La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°257)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°257)
Suite de l'épisode N°255 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Maître a décidé, pendant deux bonnes minutes, de faire siffler la cravache dans l’air. IL sait très bien qu’en agissant ainsi, IL augmente la pression dans le corps de Sa soumise qui doit être partagée entre angoisse et excitation. D’ailleurs, IL a bien remarqué la moiteur qui a envahi ses mains et sûrement son bas-ventre, mais le plus visible reste ses seins qui dardent avec les tétons sortis. Thaïs se tient comme son Maître le lui a demandé, debout, le corps bien droit mais les jambes écartées. La tête également relevée et bien à la verticale dans l’axe de la colonne vertébrale, elle a posé ses mains sur le sommet de sa tête, paume à plat et les doigts entrecroisés pour pouvoir s’agripper fortement et résister à l’envie de bouger. Elle a fermé ses yeux en plissant les paupières pour être sûre de les garder clos, car elle ne voudrait pas risquer de mécontenter encore plus son Maître Vénéré et de se voir infliger un doublement de la punition. Elle est prise entre le remord de sa faute qui l’attriste parce qu’elle sait que son Maître en a été courroucé, mais en même temps, elle ne peut s’empêcher de ressentir l’excitation qui monte en elle. Ses bras pliés au dessus de sa tête avec ses coudes repoussés vers l’arrière, elle est consciente du fait que cette position lui fait cambrer le corps et surtout fait ressortir sa poitrine projetée vers l’avant avec ses deux mamelles généreuses qui pointent comme deux monts majestueux, larges mais fermes, séparés par une vallée où il doit faire bon venir y loger la queue.
Elle sent le regard de son Dominant puissant comme si elle pouvait l’apercevoir à travers ses paupières fermées, et pourtant elle perçoit à peine le bruit de ses pas quand le Marquis d’Evans tourne tout autour d’elle. Elle entend par contre très intensément les sifflements de la cravache qui fendent l’air, une fois à droite et une fois à gauche, ou plus aléatoirement. Elle pense que c’est un jeu bien pervers auquel son Maître joue, mais savamment calculé, car elle a l’impression d’avoir perdu totalement le sens de l’orientation (bien que ses pieds n’aient pas bougé d’un centimètre) et en tout état de cause, elle ne peut le suivre à la trace en aveugle, ne sachant pas où IL se trouve à l’instant précis et à fortiori l’endroit sur son corps où le seul Maître du jeu décidera de laisser s’abattre son instrument suivant son bon plaisir. Elle serait bien incapable de cacher son excitation en même temps que la tension qui a envahi tous ses muscles. A chaque sifflement de la cravache, elle frissonne sans vraiment bouger, mais le Marquis d’Evans peut facilement voir la contraction des muscles fessiers ainsi que ceux de la nuque et du haut du dos, qui lui font comprendre combien l’onde de sensations traverse sa soumise de haut en bas dans cette attente très savoureuse, qu’IL n’avait pas pour sa part l’intention de court-circuiter. Thaïs, sait que sa caverne humide est aussi en train de trahir son excitation, car elle a l’impression qu’à chaque coup qui siffle à ses côtés une grosse goutte de cyprine s’écoule de sa chatte et commence à serpenter onctueusement sur l’intérieur de ses cuisses largement entrouvertes.
Ces deux minutes passées en préliminaires, bien plus excitantes que terrifiantes pour Thaïs, n’ont pas non plus été inutiles pour mettre Thierry en condition, malgré certains petits morceaux de glaçons qui n’ont pas encore totalement fondu autour de son sexe, dont les poils alentour sont encore tout mouillés de l’eau glacée qu’il a reçue quand le Marquis Edouard d’Evans lui a jeté sur son ventre et sur ses attributs turgescents l’intérieur du seau à champagne. Il a encore la chair de poule car il trempe dans ce bassin d’humidité très froid qui l’encercle et qui s’est en partie infiltré dans les draps du lit. Mais de voir la femme qu’il avait baisé la veille ainsi exposée, tout près de lui, juste en face de lui, totalement nue et immobile, consentante et prête à recevoir sa punition sans broncher, cette Isabelle pour laquelle il avait très vite eu de trop forts sentiments lui faisant perdre la raison, il ne peut rester de marbre. Il pense qu’il devrait détester au plus haut point celle qui l’a piégé sans aucun remords, mais pour laquelle finalement il éprouve, à la fois un élan de compassion pour celle qui étant soumise a été forcée d’obéir aveuglement aux ordres reçus, mais aussi un sentiment très ambivalent car elle a servi d’une certaine manière de révélateur de ses pensées intimes, de ses fantasmes et de son désir de soumission, qu’il refoulait depuis si longtemps avec des efforts presque surhumains pour lutter contre ses penchants naturels déviants.
