La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°267)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°267)
Suite de l'épisode précédent N°266 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Maître laisse pour quelque temps le soumis en devenir mûrir longuement ce qu'il vient d'entendre et prendre le temps cette fois de mûrir son choix, dans une position qui certes n'est pas des plus inconfortables, mais qui est bien en conformité avec le statut d'esclave qui va devenir le sien, ayant ramené sa dignité d'avant non pas plus bas que terre, mais juste à ras du sol, ce qui permettra au Maître de pouvoir seul décider du rang auquel IL élèvera ou rabaissera celui qui se sera remis en Son pouvoir. Laissant donc le soumis à ses réflexions, et s'approchant de Thaïs, IL reprend dans Ses mains, les objets qui lui étaient destinés et qu'IL avait déposés juste avant sur la table du salon. La belle chienne toujours immobile, entend le cliquetis des chaînes dont les maillons s'entrechoquent, mais elle est à ce moment là, de plus en plus perturbée par une envie présente d'uriner qui lui tort le ventre. Ses besoins naturels se font de plus en plus incontrôlables et elle commence à serrer les fesses et à contracter ses muscles du vagin et de l'entrecuisses pour tenter de repousser la poussée de la vessie gonflée et pleine qui appuie sur le méat urinaire. Le Maître qui connaît bien sa soumise a remarqué son manège et d'un air désinvolte pour la taquiner un peu plus, IL ajoute.
- Et bien, Ma belle chienne, tu me fais quoi là, tu as envie de faire la danse des canards, mais il n'y a pas de musique pour te dandiner ainsi.
Thaïs résiste de plus en plus mal à son envie pressente et elle se demande bien comment elle va tenir plus longtemps, car elle a déjà serré au maximum de ses possibilités et l'envie n'a vraiment pas l'air de vouloir disparaître. Elle craint à tout moment de perler là à même le sol du salon et au risque de mécontenter son Maître, elle s'apprête à lui demander en dernier ressort l'autorisation de pouvoir s'éclipser pour aller aux toilettes. Mais à peine a-t-elle commencé à ouvrir la bouche, que son Maître Vénéré, anticipant sa demande, lui propose :
- J'ai compris ce qu'elle a Ma petite chienne, elle a besoin de sortir pour faire ses besoins, mais il fait froid dehors et il neige sûrement. Cela ne me semble guère raisonnable ! (dit-IL avec un léger ton d'humour dans la voix). Je suis d'accord pour t'autoriser à rester à l'intérieur, mais du coup tu vas à quatre pattes dans la salle de bains. D'ailleurs, il te fallait passer par la case nettoyage, ce que tu n'as pas encore vraiment fait depuis ton lever. Une bonne douche te fera le plus grand bien, mais surtout tu n'avais pas imaginé que j'allais m'abaisser à baiser une femelle qui ne serait pas dans un état de propreté maximale… Allez, va vite te soulager et te laver Ma belle …
Thaïs ne se fait pas prier pour se précipiter vers les toilettes à quatre pattes. Mais à peine entreprend-t-elle de se relever, arrivée devant la cuvette des WC que son Maître l'interrompt.
- Non Ma belle, pas ainsi, rentre dans la douche et je t'autorise à te mettre debout et à écarter les jambes. Je veux profiter du spectacle, non pas parce que je suis un voyeur dépravé mais parce que tu dois savoir que tu ne peux pas te soustraire à Mes exigences et à la possession pleine et entière que j'ai de toi à chaque instant si je le désire ainsi.
Thaïs est perturbée par la demande de son Maître qui est nouvelle pour elle, Elle n'a pas eu l'habitude de pratiquer ainsi et par pudeur, elle continue à contracter les fesses et les cuisses au lieu de se laisser aller.
