La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°251)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°251)
Suite de l'épisode précédent N°250 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Isabelle pense que son amant tout penaud qu’il est maintenant, et comme il vient de l’avouer, n’a jamais du recevoir un coup de queue de mâle dans son anus, car il a l’air de tout sauf de quelqu’un qui se soit fait enfiler, et elle se doute bien que, contrairement à elle, son plaisir anal ne doit sûrement pas être développé, faute aussi d’avoir été sollicité. Et elle se met à compter à haute voix, mais non sans stresser, car elle a tenté un vrai coup de poker, et si son amant choisissait la deuxième solution par pure lâcheté, elle serait bien en peine de devoir quitter la chambre ou de perdre toute crédibilité, et elle ne sait pas comment son Maître le prendrait si elle n’avait pas rempli ses obligations jusqu’au bout.
- 6.., 7..., 8…, 9 ……,
Isabelle traîne de plus en plus sur les derniers chiffres et commence à paniquer dans sa tête car rien ne se passe jusqu’au chiffre 9 et là victoire, elle aperçoit Thierry qui est en train de se retourner et se couche à plat ventre sur le lit.
- 10. Parfait, je vois que tu as envie de savoir…. Alors tu vas goûter à des plaisirs nouveaux et je vais voir ce que tu en penses. Je suis certaine que ta demande de pardon aura une toute autre saveur quand tu sauras vraiment ce que cela recouvre.
Et sans plus ménagement qu’il n’en avait eu, elle lui attrape le bassin qu’elle lève à pleines mains pour l’obliger à se mettre à genoux, courbé vers l’avant, tête contre les draps. Elle prend le gode qu’elle passe sur ces fesses et dans la raie des fesses plusieurs fois comme pour faire durer le plaisir du jeu vicieux qu’elle s’apprête à jouer et pour impressionner encore plus celui dont la respiration s’est accélérée. Thierry semble tétanisé, il ne bouge plus, et comme Isabelle l’a redressé pour le mettre en levrette, elle s’aperçoit qu’il est en train de bander, visiblement très excité par ce qui se passe, tel un soumis en devenir, cela crève les yeux d’évidence. Cela lui donne du courage pour poursuivre, d’autant plus qu’elle sait que les deux caméras ne doivent pas en louper une, elle s’est d’ailleurs mise sur le côté de manière à ne pas gêner les prises de vues sûrement pas inintéressantes et elle espère que son Maître Vénéré n’en perd pas la moindre seconde dans sa chambre.
D’une main, elle attrape fermement le gode qu’elle présente en face de la rondelle resserrée et commence à vouloir pousser en avant. Visiblement, sa première tentative n’est pas assez forte pour arriver même seulement à entrouvrir un début de passage. Alors, elle commence à fesser à pleine mains le postérieur de l’homme qu’elle trouve si ridicule maintenant qu’il n’a plus son costume d’homme d’affaires pour lui servir d’armature conventionnelle.
- Ces fessées là, c’est pour t’apprendre, tu ne crois pas que tu vas contracter les fesses et m’empêcher de rentrer.
Et tout en continuant à le taper a en avoir la main presque aussi rouge que les deux masses de chair sur lesquelles elle frappe, elle enfonce un doigt profondément dans l’anus de Thierry d’un seul trait, qui ne peut s’empêcher d’ouvrir la bouche et d’émettre un petit ouille qu’il refreine aussitôt. Elle se sert de son doigt qu’elle fait tourner, pivoter, entrer et sortir pour assouplir l’endroit avant d’en pénétrer un deuxième qu’elle fait également jouer de plus belle, les écartant tour à tour pour augmenter la dilation de ce conduit étroit qu’elle est en train de carrément déflorer pour la première fois. Elle retire ses doigts, crache sur le trou qui reste légèrement ouvert pour qu’un peu de salive serve légèrement de lubrifiant malgré tout et retente une pénétration par le gode. De nouvelles tapes sur les fesses surgissent tandis qu’elle lui crie dans les oreilles d’un ton sarcastique
- Ah tu fais moins le malin maintenant que c’est à ton tour. Alors tache de te détendre et d’écarter tes fesses au maximum, si tu veux limiter la douleur, car j’irai jusqu’au bout, sois en certain. Je ne vais pas te priver de la joie de la découverte.