Et la vue du Noble, avec sa prestance aristocratique, en costume impeccable qui semble avoir été taillé dans les plus belles étoffes, au regard bleu fixe qui ne lâche pas sa soumise épiant le moindre de ses mouvements désordonnés, cravache à la main fendant l’air avec force comme pour s’échauffer le poignet, tout cela lui procure une forte excitation qu’il ne peut contenir une fois de plus, malgré la honte qu’il avait déjà ressentie le matin même, à bander ainsi sans retenue sous les commentaires peu élogieux et très sardoniques du Marquis d’Evans face à son exhibition si impudique de sa virilité gonflée et prête à éclater. Même si le spectacle n’a pas encore vraiment commencé, Thierry sent sa queue qui se redresse déjà inexorablement à chaque simulation de coups de cravache, achevant de faire tomber les derniers morceaux de glaçons fondus qui avaient trouvés refuge dans les plis de son pénis recroquevillé. Il ne peut toujours pas contrôler cette partie de son anatomie masculine. Encore attaché et bâillonné sur le lit, il se prend à espérer que le Marquis d’Evans restera concentré sur sa soumise qu’IL doit corriger et oubliera totalement sa présence, en lui laissant au moins le temps de laisser sa queue dégonfler et revenir à une taille plus réduite. Il tente donc de se faire le plus discret possible, sans bouger d’un millimètre et respirant tout doucement. Mais c’est bien mal connaître le Dominateur expérimenté qui avait anticipé les réactions du malheureux toujours contraint de profiter de la vue de la soumise qui attend d’être châtiée. Le Châtelain ne tarde pas d’une voix sarcastique à rompre le silence.
- Thaïs, Je ne sais si c’est toi et ton corps de femme plantureuse qui lui fait de l’effet, mais notre petit chien de businessman est déjà reparti au garde à vous avec une queue dressée qui visiblement nous montre aussi ce qu’il est vraiment encore une fois. Je sais que tu ne peux pas le voir, alors Je te le raconte, pour que tu l’imagines.
Les joues de Thaïs se mettent à rougir malgré elle. La soumise était concentrée sur la punition que son Maître devait lui infliger et elle avait fini par oublier qu’elle n’était pas seule dans la chambre en présence de son Dominant. Elle se trouve exhibée devant un étranger qui est en train de la mater cruellement, ce qui le fait bander aussi. Un sentiment d’autant plus étrange qu’elle a été son amante à plusieurs reprises, mais alors, elle agissait sur l’ordre de son Maître et ne pensait qu’à exécuter la mission qu’IL lui avait confiée. Mais à cet instant là, elle ressent avec une certaine gêne le regard excité que porte Thierry sur son anatomie offerte aux coups de son Maître. Et pourtant elle sait que le Marquis d’Evans a souhaité qu’il en soit ainsi, puisque sa propre punition va servir de première leçon inculquée à celui qui a de fortes chances de devenir prochainement un nouvel esclave faisant partie du cheptel du Châtelain. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’elle se retrouve à la demande de son Maître en présence d’autres soumis et soumises, devant exécuter Ses ordres ou se soumettre aux moindres désirs de son Maître le Marquis d’Evans, qui lui impose parfois de donner du plaisir ou d’accepter d’en recevoir d’un de ses frères ou sœur de soumission, et tout cela bien sûr sous le regard amusé et excité du Maître qui se régale toujours de voir les esclaves de Son château lui obéir au doigt et à l’œil.
