La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°239)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°239)
Suite de l'épisode précédent N°236 ''Chris au Château -
Chris était debout, nue au milieu de la pièce. Sa peau lui disait que l’air de cette pièce était tiède mais pas trop chaude. Elle se sentait irradiée par une douce chaleur qui rayonnait d’un seul endroit. Comme elle ne voyait rien, ni n’entendait d’autres bruits que ceux de ses battements de cœur et de sa respiration, elle ne pouvait pas « voir » cet endroit. Le Marquis d’Evans était fasciné par Sa soumise dont la lumière de l’âtre léchait, illuminait la peau blanche et fine de la belle Chris. Il la sentait couler sous Ses caresses, sa chatte était grande ouverte. Gardant Ses autres doigts dans sa chatte, il saisit son clito en érection entre Son pouce et Son index lui pinça en roulant l’organe entre Ses doigts. Il sentait le corps de Sa chienne se tendre et sa croupe emplie du gros god se cambrer sous Son action. La soumise ouvrit la bouche pour mieux respirer. Elle coulait abondamment sur la main de son Maître. Sous Ses caresses, ses seins s’étaient dressés, insolents. Mu par pulsion, le Marquis d’Evans attrapa la laisse de Sa chienne et l’attirant à terre en repoussant d’un coup de pied la petite table basse en fer forgé recouverte d’un plateau de verre qui prenait place sur l’épais tapis. Chris atterrit sur les genoux, chute bien amortie par l’épaisseur du tapis avec lequel son corps faisait connaissance.
Il était à terre avec Sa soumise qu’Il fessa un grand coup pour lui faire perdre un peu plus le sens de l’orientation. Chris se recroquevilla instinctivement. Il ressaisit la laisse pour la secouer et lui donna une nouvelle fessée. Chris toujours sourde et aveugle ne comprenait plus ce qu’il se passait. Pourquoi le Maître la brutalisait de la sorte alors qu’Il avait été si doux avec elle jusqu’à présent ? Le Marquis, lui, savait très bien ce qu’Il faisait et Il souriait d’un air sadique en turbulent Sa soumise. Il avait senti Sa petite chienne si excitée par ce qui venait de se passer qu’Il lui fallait faire retomber cette excitation au plus bas niveau pour leur plus grand plaisir à venir… Chris gisait à présent allongée sur le côté, elle dont le corps attendait la prochaine fessée. Maître d’Evans approcha d’elle et d’un geste lui pris la gorge de sa main ample comme pour enfoncer la tête de Sa soumise dans le tapis. De son autre main Il lui écarta les jambes largement de manière à ce que le sexe de Sa chienne soit bien visible. Chris en ressentit un sentiment d’humiliation encore plus grand lorsque son Maître lui mis Sa main chaude sur sa chatte et lui enserra vivement le mont de Vénus. Elle voulait bouger mais elle ne pouvait. Le Maître garda Sa pression aux deux endroits sans plus bouger. Chris se sentit alors son corps se remplir de force fulgurante. Il savait où il appuyait : Il s’employait à ouvrir les points d’énergie sexuelle de Sa novice de soumise. Il desserra la pression du bas ventre de Sa soumise pour lui reprendre ses caresses. Elle le transportait dans Son art de la Domination, plus encore Il se sentait devenir encore plus vicieux qu’Il ne l’avait jamais été.