- Thaïs, tu m'appartiens, tu le sais bien, donc tu ne vas pas songer à me cacher la plus petite partie de ton corps, ni le plus élémentaire et naturel de tes gestes. Je veux te connaître dans les moindres détails et te voir pisser Ma belle. Sois encore heureuse que je ne t'oblige pas à aller te soulager dehors. Ne me le fait pas répéter deux fois si tu ne veux pas connaître le parfum de mon courroux. Je n'ai déjà que trop attendu…
Baissant encore un peu plus la tête, et prise tant par l'envie de ne pas désobéir aux exigences de son Maître, que par des obligations naturelles auxquelles elle ne peut se soustraire, Thaïs sent peu à peu le liquide jaune sortir de son corps et couler entre ses jambes, dégoulinant en partie sur tout l'intérieur de ses cuisses. Elle aperçoit la tache jaune qui s'est formé à ses pieds et paradoxalement, elle se sent beaucoup plus salie par sa propre urine qui est pourtant sortie de son corps que par la douche dorée dont son Maître l'a abreuvée et inondée quelques heures plus tôt. Il lui semble qu'elle comprend cependant le besoin de son Maître de l'avoir forcé à uriner en sa présence, sous son regard impassible, faisant ainsi sauter les derniers bastions de sa pudeur qu'elle retenait encore, preuve s'il en faut qu'elle n'était pas encore dans l'abandon total de son corps à celui à qui elle s'est livrée corps et âme. Et pour la première fois, Thaïs enfreint la règle du silence qui était la sienne, car elle sait aussi qu'elle doit remercier son Maître pour chaque chose qu'IL lui a accordé et également s'excuser pour chacun de ses manquements.
- Mon Maître Vénéré, je Vous remercie de m'avoir permis de répondre à un besoin naturel pressant, Je Vous prie de bien vouloir me pardonner pour ce temps d'hésitation à accomplir Votre demande. Je Vous remercie de m'avoir forcé à me livrer encore un peu plus intimement à Vous, à qui j'appartiens corps, esprit et âme. La femme fontaine que je suis coule si souvent pour Vous quand Vous la conduisez au plaisir que j'ai été stupide de m'encombrer de tabous primaires qui Vous déplaisent. Je sais que je mérite une punition pour cela quand IL Vous plaira de me l'imposer.
- Chaque chose en son temps. Il est vrai que j'ai été étonné de voir que ce matin quand je t'ai baptisé de mon nectar, tu n'as pas eu le moindre mouvement de recul, et que là, ton hésitation devant l'un de Mes ordres est de nature à me déplaire, d'autant plus qu'elle n'est pas justifiée. Je te ferai connaître ma décision en temps voulu quand à ta punition pour ce manquement à la règle de ton obéissance que je veux absolue en toute circonstances, car hésiter, c'est aussi douter de ton Maître et du bien fondé de Ses exigences.
Le Marquis d'Evans, s'empare alors de la pomme de douche et entreprend d'ouvrir les robinets d'eau chaude et d'eau froide. IL commence par rincer le fond de la douche où stagnait encore l'urine colorée de la belle chienne, puis IL décide dans un premier temps de la rincer de haut en bas. Bien qu'IL avait eu envie dans un premier temps de baiser sa belle après l'avoir bondé, le corps de cette femme qu'IL désire, ruisselant sous la douche, l'excite au plus haut point.
- Ferme les yeux, Thaïs, que je puisse te savonner à Ma guise et te laver de la tête aux pieds.
Le Noble, et Mâle avant tout, laisse la belle sous le jet de la douche qu'IL a reposé sur le support mural et s'empresse de se dévêtir intégralement. Et c'est nu qu'IL entre à son tour dans la très grande douche de ce palace dans laquelle on pourrait facilement tenir à quatre. Certes, IL veut savonner le corps de sa femelle pour la laver et la purifier avant de la posséder, mais IL veut aussi pouvoir caresser chacune de ses courbes, de ses plis, de ses creux, de ses zones sensibles et de ses zones érogènes, tant IL a plaisir à voir ce corps sensible vibrer dès qu'IL entreprend de l'explorer. IL s'approche les mains remplies de savon liquide pour se coller contre le dos de Thaïs, qui comprend en le sentant appuyé contre elle que son Maître l'a rejoint sous la douche pour un temps qui sera sûrement plus sensuel que simplement hygiénique. Elle ondule de tant de désirs de tout son corps pour se frotter contre celui de son Dominant, remuant les fesses contre le sexe déjà érigé qui darde entre les deux amants. Le Marquis empoigne les deux seins majestueux de la belle, les malaxe en même temps qu'IL les imprègne de gel douche, pour venir s'attarder sur les auréoles claires proéminentes avant de s'appesantir sur les tétons sensibles des mamelles de Sa chienne, qu'IL a toujours plaisir à longuement triturer, tordre et pincer fortement, car IL sait à quel point cela produit un effet magique sur Sa soumise qui se sent parcourue d'une onde irradiante qui lui traverse le corps, des pieds à la tête. L'eau de la douche d'une douce chaleur coule toujours sur les corps serrés l'un contre l'autre. Le Marquis prend les épaules de son amante et lui fait faire un demi-tour sur place pour l'avoir face à lui maintenant. IL la plaque légèrement contre le mur de la douche, d'une main lève sa jambe gauche pour pouvoir mieux dégager l'ouverture de sa chatte et avant de poursuivre, IL lui dit d'une voix très tendre dans le creux de l'oreille.
