La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°263) - histoire érotique

Suite de l'épisode N°261 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

Le Marquis Edouard d'Evans venait d'emmener sa soumise, la fidèle et dévouée Thaïs vers une jouissance extrême comme elle n'en avait jamais connu auparavant. Sortant à peine de son état d'extase, encore toute chancelante de spasmes excitants qui la traversaient de la tête aux pieds, elle avait juste réussi à exprimer quelques premiers mots de remerciements.

- Mon Maître Vénéré, Merci pour tout ce que Vous m’avez fait vivre. N’ayez aucune crainte, je suis Votre soumise, Votre propriété, et je n’ai qu’une envie, celle de rester à Vos pieds.

Tandis que Thaïs part se rafraîchir dans la salle de bains, presque encore titubante après cette intense extase, le Noble se rapproche alors du lit où se trouve toujours attaché Thierry, qui est tombé dans un état de somnolence assez profond. Ses muscles se sont relâchés, sa tête est tombée sur le creux de son épaule et il ne tient que par les menottes qui le relient encore au lit. Les moments qu'il a traversés en moins de 24h ont eu raison de lui, entre la nuit de dépravation que lui avait fait vivre Isabelle sur les ordres de son Maître Vénéré, la découverte de ces nouvelles sensations qui l'avait submergé quand il s'était trouvé forcé et enculé pour la première fois par une femme qui plus est, la honte et la peur qu'il avait ressenti quand il s'était aperçu qu'il avait été piégé et filmé à son insu. Mais par dessus tout, les pulsions et sa nature de soumis qui se révélait à lui, l'avaient dépassé le conduisant dans un état d'excitation qu'il n'avait jamais ressenti auparavant, quand il s'était retrouvé attaché de force comme dans ses fantasmes les plus refoulés, sous les yeux inquisiteurs d'un Dominant qui ne se gênait pas de lui adresser des propos moqueurs et peu flatteurs qui aurait dû le couvrir de honte, mais qui avait eu pour effet de faire gonfler sa queue sans retenue et sans la moindre pudeur, devant celui qui de surcroît lui parlait de devenir un esclave à Ses pieds, ce qui l'excitait encore plus à la seule évocation de ce sublime supplice qui lui paraissait presque un délice tant il se plaisait à tant le désirer.

Le Noble, penché sur Thierry, vérifie d'abord l'état dans lequel se trouve le jeune homme presque inconscient et en particulier la circulation du sang au niveau des entraves qui le retiennent prisonnier. Avec précaution pour ne pas le réveiller trop rapidement et trop brutalement, IL ouvre sans tarder les menottes, retient le corps endormi dans ses bras et défait peu à peu l'ensemble de ses liens pour pouvoir progressivement l'allonger sur le lit. Thierry est toujours dans les bras de Morphée, ce qui facilite grandement la tâche du Marquis qui a entre ses mains un pantin souple qui n'oppose aucune résistance. Le Marquis d'Evans ne sait pas quelle va être la réaction de Thierry, lorsque dans les premières secondes, ce dernier va reprendre conscience, même s'IL sait pertinemment que sa voix naturellement calme et autoritaire lui permettra dans tous les cas de garder la maîtrise de la situation. Mais peut-être qu'il faudra quelques instants au jeune businessman avant de faire la part des choses entre le rêve et la réalité de ce qu'il a vraiment vécu, d'émerger et surtout de se rappeler de tout ce qui s'est passé en si peu de temps. Le Châtelain appelle alors sa soumise pour qu'elle soit présente à ses côtés, car IL décide qu'il est temps de réveiller maintenant Thierry et de vérifier si ce qu'IL avait pressenti, à savoir que bientôt ce dernier ramperait à Ses pieds comme un chien, va se réaliser. Le Marquis d'Evans, sait toujours repérer assez rapidement les futurs soumis ou soumises de son cheptel et IL se trompe rarement sur le devenir de ceux qu'IL décide de prendre sous son joug.

- Ma belle chienne, arrive un peu ici ! Tu as l'air radieuse, on dirait que tu as pris du bon temps en jouissant, je ne t'ai jamais vu avec un sourire aussi large sur les lèvres. Cela te réussi grandement d'ouvrir ta fontaine abondante !

Thaïs baisse la tête en entendant la voix de son Maître et elle se met à rougir en quelques secondes se rappelant effectivement combien son Maître Vénéré a su la transporter dans une incroyable et si puissante jouissance fulgurante et la faire couler de la sorte. La tâche laissée par son eau sur le sol est encore visible là sous ses pieds juste devant le lit et elle a honte d'avoir souillé d'une si grande auréole le beau parquet de chêne ancien de la chambre. Mais malgré cela son sourire radieux ne quitte pas ses lèvres, car elle se sent si heureuse de savoir que son Maître n'avait nullement l'intention de ne pas la garder à Ses pieds.