Pour tester son action, lentement, Il introduit deux doigts dans son vagin. Oui ! Cela avait fonctionné. La source de Chris était à présent presque tarie de mouille. Elle était prête. Avant de s’envoler pour la Jouissance, Il allait la baptiser… Alors Le Marquis d’Evans lui enleva le bandeau lui recouvrant la tête. Chris découvrit l’endroit. Lumière tamisée juste créée par le feu dans l’âtre immense devant lequel ils se trouvaient. La pièce était spacieuse mais peu meublée et aménagée de manière à ce que tout soit centré par rapport à l’antique cheminée. Les tapisseries qui recouvraient les murs dépeignaient tout à tour des scènes tendres d’amants en action et de belles scènes de D/s. Le mobilier avec un bureau style Régence et son fauteuil assorti, une bibliothèque et un grand canapé du même cuir bleuté que celui recouvrant la table bureau. La table en fer forgé que le Marquis avait repoussé aux pieds du canapé donnait à la pièce un ensemble fin, équilibré et chaleureux… Il se dévêtit complètement, la prit dans Ses bras et l’emmena dans la pièce dérobée dont l’entrée se trouvait à côté de la cheminée. Il avait rivé son regard hypnotisant dans celui de Sa soumise. Son bâton de jade présentait une belle érection d’avoir Sa soumise contre Son corps :
- Ma petite chienne, tu vas vivre un moment important de ta vie de soumise. Avant de t’apprendre à jouir, Ton Maître va maintenant te baptiser, te marquer dans tes chairs. Tu sauras ainsi à qui tu appartiens à jamais. Si je t’ai démasqué les yeux c’est parce que je veux que tu vois et que tu ais pleinement conscience de la solennité de ce moment pour Ton maître et pour toi.
Le Maître vit un brin de crainte naître dans les yeux de Sa soumise. Il l’a serra un peu plus contre Son torse, elle qui n’était vêtue que de son collier, de sa laisse et du plug qu’elle avait toujours dans son fondement… Ils pénétraient maintenant dans la pièce dérobée. Elle était petite mais suffisamment vaste pour pouvoir facilement se mouvoir à deux ou à trois. La pièce était aménagée comme une immense douche italienne dont les murs étaient carrelés avec un matériau aussi réfléchissant qu’un miroir. Le Marquis sourit de voir que Marie la cuisinière lui avait tout préparé sans rien oublier. Il y avait du linge de toilettes aux armoiries des Evans suspendus au porte-serviettes chauffant, du nécessaire de toilettes. Chris aperçu également des plugs, des godes de toutes tailles mais aussi quelques petites boites mystérieuses et d’étranges sébiles par-dessus l’épaule du Marquis. Celui-ci déposa Sa soumise au sol. Elle remarqua que le sol en petits galets lisses et ronds rayonnait d’une douce chaleur.
- Ma belle, tu sais que Je t’aime et Je sais que tu m’aimes. Tu es à Mes pieds, tu vas rester ainsi, immobile et tu vas ouvrir ta bouche de chienne sans la refermer quoi qu’il t’arrive. Je te l’ordonne ! Ton cul est plein de Ma semence et le plug que je t’ai fourré dans le cul le préserve de toute fuite. Je sais que tu ne dois pas être à ton aise mais Je décide, tu obéis.
A ces mots, le Noble pris Son vit qui arborait une couleur rouge violacé de désirs les plus vifs dans Sa main et commença à uriner dans la bouche de sa soumise :
- Chris, Je te baptise de Mon urine, bois-la avec honneur, (il orienta ensuite le jet sur les seins de Sa soumise) Que ces seins m’appartiennent, Que ta chatte M’appartienne. Petite salope de chienne à présent tu deviens Chris, MA Salope de Chienne soumise !
Sa vessie vidée le Noble se détourna de Sa soumise toujours étendue à terre, qui gardant la bouche ouverte de stupéfaction suite à ce qui venait de se passer, n’avait toujours pas osé avaler l’urine de son Maître. Son corps était détrempée de la Douche Dorée qu’elle venait de recevoir.
- Ma petite salope, si tu crois que je vais me souiller pour que tu avales la première offrande que ta bouche de salope vient de recevoir… Stança-t-il.
Le Maître se retourna les mains gantées de cuir noir et toisa Sa soumise très sévèrement. Chris était comme hypnotisée par son Maître qui s’accroupit à côté d’elle avec le même air sévère. Il lui empoigna le menton d’une main et de l’autre Il lui boucha le nez.
- Je pensais bien que tu serais complètement paniquée, Ma belle, lui dit-il d’un air radoucis. Je suis désolée de devoir en arriver là mais tu ne me laisses pas le choix.
