La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°254)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°254) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°254)
Suite de l'épisode N°252 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

Le jeune businessman a perdu tout de sa superbe, tandis qu’entravé et bâillonné sur le lit, il s’était mis à bander à en faire exploser sa queue, envahi par des sentiments qu’il découvrait comme faisant partie de sa nature profonde de soumis dans l’âme. Sous l’œil Dominateur du Marquis d’Evans qui l’avait contraint, menotté et mis à sa merci, il ressent une incroyable excitation qu’il ne peut maîtriser malgré l’opprobre qui lui empourpre les joues comme s’il avait été un jeune gamin, candide et pubère, découvrant pour la première fois son jeune phallus de garçon qui change de taille. Il garde la tête basse incapable de soutenir le regard puissant du Noble qui le toise toujours sans bouger, dans un silence qui lui parait lourd et interminable. Il ne sait de quoi sera faite la suite de la journée, mais il n’a plus qu’un désir, celui de s’abandonner à son triste sort, car toute envie de révolte l’a définitivement abandonné.

Thierry se sent vaincu, coupable de ses penchants sexuels et si honteux de son désir de soumission qu’il ne peut plus se résoudre à cacher, car son corps et ses émotions le trahissent, mais encore plus ses pulsions longtemps refoulées le submergent. Il aimerait pouvoir devenir aussi petit qu’une petite souris et s’enfuir dans un trou sous le parquet, ou même encore plus petit, voire invisible, car même la tête basse, il n’aperçoit qu’une seule chose, son sexe tel un pieu dressé droit à la verticale qui lui apparaît beaucoup plus gonflé et dur qu’à l’habitude. Il ne se rappelle pas d’avoir eu par le passé une aussi longue et aussi puissante érection virile pour une fille lors de ses précédentes relations sexuelles, et encore moins, quand il se masturbait pour jouir, car il avait parfois du mal à dépasser sa gêne de devoir en être arrivé à se vider les couilles en solitaire à cause de sa flemme d’avoir cherché une partenaire pour baiser.

Pendant ce temps là et depuis que le Marquis d’Evans était arrivé dans la chambre s’affairant auprès de Thierry, Thaïs était resté silencieuse derrière le lit, sans bouger et sans parler, attendant un ordre de son Maître Vénéré. Mais visiblement, ce dernier était suffisamment occupé et n’avait pas eu besoin de ses services pour lier le jeune homme sur le lit et le forcer à visionner la bande enregistrée relatant ses ébats lubriques de la veille. Le Maître, avant que la télé ne soit allumée, avait juste ordonné à sa soumise de s’installer à genoux devant l’écran et de regarder elle aussi avec attention le film qui allait être projeté et ce d’une voix terriblement dure et implacable qui avait perturbé Thaïs, qui commençait à s’inquiéter de ne pas arriver à comprendre ce que son Maître pouvait avoir à lui reprocher mais qui avait bien compris que cela n’annonçait rien de bon pour elle aussi. La soumise pensait avoir vraiment répondu avec dévotion aux ordres de son Maître. Il lui semblait qu’elle avait suivi ses plans avec précision et obtenu plus d’éléments pour satisfaire le Marquis d’Evans que ce dernier ne devait en avoir espéré au départ. Tout ceci devait pouvoir constituer un moyen de pression suffisant pour contraindre le jeune homme d’affaires à collaborer et à faire en sorte que le projet immobilier de son Maître se réalise suivant les conditions qu’IL pourrait dorénavant imposer sans problème. Et c’est donc avec une grande appréhension que Thaïs avait regardé Isabelle, le personnage qu’elle avait joué en comédie la veille, évoluer à l’écran pour tenter de savoir ce qui avait pu déplaire à son Maître.

Le Marquis d’Evans sent bien que la peur est arrivée à son paroxysme chez sa soumise qui tremble presque à ses pieds. Mais sa préoccupation première est Thierry qui se trouve lui aussi sur une corde raide, prêt à chuter et c’est l’instant précis où IL doit le cueillir s’IL veut pouvoir l’amener à plier définitivement sous son joug, non plus par contrainte et par chantage, mais librement par désir profond de soumission. IL rompt à nouveau le silence qui s’était installé dans la pièce et qui a du paraître une éternité tant pour Thierry que pour Thaïs, toujours à genoux, immobile, le regard fixé sur le sol, qui n’a toujours pas compris la raison de l’emportement de son Maître à son égard, ne sachant d’ailleurs même si elle en est la cause, où s’IL est simplement de mauvaise humeur ce matin là pour une raison tierce, ce qui lui semble étonnant, car le Marquis d’Evans reste toujours Maître de ses émotions en toutes circonstances. Elle pense que peut-être les services informatiques de l’entreprise n’ont pas réussi à récupérer les éléments de nature à renseigner son Maître, et qu’IL en est fortement courroucé, bien que pour sa part, elle croit avoir fait tout ce qui était en son pouvoir et se résigne donc à attendre d’en savoir un peu plus, tracassée mais ne voulant pas s’alarmer davantage avant que nécessaire.