Elle s'approche du Marquis d'Evans et dans un vrai geste d'amour et de remerciements pour celui qu'elle Vénère plus que tout, elle s'agenouille aux pieds de son Maître et dépose sur chacun de ses pieds un long baiser tendre, puis s'immobilise ainsi attendant un ordre ou un geste du Maître pour savoir ce qu'elle doit faire. Le Marquis savoure cet instant de pure soumission de celle qui Lui appartient totalement. IL prend un plaisir à la regarder nue, prosternée à ses pieds, sachant à quel point, elle s'y sent bien. Cela ravive ses pulsions de Dominant et l'excite au point qu'IL en oublierai presque ce qu'IL avait l'intention de faire avec Thierry, car IL sent son sexe de mâle qui réagit en voyant cette femelle totalement à sa disposition et dont IL pourrait exiger n'importe quoi pour satisfaire le moindre de Ses désirs, même les plus pervers qui lui viendraient à l'esprit.

- Ma belle chienne, redresse toi, j'ai terriblement envie de toi, quand je te vois comme cela si radieuse à Mes pieds et totalement à Ma disposition. D'ailleurs, tu pourras constater en levant les yeux que je ne suis pas physiquement insensible à la dévotion que tu me portes à chaque instant. Mais Ma queue va attendre un tout petit peu, tu pourras t'occuper de satisfaire ton Maître dans très peu de temps, ne t'en fait pas pour cela. Je veux d'abord réveiller notre jeune businessman et le contraindre à choisir son avenir personnel et professionnel.

Le Marquis demande à Sa soumise de se mettre de l'autre côté du lit, tandis qu'IL commence à entreprendre de réveiller Thierry par de simples caresses et petits tapotements sur l'épaule et de toutes petites claques sur les joues, tout en même temps que d'une voix douce, IL commence à lui parler.

- Thierry, Thierry, Thierry, réveille-toi. Tu as largement assez dormi maintenant. Il est temps de reprendre pied dans la réalité... Thierry, je suis le Marquis d'Evans, ouvre les yeux et regarde moi en face… C'est un ordre !...

Thierry s'exécute sur ce dernier mot, comme s'il était un robot obéissant à une voix enregistrée qui lui donnerait les consignes d'exécution ce qui déclencherait le bouton de mise en route. Le Marquis d'Evans, tient fermement, dans Sa main droite, le menton du jeune homme d'affaires qui, bien que totalement libre de ses mouvements maintenant, ne bouge toujours pas d'un pouce. De Son regard puissant et dominateur, IL fixe celui qui est déjà en son pouvoir, comme hypnotisé par les yeux bleus profonds du Noble, n'ouvrant pas la bouche et à nouveau dévasté par une excitation qui produit le même effet sur sa queue qui se met à gonfler et à durcir, tant ses fantasmes et désirs de soumission lui ressurgissent à l'esprit.

- Je te rappelle le marché que je t'ai proposé. Contre la signature chez le notaire de l'acte de cession du terrain au profit de ma société écran, je te remettrai l'enregistrement DVD de ta nuit de débauche. Je n'exige rien de plus et je te donne ma parole d'Homme d'honneur que je n'en garderais pas de copie. Tu es libre dès à présent de choisir ton devenir professionnel. Si cette proposition ne te convient pas, le film sera diffusé à l'ensemble des personnes avec lesquelles tu es en relation d'affaires, mais je sais très bien que tu ne choisiras pas cette option.

Puis d'une voix plus appuyée, le Marquis d'Evans ajoute, en fixant encore plus celui qu'IL tient sous son regard.

- Tu as bien compris ce que je voulais te rappeler en préambule. Je ne le répéterai pas et il n'y aura aucune sommation préalable si l'acte notarié n'a pas été régularisé dans les quatre mois.

Le Marquis d'Evans lâche le menton de Thierry qui se trouve bien incapable d'ouvrir la bouche et de répondre autrement que par un petit hochement de tête positif. Le ton du Marquis d'Evans change et devient encore plus grave; IL se met à parler plus lentement, comme s'il fallait que chaque mot résonne dans le cerveau du soumis en devenir pour aller s'imprégner dans chacune des cellules de son corps.