Et elle appuie fort sur le gode dont elle fait par la force pénétrer le gland qu’elle ressort aussi sec, pour recommencer à nouveau, et ce trois fois de suite avant de poursuivre plus profond la pénétration. Thierry pousse des hurlements de bête chaque fois que le gode lui transperce le cul et il a le sentiment qu’il va tressaillir tant la douleur est forte, mais en même temps, il est conscient qu’il ressent une excitation qu’il ne peut maîtriser car il bande de plus en plus fort et il se sent encore plus humilié quand il comprend qu’Isabelle s’en est rendu compte, puisqu’elle a commencé à lui attraper la volumineuse bite raidie qu’elle serre fortement entre ses doigts.
- Isabelle, je t’en prie, arrête, c’est douloureux, très douloureux, trop douloureux. Je n’en puis plus. J’ai compris la leçon, tu n’as pas besoin de continuer, je suis plus que désolée de ce que je t’ai fait subir, je ne savais pas que ce pouvait à ce point être douloureux pour une femme le plaisir anal qui n’a donc de plaisir que le nom, et je suis conscient que je n’ai encore rien ressenti, car tu n’as même pas enfoncé jusqu’au au bout ce gode, pourtant j’ai l’impression qu’il m’a déjà déchiré de part en part et que mes entrailles vont s’échapper quand tu vas le retirer de mon orifice qui restera béant.
Isabelle s’attend à tout moment à ce qu’il réagisse, qu’il se révolte, qu’il se dégage de la position qu’elle lui a fait prendre et qu’il se retourne pour s’opposer à la pénétration qu’elle était en train de lui imposer et qu’elle croit contre son gré, mais il ne bouge pas et se contente seulement d’hurler à chaque fois qu’elle lui enfonce le pieu de plastique et de la supplier d’arrêter avec des larmes qu’il s’efforce de contenir. Et voyant qu’il ne remue absolument pas, alors qu’il est resté libre de tout mouvement de défense, elle continue de plus belle, refusant d’entendre ses gémissements qui semblent d’une certaine manière lui dire de continuer, tant son immobilité à rester dans cette position de son cul bien exposé à la sodomie est évidente.
- Thierry, est-ce que maintenant tu as encore envie de me dire que tu m’aimes ? Je voulais moi aussi savoir ce que tu avais dans le ventre et te tester pour savoir !!! C’est drôle cette histoire, n’est-ce pas ? Ne crois-tu pas que c’est drôle quand on inverse les rôles ?
- Oui, Isabelle, crois-moi, je t’aime et j’ai envie que tu me pardonnes et que tu m’aimes aussi en retour.
- Alors dit-moi que tu aimes ce que je suis en train de te faire subir, que tu aimes qu’on t’encule et que cela te fait bander comme un cochon
- Non ne me demande pas cela, s’il te plait … n’en rajoute pas, je t’en prie
- Alors, tu as envie que j’arrête et tu préfères que je parte tout de suite pour ne plus jamais te revoir !
- Non, Isabelle, je t’en prie ne part pas.
- Alors dis-moi haut et fort ce que je t’ai déjà demandé à l’instant et ne me le fait pas répéter une fois de plus. Dit-moi que tu aimes qu’on t’encule et que cela te fait bander comme un cochon
D’une toute petite voix, Thierry mâchonne dans ses dents.
- J’aime que tu m’en …… j’aime que tu m’encu…. Ennnnncule et cela me fait bander comme un co… chon.
Thierry a beaucoup de mal a articuler surtout qu’Isabelle a repris le rythme de ses pénétrations forcées prenant un malin plaisir devant les caméras à sortir le gode complètement à chaque fois pour le rentrer à nouveau ce qui fait toujours autant hurler de douleur Thierry qui n’avait jamais subi un tel traitement de sa vie dans son fondement et qui est totalement dépassé par ses propres réactions intérieures et l’immense excitation qu’il ressent dans sa queue en érection mais aussi dans tout son corps.