- Ouvre les yeux Thaïs, et regarde-moi.
La belle soumise s'exécute sans se faire prier tant elle a plaisir à pouvoir admirer les grands yeux bleus de son Maître quand elle y est autorisée. A ce moment là, le Marquis pénètre dans la caverne sensuelle de Thaïs qui est onctueuse à souhait et si avide de recevoir le sexe de son Maître Vénéré quand IL daigne lui faire l'honneur de venir la baiser en personne. Le Marquis dont la vigueur est encore plus qu'excellente, laboure sans ménagement par grands coups de butoir le bas-ventre de Sa soumise qui ne demande pas mieux que de se voir ainsi possédée et pénétrée. Son regard si expressif et si rayonnant est figé dans celui de son Maître Vénéré et elle a du mal à contenir les cris jouissifs de la chienne en chaleur qu'elle est à cet instant en particulier. Elle halète sans prendre le temps de reprendre son souffle car la montée de plaisir est en train de la submerger sous les assauts prolongés de son Maître Vénéré.
- Thaïs, attention, je ne t'ai pas autorisé à jouir encore (prend t-IL le temps de lui murmurer en lui laissant un baiser sur les lèvres) .... et si ce devait être cela ma punition pour tout à l'heure, pas de jouissance autorisée pendant que ton Maître te baise ardemment et se vide en toi.
Thaïs fronce les sourcils de désarroi, et elle se mord la lèvre durement en entendant son Maître, sa jouissance lui semble si proche, qu'elle se demande bien comment elle pourra résister au besoin qu'elle a de basculer dans l'extase. Le Marquis reprend de plus belle Ses assauts à grands coups de reins, encore plus excité de voir sa soumise qui tente sur Son ordre de résister et ne pas se laisser entraîner vers un orgasme que pourtant son corps et son cœur désirent si fort. Thaïs a remplacé son halètement par de longues et lentes respirations pour tenter de ne plus être qu'un corps ouvert et offert aux pénétrations de son Maître dans sa chatte qui voudrait pouvoir couler tout comme l'eau de la douche qui inonde encore les deux amants. Elle a fermé les yeux pour tenter de contracter chacun de ses muscles et lutter contre une jouissance dévorante qui tente de gagner sur sa capacité à résister.
- Non, Thaïs, ce n'est pas ce que j'ai décidé pour l'instant, je veux simplement que tu m'attendes et que tu jouisses en même temps que moi. J'ai envie d'entendre tes halètements de petite chienne et tes cris de femme qui atteint le sommet du plaisir, j'ai envie de sentir l'eau de ton sexe de femme fontaine m'inonder un peu plus sous la douche. Attends-moi juste, je te ferai signe quand tu seras autorisée à jouir...
Le Marquis accélère la cadence de ses coups de butoir dans le corps enflammé de la belle qui lui offre un si généreux sourire dans leurs regards qui restent collés l'un à l'autre. Comme par enchantement, la belle est maintenant sur le fil de la jouissance, dans cet état qui précède l'acmé de l'orgasme et qui reste d'une suavité profonde quand on peut le faire durer. Dans un léger râle annonciateur de l'éjaculation, le Noble tout en lâchant sa semence en de longs jets de spermes tout au fond de la chatte de Sa chienne, s'écrie
- Maintenant , jouiiiiiiiiiiiiiiiiit, c'est Mon Ordre
Thaïs hurle dans la même seconde avant d'annoncer d'une voix presque chantante comme si elle voulait faire partager son sublime moment de plaisir.
