La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°259)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°259)
Suite de l'épisode N°247 - Mary au château -
Une quarantaine de minutes plus tard, la Rolls conduite par Walter était revenue se garer devant le perron du château. En effet le majordome était allé chercher Hervé le mari de Mary, resté à la fête du village… Un moment après on entendit dans les couloirs du château une voix raisonnante, distincte, c’était celle d’Hervé :
- Ou est-elle ? … Je veux la voir tout de suite … s’exclamait-il sur un ton plus ou moins inquiet …
- Elle est en sécurité, je vous ai déjà dit, tout va bien pour elle, lui répondait Walter … suivez-moi, vous verrez de vous-même …
Quand la porte s’ouvrit pour laisser place aux deux hommes, Mary était nue et attachée à une croix de Saint-André. Elle était en train d’être souillée de cire chaude par Maître Benjamin. Visiblement Mary y trouvait beaucoup de plaisir, ainsi exhibée, cuisses largement écartées. Le spectacle saisit de stupeur Hervé qui dans un premier temps se figea tant il fut surpris de la scène, pour ensuite bredouiller :
- Mais ? … Que… ? qu’ … ?qu’est-ce que tu fais … ? Mais … Mais … on t’a séquestré, on te torture ???????
D’un bond, le mari de Mary se précipita pour aller détacher sa femme quand Mary le stoppa net en lui lançant :
- Non, mon chéri, laisse-moi ainsi … Je suis ici de mon plein grès et….
- Mais ça va pas, non ? Tu es devenue folle ? …
Hervé, ne comprenant rien du tout et ne voulant rien entendre, allait défaire une des deux boucles du bracelets de cuir maintenant un des bras de Mary sur la croix quand derrière lui une voix autoritaire résonna dans l’encadrement de la porte et stoppa d’un coup l’élan du mari.
- Que ce passe-t-il ici ?
Le Marquis d’Evans venait de prononcer ces quelques mots avec tellement d’assurance qu’ils provoquèrent chez Hervé un volte face spontané. Et c‘est avec colère et sans comprendre :
- Mais vous avez séquestré ma femme et vous demandez ce qui se passe ?… Je vais vous mettre mon poing sur la figure et ...
- D’abord, calmez-vous…, coupa net le Marquis d’une voix calme mais si ferme qu’elle n’autorisait aucune rébellion, Je n’ai jamais séquestré qui que ce soit contre son plein gré. Si votre femme est là c’est qu’elle le veut. De plus, vous la trouver dans une position laquelle elle est consentante et tant désirée.
Ce fut comme un coup de massue pour le mari qui prit des yeux hagards. Il était si effaré qu’il ne trouva aucun mot. Il regardait sa femme qui lui souriait tout en essayant de comprendre. La bouche ouverte de stupéfaction, il se mit à écouter Monsieur le Marquis qui calmement lui expliqua :
- Voyez-vous, cher Monsieur, votre femme est ce que l’on appelle une soumise. Elle vous aime beaucoup et ne doutez pas de son amour pour vous, il est sincère. Vous avez su la rendre heureuse dans votre couple, mais dans sa vie il lui manquait une seule chose que vous ne pourrez certainement jamais lui apporter : Une véritable Domination afin de palier à son manque de soumission laquelle elle inspire tant… Sachez que désormais, elle M’appartient, qu’elle est devenue Ma propriété, qu’elle est Ma soumise corps et âme…
Et le Marquis continua longuement et calmement à lui expliquer la démarche intime de sa femme, sa prise de contact avec Lui, son besoin d’être soumise, sa venue ici au château, etc etc… Hervé écoutait attentivement afin de comprendre la situation. Il s’était assis sur une chaise que lui avait tendu Walter tandis que le Marquis lui expliquait ‘’le pourquoi du comment’’. Il s’était calmé et alternait son regard en direction de Celui qui lui parlait et de sa femme qui lui souriait avec plein d’amour dans son regard de femme. Quand le Maître des lieux eut fini de parler, un silence lourd survint. Que se passait-il dans la tête du mari, que pensait-il ?... Après de longues minutes où visiblement Hervé réfléchissait la tête fixée sur le visage de sa femme attachée à cette croix, il se décida enfin de parler :
- Mary … Tu es donc une soumise... Consentante …. Et de ton plein gré, tu es donc là … … Toi … ? Tu …
- Oui mon amour, de plein gré et j’en suis si heureuse … Pardonne-moi si je n’en t’ai jamais parlé mais m’aurais-tu comprise ? Je ne le pense pas … Alors ne voulant vivre plus longtemps en te cachant ma situation, il me restait plus qu’à te mettre devant le fait accompli, et en accord avec mon Maître. Il m’a accordé le droit de t’informer de ce que je suis en te montrant concrètement ici ce que j’ai toujours voulu être. Ta venue ici n’est pas le hasard mais un plan échafaudé de toute pièce.
