La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°242)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°242)
Suite de l'épisode N°238 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -
12h00 – Thaïs s’apprête à descendre l’escalier qui mène à la suite du Marquis d’Evans pour accueillir les deux invités que doit recevoir le Noble pour un repas d’affaires qui s’annonce difficile en négociation. Avant qu’elle quitte la pièce, le Maître donne les dernières consignes à Sa soumise.
- Thaïs, fait attention en descendant de ne pas laisser ton dos visible. Maintiens-toi dos contre le mur et invite nos deux hommes d’affaires à monter en te précédant. Nous leur laisserons le temps de découvrir ta condition et Mes marques en temps voulu… Dépêche toi maintenant et ne les fait surtout pas attendre.
Thaïs se précipite donc dans l’escalier pour aller à la rencontre des deux hommes d’affaires qu’une des femmes de chambre du château a conduit jusqu’au bas de la tour, dans laquelle se trouve la suite mise à la disposition du Marquis. Arrivé au sommet de l’escalier, Thaïs invite les deux hommes à entrer et leur présente Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, tandis que celui-ci se lève du fauteuil du salon pour serrer la main des nouveaux arrivants.
- Bonjour, Messieurs, soyez les bienvenus. Asseyez-vous, je vous en prie… Vous a-t-on déjà conduit jusqu’à vos chambres qui ont été réservées pour la nuit.
- Bonjour Monsieur le Marquis. Non pas encore …
- Si vous voulez bien confier vos clefs de voiture, je demanderai au bagagiste de l’hôtel de passer les chercher afin qu’il puisse monter directement vos affaires dans les chambres.
- Le site est merveilleux et ce château est sublime. Avez-vous l’habitude de venir ici très souvent, Monsieur le Marquis ?
- Non pas vraiment. Disons que c’était un des seuls lieux qui me convenait dans les environs pour notre Week-end de travail, car nous avons bien prévu de travailler un peu, Messieurs.
Pendant tout le temps de la conversation, Thaïs est venue se placer juste derrière le fauteuil occupé par son Maître. Elle se tient droite, la tête légèrement inclinée, les yeux tournés vers le bas et elle reste parfaitement immobile. Son Maître claque à peine de deux doigts, qu’elle se penche à Ses côtés pour récupérer les ordres qu’IL lui murmure à l’oreille.
- Mon assistante va nous faire monter l’apéritif. Vous ne serez pas contre quelques bulles après votre voyage. Il s’agit d’un pétillant rosé qui est mis en bouteille dans la propriété. Il ne vaut pas un très bon champagne, mais autant faire dans le local, si Vous l’acceptez. J’ai demandé à ce qu’on nous le serve légèrement rafraîchi. Cela vous convient-il ?
- Oui oui avec grand plaisir cher Monsieur le Marquis
Thaïs quitte alors la pièce sans attendre et remonte presque aussitôt accompagné du personnel de l’hôtel qui dépose sur la table basse deux plateaux, le premier garni de trois verres à champagne en cristal et l’autre garni de différentes bouchées apéritives et autres verrines amuse-bouche aux couleurs et saveurs variées. Le sommelier qui suit tient entre ses mains un seau à champagne en argent dans lequel repose au milieu des glaçons une bouteille portant l’étiquette du château de M….. Il ouvre la bouteille délicatement en retenant la pression sur le bouchon décapsulé et commence à s’apprêter à servir quand le Marquis d’Evans l’interrompt.
- C’est bon, merci beaucoup. Mon assistante se chargera du reste. Pensez à prévenir en cuisine, que je souhaite que l’on nous serve le repas à 13h précises.
Thaïs s’approche de la table pour remplir les trois coupes de champagne qui sont sur le plateau et sur un nouveau claquement de doigts du Marquis et d’un simple petit signe, elle s’apprête à déposer une coupe dans la main de chacun des invités. Alors qu’elle était montée à l’arrivée des deux hommes d’affaires en s’effaçant pour demeurer presque transparente, là c’est sans trop se cacher qu’elle laisse apparaître sa tenue complètement dénudée dans le dos qui tandis qu’elle se baisse laisse entrebâiller un aperçu sur sa poitrine nue sous la robe. Les yeux des deux hommes commencent à la fixer de plus en plus directement, tandis qu’elle se penche encore pour faire passer à chaque convive le plateau des saveurs à déguster pour accompagner l’apéritif. Ils n’ont cependant pas encore pu voir son dos et en tout cas pas les marques car elle se tient toujours face aux deux hommes, comme le lui avait demandé son Maître. Monsieur le Marquis propose de lever son verre à la bonne entente et à la prospérité des affaires respectives de chacun. Mais l’un des deux hommes, tandis que leur hôte commence à porter la flûte à ses lèvres, lui rétorque :
- Monsieur le Marquis, il est très mal élevé de boire en présence d’une femme qui n’a pas été servie la première… Mademoiselle, Voulez-vous bien faire monter une flûte de plus et trinquer avec nous. Comment vous appelez-vous ?
Thaïs baisse les yeux ne sachant quoi répondre, ou tout du moins laissant son Maître choisir la réponse qui lui siéra à cet instant. Le Marquis d’ailleurs n’attend pas avant de répliquer.
- La demoiselle en question comme Vous l’avez appelé ne boit pas, Messieurs. Elle est là juste pour répondre à Mes besoins et Mes attentes à tout instant, fidèle et dévouée comme l’est une bonne chienne pour son Maître. Elle est l’une des esclaves de Mon château que j’ai fait venir pour ce Week-end… Aux pieds ! s’écrie alors le Marquis tandis qu’IL examine sans en perdre une seule seconde le regard interloqué des deux hommes qui restent effarés par la scène à laquelle ils assistent.