- Je n’ai pas bien entendu et je n’ai rien compris. Vas-y recommence plus fort et plus distinctement !
- J’aime que tu m’encullllllllllllllllles ….
Thierry se met à hurler à s’en déchirer les cordes vocales, tandis qu’Isabelle a enfoncé cette fois le pieu dans ses entrailles le plus profondément possible. Elle met en route le vibreur du gode, ce qui relance la douleur que ressent déjà Thierry dilaté comme jamais il ne l’avait été de sa vie. Isabelle attrape la verge dure à pleines mains, qu’elle commence à branler avec frénésie, tandis que de l’autre main, elle prend le gode et lui imprime de longs et lents mouvements de va-et-vient. Thierry hurle de douleur sans pouvoir se calmer jusqu’à ce que son cri se transforme en un râle sourd et puissant de plaisirs cette fois tandis qu’il éjacule, laissant son jus couler sur la main de celle qui le branle sans modération, ce qui le rempli d’une honte indicible. Il s’affale sur le lit car ses bras ne le porte même plus. Isabelle a à peine le temps de retirer sa main sous le corps chancelant de celui qu’elle a conduit jusqu’à l’éjaculation mais aussi jusqu’à l’épuisement. Le gode est toujours planté dans son cul, mais visiblement, il n’a ni la force de bouger, ni même celle de parler et il reste ainsi longtemps fermant les yeux. Immobile, au bout d’un moment, il s’endort avant même qu’Isabelle ne s’en rende compte.
La nuit est bien avancée et Isabelle a son tour s’étend sur la couche encore souillée par le sperme de celui qu’elle vient carrément de traire, pour pouvoir à son tour s’octroyer quelques minutes de repos, pensant que Thaïs a rempli au mieux la tâche que son Maître lui avait confiée. Le silence se fait dans la chambre qui a entraîné les deux amants dans le sommeil, tandis que la neige continue à tomber sur le château de M…..
08h00 la sonnerie du téléphone de la chambre retentit qui réveille en sursaut les deux amants encore assoupis ….
(A suivre ….)
Isabelle pense que son amant tout penaud qu’il est maintenant, et comme il vient de l’avouer, n’a jamais du recevoir un coup de queue de mâle dans son anus, car il a l’air de tout sauf de quelqu’un qui se soit fait enfiler, et elle se doute bien que, contrairement à elle, son plaisir anal ne doit sûrement pas être développé, faute aussi d’avoir été sollicité. Et elle se met à compter à haute voix, mais non sans stresser, car elle a tenté un vrai coup de poker, et si son amant choisissait la deuxième solution par pure lâcheté, elle serait bien en peine de devoir quitter la chambre ou de perdre toute crédibilité, et elle ne sait pas comment son Maître le prendrait si elle n’avait pas rempli ses obligations jusqu’au bout.
- 6.., 7..., 8…, 9 ……,
Isabelle traîne de plus en plus sur les derniers chiffres et commence à paniquer dans sa tête car rien ne se passe jusqu’au chiffre 9 et là victoire, elle aperçoit Thierry qui est en train de se retourner et se couche à plat ventre sur le lit.
- 10. Parfait, je vois que tu as envie de savoir…. Alors tu vas goûter à des plaisirs nouveaux et je vais voir ce que tu en penses. Je suis certaine que ta demande de pardon aura une toute autre saveur quand tu sauras vraiment ce que cela recouvre.
Et sans plus ménagement qu’il n’en avait eu, elle lui attrape le bassin qu’elle lève à pleines mains pour l’obliger à se mettre à genoux, courbé vers l’avant, tête contre les draps. Elle prend le gode qu’elle passe sur ces fesses et dans la raie des fesses plusieurs fois comme pour faire durer le plaisir du jeu vicieux qu’elle s’apprête à jouer et pour impressionner encore plus celui dont la respiration s’est accélérée. Thierry semble tétanisé, il ne bouge plus, et comme Isabelle l’a redressé pour le mettre en levrette, elle s’aperçoit qu’il est en train de bander, visiblement très excité par ce qui se passe, tel un soumis en devenir, cela crève les yeux d’évidence. Cela lui donne du courage pour poursuivre, d’autant plus qu’elle sait que les deux caméras ne doivent pas en louper une, elle s’est d’ailleurs mise sur le côté de manière à ne pas gêner les prises de vues sûrement pas inintéressantes et elle espère que son Maître Vénéré n’en perd pas la moindre seconde dans sa chambre.