Bien qu’entraînée, Chris ne fut pas longue à suffoquer par manque d’air et avala l’eau de baptême de son Maître. Puis repris sa respiration. Le Marquis lâcha Sa prise, ôta son collier et sa laisse du cou de Sa soumise et se dirigea vers la douche. Il se lava, la laissant encore un peu allongée dans Son urine pour qu’elle comprenne à qui elle avait à faire, d’une part et qu’elle comprenne ce premier don que le Noble venait de lui faire. Il remarquait que Son vit était toujours tendu, et rafraîchit un peu la température de l’eau pour se calmer. Il lui devenait de plus en plus difficile de ne pas se jeter sur Sa Chris pour la baiser. « Non, non, pas encore, respire Edouard, Chris n’est pas encore tout à fait prête ! » se dit-il en se souriant… En effet, Il avait prévu de marquer la nuit de Sa soumise de différentes façons. La soumise n’avait pas bougé d’un pouce lorsqu’Il se retourna vers elle. Il prit la pomme de la douche, la dévissa et entreprit de laver également Sa soumise. Il aurait pu appeler Marie ou Rose qui habituellement étaient chargées de ces basses tâches de laver Ses soumis et soumises après qu’Il s’en était occupé mais Il préférait poursuivre. Le Maître lavait Sa soumise au jet comme on lave un cheval après une promenade en forêt lui la poussant du pied pour la faire se retourner. Chris gémissait de plaisirs.
Elle lui montrait son cul au milieu duquel la base du plug saillait. Il ressentait à nouveau cette pulsion dans Son bassin. Il arrêta l’eau et envoya un drap de bain en direction de sa chienne.
- Ton Maître t’a lavé maintenant sèche-toi, nous avons encore des choses à faire, lui lança-t-il tout en se dirigeant vers la petite vasque du lavabo et des instruments qui étaient posés à côté.
Il plaça un peu de charbon dans une sébile et sorti un petit sceau marqués des deux lions gaulois dressés, se faisant face, ornant Son blason. Il plaça le sceau dans le charbon. Pendant ce temps, Chris s’était assise tant bien que mal sur le sol et s’essuyait. Elle se surprenait d’avoir avalé l’urine de son Maître et tenta :
- Maître ? dit-elle timidement en regardant au sol.
Le Marquis se retourna et vit la position de Sa soumise : Il en était fier.
- Oui, chienne Chris ?
- M… merci. Maître Edouard.
- Merci pourquoi ?
- Merci pour ce cadeau. Maître. Je vous suis reconnaissante de m’avoir baptisé ainsi… Je…
- Hum… Ce n’est qu’un début, Ma belle petite chienne, ce n’est qu’un début… dit-il lui coupant la parole (et en la regardant de Ses yeux clairs et brillants)… Chris, met-toi en position quadrupède en me tournant le dos, ton cul face à Moi.
Chris s’exécutait sans mot dire et se mit à quatre pattes. Elle s’attendait à ce qu’Il lui remette son collier, ce collier qui lui manquait à son état de chienne.
- Oui, reste ainsi et ne bouge plus.
Il s’approcha d’elle avec le sceau et une petite fiole d’onguent entre Ses dents. Le Maître se plaça sur le dos de Sa soumise à califourchon lui enserrant les côtes comme s’Il montait un cheval. En cavalier émérite qu’Il était la position était facile. Il savait qu’elle supporterait Son poids sans problème. D’une main Il lui prit les cheveux qu’Il tira pour bloquer la tête de Sa soumise et dans le même mouvement de l’autre, Il attrapa le sceau et l’appuya brièvement sur le gras de l’épaule. Chris hurla aussi fort qu’en début de soirée mais cette fois-ci plus de surprise que de douleur.
- Voici ton second baptême, reçoit-le et soit-en fière. Tu viens d’être marquée aux armes de Mes illustres ancêtres comme l’étaient leurs esclaves à l’époque.