Thaïs est venue s’agenouiller aux pieds de son Maître Vénéré, face à lui, et de fait, dos à ses deux invités. Elle s’est penchée pour se prosterner complètement laissant du coup son dos marqué en évidence en dessous de ses cheveux courts, ce qui ajoute au spectacle qui étonne les businessmen. Le premier, a d’ailleurs la bouche qui suinte, visiblement très excité par la vue de la soumise aux pieds de son Maître. Le deuxième qui avait pris en main aussi sec les accoudoirs du fauteuil dans lequel il était assis, se lève et d’une voix excédée s’exclame :
- Monsieur le Marquis, je ne sais s’il s’agit d’une plaisanterie de mauvais goût, bien que j’en doute un peu car cette personne semble porter sur le dos des marques qui ressemblent à tout sauf à une plaisanterie. Je suis désolé, mais je ne peux pas consentir à cautionner de tels actes en ma présence.
- Asseyez-Vous, mon cher, je Vous assure qu’il n’y a rien de mal dans tout cela. J’ai de nombreux esclaves dans Mon château qui sont tous là de leur plein gré pour parfaire leur éducation. N’avez-vous pas à votre service une ou deux soumises bien dévouées, je vous assure que vous devriez essayer, c’est beaucoup moins contraignant que d’entretenir une maîtresse, encore faut-il avoir quelques dispositions pour savoir maîtriser ce type de femelle, surtout si ce sont de vraies chiennes en chaleur.
Le ton du Marquis est de plus en plus sarcastique, visiblement IL ne fait rien pour se faire apprécier.
- Mais sachez quand même que Ma belle chienne à Mon service a un nom que je lui ai donné… soumise Thaïs, explique à ces deux messieurs, ce que tu es et pour qui tu l’es, car je crois qu’ils n’ont pas très bien compris.
Thaïs se relève de sa position de prosternation aux pieds de son Maître. Elle s’approche des deux hommes d’affaires, et s’agenouille devant eux avant de commencer à parler.
- Messieurs, s’il vous plait, je vous en prie, croyez mon Maître Vénéré. Je suis sa soumise dévouée consentante. Je ne suis pas sa prisonnière, car c’est librement saine de corps et d’esprit que je me suis mise sous Sa protection et Sa Maîtrise. Je lui appartiens corps et âme et IL a droit de disposer de moi comme IL l’entend car je lui ai donné tous les pouvoirs pour le faire. Ne soyez pas offensé, mon Maître ne se déplace jamais sans au moins l’un ou l’une de Ses esclaves pour le servir. Et surtout, je ne voudrai pas être la cause de votre emportement et que cela puisse nuire au bon déroulement de votre entrevue avec mon Maître. Je sais en outre qu’IL ne me le pardonnerait jamais et me le ferait payer très cher. Permettez-moi de rester aux côtés de mon Maître à la place qui est la mienne, à Ses pieds.
Thaïs avait débité d’une petite voix, avec une candeur on ne peut plus naturelle, sans réciter mais plutôt avec conviction et au ton empli de sincérité, le texte validé par son Maître, qui avait assez bien pressenti la réaction probable de ces hommes d’affaires qui ont plus souvent l’habitude de discuter et de traiter des affaires avec des personnes froides qui portent des masques ne laissant paraître aucun des sentiments qui les habitent pour rester de marbre dans les négociations financières. IL savait très bien qu’IL les obligerait à sortir de leur zone de confort habituelle en les confrontant à une situation qui devait réveiller en eux forcément la part noire de leurs désirs refoulés, qui sont latents chez tous les hommes de pouvoirs… La soumise reste silencieuse et immobile, se contentant de lever de temps en temps les yeux vers l’un et l’autre des deux hommes. Le premier, plus âgé, la dévore du regard et elle a remarqué que la bosse dans son pantalon a plus que gonflé en quelques instants. Mais, le Marquis l’a prévenu que seul l’un des deux hommes est le vrai décideur dans le tandem, et elle a bien compris qu’il lui faut donc user de tout son charme pour attendrir le deuxième, plus jeune et plus prêt à sortir les crocs, qui a fini par se rasseoir au fond de son siège, visiblement pour prendre le temps de réfléchir. Comment pourrait-il d’ailleurs imaginer à cet instant là qu’il était en train de se faire bel et bien piéger… Thaïs décide de rompre le silence la première, pensant qu’il est temps de permettre à chacun de trouver une porte de sortie honorable.
- Monsieur, Messieurs pardon, je vous en supplie, ignorez ma présence et permettez à la petite chienne que je suis de rester aux pieds de mon Maître, répéta-t-elle de son plus beau sourire enchanteur, je resterai silencieuse et ne vous dérangerai pas le moins du monde dans vos discussions. Mon Maître peut également répondre de ma plus entière discrétion sur tous vos échanges et le respect absolu de la confidentialité de vos propos, bien plus que si vous deviez faire appel à du personnel de cet établissement pour servir le repas.
Et sans même leur laisser le temps de répondre par oui ou non, elle se lève, prend le plateau des verrines apéritives et s’empresse de faire le service auprès de chacun. Puis elle s’éclipse pour rejoindre la salle à manger, qui a été dressée dans l’une des pièces de la suite de Monsieur le Marquis d’Evans, afin de s’assurer que tout a été bien organisé pour le repas…. A 13h00 précises, Thaïs revint auprès de son Maître, s’incline et attend que son Maître l’invite à parler.
- Monsieur le Marquis, le déjeuner Vous attend quand Vous voudrez passer à table avec Vos invités.
La table a été dressée avec des couverts en argent et des verres en cristal. Au centre de la table se trouve un bouquet de roses bleues parsemées de tiges de verre légèrement translucides garnies d’ampoules led dans lesquelles viennent se refléter les fleurs bleues et les boules argent qui ornent la composition florale et en font un décor aux couleurs froides de saison et aux reflets changeants qui s’harmonise parfaitement avec les tons de la pièce. Thaïs attend que le Marquis lui fasse un petit signe et dépose les assiettes qui sont un vrai régal pour les yeux, une salade de jeunes pousses décorées de fleurs de bleuet qui la rehaussent de touches de belles couleurs bleues Vif, le tout surmonté de fins copeaux de foie gras presque jaune doré, un carpaccio de foie gras cru très rose clair légèrement mariné au gros sel étalé en rosace et saupoudré de gros morceau de sel noir de Hawai et de grains à peine concassés de poivre maniguette, et un morceau de foie gras mi-cuit accompagné d’une tranche de pain d’épices et de chutney de figues dans lequel on aperçoit les petits grains de ce fruit de saison à peine écrasé.