- Mais … Tu … Ton ….
Hervé avait l’air abasourdi. On aurait dit qu’il venait de découvrir une soucoupe volante dans son jardin ! Le Marquis coupa ce nouveau silence …
- Walter détache Mary et donne lui un chaud peignoir. Nous allons accueillir Hervé avec l’hospitalité qu’il mérite …
15 minutes après Monsieur le Marquis d’Evans, Mary et son mari Hervé était dans le petit salon, lieu idéal quand le Noble reçoit un ou deux invités seulement. Le châtelain avait convié Hervé de s’installer dans un confortable fauteuil Louis XV. Le Marquis en face, une petite table de salon au milieu. Quand à Mary, elle était venu se mettre sur le côté du fauteuil de son Maître, immobile, agenouillée et tête baissée, sous le regard encore ébahi de son mari. Celui-ci calmé par les explications du Marquis qui continuait sereinement à expliquer son univers de la D/s. tout en savourant un Cognac que Walter avait apporté aux deux hommes. Le mari calmé certes ! mais encore très étonné de la démarche de se femme. Hervé pourtant écoutait attentivement son hôte car il avait besoin de comprendre ce qui s’était passé. Au bout de très très longues minutes d’explications, il se décida à parler :
- Monsieur le Marquis, je comprends désormais. Je ne dis pas que j’adhère à ce que vous dites mais je comprends mieux, ce qui a poussé ma femme dans vos griffes… (Puis se tournant vers sa femme) Mary, écoute, ce qui est fait, est fait ! N’en parlons plus et rentrons à la maison et oublions tout ça…
- Mais Hervé, tu n’as pas compris, Je rentrerais à la maison si seulement mon Maître l’accepte. Et je lui ai déjà demandé bien avant de venir ici. Et je préfère que ce soit Lui qui t’explique dans quelle condition, je pourrais revenir à la maison. Mais dans tous les cas, même si je rentre avec toi, parce que je t’aime, Monsieur le Marquis d’Evans sera toujours mon Maître tant qu’il le décidera …
- Qu’il m’explique dans quelle condition ? Mais il ne va pas décider, à notre place !! Tu rentres avec moi ! Dit Hervé qui recommençait à s’énerver surtout par révolte que l’on décide à sa place
- Cher ami, coupa le Noble d’un voix sèche. Votre femme est ma soumise comme on vous l’a longuement expliqué et elle ne peut plus décider ce qu’elle souhaite sans mon accord. J’espère être clair et à ne pas avoir besoin de le redire.
- Mais je ne vous permet pas de…
- Taisez-vous et écoutez-moi, dit le Châtelain d’une voix plus autoritaire. Mary m’a demandé une chose qu’elle veut que vous fassiez et si vous vous exécutez à sa demande, j’accepterai qu’elle rentre avec vous. Ce n’est pas plus compliqué que ça !