Chris ne tenait plus la position, des larmes roulaient sur ses joues. La brûlure avait été tellement intense. La douleur dans la chair de son épaule était lancinante. Elle n’avait jamais ressenti une telle chose. L’odeur de chair brûlée lui donnait des haut-le-cœur. Jugeant que Sa torture avait été assez loin, le Marquis lâcha le sceau qui tomba sur le sol. Il déboucha alors la petite fiole et versa un peu de son contenu sur le feu de la brûlure. Il attendit un peu que le muscle de Sa soumise se débande et doucement commença à masser l’endroit où Son fer avait entamé la chair.
- Tout doux, Ma petite chienne adorée, tout doux, lui dit-il de sa voix la plus douce. (Il desserra son étreinte autour du corps de Sa soumise, qui s’affala sur le sol). Allez, viens-là, dans Mes bras, lui dit le Noble en l’attirant à Lui de Ses mains et refermant Ses bras sur le corps de son amour de soumise.
A ces mots, Il se releva et prit Chris tendrement dans Ses bras, qui, enfin sanglota à chaudes larmes dans les bras de son Amour de Maître. Elle s’y blottit et posa sa tête sur la solide et douce poitrine de son Maître. Ils restèrent ainsi un moment. Le Marquis Edouard d’Evans caressait la tête de Sa petite chienne avec une infinie tendresse, attendant que la source de ses yeux se tarisse avant d’entreprendre de faire couler à nouveau une autre source… Il savait que ces moments de tensions qu’il venait de faire vivre à Chris, allaient les emmener vers une jouissance la plus fulgurante… Il se releva portant Sa soumise dans Ses bras pour repasser dans la pièce d’où crépitait l’âtre majestueux. Il la déposa doucement sur l’épais tapis. Il lui passa la main dans les cheveux. Le Marquis rapprocha la table basse et y prit place la regardant reprendre doucement des couleurs. Le regard de la soumise était empli de bonheur, elle se sentait si bien, si heureuse. Et même si le marquage lui avait procuré une vive douleur, celle-ci était bien peu de chose face au sublime bonheur de se sentir appartenir pleinement à son divin Maître. Elle lui appartenait totalement, elle était à Ses pieds et seul cela comptait…
(A suivre...)
Chris était debout, nue au milieu de la pièce. Sa peau lui disait que l’air de cette pièce était tiède mais pas trop chaude. Elle se sentait irradiée par une douce chaleur qui rayonnait d’un seul endroit. Comme elle ne voyait rien, ni n’entendait d’autres bruits que ceux de ses battements de cœur et de sa respiration, elle ne pouvait pas « voir » cet endroit. Le Marquis d’Evans était fasciné par Sa soumise dont la lumière de l’âtre léchait, illuminait la peau blanche et fine de la belle Chris. Il la sentait couler sous Ses caresses, sa chatte était grande ouverte. Gardant Ses autres doigts dans sa chatte, il saisit son clito en érection entre Son pouce et Son index lui pinça en roulant l’organe entre Ses doigts. Il sentait le corps de Sa chienne se tendre et sa croupe emplie du gros god se cambrer sous Son action. La soumise ouvrit la bouche pour mieux respirer. Elle coulait abondamment sur la main de son Maître. Sous Ses caresses, ses seins s’étaient dressés, insolents. Mu par pulsion, le Marquis d’Evans attrapa la laisse de Sa chienne et l’attirant à terre en repoussant d’un coup de pied la petite table basse en fer forgé recouverte d’un plateau de verre qui prenait place sur l’épais tapis. Chris atterrit sur les genoux, chute bien amortie par l’épaisseur du tapis avec lequel son corps faisait connaissance.
