bien vulnérable. C'est prometteur...