- jeeeee couuuuuuuu.....llllllllllleeeeeeeeeeeee
Et relâchant presque tous ses muscles, elle s'effondre après plusieurs secondes dans les bras de son Maître qui lui a encore fait connaître le ravissement suprême, reprenant peu à peu son souffle et affichant un sourire radieux qui irradie sur son visage. Le Marquis éteint le robinet qui coulait toujours, IL aide sa soumise à s'asseoir sur une chaise qui se trouve dans la salle de bain après lui avoir enfilé un peignoir blanc. Les gestes tendres du Noble contrastent avec les attitudes qu'IL adopte quand IL ne désire être qu'un Maître exigeant et Dominant, mais cherchant avant tout toujours à obtenir le meilleur de ceux qui lui ont prêté allégeance. Et tandis que le Marquis se sèche et se rhabille, IL ajoute.
- Et bien ma belle salope, je peux me sentir un Maître comblé, j'ai une soumise dévouée et prête à tous Mes désirs les plus pervers, qui est doublée d'une vraie hédoniste qui est toujours partante pour saisir tous les moments intenses de plaisirs charnels et intellectuels. Repose-toi un peu. Je t'y autorise car j'avais prévu autre chose pour toi de plus contraignant et de moins réjouissant, et tu ne vas pas y couper pour autant, mais tu as le droit de souffler et de reprendre des forces. Et puis, je vais aussi aller voir comment se porte notre petite chose sans nom. Je suppose que tes cris et râles de jouissance ont du quand même un peu malmener ses oreilles et surtout sa queue qui a dû encore vouloir se lancer dans le concours du livre des records pour cause de priapisme aigu. Je t'accorde 5 minutes pas plus, car j'ai un cadeau pour toi qui t'attend dans la pièce d'à-côté... Mais es-tu sûr de ne pas ...
Thaïs ne le laisse pas terminer sa phrase, au risque de l'interrompre et qu'IL y perçoive en cela un signe de grande impolitesse. Mais elle vient tout juste de reprendre son souffle et l'usage de la parole, car ses cordes vocales ont été un peu malmenées par ses cris sauvages et ininterrompus de femelle en rut et en pleine jouissance.
- Merci, mon Maître Vénéré, Merci pour ce temps de plaisir que Vous m'avez accordé. J'ai senti la chaleur de Votre sperme se répandre dans mon vagin et j'espère que Votre plaisir d'Homme et de Maître a trouvé à se contenter aussi de manière la plus agréable qui soit.... Je me sèche et je Vous rejoins sans tarder dans le salon, Maître...
(A suivre ….)
Le Maître laisse pour quelque temps le soumis en devenir mûrir longuement ce qu'il vient d'entendre et prendre le temps cette fois de mûrir son choix, dans une position qui certes n'est pas des plus inconfortables, mais qui est bien en conformité avec le statut d'esclave qui va devenir le sien, ayant ramené sa dignité d'avant non pas plus bas que terre, mais juste à ras du sol, ce qui permettra au Maître de pouvoir seul décider du rang auquel IL élèvera ou rabaissera celui qui se sera remis en Son pouvoir. Laissant donc le soumis à ses réflexions, et s'approchant de Thaïs, IL reprend dans Ses mains, les objets qui lui étaient destinés et qu'IL avait déposés juste avant sur la table du salon. La belle chienne toujours immobile, entend le cliquetis des chaînes dont les maillons s'entrechoquent, mais elle est à ce moment là, de plus en plus perturbée par une envie présente d'uriner qui lui tort le ventre. Ses besoins naturels se font de plus en plus incontrôlables et elle commence à serrer les fesses et à contracter ses muscles du vagin et de l'entrecuisses pour tenter de repousser la poussée de la vessie gonflée et pleine qui appuie sur le méat urinaire. Le Maître qui connaît bien sa soumise a remarqué son manège et d'un air désinvolte pour la taquiner un peu plus, IL ajoute.
- Et bien, Ma belle chienne, tu me fais quoi là, tu as envie de faire la danse des canards, mais il n'y a pas de musique pour te dandiner ainsi.