- Chienne, lève-toi et approche
- Oui, Maître. Me voilà. (répond Thaïs, d’une voie tremblante car son Maître l’appelle rarement d’une manière aussi rude, utilisant plus généralement le qualificatif de ma belle chienne)
- Regarde cet insolent comme il bande effrontément depuis tout à l’heure. Il va falloir calmer sans tarder ses ardeurs d’étalon en rut. Visiblement, tu ne l’as pas beaucoup épuisé la nuit dernière et encore moins vidé, qu’il a encore tant d’énergie à nous mettre sous le nez. Et regarde sa verge, elle semble encore plus grosse maintenant que ce que je pouvais la voir à travers les caméras. Son sexe est dressé comme un obélisque mais vraiment bien mal dressé car il n’éprouve aucune honte de s’exhiber ainsi devant moi et n’a même pas la décence de calmer son érection impertinente.

Thierry qui était déjà rouge avant, semble encore devenir plus flamboyant et cramoisi, sous les mots qui l’assaillent d’une honte indicible. Il baisse la tête de plus en plus et il voudrait pouvoir commander cette partie de son anatomie qui répond à ses instincts, mais sûrement pas à la raison et à la sagesse dont il faisait preuve avant. Pire pour lui, les mots que le Marquis venait de prononcer, le faisait encore plus bander par sa honte occasionnée, s’il pouvait encore plus, bien entendu !

- Chienne, va prendre sans tarder dans ma suite, une bouteille d’eau bien fraîche et tu devrais trouver également dans le frigidaire quelques glaçons. Tu me ramènes le tout dans le seau à champagne. Dépêche-toi !
- Mais Maître, je …..
- Quoi !!! Tu as dans l’intention de contester mes ordres maintenant ! Tu sais bien qu’en aucun cas, tu n’es autorisée à commencer une phrase par « Mais », ne pouvant que me répondre instantanément par « Oui, Maître ». Que t’arrive t-il, je te croyais beaucoup plus obéissante et mieux dressée, tu me déçois sérieusement à force !

Thaïs sait qu’elle est nue, et elle s’imagine mal traverser les couloirs de l’hôtel pour rejoindre la tour du château de M…. où se situe la suite du Marquis d’Evans. Elle se demande si son Maître a conscience de sa nudité et de ce que cela pourrait impliquer comme soucis si quelqu’un venait à la croiser dans les couloirs. Et pourtant, elle ne se sent pas vraiment capable de répliquer une fois encore. Le doute l’envahit. Que faire ! Au risque d’une punition méritée, elle tente quand même d’argumenter avant de bouger.

- Pardonnez-moi, Maître, de Vous importuner encore. Dois-je y aller dans cette tenue ? Et si tel est Votre ordre, que devrais-je dire ou faire si je croise quelqu’un dans les couloirs ?
- Thaïs, je suppose que tu as compris que je ne suis pas content de toi car tu n’as pas suivi mes ordres à la lettre. Et le pire, c’est que j’ai l’impression que tu n’as pas encore compris la raison de mon courroux, car je ne t’ai pas vu venir te jeter à mes pieds et implorer mon pardon. Pour ta punition, je devrais effectivement t’obliger à aller chercher ce que je t’ai demandé dans ta tenue d’Eve, cela t’apprendrait un peu à ne plus désobéir, surtout que je pense que tu n’apprécierais pas du tout de t’exhiber ainsi. Mais je te trouverais une sanction beaucoup plus adaptée, le moment venu. Passe par la salle de bains, il y a des peignoirs blancs et dépêche toi. Il faut un peu refroidir les chaudes ardeurs de ce malheureux dont la queue va finir par éclater si je n’y mets pas un terme.

Le Maître n’a pas fini de parler que déjà Thaïs s’est emparé d’un peignoir et se précipite à l’extérieur de la chambre sans tarder pour répondre aux dernières exigences de celui qu’elle voudrait servir sans faillir. Pendant ce temps là, le Noble s’est approché du lit et IL attrape le menton de Thierry pour le forcer enfin à relever la tête et à regarder droit dans les yeux celui qui va devenir son Maître absolu.

- Alors, à nous deux maintenant ! Et regarde-moi pour l’instant dans les yeux, car je veux que tu te rappelles très longtemps de mon regard que je daigne poser sur toi, créature insignifiante que je tiens entre mes mains bien plus que tu ne l’imagines encore. Je sais que cette image ne quittera plus jamais tes pensées et je le veux ainsi.