D’une main, elle attrape fermement le gode qu’elle présente en face de la rondelle resserrée et commence à vouloir pousser en avant. Visiblement, sa première tentative n’est pas assez forte pour arriver même seulement à entrouvrir un début de passage. Alors, elle commence à fesser à pleine mains le postérieur de l’homme qu’elle trouve si ridicule maintenant qu’il n’a plus son costume d’homme d’affaires pour lui servir d’armature conventionnelle.
- Ces fessées là, c’est pour t’apprendre, tu ne crois pas que tu vas contracter les fesses et m’empêcher de rentrer.
Et tout en continuant à le taper a en avoir la main presque aussi rouge que les deux masses de chair sur lesquelles elle frappe, elle enfonce un doigt profondément dans l’anus de Thierry d’un seul trait, qui ne peut s’empêcher d’ouvrir la bouche et d’émettre un petit ouille qu’il refreine aussitôt. Elle se sert de son doigt qu’elle fait tourner, pivoter, entrer et sortir pour assouplir l’endroit avant d’en pénétrer un deuxième qu’elle fait également jouer de plus belle, les écartant tour à tour pour augmenter la dilation de ce conduit étroit qu’elle est en train de carrément déflorer pour la première fois. Elle retire ses doigts, crache sur le trou qui reste légèrement ouvert pour qu’un peu de salive serve légèrement de lubrifiant malgré tout et retente une pénétration par le gode. De nouvelles tapes sur les fesses surgissent tandis qu’elle lui crie dans les oreilles d’un ton sarcastique
- Ah tu fais moins le malin maintenant que c’est à ton tour. Alors tache de te détendre et d’écarter tes fesses au maximum, si tu veux limiter la douleur, car j’irai jusqu’au bout, sois en certain. Je ne vais pas te priver de la joie de la découverte.
Et elle appuie fort sur le gode dont elle fait par la force pénétrer le gland qu’elle ressort aussi sec, pour recommencer à nouveau, et ce trois fois de suite avant de poursuivre plus profond la pénétration. Thierry pousse des hurlements de bête chaque fois que le gode lui transperce le cul et il a le sentiment qu’il va tressaillir tant la douleur est forte, mais en même temps, il est conscient qu’il ressent une excitation qu’il ne peut maîtriser car il bande de plus en plus fort et il se sent encore plus humilié quand il comprend qu’Isabelle s’en est rendu compte, puisqu’elle a commencé à lui attraper la volumineuse bite raidie qu’elle serre fortement entre ses doigts.
- Isabelle, je t’en prie, arrête, c’est douloureux, très douloureux, trop douloureux. Je n’en puis plus. J’ai compris la leçon, tu n’as pas besoin de continuer, je suis plus que désolée de ce que je t’ai fait subir, je ne savais pas que ce pouvait à ce point être douloureux pour une femme le plaisir anal qui n’a donc de plaisir que le nom, et je suis conscient que je n’ai encore rien ressenti, car tu n’as même pas enfoncé jusqu’au au bout ce gode, pourtant j’ai l’impression qu’il m’a déjà déchiré de part en part et que mes entrailles vont s’échapper quand tu vas le retirer de mon orifice qui restera béant.
Isabelle s’attend à tout moment à ce qu’il réagisse, qu’il se révolte, qu’il se dégage de la position qu’elle lui a fait prendre et qu’il se retourne pour s’opposer à la pénétration qu’elle était en train de lui imposer et qu’elle croit contre son gré, mais il ne bouge pas et se contente seulement d’hurler à chaque fois qu’elle lui enfonce le pieu de plastique et de la supplier d’arrêter avec des larmes qu’il s’efforce de contenir. Et voyant qu’il ne remue absolument pas, alors qu’il est resté libre de tout mouvement de défense, elle continue de plus belle, refusant d’entendre ses gémissements qui semblent d’une certaine manière lui dire de continuer, tant son immobilité à rester dans cette position de son cul bien exposé à la sodomie est évidente.