Il était à terre avec Sa soumise qu’Il fessa un grand coup pour lui faire perdre un peu plus le sens de l’orientation. Chris se recroquevilla instinctivement. Il ressaisit la laisse pour la secouer et lui donna une nouvelle fessée. Chris toujours sourde et aveugle ne comprenait plus ce qu’il se passait. Pourquoi le Maître la brutalisait de la sorte alors qu’Il avait été si doux avec elle jusqu’à présent ? Le Marquis, lui, savait très bien ce qu’Il faisait et Il souriait d’un air sadique en turbulent Sa soumise. Il avait senti Sa petite chienne si excitée par ce qui venait de se passer qu’Il lui fallait faire retomber cette excitation au plus bas niveau pour leur plus grand plaisir à venir… Chris gisait à présent allongée sur le côté, elle dont le corps attendait la prochaine fessée. Maître d’Evans approcha d’elle et d’un geste lui pris la gorge de sa main ample comme pour enfoncer la tête de Sa soumise dans le tapis. De son autre main Il lui écarta les jambes largement de manière à ce que le sexe de Sa chienne soit bien visible. Chris en ressentit un sentiment d’humiliation encore plus grand lorsque son Maître lui mis Sa main chaude sur sa chatte et lui enserra vivement le mont de Vénus. Elle voulait bouger mais elle ne pouvait. Le Maître garda Sa pression aux deux endroits sans plus bouger. Chris se sentit alors son corps se remplir de force fulgurante. Il savait où il appuyait : Il s’employait à ouvrir les points d’énergie sexuelle de Sa novice de soumise. Il desserra la pression du bas ventre de Sa soumise pour lui reprendre ses caresses. Elle le transportait dans Son art de la Domination, plus encore Il se sentait devenir encore plus vicieux qu’Il ne l’avait jamais été.
Pour tester son action, lentement, Il introduit deux doigts dans son vagin. Oui ! Cela avait fonctionné. La source de Chris était à présent presque tarie de mouille. Elle était prête. Avant de s’envoler pour la Jouissance, Il allait la baptiser… Alors Le Marquis d’Evans lui enleva le bandeau lui recouvrant la tête. Chris découvrit l’endroit. Lumière tamisée juste créée par le feu dans l’âtre immense devant lequel ils se trouvaient. La pièce était spacieuse mais peu meublée et aménagée de manière à ce que tout soit centré par rapport à l’antique cheminée. Les tapisseries qui recouvraient les murs dépeignaient tout à tour des scènes tendres d’amants en action et de belles scènes de D/s. Le mobilier avec un bureau style Régence et son fauteuil assorti, une bibliothèque et un grand canapé du même cuir bleuté que celui recouvrant la table bureau. La table en fer forgé que le Marquis avait repoussé aux pieds du canapé donnait à la pièce un ensemble fin, équilibré et chaleureux… Il se dévêtit complètement, la prit dans Ses bras et l’emmena dans la pièce dérobée dont l’entrée se trouvait à côté de la cheminée. Il avait rivé son regard hypnotisant dans celui de Sa soumise. Son bâton de jade présentait une belle érection d’avoir Sa soumise contre Son corps :
- Ma petite chienne, tu vas vivre un moment important de ta vie de soumise. Avant de t’apprendre à jouir, Ton Maître va maintenant te baptiser, te marquer dans tes chairs. Tu sauras ainsi à qui tu appartiens à jamais. Si je t’ai démasqué les yeux c’est parce que je veux que tu vois et que tu ais pleinement conscience de la solennité de ce moment pour Ton maître et pour toi.
Le Maître vit un brin de crainte naître dans les yeux de Sa soumise. Il l’a serra un peu plus contre Son torse, elle qui n’était vêtue que de son collier, de sa laisse et du plug qu’elle avait toujours dans son fondement… Ils pénétraient maintenant dans la pièce dérobée. Elle était petite mais suffisamment vaste pour pouvoir facilement se mouvoir à deux ou à trois. La pièce était aménagée comme une immense douche italienne dont les murs étaient carrelés avec un matériau aussi réfléchissant qu’un miroir. Le Marquis sourit de voir que Marie la cuisinière lui avait tout préparé sans rien oublier. Il y avait du linge de toilettes aux armoiries des Evans suspendus au porte-serviettes chauffant, du nécessaire de toilettes. Chris aperçu également des plugs, des godes de toutes tailles mais aussi quelques petites boites mystérieuses et d’étranges sébiles par-dessus l’épaule du Marquis. Celui-ci déposa Sa soumise au sol. Elle remarqua que le sol en petits galets lisses et ronds rayonnait d’une douce chaleur.