Le Châtelain s’approche tout prêt du visage terrifié qu’IL tient fermement d’une poignée ferme, ouvrant grand Ses yeux dominateurs qui semblent plus puissants que des poignards prêt à transpercer Thierry au plus profond de son âme, qui croit à cet instant qu’il pourrait défaillir car il n’a plus aucun repère, comme si toute sa vie d’avant avait basculé dans le néant, et n’ayant pour se rattraper aucune perspective d’échapper à son sort et au pouvoir de celui qui le tient entre ses griffes.

- Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu vas devenir mon soumis et intégrer mon cheptel, car je vais te dresser pour que tu deviennes un chien fidèle à mon service. Et ce ne sera même pas par chantage que je vais obtenir de toi ton abnégation et ton allégeance, mais parce que tu vas très vite ramper à mes pieds, m’implorer de te garder sous mon joug et tu viendras lécher avec beaucoup de reconnaissance dans ma main chaque fois que tu auras la chance que je daigne la tendre à ta portée. Ne cherche pas à le nier, tu as toujours rêvé au fond de toi d’être esclave et de trouver celui ou celle qui serait là pour t’aider à réaliser ton fantasme. Un vrai Dominant expérimenté ressent très vite ces choses là, et en général, je ne me trompe jamais quand je rencontre quelqu’un comme toi qui porte déjà en lui un besoin de soumission.

Le Marquis d’Evans sait que les premiers instants sont déterminants pour la relation qui va s’installer entre Lui et sa nouvelle recrue dont IL va prendre en charge l’éducation, comme IL l’a fait pour tant d’autres avant. A ce moment là, Thaïs revient avec dans les mains le seau à champagne rempli de glaçons et à l’intérieur la bouteille d’eau déjà bien fraîche puisqu’elle sortait du frigidaire. Elle ne comprend pas pourquoi son Maître lui a demandé d’aller chercher cela, mais elle n’a pas l’habitude de discuter les ordres qu’elle reçoit, car elle sait que son Maître ne laisse jamais rien au hasard et qu’IL sait très bien quand IL demande quelque chose dans quelle intention IL le fait. Thaïs s’agenouille devant son Maître Vénéré et elle tend ses bras vers le haut en tenant entre ses deux mains ce qu’elle rapporte pour son Maître.

- Petit enculé, j’ai décidé pour l’instant de t’appeler ainsi, car tu n’es encore que cela à mes yeux en ce moment. Peut-être qu’un jour tu deviendras un soumis mâle en devenir, si tu t’engages à me servir et à m’obéir en tous points. Alors tu seras encore un soumis sans nom et plus tard, si tu es méritant et seulement si tu l’es, je te choisirai un nom d’esclave et t’accorderai l’immense honneur de porter mes initiales, les initiales de ton Maître celui à qui tu appartiendras corps et âme totalement. Mais, nous n’en sommes pas encore là. Tâche de regarder tout ce qui se passe, ma soumise que tu vois ici à Mes pieds n’a agit que sur mon ordre depuis le début. Tout ce qu’elle t’a raconté et tout ce qu’elle t’a fait vivre, elle ne l’a fait que parce que je le lui ai demandé et que son seul désir est de me plaire, de m’obéir en tous points et de me satisfaire entièrement. Elle est mon esclave, mais c’est librement qu’elle est à Mes pieds, offerte à Mon bon plaisir. Je sais que tu ne peux pas encore comprendre tout cela et que le chaos a dû s’installer dans ta tête, mais Je vais y remédier bien vite.

Le Marquis d’Evans prend la bouteille d’eau qui est dans le seau à Champagne, la décapsule et la vide à moitié dans le récipient déjà rempli de glaçons qu’IL attrape ensuite des mains de Thaïs, toujours à genoux à Ses pieds. IL se débarrasse auprès d’elle de la bouteille et attrapant le seau à pleines mains cette fois, IL projette tout le contenu sur le sexe en érection et le corps entier de Thierry, terminant de vider le reste de la bouteille d’eau fraîche directement sur le sommet de la tête du malheureux glacé qui s’est mis à trembler et à se secouer dans ses liens. Un bon nombre des glaçons est aggloméré entre ses cuisses et sur son bas-ventre, tout autour de la verge qui sous le choc glacé à bien évidemment aussitôt dégonflée, mais c’est tout son corps qui est trempé ainsi qu’une grande partie des draps du lit. Le Maître a reposé dans les mains de sa soumise le seau et la bouteille, vides tous les deux et d’un geste de la main, IL lui fait signe d’aller tout reposer plus loin.

- Voilà, cela a dû te rafraîchir les idées à mon avis et faire un peu baisser la chaleur interne de ton sexe en ébullition (dit le Marquis tout en riant très sarcastiquement). J’en avais assez de voir ta virilité aussi arrogante. Il va te falloir apprendre à contrôler tes érections car tu ne seras autorisé à bander que sur mon ordre et mon bon vouloir, si tu veux espérer être un soumis en devenir et si tu n’y arrives pas tout seul, je saurai bien t’y contraindre par la force au moyen d’une cage de chasteté.

(A suivre …)

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