La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°268)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°268)
Suite de l'épisode précédent N°267 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis Edouard d'Evans quitte la salle de bains, après s'être rhabillé. IL a laissé à Sa soumise Thaïs cinq minutes pour reprendre ses esprits et le rejoindre dans le salon après un orgasme qui fut spécialement arrosé tant par l'eau de la douche qui giclait sur les deux amants, que par son eau de femme fontaine qui coule si abondamment par grands jets saccadés dès que Thaïs s'envole vers le summum des plaisirs charnels. Le Maître rejoint le salon où IL sait que l'attend Son soumis en devenir, qu'IL avait abandonné à sa méditation sur le choix d'avenir qu'il souhaitait, car vouloir faire partie du cheptel du Marquis allait forcément changer sa vie du tout au tout, ne serait-ce que parce qu'en désirant et en acceptant de devenir la propriété du Marquis d'Evans, il lui fallait renoncer à être l'ancien Thierry en cravate, businessman, Monsieur, respecté et sûr de lui.
- Alors la petite chose sans nom est encore là ? Tu te rappelles que la porte de sortie est grande ouverte et que tu es libre de partir si tu as changé d'avis, je pense que ce serait une bêtise à ton niveau, mais sache que je ne ferai rien pour te retenir. Bien au contraire, si tu as des doutes quand à tes choix, il te faut partir sans attendre, et je t'y encourage, car je ne peux garder à Mes pieds que des esclaves très motivés et prêt à supporter, et même à endurer, tout ce que j'attends d'eux, et ce avec une grande loyauté et aussi beaucoup de patience, d'abnégation et d'allégeance…
Le Marquis d'Evans, marque un temps de pause avant de poursuivre d'un ton froid et autoritaire qui glacerait d'effroi le plus téméraire des hommes. Thierry se demande s'il ne ferait effectivement pas mieux de partir tout de suite, car il n'a jamais été très endurant, ni particulièrement courageux. Il sait aussi qu'il est assez sensible, douillet et peu résistant à la douleur. Les perspectives du Marquis quand IL lui parle de ce qui l'attend comme esclave aux pieds de son Maître ne sont pas toujours des plus alléchantes pour tout un chacun, mais la force qui le pousse à rester semble être la plus forte, tout comme l'est son désir profond de soumission. De toute manière, il se dit qu'il ne risque rien d'essayer et de tenter l'expérience, ne se rendant pas encore compte à quel point lorsque l'on a franchi le grand fossé et fait le premier pas dans ce monde D/s, il est très difficile d'y renoncer par la suite, car on devient très vite en addiction totale des sensations que l'on désire pouvoir ressentir de plus en plus souvent et de plus en plus intensément.
- … Te sens-tu prêt à renoncer à ta vie d'avant pour ne plus même t'appartenir et devenir Ma propriété exclusive obéissant au moindre de Mes désirs servilement ? Es-tu vraiment sûr de tout ce à quoi tu t'engages ? As-tu bien réfléchi, après IL sera trop tard ! Une fois de plus, je préfère te prévenir avant, tout comme je l'avais fait pour Isabelle, mais ta fierté et vanité l'ont emporté et tu t'es fait piéger malgré mes mises en garde.
Thierry se demande bien comment il aurait pu réfléchir plus qu'il ne l'a fait depuis quelque minutes, car il ne sait rien ou pas grand chose de ce à quoi il s'engage vraiment. Mais il ne se sent pas de poser plus de questions pour obtenir que le Marquis daigne consentir à lui en dire un peu plus sur ce qui l'attend au quotidien dans sa vie d'esclave futur, pieds et poings liés au service de son Maître et à sa merci la plus totale.
Pendant ce temps là, Thaïs est revenue à quatre pattes de la salle de bains. Elle s'approche de son Maître Vénéré, se mettant à sa disposition et cherchant à décrypter le geste que son Maître lui adresserait pour lui indiquer ce qu'IL attend d'elle. D'un doigt pointé vers le sol, sans même se retourner, IL lui fait signe et la soumise comprend sans qu'aucun mot ne soit prononcé qu'elle doit venir s'agenouiller aux pieds de son Maître, juste à sa gauche, ce qu'elle fait dans le plus grand silence. Une fois à genoux, elle s'assoit sur les talons, écarte les cuisses comme elle en a l'habitude, incline la tête et pose les mains sur ses cuisses, paumes tournées vers le haut, dans une position d'attente et de soumission passive. Le Maître passe sa main dans la chevelure de sa chienne à plusieurs reprises, comme IL le ferait d'un animal domestique qu'IL caresserait avec plaisir tactile et sensuel, pour le simple réconfort de savoir qu'IL possède pleinement la créature qui est Ses pieds, immobile et patiente. Enfin, IL reprend en s'adressant à Thierry, toujours allongé, nu à même le sol.
- Je vois que tu n'as pas encore bougé pour tenter de repartir vite fait chez toi comme je te l'ai proposé juste avant ! Est-ce donc que tu aurais dans l'intention de rester et de tenter de me convaincre pour que je daigne enfin écouter ce que tu peux avoir à me dire. Tu as bien rampé depuis ton arrivée, alors maintenant il va falloir supplier, puisqu'il me semble que c'est aussi pour cela que tu étais venu me rejoindre ici dans ma suite, ramper à mes pieds et me supplier de t'écouter et de te garder en te faisant une place dans mon cheptel !!! Je te donne le droit de parler, enfin jusqu'à ce que je t'arrête si je me lasse de t'entendre ou si ce que tu me sors n'est pas à mon goût, mais avant, il va falloir te mettre en vraie position de suppliant humble, à genoux, la tête basse et le regard tourné vers le sol, et surtout les mains jointes pour m'adresser ta supplique. Je n'ai pas l'habitude d'écouter les vers de terre flasque qui sont étalés sur le sol.