- Mademoiselle ne mange toujours pas avec nous, je suppose ! Permettez-moi de vous dire Monsieur le Marquis que vous avez vraiment de drôles de manière, qui sont loin de celle d’un gentleman.
- Ah détrompez-vous Messieurs ! réplique aussi sec le Marquis Edouard d’Evans - et puis je ne Vous permets pas de mettre en doute aussi facilement la noblesse de ma condition et mes qualités de gentleman, qui doivent bien valoir les vôtres, si ce n’était vous offenser que de le prétendre… Thaïs dès que tu auras fini de servir entrées et boissons, tu iras chercher ton assiette personnelle.
Comme son Maître le lui a demandé, Thaïs vient se mettre à quatre pattes à côté de la chaise de son Maître et pose son écuelle vide par terre devant elle, sur laquelle son nom de chienne a été gravée ainsi que les initiales de son Maître.
- Monsieur le Marquis, la plaisanterie a assez duré. Je vais finir par m’en aller ou éclater de rire de cette grotesque situation.
- Vous n’allez pas faire toute une histoire juste pour une chienne sans importance. Je ne vous savais pas aussi sensible, vous qui n’hésitez pas, m’a-t-on dit, à évincer vos concurrents dans les affaires chaque fois que vous le pouvez. Et puisque ma chienne semble Vous déranger, elle va nous servir le plat chaud dès que nous aurons terminé et passer sous la table pour s’affairer sur Ma Queue, car les plaisirs de la table sont encore plus divins quand on y ajoute les plaisirs hédonistes du sexe. Cela me fera d’ailleurs le plus grand bien, elle pourra aussi s’occuper de Vous, si vous le souhaitez bien sur, sa petite langue est vraiment experte et sa bouche un vrai régal. Et si nous commencions à parler affaires plus sérieusement. Avez-Vous examiné mon offre d’acquisition de Votre terrain ?
Monsieur le Marquis se délecte de voir ses invités qui hésitent entre désir et honte et prend un malin plaisir à ne pas les quitter des yeux tandis que sa soumise se glisse sous la grande nappe de la table qui tombe jusqu’au sol. Elle reste un moment immobile sous la table faisant attention à ne pas heurter les jambes des deux hommes d’affaires et sentant que la conversation a déjà bien démarré et que la transaction avance en discussion tout au moins, elle s’approche très doucement, se cale entre les jambes des deux invités et commence à dégrafer leur deux ceintures de chaque main. Comme c’était à prévoir, le premier se cabre un peu pour aller au devant de la main qui cherche à ouvrir sa braguette. Le deuxième plus perplexe a commencé par se contracter pour ne pas bouger, mais aucune main n’empêche réellement sa progression vers l’intimité tendue à l’extrême de son sexe, ce qui semble déjà une victoire pour la putain à la tâche. De la main gauche, elle reste en contact avec le corps qui ne semble pas encore près à se laisser aller, caressant les jambes, le ventre et le sexe de la simple paume de sa main. De la main droite, elle branle avec une rigueur implacable et un rythme soutenu le sexe du plus vieux des convives déjà très demandeur qui n’attend visiblement que de sentir sa bouche grande ouverte, tant son sexe se pointe. Il est si excité de cette scène inattendue en plein repas d’affaires qu’il en perd la parole et le Marquis se délecte d’imaginer sa belle à l’ouvrage sous la table.
Pendant ce temps, Thaïs a continué à s’occuper de la plus jeune queue plus rétive. C’est avec plus de précaution et de patience qu’elle glisse lentement ses mains sur tout le pantalon du jeune homme, progressant avec une infinie lenteur pour lui laisser le temps d’accepter ses caresses et d’en désirer encore plus. Sa main se promène sur l’entre cuisse de l’homme d’affaires qui reste de marbre et continue à parler comme si de rien n’était, ne voulant pas perdre la face devant le Marquis d’Evans et encore moins le contrôle de ses pensées. Le plus vieux qui va et vient dans la bouche de Thaïs ne tarde pas à lâcher sa semence en poussant un râle que tout le monde peut largement identifier, ce qui ne manque pas de provoquer un moment de recul chez l’autre gentleman qui aussi sec repousse du pied Thaïs pour ne pas se laisser entraîner comme son homologue. Elle profite de cet instant pour nettoyer la verge dégoulinante de celui qui s’est répandue en elle, et très précautionneusement prend soin de la replacer dans le large slip blanc peu sexy qui le couvre et de refermer le pantalon de l’homme apaisé qui a bien baisé la bouche de la chienne et qui s’est ainsi bien soulagé en elle.
Thaïs repart ensuite à l’assaut du plus jeune qu’elle doit arriver à convaincre et très délicatement, elle pose sa tête sur les pieds du businessman qui est en train de parler du projet qu’il avait en tête pour ce fameux terrain, mais auquel il a du renoncer, n’ayant pas obtenu les autorisations administratives, et ayant du coup décidé de s’impliquer sur un projet presque identique mais dans une autre région de France plus accueillante pour son ingéniosité. Le sachant assez occupé à parlé affaires, elle embrasse ses pieds, et remonte peu à peu le long des jambes de celui-ci pour finalement se retrouver à la hauteur de son sexe, la tête coincée par le dessous de la table. Elle s’aperçoit que ce dernier avait profité de la jouissance non dissimulée de son partenaire pour refermer sa braguette, mais elle entreprend à nouveau de l’ouvrir et de sortir le sexe encore plus gonflé qu’avant, qu’elle met aussi sec en bouche… Le Marquis d’Evans très attentif aux réactions de ses deux invités comprend assez vite où en est dans sa tâche sa belle chienne, qu’IL n’a pas arrêté de suivre à la trace tendant régulièrement son pied pour sentir ses mouvements et savoir à chaque instant où elle se trouvait sous la table, la guidant parfois du pied pour la diriger dans ses fellations forcées, l’encourager à accélérer ou à ralentir et lui faire part à tout instant de son acquiescement et de son plaisir de Maître, fier de l’obéissance absolue de son esclave.