Mais le Marquis d’Evans ayant suffisamment pris un malin plaisir à son petit jeu pervers qui à fait monter la pression et l’excitation, tant dans l’antre déjà humidifié de l’intimité de la femelle, cuisses ouvertes, que dans le phallus mâle qui lui fait face et qui offre encore une belle grosseur à la vue inquisitrice du Marquis, ce qui a pour effet de faire plonger aussi sec le menton de Thierry sur son thorax. Ce n‘est qu’au bout de deux minutes qui ont dû paraître interminables à la soumise en attente de sa punition, concentrée pour ne pas crier lorsque le premier coup viendrait s’abattre sur son corps offert et à la merci de son Maître, que ce dernier frappe enfin la croupe bombée de Thaïs qui mouille abondement déjà de plaisir dans son intimité coulante …
(A suivre …)
Le Maître a décidé, pendant deux bonnes minutes, de faire siffler la cravache dans l’air. IL sait très bien qu’en agissant ainsi, IL augmente la pression dans le corps de Sa soumise qui doit être partagée entre angoisse et excitation. D’ailleurs, IL a bien remarqué la moiteur qui a envahi ses mains et sûrement son bas-ventre, mais le plus visible reste ses seins qui dardent avec les tétons sortis. Thaïs se tient comme son Maître le lui a demandé, debout, le corps bien droit mais les jambes écartées. La tête également relevée et bien à la verticale dans l’axe de la colonne vertébrale, elle a posé ses mains sur le sommet de sa tête, paume à plat et les doigts entrecroisés pour pouvoir s’agripper fortement et résister à l’envie de bouger. Elle a fermé ses yeux en plissant les paupières pour être sûre de les garder clos, car elle ne voudrait pas risquer de mécontenter encore plus son Maître Vénéré et de se voir infliger un doublement de la punition. Elle est prise entre le remord de sa faute qui l’attriste parce qu’elle sait que son Maître en a été courroucé, mais en même temps, elle ne peut s’empêcher de ressentir l’excitation qui monte en elle. Ses bras pliés au dessus de sa tête avec ses coudes repoussés vers l’arrière, elle est consciente du fait que cette position lui fait cambrer le corps et surtout fait ressortir sa poitrine projetée vers l’avant avec ses deux mamelles généreuses qui pointent comme deux monts majestueux, larges mais fermes, séparés par une vallée où il doit faire bon venir y loger la queue.
Elle sent le regard de son Dominant puissant comme si elle pouvait l’apercevoir à travers ses paupières fermées, et pourtant elle perçoit à peine le bruit de ses pas quand le Marquis d’Evans tourne tout autour d’elle. Elle entend par contre très intensément les sifflements de la cravache qui fendent l’air, une fois à droite et une fois à gauche, ou plus aléatoirement. Elle pense que c’est un jeu bien pervers auquel son Maître joue, mais savamment calculé, car elle a l’impression d’avoir perdu totalement le sens de l’orientation (bien que ses pieds n’aient pas bougé d’un centimètre) et en tout état de cause, elle ne peut le suivre à la trace en aveugle, ne sachant pas où IL se trouve à l’instant précis et à fortiori l’endroit sur son corps où le seul Maître du jeu décidera de laisser s’abattre son instrument suivant son bon plaisir. Elle serait bien incapable de cacher son excitation en même temps que la tension qui a envahi tous ses muscles. A chaque sifflement de la cravache, elle frissonne sans vraiment bouger, mais le Marquis d’Evans peut facilement voir la contraction des muscles fessiers ainsi que ceux de la nuque et du haut du dos, qui lui font comprendre combien l’onde de sensations traverse sa soumise de haut en bas dans cette attente très savoureuse, qu’IL n’avait pas pour sa part l’intention de court-circuiter. Thaïs, sait que sa caverne humide est aussi en train de trahir son excitation, car elle a l’impression qu’à chaque coup qui siffle à ses côtés une grosse goutte de cyprine s’écoule de sa chatte et commence à serpenter onctueusement sur l’intérieur de ses cuisses largement entrouvertes.
Ces deux minutes passées en préliminaires, bien plus excitantes que terrifiantes pour Thaïs, n’ont pas non plus été inutiles pour mettre Thierry en condition, malgré certains petits morceaux de glaçons qui n’ont pas encore totalement fondu autour de son sexe, dont les poils alentour sont encore tout mouillés de l’eau glacée qu’il a reçue quand le Marquis Edouard d’Evans lui a jeté sur son ventre et sur ses attributs turgescents l’intérieur du seau à champagne. Il a encore la chair de poule car il trempe dans ce bassin d’humidité très froid qui l’encercle et qui s’est en partie infiltré dans les draps du lit. Mais de voir la femme qu’il avait baisé la veille ainsi exposée, tout près de lui, juste en face de lui, totalement nue et immobile, consentante et prête à recevoir sa punition sans broncher, cette Isabelle pour laquelle il avait très vite eu de trop forts sentiments lui faisant perdre la raison, il ne peut rester de marbre. Il pense qu’il devrait détester au plus haut point celle qui l’a piégé sans aucun remords, mais pour laquelle finalement il éprouve, à la fois un élan de compassion pour celle qui étant soumise a été forcée d’obéir aveuglement aux ordres reçus, mais aussi un sentiment très ambivalent car elle a servi d’une certaine manière de révélateur de ses pensées intimes, de ses fantasmes et de son désir de soumission, qu’il refoulait depuis si longtemps avec des efforts presque surhumains pour lutter contre ses penchants naturels déviants.