- Ma belle, tu sais que Je t’aime et Je sais que tu m’aimes. Tu es à Mes pieds, tu vas rester ainsi, immobile et tu vas ouvrir ta bouche de chienne sans la refermer quoi qu’il t’arrive. Je te l’ordonne ! Ton cul est plein de Ma semence et le plug que je t’ai fourré dans le cul le préserve de toute fuite. Je sais que tu ne dois pas être à ton aise mais Je décide, tu obéis.
A ces mots, le Noble pris Son vit qui arborait une couleur rouge violacé de désirs les plus vifs dans Sa main et commença à uriner dans la bouche de sa soumise :
- Chris, Je te baptise de Mon urine, bois-la avec honneur, (il orienta ensuite le jet sur les seins de Sa soumise) Que ces seins m’appartiennent, Que ta chatte M’appartienne. Petite salope de chienne à présent tu deviens Chris, MA Salope de Chienne soumise !
Sa vessie vidée le Noble se détourna de Sa soumise toujours étendue à terre, qui gardant la bouche ouverte de stupéfaction suite à ce qui venait de se passer, n’avait toujours pas osé avaler l’urine de son Maître. Son corps était détrempée de la Douche Dorée qu’elle venait de recevoir.
- Ma petite salope, si tu crois que je vais me souiller pour que tu avales la première offrande que ta bouche de salope vient de recevoir… Stança-t-il.
Le Maître se retourna les mains gantées de cuir noir et toisa Sa soumise très sévèrement. Chris était comme hypnotisée par son Maître qui s’accroupit à côté d’elle avec le même air sévère. Il lui empoigna le menton d’une main et de l’autre Il lui boucha le nez.
- Je pensais bien que tu serais complètement paniquée, Ma belle, lui dit-il d’un air radoucis. Je suis désolée de devoir en arriver là mais tu ne me laisses pas le choix.
Bien qu’entraînée, Chris ne fut pas longue à suffoquer par manque d’air et avala l’eau de baptême de son Maître. Puis repris sa respiration. Le Marquis lâcha Sa prise, ôta son collier et sa laisse du cou de Sa soumise et se dirigea vers la douche. Il se lava, la laissant encore un peu allongée dans Son urine pour qu’elle comprenne à qui elle avait à faire, d’une part et qu’elle comprenne ce premier don que le Noble venait de lui faire. Il remarquait que Son vit était toujours tendu, et rafraîchit un peu la température de l’eau pour se calmer. Il lui devenait de plus en plus difficile de ne pas se jeter sur Sa Chris pour la baiser. « Non, non, pas encore, respire Edouard, Chris n’est pas encore tout à fait prête ! » se dit-il en se souriant… En effet, Il avait prévu de marquer la nuit de Sa soumise de différentes façons. La soumise n’avait pas bougé d’un pouce lorsqu’Il se retourna vers elle. Il prit la pomme de la douche, la dévissa et entreprit de laver également Sa soumise. Il aurait pu appeler Marie ou Rose qui habituellement étaient chargées de ces basses tâches de laver Ses soumis et soumises après qu’Il s’en était occupé mais Il préférait poursuivre. Le Maître lavait Sa soumise au jet comme on lave un cheval après une promenade en forêt lui la poussant du pied pour la faire se retourner. Chris gémissait de plaisirs.
Elle lui montrait son cul au milieu duquel la base du plug saillait. Il ressentait à nouveau cette pulsion dans Son bassin. Il arrêta l’eau et envoya un drap de bain en direction de sa chienne.
- Ton Maître t’a lavé maintenant sèche-toi, nous avons encore des choses à faire, lui lança-t-il tout en se dirigeant vers la petite vasque du lavabo et des instruments qui étaient posés à côté.
Il plaça un peu de charbon dans une sébile et sorti un petit sceau marqués des deux lions gaulois dressés, se faisant face, ornant Son blason. Il plaça le sceau dans le charbon. Pendant ce temps, Chris s’était assise tant bien que mal sur le sol et s’essuyait. Elle se surprenait d’avoir avalé l’urine de son Maître et tenta :
- Maître ? dit-elle timidement en regardant au sol.