- Quoi ???? Il faut que je fasse quelque chose pour que nous puissions rentrer chez nous ? … Mais je rêve ! Mary prend tes affaires et on rentre… Ah mais ! On va voir ce qu’on va voir !! dit Hervé qui s’était levé en s’énervant
- Non, Hervé, dit Mary calmement. Je ne partirai pas tant que tu ne feras pas ce que je veux que tu fasses
- Quoi ? Tu veux vraiment que … répliqua le mari défait par la volonté affirmée de sa femme
- Rasseyez- vous et écoutez ce que vous devez faire, au lieu de gesticuler et de nous incommoder, dit le Noble
- Bon, puisque ma femme est vraiment de votre côté, je vous écoute, dit Hervé en se rasseyant et se calmant…
- Voyez-vous, votre femme a un fantasme fort qu’elle voudrait vivre en réel. Elle sait que vous ne comprenez pas très bien les homosexuels et elle voudrait simplement vous voir être enculé par un autre homme et cela sous ses yeux…
- Mais ça va pas la tête, tu vas pas bien, ma chérie, faut te faire soigner, hurla Hervé qui d’un bond s’était de nouveau relevé.
- Maintenant si vous refusez n’en parlons plus et votre femme ne rentrera pas avec vous… Vous avez 5 minutes pour réfléchir. Nous vous laissons seul pour prendre votre décision.
A ces mots, Le Marquis empoigna la laisse restée au cou de sa soumise. Il claqua des doigts pour que Mary se mettre à quatre pattes, sous les yeux toujours effarés de son mari. Il tourna les talons et se dirigea vers la sortie, suivi de sa chienne de soumise menée en laisse. Hervé tenta de t’interposer mais Walter qui n’était pas très loin, vint se placer devant lui en lui montrant sa forte carrure les bras croisés et les épaules relevés afin de lui empêcher d’esquisser le moindre mouvement. Hervé compris qu’il n’avait pas intérêt à essayer de passer, qu’il ne ferait pas le poids devant un majordome si barraqué. Une fois que le Marquis sortit avec Mary, Walter les suivit en fermant la porte à clé, laissant seul Hervé 5 minutes afin qu’il réfléchisse à la décision à prendre …
(A suivre …)
Une quarantaine de minutes plus tard, la Rolls conduite par Walter était revenue se garer devant le perron du château. En effet le majordome était allé chercher Hervé le mari de Mary, resté à la fête du village… Un moment après on entendit dans les couloirs du château une voix raisonnante, distincte, c’était celle d’Hervé :
- Ou est-elle ? … Je veux la voir tout de suite … s’exclamait-il sur un ton plus ou moins inquiet …
- Elle est en sécurité, je vous ai déjà dit, tout va bien pour elle, lui répondait Walter … suivez-moi, vous verrez de vous-même …
Quand la porte s’ouvrit pour laisser place aux deux hommes, Mary était nue et attachée à une croix de Saint-André. Elle était en train d’être souillée de cire chaude par Maître Benjamin. Visiblement Mary y trouvait beaucoup de plaisir, ainsi exhibée, cuisses largement écartées. Le spectacle saisit de stupeur Hervé qui dans un premier temps se figea tant il fut surpris de la scène, pour ensuite bredouiller :
- Mais ? … Que… ? qu’ … ?qu’est-ce que tu fais … ? Mais … Mais … on t’a séquestré, on te torture ???????
D’un bond, le mari de Mary se précipita pour aller détacher sa femme quand Mary le stoppa net en lui lançant :
- Non, mon chéri, laisse-moi ainsi … Je suis ici de mon plein grès et….
- Mais ça va pas, non ? Tu es devenue folle ? …
Hervé, ne comprenant rien du tout et ne voulant rien entendre, allait défaire une des deux boucles du bracelets de cuir maintenant un des bras de Mary sur la croix quand derrière lui une voix autoritaire résonna dans l’encadrement de la porte et stoppa d’un coup l’élan du mari.
- Que ce passe-t-il ici ?
Le Marquis d’Evans venait de prononcer ces quelques mots avec tellement d’assurance qu’ils provoquèrent chez Hervé un volte face spontané. Et c‘est avec colère et sans comprendre :
- Mais vous avez séquestré ma femme et vous demandez ce qui se passe ?… Je vais vous mettre mon poing sur la figure et ...