- La vie sous mon joug n'est pas de tout repos, mais je sais que tu rêves au fond de toi de devenir mon esclave. Regarde ta queue parle pour toi, même si tu songes encore à baisser la tête. Je peux dans ma grande magnanimité accepter de dresser le chien fidèle que tu pourras devenir, mais sache que si tu décides de venir m'implorer pour que j'accepte de te voir ramper à Mes pieds, tu ne t'appartiendras plus du tout et plus jamais. Tu deviendras MA propriété exclusive, corps et âme. Ceci veut dire entre autres, que Moi seul déciderait de tes plaisirs, de ta jouissance, des gonflements de ta nouille un peu excitée à ce que je vois qui sera souvent enfermée dans une cage de chasteté sauf quand je déciderai qu'IL pourra en être autrement, de ton anus qui sera forcé et plugué, de ton dos et de tes fesses qui seront frappés et fouettés pour te rappeler ta condition d'esclave et pour que ton corps porte en permanence les marques de Mon pouvoir sur toi…

Le Marquis marque un temps d’arrêt court. Il reprend son souffle pour enchaîner toujours avec Ses yeux dominateurs par Son regard si profond qu’on aurait dit qu’Il lisait dans le cerveau de Thierry.

- … Tu n'auras pas plus quoique ce soit à dire sur ta nourriture quotidienne qui sera celle du chien que tu vas devenir et dont tu devras me remercier chaque jour. Ta cervelle ne sera là que pour me servir et attendre Mes ordres et tes pensées ne t'appartiendront même plus car Mon conditionnement est puissant. Tu n'auras droit de parler que si Je te pose une question et tu ne seras jamais autorisé à te plaindre de ton sort, car Je te le redis une bonne fois pour toutes, tu es et restes à tout moment libre de partir avec bien sûr l'impossibilité absolue de revenir. Etant donné que tu acceptes ta condition librement, tu n'aurais aucune raison de songer à vouloir t'en plaindre.

Le Noble marque de nouveau un temps de silence mais cette fois plus long, avant de poursuivre avec autant d'intensité et de fermeté dans la voix, sachant qu'il faut que le soumis en devenir ait le temps d'ingurgiter tout ce que le Maître lui assène si clairement et d'un ton qui n'appelle ni réponse, ni commentaires.

- Je veux avoir une confiance absolue envers ceux qui sont sous Ma domination, donc Je ne tolère aucune désobéissance, ni aucun manquement aux ordres ou aux règles que Je fixe. J'ai d'ailleurs deux choses en horreur, c'est d'une part que l'on me désobéisse et d'autre part que l'on ose avoir des états d'âme négatifs. Sache encore, que si Je devais un jour perdre confiance en toi pour quelque raison que ce soit, tu serais renvoyé aussitôt et tu n'entendrais plus jamais parler de moi. Maintenant, Je tiens aussi à te prévenir que je suis un Maître Dominant très exigeant envers ceux qui m'appartiennent dont Je veux qu'ils puissent aux yeux de tous être Ma fierté et l'éloge de Ma puissance. Donc, Je ne tolère, ni ne pardonne la moindre faute qui se trouve sanctionnée durement et sans appel, ni contestations possibles. Les punitions peuvent être physiques mais aussi psychiques, mais elles seront toujours proportionnées à la faute pour te faire progresser et surtout pour éviter que tu ne retombes dans les erreurs du passé. … Mes exigences sont multiples et Mes esclaves quand ils ont été bien dressés n'ont qu'un seul but celui de satisfaire le moindre de Mes désirs et de se plier à Mon bon plaisir quand Je le souhaite et seulement quand Je souhaite. Mais dans un premier temps, tu n'auras même pas droit d'être appelé esclave ou chien, et encore moins que Je te donne un nom, tous ces titres se méritent avec du temps et de la dévotion pour son Maître. Celui qui voudrait se jeter à Mes pieds m'implorant de daigner regarder par terre ne serait encore qu'une petite chose insignifiante sans nom à Mes yeux tant que Je n'ai pas décidé qu'il en serait autrement. Porter Mes initiales est plus qu’un honneur que Je n'accorde qu'après un certain temps, et avoir le privilège d'être marqué par son Maître de la manière que ce dernier décide rend n'importe lequel de Mes esclaves très fier de pouvoir arborer un signe d'appartenance…

Le silence fort imprègne amplement toute la chambre d’hôtel avant que Le Marquis ne se tourne vers Sa soumise :

- Thaïs approche Ma belle chienne ! J'ai une surprise pour toi, Je veux te marquer à Ma manière comme tu ne l'as jamais été jusqu'à ce jour par ton Maître. Ce sera la deuxième leçon que tu vas offrir à celui qui va devenir mon soumis-esclave… Attrape dans la salle de bains le paquet de serviette de bains… Tu as déjà marqué le parquet de ton éjaculat, mais ton eau de femme fontaine si transparente va bien finir par sécher. On va essayer de préserver les belles lattes de chêne maintenant pour la suite de ce que à quoi je veux te faire goûter.