- Thierry, est-ce que maintenant tu as encore envie de me dire que tu m’aimes ? Je voulais moi aussi savoir ce que tu avais dans le ventre et te tester pour savoir !!! C’est drôle cette histoire, n’est-ce pas ? Ne crois-tu pas que c’est drôle quand on inverse les rôles ?
- Oui, Isabelle, crois-moi, je t’aime et j’ai envie que tu me pardonnes et que tu m’aimes aussi en retour.
- Alors dit-moi que tu aimes ce que je suis en train de te faire subir, que tu aimes qu’on t’encule et que cela te fait bander comme un cochon
- Non ne me demande pas cela, s’il te plait … n’en rajoute pas, je t’en prie
- Alors, tu as envie que j’arrête et tu préfères que je parte tout de suite pour ne plus jamais te revoir !
- Non, Isabelle, je t’en prie ne part pas.
- Alors dis-moi haut et fort ce que je t’ai déjà demandé à l’instant et ne me le fait pas répéter une fois de plus. Dit-moi que tu aimes qu’on t’encule et que cela te fait bander comme un cochon
D’une toute petite voix, Thierry mâchonne dans ses dents.
- J’aime que tu m’en …… j’aime que tu m’encu…. Ennnnncule et cela me fait bander comme un co… chon.
Thierry a beaucoup de mal a articuler surtout qu’Isabelle a repris le rythme de ses pénétrations forcées prenant un malin plaisir devant les caméras à sortir le gode complètement à chaque fois pour le rentrer à nouveau ce qui fait toujours autant hurler de douleur Thierry qui n’avait jamais subi un tel traitement de sa vie dans son fondement et qui est totalement dépassé par ses propres réactions intérieures et l’immense excitation qu’il ressent dans sa queue en érection mais aussi dans tout son corps.
- Je n’ai pas bien entendu et je n’ai rien compris. Vas-y recommence plus fort et plus distinctement !
- J’aime que tu m’encullllllllllllllllles ….
Thierry se met à hurler à s’en déchirer les cordes vocales, tandis qu’Isabelle a enfoncé cette fois le pieu dans ses entrailles le plus profondément possible. Elle met en route le vibreur du gode, ce qui relance la douleur que ressent déjà Thierry dilaté comme jamais il ne l’avait été de sa vie. Isabelle attrape la verge dure à pleines mains, qu’elle commence à branler avec frénésie, tandis que de l’autre main, elle prend le gode et lui imprime de longs et lents mouvements de va-et-vient. Thierry hurle de douleur sans pouvoir se calmer jusqu’à ce que son cri se transforme en un râle sourd et puissant de plaisirs cette fois tandis qu’il éjacule, laissant son jus couler sur la main de celle qui le branle sans modération, ce qui le rempli d’une honte indicible. Il s’affale sur le lit car ses bras ne le porte même plus. Isabelle a à peine le temps de retirer sa main sous le corps chancelant de celui qu’elle a conduit jusqu’à l’éjaculation mais aussi jusqu’à l’épuisement. Le gode est toujours planté dans son cul, mais visiblement, il n’a ni la force de bouger, ni même celle de parler et il reste ainsi longtemps fermant les yeux. Immobile, au bout d’un moment, il s’endort avant même qu’Isabelle ne s’en rende compte.
La nuit est bien avancée et Isabelle a son tour s’étend sur la couche encore souillée par le sperme de celui qu’elle vient carrément de traire, pour pouvoir à son tour s’octroyer quelques minutes de repos, pensant que Thaïs a rempli au mieux la tâche que son Maître lui avait confiée. Le silence se fait dans la chambre qui a entraîné les deux amants dans le sommeil, tandis que la neige continue à tomber sur le château de M…..
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