- D’abord, calmez-vous…, coupa net le Marquis d’une voix calme mais si ferme qu’elle n’autorisait aucune rébellion, Je n’ai jamais séquestré qui que ce soit contre son plein gré. Si votre femme est là c’est qu’elle le veut. De plus, vous la trouver dans une position laquelle elle est consentante et tant désirée.
Ce fut comme un coup de massue pour le mari qui prit des yeux hagards. Il était si effaré qu’il ne trouva aucun mot. Il regardait sa femme qui lui souriait tout en essayant de comprendre. La bouche ouverte de stupéfaction, il se mit à écouter Monsieur le Marquis qui calmement lui expliqua :
- Voyez-vous, cher Monsieur, votre femme est ce que l’on appelle une soumise. Elle vous aime beaucoup et ne doutez pas de son amour pour vous, il est sincère. Vous avez su la rendre heureuse dans votre couple, mais dans sa vie il lui manquait une seule chose que vous ne pourrez certainement jamais lui apporter : Une véritable Domination afin de palier à son manque de soumission laquelle elle inspire tant… Sachez que désormais, elle M’appartient, qu’elle est devenue Ma propriété, qu’elle est Ma soumise corps et âme…
Et le Marquis continua longuement et calmement à lui expliquer la démarche intime de sa femme, sa prise de contact avec Lui, son besoin d’être soumise, sa venue ici au château, etc etc… Hervé écoutait attentivement afin de comprendre la situation. Il s’était assis sur une chaise que lui avait tendu Walter tandis que le Marquis lui expliquait ‘’le pourquoi du comment’’. Il s’était calmé et alternait son regard en direction de Celui qui lui parlait et de sa femme qui lui souriait avec plein d’amour dans son regard de femme. Quand le Maître des lieux eut fini de parler, un silence lourd survint. Que se passait-il dans la tête du mari, que pensait-il ?... Après de longues minutes où visiblement Hervé réfléchissait la tête fixée sur le visage de sa femme attachée à cette croix, il se décida enfin de parler :
- Mary … Tu es donc une soumise... Consentante …. Et de ton plein gré, tu es donc là … … Toi … ? Tu …
- Oui mon amour, de plein gré et j’en suis si heureuse … Pardonne-moi si je n’en t’ai jamais parlé mais m’aurais-tu comprise ? Je ne le pense pas … Alors ne voulant vivre plus longtemps en te cachant ma situation, il me restait plus qu’à te mettre devant le fait accompli, et en accord avec mon Maître. Il m’a accordé le droit de t’informer de ce que je suis en te montrant concrètement ici ce que j’ai toujours voulu être. Ta venue ici n’est pas le hasard mais un plan échafaudé de toute pièce.
- Mais … Tu … Ton ….