Thaïs résiste de plus en plus mal à son envie pressente et elle se demande bien comment elle va tenir plus longtemps, car elle a déjà serré au maximum de ses possibilités et l'envie n'a vraiment pas l'air de vouloir disparaître. Elle craint à tout moment de perler là à même le sol du salon et au risque de mécontenter son Maître, elle s'apprête à lui demander en dernier ressort l'autorisation de pouvoir s'éclipser pour aller aux toilettes. Mais à peine a-t-elle commencé à ouvrir la bouche, que son Maître Vénéré, anticipant sa demande, lui propose :
- J'ai compris ce qu'elle a Ma petite chienne, elle a besoin de sortir pour faire ses besoins, mais il fait froid dehors et il neige sûrement. Cela ne me semble guère raisonnable ! (dit-IL avec un léger ton d'humour dans la voix). Je suis d'accord pour t'autoriser à rester à l'intérieur, mais du coup tu vas à quatre pattes dans la salle de bains. D'ailleurs, il te fallait passer par la case nettoyage, ce que tu n'as pas encore vraiment fait depuis ton lever. Une bonne douche te fera le plus grand bien, mais surtout tu n'avais pas imaginé que j'allais m'abaisser à baiser une femelle qui ne serait pas dans un état de propreté maximale… Allez, va vite te soulager et te laver Ma belle …
Thaïs ne se fait pas prier pour se précipiter vers les toilettes à quatre pattes. Mais à peine entreprend-t-elle de se relever, arrivée devant la cuvette des WC que son Maître l'interrompt.
- Non Ma belle, pas ainsi, rentre dans la douche et je t'autorise à te mettre debout et à écarter les jambes. Je veux profiter du spectacle, non pas parce que je suis un voyeur dépravé mais parce que tu dois savoir que tu ne peux pas te soustraire à Mes exigences et à la possession pleine et entière que j'ai de toi à chaque instant si je le désire ainsi.
Thaïs est perturbée par la demande de son Maître qui est nouvelle pour elle, Elle n'a pas eu l'habitude de pratiquer ainsi et par pudeur, elle continue à contracter les fesses et les cuisses au lieu de se laisser aller.
- Thaïs, tu m'appartiens, tu le sais bien, donc tu ne vas pas songer à me cacher la plus petite partie de ton corps, ni le plus élémentaire et naturel de tes gestes. Je veux te connaître dans les moindres détails et te voir pisser Ma belle. Sois encore heureuse que je ne t'oblige pas à aller te soulager dehors. Ne me le fait pas répéter deux fois si tu ne veux pas connaître le parfum de mon courroux. Je n'ai déjà que trop attendu…
Baissant encore un peu plus la tête, et prise tant par l'envie de ne pas désobéir aux exigences de son Maître, que par des obligations naturelles auxquelles elle ne peut se soustraire, Thaïs sent peu à peu le liquide jaune sortir de son corps et couler entre ses jambes, dégoulinant en partie sur tout l'intérieur de ses cuisses. Elle aperçoit la tache jaune qui s'est formé à ses pieds et paradoxalement, elle se sent beaucoup plus salie par sa propre urine qui est pourtant sortie de son corps que par la douche dorée dont son Maître l'a abreuvée et inondée quelques heures plus tôt. Il lui semble qu'elle comprend cependant le besoin de son Maître de l'avoir forcé à uriner en sa présence, sous son regard impassible, faisant ainsi sauter les derniers bastions de sa pudeur qu'elle retenait encore, preuve s'il en faut qu'elle n'était pas encore dans l'abandon total de son corps à celui à qui elle s'est livrée corps et âme. Et pour la première fois, Thaïs enfreint la règle du silence qui était la sienne, car elle sait aussi qu'elle doit remercier son Maître pour chaque chose qu'IL lui a accordé et également s'excuser pour chacun de ses manquements.
- Mon Maître Vénéré, je Vous remercie de m'avoir permis de répondre à un besoin naturel pressant, Je Vous prie de bien vouloir me pardonner pour ce temps d'hésitation à accomplir Votre demande. Je Vous remercie de m'avoir forcé à me livrer encore un peu plus intimement à Vous, à qui j'appartiens corps, esprit et âme. La femme fontaine que je suis coule si souvent pour Vous quand Vous la conduisez au plaisir que j'ai été stupide de m'encombrer de tabous primaires qui Vous déplaisent. Je sais que je mérite une punition pour cela quand IL Vous plaira de me l'imposer.
- Chaque chose en son temps. Il est vrai que j'ai été étonné de voir que ce matin quand je t'ai baptisé de mon nectar, tu n'as pas eu le moindre mouvement de recul, et que là, ton hésitation devant l'un de Mes ordres est de nature à me déplaire, d'autant plus qu'elle n'est pas justifiée. Je te ferai connaître ma décision en temps voulu quand à ta punition pour ce manquement à la règle de ton obéissance que je veux absolue en toute circonstances, car hésiter, c'est aussi douter de ton Maître et du bien fondé de Ses exigences.