Thaïs met tellement d’ardeur à avaler la queue du jeune homme vigoureux qui avait manifesté quelques minutes plus tôt une officielle désapprobation devant les manières du Marquis vis-à-vis de sa chienne, que ce dernier ne peut que se rendre au plaisir reçu de la langue qui tourne autour de son gland et des lèvres qui l’aspirent avec régularité et rythme. Sa langue tendue au maximum se profile sur tout le vit qui sort du pantalon, cherchant même à se faufiler au milieu des tissus retroussés à la recherche des bourses encore pleines. Sentant le plaisir viril monter, elle accélère son mouvement de va-et-vient profond et ne s’arrête que lorsqu’elle sent sa bouche se remplir d’un liquide chaud et âpre. Elle aspire le suc qui continue encore à s’écouler de la verge qui peu à peu se rétracte, et s’empresse de la nettoyer de sa langue de petite chienne bien dressée. C’est à ce moment là qu’elle sent une main qui vient se poser sur sa joue comme un merci silencieux qui lui est destiné, main qu’elle s’empresse de baiser sur la paume et dans le creux de la main, avant de sentir deux doigts s’insérer dans sa bouche comme s’il voulait la pénétrer et la posséder encore.
Thaïs ayant terminé son office sous la table, elle ressort très discrètement à quatre pattes de dessous la nappe, juste à côté de la chaise de son Maître, lape quelques gouttes d’eau dans son écuelle au passage que le Marquis a rempli et qu’IL lui indique du doigt. Elle se redresse ensuite sur un geste de son Maître sous le menton, le plus naturellement du monde pour s’éclipser quelques instants dans la salle de bains pour se nettoyer le visage et les mains, avant de revenir comme si de rien n’était desservir les assiettes du plat chaud que les convives avaient dévoré pendant tout ce temps et déposer juste après les assiettes de dessert qui attendaient dans une console réfrigérée avant d’être consommées, de vrais petits chefs d’œuvre à déguster. Elle garde les yeux baissés tout le temps du service sachant très bien que les regards des trois hommes sont forcément fixés sur elle.
- Vous avez, Monsieur le Marquis, je le reconnais une petite chienne bien dressée pour le service à table et sous table dit sur un ton neutre et froid le jeune businessman, esquissant malgré tout un léger rictus des lèvres.
- Oh oui, il aurait vraiment été dommage de ne pas la garder à vos pieds, à nos pieds devrais-je dire, ah ah ah, s’empresse d’ajouter l’autre toujours aussi excité et vicieux …. Je comprends maintenant pourquoi elle n’a pas besoin de grand-chose pour manger ayant eu une bonne dose de succulent nectar à dévorer.
Le Marquis d’Evans se délecte de voir qu’IL est parvenu à ses fins, transformer ce repas d’affaires en une partie plus fine dont IL va maintenant pouvoir tirer les ficelles en se servant de son hameçon, sa belle petite chienne Thaïs, sa salope soumise, prête à tout pour satisfaire son Maître Vénéré… A voix basse à l’oreille de la soumise, à qui IL a fait signe de s’approcher, mais de manière assez audible malgré tout, le Maître lui donne ses dernières consignes.
- Thaïs, je vais devoir m’absenter le temps de passer un coup de fil important que je ne peux pas différer. Prépare le café à ces deux messieurs dans le petit salon et reste à leur entière disposition pour les satisfaire en mon absence sur tout ce qu’ils pourraient exiger de toi… Messieurs, je suis désolé de devoir Vous laisser quelques minutes en compagnie de Ma petite chienne. Elle est à Vous, profitez-en encore si Vous le souhaitez.
Le Marquis se lève une fois que chacun a terminé son dessert, prend le temps d’accompagner ses deux invités jusque vers le canapé, tout en entraînant sa chienne à quatre pattes derrière lui en tenant la laisse d’une main ferme. Sans la moindre hésitation IL prend le bout de la laisse qu’IL tend au plus jeune des deux, en lui disant :
- Je vous la confie pendant quelques instants. Vous verrez, ce n’est pas si difficile à manier ces petites bêtes là quand elles ont été bien dressées. Vous finirez par y prendre goût, mais cette putain est Mon esclave, donc je ne fais que vous la prêter pour quelques instants. Enfin, disons que tout peut encore se négocier, ce ne serait après tout qu’une question de prix et d’indemnisation. Tout se vend et tout s’achète, ce ne sont pas des hommes d’affaires qui vont prétendre le contraire.
Thaïs ne peut s’empêcher de redresser la tête quand elle entend que son Maître serait prête à la vendre pour de l’argent, pensant qu’IL tenait plus à elle que cela …. Surtout qu’il n’avait jamais été question de ce type de transaction quand IL lui avait présenté son plan machiavélique et ce qu’IL attendait d’elle au cours de son week-end de négociation immobilière. Mais elle sait qu’elle ne s’appartient plus vraiment, que son Maître a tout pouvoir sur elle, et surtout qu’elle est prête à tout pour le satisfaire, y compris être à jamais privé de Lui si c’est ce qu’IL exige. Au fond d’elle, elle espère malgré tout ne pas être devenue une simple marchandise que l’on peut vendre ou acheter juste pour une enveloppe pleine de billets…. Le marquis attrape la robe de Thaïs, d’une main sur la nuque et de l’autre sur la taille, IL tire les deux nœuds qui retiennent le vêtement qui d’un coup sec s’ouvre et laisse la belle totalement dénudée devant les deux businessmen.
- Je vous laisse, Messieurs, occupez-vous bien en m’attendant et ne vous disputez pas la belle qui a plusieurs trous pour vous satisfaire en même temps, si vous êtes déjà trop pressés de consommer le digestif.
Et sans même attendre de réponse, le Marquis se retourne et s’éclipse comme IL avait prévu qu’IL le ferait dès le départ, n’ayant aucun coup de fil à passer en réalité, mais laissant le champ libre à Thaïs qui avait été bien briefée sur ce qu’elle avait à faire dès cet instant là…
(A suivre …)
12h00 – Thaïs s’apprête à descendre l’escalier qui mène à la suite du Marquis d’Evans pour accueillir les deux invités que doit recevoir le Noble pour un repas d’affaires qui s’annonce difficile en négociation. Avant qu’elle quitte la pièce, le Maître donne les dernières consignes à Sa soumise.