Hervé avait l’air abasourdi. On aurait dit qu’il venait de découvrir une soucoupe volante dans son jardin ! Le Marquis coupa ce nouveau silence …
- Walter détache Mary et donne lui un chaud peignoir. Nous allons accueillir Hervé avec l’hospitalité qu’il mérite …
15 minutes après Monsieur le Marquis d’Evans, Mary et son mari Hervé était dans le petit salon, lieu idéal quand le Noble reçoit un ou deux invités seulement. Le châtelain avait convié Hervé de s’installer dans un confortable fauteuil Louis XV. Le Marquis en face, une petite table de salon au milieu. Quand à Mary, elle était venu se mettre sur le côté du fauteuil de son Maître, immobile, agenouillée et tête baissée, sous le regard encore ébahi de son mari. Celui-ci calmé par les explications du Marquis qui continuait sereinement à expliquer son univers de la D/s. tout en savourant un Cognac que Walter avait apporté aux deux hommes. Le mari calmé certes ! mais encore très étonné de la démarche de se femme. Hervé pourtant écoutait attentivement son hôte car il avait besoin de comprendre ce qui s’était passé. Au bout de très très longues minutes d’explications, il se décida à parler :
- Monsieur le Marquis, je comprends désormais. Je ne dis pas que j’adhère à ce que vous dites mais je comprends mieux, ce qui a poussé ma femme dans vos griffes… (Puis se tournant vers sa femme) Mary, écoute, ce qui est fait, est fait ! N’en parlons plus et rentrons à la maison et oublions tout ça…
- Mais Hervé, tu n’as pas compris, Je rentrerais à la maison si seulement mon Maître l’accepte. Et je lui ai déjà demandé bien avant de venir ici. Et je préfère que ce soit Lui qui t’explique dans quelle condition, je pourrais revenir à la maison. Mais dans tous les cas, même si je rentre avec toi, parce que je t’aime, Monsieur le Marquis d’Evans sera toujours mon Maître tant qu’il le décidera …
- Qu’il m’explique dans quelle condition ? Mais il ne va pas décider, à notre place !! Tu rentres avec moi ! Dit Hervé qui recommençait à s’énerver surtout par révolte que l’on décide à sa place
- Cher ami, coupa le Noble d’un voix sèche. Votre femme est ma soumise comme on vous l’a longuement expliqué et elle ne peut plus décider ce qu’elle souhaite sans mon accord. J’espère être clair et à ne pas avoir besoin de le redire.
- Mais je ne vous permet pas de…
- Taisez-vous et écoutez-moi, dit le Châtelain d’une voix plus autoritaire. Mary m’a demandé une chose qu’elle veut que vous fassiez et si vous vous exécutez à sa demande, j’accepterai qu’elle rentre avec vous. Ce n’est pas plus compliqué que ça !
- Quoi ???? Il faut que je fasse quelque chose pour que nous puissions rentrer chez nous ? … Mais je rêve ! Mary prend tes affaires et on rentre… Ah mais ! On va voir ce qu’on va voir !! dit Hervé qui s’était levé en s’énervant
- Non, Hervé, dit Mary calmement. Je ne partirai pas tant que tu ne feras pas ce que je veux que tu fasses
- Quoi ? Tu veux vraiment que … répliqua le mari défait par la volonté affirmée de sa femme
- Rasseyez- vous et écoutez ce que vous devez faire, au lieu de gesticuler et de nous incommoder, dit le Noble
- Bon, puisque ma femme est vraiment de votre côté, je vous écoute, dit Hervé en se rasseyant et se calmant…
- Voyez-vous, votre femme a un fantasme fort qu’elle voudrait vivre en réel. Elle sait que vous ne comprenez pas très bien les homosexuels et elle voudrait simplement vous voir être enculé par un autre homme et cela sous ses yeux…
- Mais ça va pas la tête, tu vas pas bien, ma chérie, faut te faire soigner, hurla Hervé qui d’un bond s’était de nouveau relevé.
- Maintenant si vous refusez n’en parlons plus et votre femme ne rentrera pas avec vous… Vous avez 5 minutes pour réfléchir. Nous vous laissons seul pour prendre votre décision.
A ces mots, Le Marquis empoigna la laisse restée au cou de sa soumise. Il claqua des doigts pour que Mary se mettre à quatre pattes, sous les yeux toujours effarés de son mari. Il tourna les talons et se dirigea vers la sortie, suivi de sa chienne de soumise menée en laisse. Hervé tenta de t’interposer mais Walter qui n’était pas très loin, vint se placer devant lui en lui montrant sa forte carrure les bras croisés et les épaules relevés afin de lui empêcher d’esquisser le moindre mouvement. Hervé compris qu’il n’avait pas intérêt à essayer de passer, qu’il ne ferait pas le poids devant un majordome si barraqué. Une fois que le Marquis sortit avec Mary, Walter les suivit en fermant la porte à clé, laissant seul Hervé 5 minutes afin qu’il réfléchisse à la décision à prendre …
(A suivre …)
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