Le Marquis fait installer Sa soumise à genoux sur les serviettes de bains. Thaïs pense à cet instant que son Maître va vouloir une fois de plus la pousser à jouir et à couler pour lui car IL adore voir Sa fontaine couler sous Ses yeux et patiemment, elle attend de savoir ce qu'elle doit faire pour y parvenir. Le Marquis dégrafe la ceinture du pantalon de Son costume, baisse très légèrement son boxer pour en extirper Sa divine verge qui n'est même pas si gonflée que cela. Thaïs ouvre la bouche pensant qu'elle va pouvoir sucer son Maître et le rendre dur, mais elle est surprise de voir que ce dernier ne s'approche pas d'elle, mais qu'IL commence à uriner sur ses seins abondamment avant de relever le jet sur les épaules, le cou et le visage de Sa soumise pour terminer de se vider directement dans la bouche de Thaïs qui est restée ouverte sans bouger, ni même sans marquer le moindre mouvement de recul.

- Voilà Ma belle chienne, maintenant, tu es marquée de la liqueur dorée de ton Maître. Apprends que c'est un honneur que Je t'accorde aujourd'hui, en te faisant profiter de Ma douche dorée. Tu connaissais le goût de Ma semence, tu auras le plaisir maintenant de connaître cette autre liqueur qui sort de la Divine Queue de ton Maître. Laisse mon urine imprégner ta peau et bois avec plaisir ce que Je t'offre en cet instant.

Les joues, le cou et les seins encore ruisselants de ce liquide jaune, quand le Marquis secoue Sa verge pour en faire tomber les dernières gouttes sur les lèvres de Sa soumise. Thaïs finit de déglutir pour offrir à nouveau un large sourire à son Maître, car elle sait qu'elle a franchit en ce jour une nouvelle étape, et que Son Maître a daigné la marquer, comme le font les chiens quand ils marquent leur territoire, de son odeur de mâle pour qu'elle comprenne encore plus à quel point elle était une soumise si chère à ses yeux, SA propriété à Lui, toute à Lui…. Le Marquis se retourne alors sur Thierry qui est resté abasourdi par la scène, ne comprenant peut-être pas comment Thaïs n'avait pas eu le moindre geste de recul, ni marqué le moindre dégoût, mais en même temps terriblement excité par ce qu'il venait de voir qui le faisait à nouveau bander aussi sec. On devinait, rien que par son regard envieux, qu’en réalité il aurait tant voulu être aussi souillé de la sorte par l’urine du Marquis.

- Bon cela suffit, l'excité du sexe, tu ne vas pas encore nous jouer du pipeau, parce que tu viens de me voir pisser sur Ma chienne. Dis-toi bien, qu'il te faudra un peu de temps avant que ce ne soit ton tour. Je ne pisse pas sur le premier venu pour le plaisir de le souiller, c'est quelque chose qui se mérite et Ma Thaïs à Moi, est vraiment digne de la place à Mes pieds que Je lui accorde en toute confiance. Quand à toi, il est temps que Je te laisse à ta réflexion. Si tu as quelque chose à me dire ou une supplique à m'adresser, vient dans ma chambre dans 10 minutes tout au plus, après la porte sera définitivement close par la suite pour toi et pour ton associé. Il serait bon que tu le préviennes que Je n'entends plus donner suite à ma première proposition et que donc j'annule la dernière séance de travail dont nous avions parlé pour 11h. Vous êtes de fait libres de repartir quand Vous le souhaiterez, tous Vos frais de séjour seront pris en charge, et quand à la suite de la négociation immobilière, elle ne dépend que de toi. Ton avenir professionnel est entre tes mains…

Le Marquis se retourne et se dirige vers la porte de sortie.

-Thaïs enfile un peignoir de la salle de bains et suit-moi immédiatement.

Thaïs se lève, fait ce que son Maître lui a demandé et vient se mettre juste un mètre derrière Celui qu'elle Vénère plus que tout, prêt à le suivre au bout du monde s'IL le lui demandait. Le Marquis d'Evans sans même se retourner cette fois, lance à Thierry en partant :

- Petite chose sans nom, Ton avenir personnel aussi est entre tes mains. La porte de ma suite restera ouverte pendant 10 minutes, mais pas une de plus… Oui 10 minutes … C’est ce que je t’accorde pour prendre ta décision… Donc à toi de choisir la route que tu veux prendre ... Enfin, si tu penses que tu en as encore le choix dans ta petite tête de soumis en devenir !...

(A suivre… )