- Thaïs, fait attention en descendant de ne pas laisser ton dos visible. Maintiens-toi dos contre le mur et invite nos deux hommes d’affaires à monter en te précédant. Nous leur laisserons le temps de découvrir ta condition et Mes marques en temps voulu… Dépêche toi maintenant et ne les fait surtout pas attendre.
Thaïs se précipite donc dans l’escalier pour aller à la rencontre des deux hommes d’affaires qu’une des femmes de chambre du château a conduit jusqu’au bas de la tour, dans laquelle se trouve la suite mise à la disposition du Marquis. Arrivé au sommet de l’escalier, Thaïs invite les deux hommes à entrer et leur présente Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, tandis que celui-ci se lève du fauteuil du salon pour serrer la main des nouveaux arrivants.
- Bonjour, Messieurs, soyez les bienvenus. Asseyez-vous, je vous en prie… Vous a-t-on déjà conduit jusqu’à vos chambres qui ont été réservées pour la nuit.
- Bonjour Monsieur le Marquis. Non pas encore …
- Si vous voulez bien confier vos clefs de voiture, je demanderai au bagagiste de l’hôtel de passer les chercher afin qu’il puisse monter directement vos affaires dans les chambres.
- Le site est merveilleux et ce château est sublime. Avez-vous l’habitude de venir ici très souvent, Monsieur le Marquis ?
- Non pas vraiment. Disons que c’était un des seuls lieux qui me convenait dans les environs pour notre Week-end de travail, car nous avons bien prévu de travailler un peu, Messieurs.
Pendant tout le temps de la conversation, Thaïs est venue se placer juste derrière le fauteuil occupé par son Maître. Elle se tient droite, la tête légèrement inclinée, les yeux tournés vers le bas et elle reste parfaitement immobile. Son Maître claque à peine de deux doigts, qu’elle se penche à Ses côtés pour récupérer les ordres qu’IL lui murmure à l’oreille.
- Mon assistante va nous faire monter l’apéritif. Vous ne serez pas contre quelques bulles après votre voyage. Il s’agit d’un pétillant rosé qui est mis en bouteille dans la propriété. Il ne vaut pas un très bon champagne, mais autant faire dans le local, si Vous l’acceptez. J’ai demandé à ce qu’on nous le serve légèrement rafraîchi. Cela vous convient-il ?
- Oui oui avec grand plaisir cher Monsieur le Marquis
Thaïs quitte alors la pièce sans attendre et remonte presque aussitôt accompagné du personnel de l’hôtel qui dépose sur la table basse deux plateaux, le premier garni de trois verres à champagne en cristal et l’autre garni de différentes bouchées apéritives et autres verrines amuse-bouche aux couleurs et saveurs variées. Le sommelier qui suit tient entre ses mains un seau à champagne en argent dans lequel repose au milieu des glaçons une bouteille portant l’étiquette du château de M….. Il ouvre la bouteille délicatement en retenant la pression sur le bouchon décapsulé et commence à s’apprêter à servir quand le Marquis d’Evans l’interrompt.
- C’est bon, merci beaucoup. Mon assistante se chargera du reste. Pensez à prévenir en cuisine, que je souhaite que l’on nous serve le repas à 13h précises.
Thaïs s’approche de la table pour remplir les trois coupes de champagne qui sont sur le plateau et sur un nouveau claquement de doigts du Marquis et d’un simple petit signe, elle s’apprête à déposer une coupe dans la main de chacun des invités. Alors qu’elle était montée à l’arrivée des deux hommes d’affaires en s’effaçant pour demeurer presque transparente, là c’est sans trop se cacher qu’elle laisse apparaître sa tenue complètement dénudée dans le dos qui tandis qu’elle se baisse laisse entrebâiller un aperçu sur sa poitrine nue sous la robe. Les yeux des deux hommes commencent à la fixer de plus en plus directement, tandis qu’elle se penche encore pour faire passer à chaque convive le plateau des saveurs à déguster pour accompagner l’apéritif. Ils n’ont cependant pas encore pu voir son dos et en tout cas pas les marques car elle se tient toujours face aux deux hommes, comme le lui avait demandé son Maître. Monsieur le Marquis propose de lever son verre à la bonne entente et à la prospérité des affaires respectives de chacun. Mais l’un des deux hommes, tandis que leur hôte commence à porter la flûte à ses lèvres, lui rétorque :
- Monsieur le Marquis, il est très mal élevé de boire en présence d’une femme qui n’a pas été servie la première… Mademoiselle, Voulez-vous bien faire monter une flûte de plus et trinquer avec nous. Comment vous appelez-vous ?
Thaïs baisse les yeux ne sachant quoi répondre, ou tout du moins laissant son Maître choisir la réponse qui lui siéra à cet instant. Le Marquis d’ailleurs n’attend pas avant de répliquer.
- La demoiselle en question comme Vous l’avez appelé ne boit pas, Messieurs. Elle est là juste pour répondre à Mes besoins et Mes attentes à tout instant, fidèle et dévouée comme l’est une bonne chienne pour son Maître. Elle est l’une des esclaves de Mon château que j’ai fait venir pour ce Week-end… Aux pieds ! s’écrie alors le Marquis tandis qu’IL examine sans en perdre une seule seconde le regard interloqué des deux hommes qui restent effarés par la scène à laquelle ils assistent.
Thaïs est venue s’agenouiller aux pieds de son Maître Vénéré, face à lui, et de fait, dos à ses deux invités. Elle s’est penchée pour se prosterner complètement laissant du coup son dos marqué en évidence en dessous de ses cheveux courts, ce qui ajoute au spectacle qui étonne les businessmen. Le premier, a d’ailleurs la bouche qui suinte, visiblement très excité par la vue de la soumise aux pieds de son Maître. Le deuxième qui avait pris en main aussi sec les accoudoirs du fauteuil dans lequel il était assis, se lève et d’une voix excédée s’exclame :
- Monsieur le Marquis, je ne sais s’il s’agit d’une plaisanterie de mauvais goût, bien que j’en doute un peu car cette personne semble porter sur le dos des marques qui ressemblent à tout sauf à une plaisanterie. Je suis désolé, mais je ne peux pas consentir à cautionner de tels actes en ma présence.