Et la vue du Noble, avec sa prestance aristocratique, en costume impeccable qui semble avoir été taillé dans les plus belles étoffes, au regard bleu fixe qui ne lâche pas sa soumise épiant le moindre de ses mouvements désordonnés, cravache à la main fendant l’air avec force comme pour s’échauffer le poignet, tout cela lui procure une forte excitation qu’il ne peut contenir une fois de plus, malgré la honte qu’il avait déjà ressentie le matin même, à bander ainsi sans retenue sous les commentaires peu élogieux et très sardoniques du Marquis d’Evans face à son exhibition si impudique de sa virilité gonflée et prête à éclater. Même si le spectacle n’a pas encore vraiment commencé, Thierry sent sa queue qui se redresse déjà inexorablement à chaque simulation de coups de cravache, achevant de faire tomber les derniers morceaux de glaçons fondus qui avaient trouvés refuge dans les plis de son pénis recroquevillé. Il ne peut toujours pas contrôler cette partie de son anatomie masculine. Encore attaché et bâillonné sur le lit, il se prend à espérer que le Marquis d’Evans restera concentré sur sa soumise qu’IL doit corriger et oubliera totalement sa présence, en lui laissant au moins le temps de laisser sa queue dégonfler et revenir à une taille plus réduite. Il tente donc de se faire le plus discret possible, sans bouger d’un millimètre et respirant tout doucement. Mais c’est bien mal connaître le Dominateur expérimenté qui avait anticipé les réactions du malheureux toujours contraint de profiter de la vue de la soumise qui attend d’être châtiée. Le Châtelain ne tarde pas d’une voix sarcastique à rompre le silence.
- Thaïs, Je ne sais si c’est toi et ton corps de femme plantureuse qui lui fait de l’effet, mais notre petit chien de businessman est déjà reparti au garde à vous avec une queue dressée qui visiblement nous montre aussi ce qu’il est vraiment encore une fois. Je sais que tu ne peux pas le voir, alors Je te le raconte, pour que tu l’imagines.
Les joues de Thaïs se mettent à rougir malgré elle. La soumise était concentrée sur la punition que son Maître devait lui infliger et elle avait fini par oublier qu’elle n’était pas seule dans la chambre en présence de son Dominant. Elle se trouve exhibée devant un étranger qui est en train de la mater cruellement, ce qui le fait bander aussi. Un sentiment d’autant plus étrange qu’elle a été son amante à plusieurs reprises, mais alors, elle agissait sur l’ordre de son Maître et ne pensait qu’à exécuter la mission qu’IL lui avait confiée. Mais à cet instant là, elle ressent avec une certaine gêne le regard excité que porte Thierry sur son anatomie offerte aux coups de son Maître. Et pourtant elle sait que le Marquis d’Evans a souhaité qu’il en soit ainsi, puisque sa propre punition va servir de première leçon inculquée à celui qui a de fortes chances de devenir prochainement un nouvel esclave faisant partie du cheptel du Châtelain. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’elle se retrouve à la demande de son Maître en présence d’autres soumis et soumises, devant exécuter Ses ordres ou se soumettre aux moindres désirs de son Maître le Marquis d’Evans, qui lui impose parfois de donner du plaisir ou d’accepter d’en recevoir d’un de ses frères ou sœur de soumission, et tout cela bien sûr sous le regard amusé et excité du Maître qui se régale toujours de voir les esclaves de Son château lui obéir au doigt et à l’œil.
Mais le Marquis d’Evans ayant suffisamment pris un malin plaisir à son petit jeu pervers qui à fait monter la pression et l’excitation, tant dans l’antre déjà humidifié de l’intimité de la femelle, cuisses ouvertes, que dans le phallus mâle qui lui fait face et qui offre encore une belle grosseur à la vue inquisitrice du Marquis, ce qui a pour effet de faire plonger aussi sec le menton de Thierry sur son thorax. Ce n‘est qu’au bout de deux minutes qui ont dû paraître interminables à la soumise en attente de sa punition, concentrée pour ne pas crier lorsque le premier coup viendrait s’abattre sur son corps offert et à la merci de son Maître, que ce dernier frappe enfin la croupe bombée de Thaïs qui mouille abondement déjà de plaisir dans son intimité coulante …
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