Le Marquis d'Evans, s'empare alors de la pomme de douche et entreprend d'ouvrir les robinets d'eau chaude et d'eau froide. IL commence par rincer le fond de la douche où stagnait encore l'urine colorée de la belle chienne, puis IL décide dans un premier temps de la rincer de haut en bas. Bien qu'IL avait eu envie dans un premier temps de baiser sa belle après l'avoir bondé, le corps de cette femme qu'IL désire, ruisselant sous la douche, l'excite au plus haut point.
- Ferme les yeux, Thaïs, que je puisse te savonner à Ma guise et te laver de la tête aux pieds.
Le Noble, et Mâle avant tout, laisse la belle sous le jet de la douche qu'IL a reposé sur le support mural et s'empresse de se dévêtir intégralement. Et c'est nu qu'IL entre à son tour dans la très grande douche de ce palace dans laquelle on pourrait facilement tenir à quatre. Certes, IL veut savonner le corps de sa femelle pour la laver et la purifier avant de la posséder, mais IL veut aussi pouvoir caresser chacune de ses courbes, de ses plis, de ses creux, de ses zones sensibles et de ses zones érogènes, tant IL a plaisir à voir ce corps sensible vibrer dès qu'IL entreprend de l'explorer. IL s'approche les mains remplies de savon liquide pour se coller contre le dos de Thaïs, qui comprend en le sentant appuyé contre elle que son Maître l'a rejoint sous la douche pour un temps qui sera sûrement plus sensuel que simplement hygiénique. Elle ondule de tant de désirs de tout son corps pour se frotter contre celui de son Dominant, remuant les fesses contre le sexe déjà érigé qui darde entre les deux amants. Le Marquis empoigne les deux seins majestueux de la belle, les malaxe en même temps qu'IL les imprègne de gel douche, pour venir s'attarder sur les auréoles claires proéminentes avant de s'appesantir sur les tétons sensibles des mamelles de Sa chienne, qu'IL a toujours plaisir à longuement triturer, tordre et pincer fortement, car IL sait à quel point cela produit un effet magique sur Sa soumise qui se sent parcourue d'une onde irradiante qui lui traverse le corps, des pieds à la tête. L'eau de la douche d'une douce chaleur coule toujours sur les corps serrés l'un contre l'autre. Le Marquis prend les épaules de son amante et lui fait faire un demi-tour sur place pour l'avoir face à lui maintenant. IL la plaque légèrement contre le mur de la douche, d'une main lève sa jambe gauche pour pouvoir mieux dégager l'ouverture de sa chatte et avant de poursuivre, IL lui dit d'une voix très tendre dans le creux de l'oreille.
- Ouvre les yeux Thaïs, et regarde-moi.
La belle soumise s'exécute sans se faire prier tant elle a plaisir à pouvoir admirer les grands yeux bleus de son Maître quand elle y est autorisée. A ce moment là, le Marquis pénètre dans la caverne sensuelle de Thaïs qui est onctueuse à souhait et si avide de recevoir le sexe de son Maître Vénéré quand IL daigne lui faire l'honneur de venir la baiser en personne. Le Marquis dont la vigueur est encore plus qu'excellente, laboure sans ménagement par grands coups de butoir le bas-ventre de Sa soumise qui ne demande pas mieux que de se voir ainsi possédée et pénétrée. Son regard si expressif et si rayonnant est figé dans celui de son Maître Vénéré et elle a du mal à contenir les cris jouissifs de la chienne en chaleur qu'elle est à cet instant en particulier. Elle halète sans prendre le temps de reprendre son souffle car la montée de plaisir est en train de la submerger sous les assauts prolongés de son Maître Vénéré.
- Thaïs, attention, je ne t'ai pas autorisé à jouir encore (prend t-IL le temps de lui murmurer en lui laissant un baiser sur les lèvres) .... et si ce devait être cela ma punition pour tout à l'heure, pas de jouissance autorisée pendant que ton Maître te baise ardemment et se vide en toi.