- Asseyez-Vous, mon cher, je Vous assure qu’il n’y a rien de mal dans tout cela. J’ai de nombreux esclaves dans Mon château qui sont tous là de leur plein gré pour parfaire leur éducation. N’avez-vous pas à votre service une ou deux soumises bien dévouées, je vous assure que vous devriez essayer, c’est beaucoup moins contraignant que d’entretenir une maîtresse, encore faut-il avoir quelques dispositions pour savoir maîtriser ce type de femelle, surtout si ce sont de vraies chiennes en chaleur.
Le ton du Marquis est de plus en plus sarcastique, visiblement IL ne fait rien pour se faire apprécier.
- Mais sachez quand même que Ma belle chienne à Mon service a un nom que je lui ai donné… soumise Thaïs, explique à ces deux messieurs, ce que tu es et pour qui tu l’es, car je crois qu’ils n’ont pas très bien compris.
Thaïs se relève de sa position de prosternation aux pieds de son Maître. Elle s’approche des deux hommes d’affaires, et s’agenouille devant eux avant de commencer à parler.
- Messieurs, s’il vous plait, je vous en prie, croyez mon Maître Vénéré. Je suis sa soumise dévouée consentante. Je ne suis pas sa prisonnière, car c’est librement saine de corps et d’esprit que je me suis mise sous Sa protection et Sa Maîtrise. Je lui appartiens corps et âme et IL a droit de disposer de moi comme IL l’entend car je lui ai donné tous les pouvoirs pour le faire. Ne soyez pas offensé, mon Maître ne se déplace jamais sans au moins l’un ou l’une de Ses esclaves pour le servir. Et surtout, je ne voudrai pas être la cause de votre emportement et que cela puisse nuire au bon déroulement de votre entrevue avec mon Maître. Je sais en outre qu’IL ne me le pardonnerait jamais et me le ferait payer très cher. Permettez-moi de rester aux côtés de mon Maître à la place qui est la mienne, à Ses pieds.
Thaïs avait débité d’une petite voix, avec une candeur on ne peut plus naturelle, sans réciter mais plutôt avec conviction et au ton empli de sincérité, le texte validé par son Maître, qui avait assez bien pressenti la réaction probable de ces hommes d’affaires qui ont plus souvent l’habitude de discuter et de traiter des affaires avec des personnes froides qui portent des masques ne laissant paraître aucun des sentiments qui les habitent pour rester de marbre dans les négociations financières. IL savait très bien qu’IL les obligerait à sortir de leur zone de confort habituelle en les confrontant à une situation qui devait réveiller en eux forcément la part noire de leurs désirs refoulés, qui sont latents chez tous les hommes de pouvoirs… La soumise reste silencieuse et immobile, se contentant de lever de temps en temps les yeux vers l’un et l’autre des deux hommes. Le premier, plus âgé, la dévore du regard et elle a remarqué que la bosse dans son pantalon a plus que gonflé en quelques instants. Mais, le Marquis l’a prévenu que seul l’un des deux hommes est le vrai décideur dans le tandem, et elle a bien compris qu’il lui faut donc user de tout son charme pour attendrir le deuxième, plus jeune et plus prêt à sortir les crocs, qui a fini par se rasseoir au fond de son siège, visiblement pour prendre le temps de réfléchir. Comment pourrait-il d’ailleurs imaginer à cet instant là qu’il était en train de se faire bel et bien piéger… Thaïs décide de rompre le silence la première, pensant qu’il est temps de permettre à chacun de trouver une porte de sortie honorable.
- Monsieur, Messieurs pardon, je vous en supplie, ignorez ma présence et permettez à la petite chienne que je suis de rester aux pieds de mon Maître, répéta-t-elle de son plus beau sourire enchanteur, je resterai silencieuse et ne vous dérangerai pas le moins du monde dans vos discussions. Mon Maître peut également répondre de ma plus entière discrétion sur tous vos échanges et le respect absolu de la confidentialité de vos propos, bien plus que si vous deviez faire appel à du personnel de cet établissement pour servir le repas.
Et sans même leur laisser le temps de répondre par oui ou non, elle se lève, prend le plateau des verrines apéritives et s’empresse de faire le service auprès de chacun. Puis elle s’éclipse pour rejoindre la salle à manger, qui a été dressée dans l’une des pièces de la suite de Monsieur le Marquis d’Evans, afin de s’assurer que tout a été bien organisé pour le repas…. A 13h00 précises, Thaïs revint auprès de son Maître, s’incline et attend que son Maître l’invite à parler.
- Monsieur le Marquis, le déjeuner Vous attend quand Vous voudrez passer à table avec Vos invités.
La table a été dressée avec des couverts en argent et des verres en cristal. Au centre de la table se trouve un bouquet de roses bleues parsemées de tiges de verre légèrement translucides garnies d’ampoules led dans lesquelles viennent se refléter les fleurs bleues et les boules argent qui ornent la composition florale et en font un décor aux couleurs froides de saison et aux reflets changeants qui s’harmonise parfaitement avec les tons de la pièce. Thaïs attend que le Marquis lui fasse un petit signe et dépose les assiettes qui sont un vrai régal pour les yeux, une salade de jeunes pousses décorées de fleurs de bleuet qui la rehaussent de touches de belles couleurs bleues Vif, le tout surmonté de fins copeaux de foie gras presque jaune doré, un carpaccio de foie gras cru très rose clair légèrement mariné au gros sel étalé en rosace et saupoudré de gros morceau de sel noir de Hawai et de grains à peine concassés de poivre maniguette, et un morceau de foie gras mi-cuit accompagné d’une tranche de pain d’épices et de chutney de figues dans lequel on aperçoit les petits grains de ce fruit de saison à peine écrasé.