Le Marquis se retourna et vit la position de Sa soumise : Il en était fier.
- Oui, chienne Chris ?
- M… merci. Maître Edouard.
- Merci pourquoi ?
- Merci pour ce cadeau. Maître. Je vous suis reconnaissante de m’avoir baptisé ainsi… Je…
- Hum… Ce n’est qu’un début, Ma belle petite chienne, ce n’est qu’un début… dit-il lui coupant la parole (et en la regardant de Ses yeux clairs et brillants)… Chris, met-toi en position quadrupède en me tournant le dos, ton cul face à Moi.
Chris s’exécutait sans mot dire et se mit à quatre pattes. Elle s’attendait à ce qu’Il lui remette son collier, ce collier qui lui manquait à son état de chienne.
- Oui, reste ainsi et ne bouge plus.
Il s’approcha d’elle avec le sceau et une petite fiole d’onguent entre Ses dents. Le Maître se plaça sur le dos de Sa soumise à califourchon lui enserrant les côtes comme s’Il montait un cheval. En cavalier émérite qu’Il était la position était facile. Il savait qu’elle supporterait Son poids sans problème. D’une main Il lui prit les cheveux qu’Il tira pour bloquer la tête de Sa soumise et dans le même mouvement de l’autre, Il attrapa le sceau et l’appuya brièvement sur le gras de l’épaule. Chris hurla aussi fort qu’en début de soirée mais cette fois-ci plus de surprise que de douleur.
- Voici ton second baptême, reçoit-le et soit-en fière. Tu viens d’être marquée aux armes de Mes illustres ancêtres comme l’étaient leurs esclaves à l’époque.
Chris ne tenait plus la position, des larmes roulaient sur ses joues. La brûlure avait été tellement intense. La douleur dans la chair de son épaule était lancinante. Elle n’avait jamais ressenti une telle chose. L’odeur de chair brûlée lui donnait des haut-le-cœur. Jugeant que Sa torture avait été assez loin, le Marquis lâcha le sceau qui tomba sur le sol. Il déboucha alors la petite fiole et versa un peu de son contenu sur le feu de la brûlure. Il attendit un peu que le muscle de Sa soumise se débande et doucement commença à masser l’endroit où Son fer avait entamé la chair.
- Tout doux, Ma petite chienne adorée, tout doux, lui dit-il de sa voix la plus douce. (Il desserra son étreinte autour du corps de Sa soumise, qui s’affala sur le sol). Allez, viens-là, dans Mes bras, lui dit le Noble en l’attirant à Lui de Ses mains et refermant Ses bras sur le corps de son amour de soumise.
A ces mots, Il se releva et prit Chris tendrement dans Ses bras, qui, enfin sanglota à chaudes larmes dans les bras de son Amour de Maître. Elle s’y blottit et posa sa tête sur la solide et douce poitrine de son Maître. Ils restèrent ainsi un moment. Le Marquis Edouard d’Evans caressait la tête de Sa petite chienne avec une infinie tendresse, attendant que la source de ses yeux se tarisse avant d’entreprendre de faire couler à nouveau une autre source… Il savait que ces moments de tensions qu’il venait de faire vivre à Chris, allaient les emmener vers une jouissance la plus fulgurante… Il se releva portant Sa soumise dans Ses bras pour repasser dans la pièce d’où crépitait l’âtre majestueux. Il la déposa doucement sur l’épais tapis. Il lui passa la main dans les cheveux. Le Marquis rapprocha la table basse et y prit place la regardant reprendre doucement des couleurs. Le regard de la soumise était empli de bonheur, elle se sentait si bien, si heureuse. Et même si le marquage lui avait procuré une vive douleur, celle-ci était bien peu de chose face au sublime bonheur de se sentir appartenir pleinement à son divin Maître. Elle lui appartenait totalement, elle était à Ses pieds et seul cela comptait…
(A suivre...)
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