Thaïs fronce les sourcils de désarroi, et elle se mord la lèvre durement en entendant son Maître, sa jouissance lui semble si proche, qu'elle se demande bien comment elle pourra résister au besoin qu'elle a de basculer dans l'extase. Le Marquis reprend de plus belle Ses assauts à grands coups de reins, encore plus excité de voir sa soumise qui tente sur Son ordre de résister et ne pas se laisser entraîner vers un orgasme que pourtant son corps et son cœur désirent si fort. Thaïs a remplacé son halètement par de longues et lentes respirations pour tenter de ne plus être qu'un corps ouvert et offert aux pénétrations de son Maître dans sa chatte qui voudrait pouvoir couler tout comme l'eau de la douche qui inonde encore les deux amants. Elle a fermé les yeux pour tenter de contracter chacun de ses muscles et lutter contre une jouissance dévorante qui tente de gagner sur sa capacité à résister.
- Non, Thaïs, ce n'est pas ce que j'ai décidé pour l'instant, je veux simplement que tu m'attendes et que tu jouisses en même temps que moi. J'ai envie d'entendre tes halètements de petite chienne et tes cris de femme qui atteint le sommet du plaisir, j'ai envie de sentir l'eau de ton sexe de femme fontaine m'inonder un peu plus sous la douche. Attends-moi juste, je te ferai signe quand tu seras autorisée à jouir...
Le Marquis accélère la cadence de ses coups de butoir dans le corps enflammé de la belle qui lui offre un si généreux sourire dans leurs regards qui restent collés l'un à l'autre. Comme par enchantement, la belle est maintenant sur le fil de la jouissance, dans cet état qui précède l'acmé de l'orgasme et qui reste d'une suavité profonde quand on peut le faire durer. Dans un léger râle annonciateur de l'éjaculation, le Noble tout en lâchant sa semence en de longs jets de spermes tout au fond de la chatte de Sa chienne, s'écrie
- Maintenant , jouiiiiiiiiiiiiiiiiit, c'est Mon Ordre
Thaïs hurle dans la même seconde avant d'annoncer d'une voix presque chantante comme si elle voulait faire partager son sublime moment de plaisir.
- jeeeee couuuuuuuu.....llllllllllleeeeeeeeeeeee
Et relâchant presque tous ses muscles, elle s'effondre après plusieurs secondes dans les bras de son Maître qui lui a encore fait connaître le ravissement suprême, reprenant peu à peu son souffle et affichant un sourire radieux qui irradie sur son visage. Le Marquis éteint le robinet qui coulait toujours, IL aide sa soumise à s'asseoir sur une chaise qui se trouve dans la salle de bain après lui avoir enfilé un peignoir blanc. Les gestes tendres du Noble contrastent avec les attitudes qu'IL adopte quand IL ne désire être qu'un Maître exigeant et Dominant, mais cherchant avant tout toujours à obtenir le meilleur de ceux qui lui ont prêté allégeance. Et tandis que le Marquis se sèche et se rhabille, IL ajoute.
- Et bien ma belle salope, je peux me sentir un Maître comblé, j'ai une soumise dévouée et prête à tous Mes désirs les plus pervers, qui est doublée d'une vraie hédoniste qui est toujours partante pour saisir tous les moments intenses de plaisirs charnels et intellectuels. Repose-toi un peu. Je t'y autorise car j'avais prévu autre chose pour toi de plus contraignant et de moins réjouissant, et tu ne vas pas y couper pour autant, mais tu as le droit de souffler et de reprendre des forces. Et puis, je vais aussi aller voir comment se porte notre petite chose sans nom. Je suppose que tes cris et râles de jouissance ont du quand même un peu malmener ses oreilles et surtout sa queue qui a dû encore vouloir se lancer dans le concours du livre des records pour cause de priapisme aigu. Je t'accorde 5 minutes pas plus, car j'ai un cadeau pour toi qui t'attend dans la pièce d'à-côté... Mais es-tu sûr de ne pas ...
Thaïs ne le laisse pas terminer sa phrase, au risque de l'interrompre et qu'IL y perçoive en cela un signe de grande impolitesse. Mais elle vient tout juste de reprendre son souffle et l'usage de la parole, car ses cordes vocales ont été un peu malmenées par ses cris sauvages et ininterrompus de femelle en rut et en pleine jouissance.
- Merci, mon Maître Vénéré, Merci pour ce temps de plaisir que Vous m'avez accordé. J'ai senti la chaleur de Votre sperme se répandre dans mon vagin et j'espère que Votre plaisir d'Homme et de Maître a trouvé à se contenter aussi de manière la plus agréable qui soit.... Je me sèche et je Vous rejoins sans tarder dans le salon, Maître...
(A suivre ….)
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