- Mademoiselle ne mange toujours pas avec nous, je suppose ! Permettez-moi de vous dire Monsieur le Marquis que vous avez vraiment de drôles de manière, qui sont loin de celle d’un gentleman.
- Ah détrompez-vous Messieurs ! réplique aussi sec le Marquis Edouard d’Evans - et puis je ne Vous permets pas de mettre en doute aussi facilement la noblesse de ma condition et mes qualités de gentleman, qui doivent bien valoir les vôtres, si ce n’était vous offenser que de le prétendre… Thaïs dès que tu auras fini de servir entrées et boissons, tu iras chercher ton assiette personnelle.
Comme son Maître le lui a demandé, Thaïs vient se mettre à quatre pattes à côté de la chaise de son Maître et pose son écuelle vide par terre devant elle, sur laquelle son nom de chienne a été gravée ainsi que les initiales de son Maître.
- Monsieur le Marquis, la plaisanterie a assez duré. Je vais finir par m’en aller ou éclater de rire de cette grotesque situation.
- Vous n’allez pas faire toute une histoire juste pour une chienne sans importance. Je ne vous savais pas aussi sensible, vous qui n’hésitez pas, m’a-t-on dit, à évincer vos concurrents dans les affaires chaque fois que vous le pouvez. Et puisque ma chienne semble Vous déranger, elle va nous servir le plat chaud dès que nous aurons terminé et passer sous la table pour s’affairer sur Ma Queue, car les plaisirs de la table sont encore plus divins quand on y ajoute les plaisirs hédonistes du sexe. Cela me fera d’ailleurs le plus grand bien, elle pourra aussi s’occuper de Vous, si vous le souhaitez bien sur, sa petite langue est vraiment experte et sa bouche un vrai régal. Et si nous commencions à parler affaires plus sérieusement. Avez-Vous examiné mon offre d’acquisition de Votre terrain ?
Monsieur le Marquis se délecte de voir ses invités qui hésitent entre désir et honte et prend un malin plaisir à ne pas les quitter des yeux tandis que sa soumise se glisse sous la grande nappe de la table qui tombe jusqu’au sol. Elle reste un moment immobile sous la table faisant attention à ne pas heurter les jambes des deux hommes d’affaires et sentant que la conversation a déjà bien démarré et que la transaction avance en discussion tout au moins, elle s’approche très doucement, se cale entre les jambes des deux invités et commence à dégrafer leur deux ceintures de chaque main. Comme c’était à prévoir, le premier se cabre un peu pour aller au devant de la main qui cherche à ouvrir sa braguette. Le deuxième plus perplexe a commencé par se contracter pour ne pas bouger, mais aucune main n’empêche réellement sa progression vers l’intimité tendue à l’extrême de son sexe, ce qui semble déjà une victoire pour la putain à la tâche. De la main gauche, elle reste en contact avec le corps qui ne semble pas encore près à se laisser aller, caressant les jambes, le ventre et le sexe de la simple paume de sa main. De la main droite, elle branle avec une rigueur implacable et un rythme soutenu le sexe du plus vieux des convives déjà très demandeur qui n’attend visiblement que de sentir sa bouche grande ouverte, tant son sexe se pointe. Il est si excité de cette scène inattendue en plein repas d’affaires qu’il en perd la parole et le Marquis se délecte d’imaginer sa belle à l’ouvrage sous la table.
Pendant ce temps, Thaïs a continué à s’occuper de la plus jeune queue plus rétive. C’est avec plus de précaution et de patience qu’elle glisse lentement ses mains sur tout le pantalon du jeune homme, progressant avec une infinie lenteur pour lui laisser le temps d’accepter ses caresses et d’en désirer encore plus. Sa main se promène sur l’entre cuisse de l’homme d’affaires qui reste de marbre et continue à parler comme si de rien n’était, ne voulant pas perdre la face devant le Marquis d’Evans et encore moins le contrôle de ses pensées. Le plus vieux qui va et vient dans la bouche de Thaïs ne tarde pas à lâcher sa semence en poussant un râle que tout le monde peut largement identifier, ce qui ne manque pas de provoquer un moment de recul chez l’autre gentleman qui aussi sec repousse du pied Thaïs pour ne pas se laisser entraîner comme son homologue. Elle profite de cet instant pour nettoyer la verge dégoulinante de celui qui s’est répandue en elle, et très précautionneusement prend soin de la replacer dans le large slip blanc peu sexy qui le couvre et de refermer le pantalon de l’homme apaisé qui a bien baisé la bouche de la chienne et qui s’est ainsi bien soulagé en elle.
Thaïs repart ensuite à l’assaut du plus jeune qu’elle doit arriver à convaincre et très délicatement, elle pose sa tête sur les pieds du businessman qui est en train de parler du projet qu’il avait en tête pour ce fameux terrain, mais auquel il a du renoncer, n’ayant pas obtenu les autorisations administratives, et ayant du coup décidé de s’impliquer sur un projet presque identique mais dans une autre région de France plus accueillante pour son ingéniosité. Le sachant assez occupé à parlé affaires, elle embrasse ses pieds, et remonte peu à peu le long des jambes de celui-ci pour finalement se retrouver à la hauteur de son sexe, la tête coincée par le dessous de la table. Elle s’aperçoit que ce dernier avait profité de la jouissance non dissimulée de son partenaire pour refermer sa braguette, mais elle entreprend à nouveau de l’ouvrir et de sortir le sexe encore plus gonflé qu’avant, qu’elle met aussi sec en bouche… Le Marquis d’Evans très attentif aux réactions de ses deux invités comprend assez vite où en est dans sa tâche sa belle chienne, qu’IL n’a pas arrêté de suivre à la trace tendant régulièrement son pied pour sentir ses mouvements et savoir à chaque instant où elle se trouvait sous la table, la guidant parfois du pied pour la diriger dans ses fellations forcées, l’encourager à accélérer ou à ralentir et lui faire part à tout instant de son acquiescement et de son plaisir de Maître, fier de l’obéissance absolue de son esclave.
Thaïs met tellement d’ardeur à avaler la queue du jeune homme vigoureux qui avait manifesté quelques minutes plus tôt une officielle désapprobation devant les manières du Marquis vis-à-vis de sa chienne, que ce dernier ne peut que se rendre au plaisir reçu de la langue qui tourne autour de son gland et des lèvres qui l’aspirent avec régularité et rythme. Sa langue tendue au maximum se profile sur tout le vit qui sort du pantalon, cherchant même à se faufiler au milieu des tissus retroussés à la recherche des bourses encore pleines. Sentant le plaisir viril monter, elle accélère son mouvement de va-et-vient profond et ne s’arrête que lorsqu’elle sent sa bouche se remplir d’un liquide chaud et âpre. Elle aspire le suc qui continue encore à s’écouler de la verge qui peu à peu se rétracte, et s’empresse de la nettoyer de sa langue de petite chienne bien dressée. C’est à ce moment là qu’elle sent une main qui vient se poser sur sa joue comme un merci silencieux qui lui est destiné, main qu’elle s’empresse de baiser sur la paume et dans le creux de la main, avant de sentir deux doigts s’insérer dans sa bouche comme s’il voulait la pénétrer et la posséder encore.
Thaïs ayant terminé son office sous la table, elle ressort très discrètement à quatre pattes de dessous la nappe, juste à côté de la chaise de son Maître, lape quelques gouttes d’eau dans son écuelle au passage que le Marquis a rempli et qu’IL lui indique du doigt. Elle se redresse ensuite sur un geste de son Maître sous le menton, le plus naturellement du monde pour s’éclipser quelques instants dans la salle de bains pour se nettoyer le visage et les mains, avant de revenir comme si de rien n’était desservir les assiettes du plat chaud que les convives avaient dévoré pendant tout ce temps et déposer juste après les assiettes de dessert qui attendaient dans une console réfrigérée avant d’être consommées, de vrais petits chefs d’œuvre à déguster. Elle garde les yeux baissés tout le temps du service sachant très bien que les regards des trois hommes sont forcément fixés sur elle.
- Vous avez, Monsieur le Marquis, je le reconnais une petite chienne bien dressée pour le service à table et sous table dit sur un ton neutre et froid le jeune businessman, esquissant malgré tout un léger rictus des lèvres.
- Oh oui, il aurait vraiment été dommage de ne pas la garder à vos pieds, à nos pieds devrais-je dire, ah ah ah, s’empresse d’ajouter l’autre toujours aussi excité et vicieux …. Je comprends maintenant pourquoi elle n’a pas besoin de grand-chose pour manger ayant eu une bonne dose de succulent nectar à dévorer.
Le Marquis d’Evans se délecte de voir qu’IL est parvenu à ses fins, transformer ce repas d’affaires en une partie plus fine dont IL va maintenant pouvoir tirer les ficelles en se servant de son hameçon, sa belle petite chienne Thaïs, sa salope soumise, prête à tout pour satisfaire son Maître Vénéré… A voix basse à l’oreille de la soumise, à qui IL a fait signe de s’approcher, mais de manière assez audible malgré tout, le Maître lui donne ses dernières consignes.
- Thaïs, je vais devoir m’absenter le temps de passer un coup de fil important que je ne peux pas différer. Prépare le café à ces deux messieurs dans le petit salon et reste à leur entière disposition pour les satisfaire en mon absence sur tout ce qu’ils pourraient exiger de toi… Messieurs, je suis désolé de devoir Vous laisser quelques minutes en compagnie de Ma petite chienne. Elle est à Vous, profitez-en encore si Vous le souhaitez.
Le Marquis se lève une fois que chacun a terminé son dessert, prend le temps d’accompagner ses deux invités jusque vers le canapé, tout en entraînant sa chienne à quatre pattes derrière lui en tenant la laisse d’une main ferme. Sans la moindre hésitation IL prend le bout de la laisse qu’IL tend au plus jeune des deux, en lui disant :
- Je vous la confie pendant quelques instants. Vous verrez, ce n’est pas si difficile à manier ces petites bêtes là quand elles ont été bien dressées. Vous finirez par y prendre goût, mais cette putain est Mon esclave, donc je ne fais que vous la prêter pour quelques instants. Enfin, disons que tout peut encore se négocier, ce ne serait après tout qu’une question de prix et d’indemnisation. Tout se vend et tout s’achète, ce ne sont pas des hommes d’affaires qui vont prétendre le contraire.
Thaïs ne peut s’empêcher de redresser la tête quand elle entend que son Maître serait prête à la vendre pour de l’argent, pensant qu’IL tenait plus à elle que cela …. Surtout qu’il n’avait jamais été question de ce type de transaction quand IL lui avait présenté son plan machiavélique et ce qu’IL attendait d’elle au cours de son week-end de négociation immobilière. Mais elle sait qu’elle ne s’appartient plus vraiment, que son Maître a tout pouvoir sur elle, et surtout qu’elle est prête à tout pour le satisfaire, y compris être à jamais privé de Lui si c’est ce qu’IL exige. Au fond d’elle, elle espère malgré tout ne pas être devenue une simple marchandise que l’on peut vendre ou acheter juste pour une enveloppe pleine de billets…. Le marquis attrape la robe de Thaïs, d’une main sur la nuque et de l’autre sur la taille, IL tire les deux nœuds qui retiennent le vêtement qui d’un coup sec s’ouvre et laisse la belle totalement dénudée devant les deux businessmen.
- Je vous laisse, Messieurs, occupez-vous bien en m’attendant et ne vous disputez pas la belle qui a plusieurs trous pour vous satisfaire en même temps, si vous êtes déjà trop pressés de consommer le digestif.
Et sans même attendre de réponse, le Marquis se retourne et s’éclipse comme IL avait prévu qu’IL le ferait dès le départ, n’ayant aucun coup de fil à passer en réalité, mais laissant le champ libre à Thaïs qui avait été bien briefée sur ce qu’elle avait à faire dès cet instant là…
(A suivre …)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Savoureux récit. Cette Thaïs semble bien, très bien dressée....à fouetter le sang. Excitante!