- Ma.. Maît....
Dans la seconde même avant qu'un mot de plus ne soit prononcé, le Noble a déjà interrompu la phrase que Thierry s'apprêtait à formuler, déjà très craintif et intimidé par les propos du Marquis Edouard d'Evans dont la prestance et la dominance transparaissent dans chacune de ses phrases et ses attitudes, car il sait au fond de lui qu'il est dans une position d'autant plus gênante que le Marquis d'Evans ne l'a pas encore remarqué et qu'il ne va pas pouvoir cacher plus longtemps. Les cris et râles de la belle chienne en chaleur qui s'est faite baiser virilement sous la douche ont eu raison de l'érection du soumis en devenir qui, à force de bander depuis le matin même, n'a pas pu se retenir et ce sans même qu'il ait eu besoin de se masturber, ou même de bouger ou de mettre ses doigts pour que sa verge soit sollicitée. Il s'est rappelé qu'adolescent les rêves érotiques de la nuit le conduisait souvent jusqu'à l'éjaculation et la pollution nocturne que ses parents réprouvaient et ce sans la moindre caresse durant son sommeil, mais depuis cette période de poussée hormonale juvénile, il n'avait jamais eu l'occasion de se retrouver dans une situation pareille qui ajoute à son trouble, car il a senti le liquide chaud se répandre sous lui et a été bien incapable de se maîtriser tant la honte qu'il ressentait à se sentir ainsi, nu, solitaire, allongé à même le sol et souillé de sa propre semence l'excitait encore plus.
Mais ce n'est même pas pour cette raison encore ignorée du Marquis d'Evans, car invisible et masquée par le corps de Thierry, allongé par dessus, que le Châtelain l'avait coupé dans sa lancée oratoire pour finalement ajouter.
- Tu commences un peu mal ta récitation et ton hommage à Celui qui pourrait devenir ton futur Dominant et Maître. Je t'ai déjà dit que pour l'instant, tu ne pouvais pas m'appeler Maître, car je ne t'y ai pas autorisé et car je ne t'ai pas encore fait part de ma décision de devenir ton Maître et de faire de toi Mon esclave. J'attends de voir ce que tu as à me dire, mais je me pose quelques questions à ton sujet, car tu sembles ne pas savoir ce qu'obéir veut dire et cela je ne peux le tolérer.
- Monsi… Monsieur le Marquis Edouard d'Evans, je dois d'abord Vous avouer quelque chose qui ne va sûrement pas Vous satisfaire et je crains Votre vive réaction à mon encontre, même si je sais qu'elle sera légitime. Mais je ne peux pas différer plus longtemps avant de Vous en parler et j'en accepte toutes les conséquences qu'IL Vous plaira de m'imposer car je sais que je n'aurais pas dû.
- Je ne comprends rien à ton charabia, tâche d'être un peu plus clair, si tu veux que je daigne perdre de mon précieux temps à t'écouter. Encore une phrase dénuée de sens pratique et je te tourne les talons aussi sec pour ne plus revenir vers toi. Par contre, Il y a une chose essentielle que je comprends aisément car elle me déplait fortement et dont tu risques fort de ressentir durement mon courroux qui va en résulter, c'est que tu ne comprends pas ou ne veux pas comprendre ce que je t’exige. Dis-toi bien, que, en premier, j'ai horreur qu'on me désobéisse, et en second, j'ai horreur qu'on m'oblige à répéter les choses une deuxième fois (dit-IL d'un ton lourd en appuyant fortement sur les mots comprendre et horreur qu'il a sciemment répété plusieurs fois pour marquer l'esprit de Thierry. Et au bout de quelques secondes d'un lourd silence, d'une voix très sèche et saccadée, le Marquis ajoute.
- J'ai dit à genoux, J'ai dit les mains jointes pour me supplier ! J'ai dit !...
- Monsieur le Marquis Edouard d'Evans, pardonnez-moi, mais justement c'est que je ne peux pas me mettre à genoux, c'est de cela dont je voulais Vous parler
- Comment cela tu ne Veux pas m'obéir ! (dit-IL d'une voix carrément excédée cette fois) Alors dehors, à l'instant !!!
- Je Vous en supplie, ce n'est pas que je ne Veux pas Vous obéir, mais que je ne peux pas le faire.
- Et pourquoi donc ? La belle histoire que tu me contes là... des sornettes ....... " Quand on veux, on peut ", ne connais-tu pas le dicton célèbre.
Le Marquis vient de comprendre ce qui a dû se passer devant le trouble manifeste de Thierry, et pour ajouter à la honte et à la confusion de celui qui, allongé sur le sol, essaye encore de cacher le résultat visible de son éjaculation non maîtrisée, IL se penche sur Thierry, lui attrape une grande mèche de cheveux et le tire assez violemment vers l'arrière, obligeant le jeune homme à se redresser à l'aide de ses bras pour réduire la tension sur son crâne, et à enfin se mettre à genoux, bien malgré lui. Thierry baisse la tête autant qu'il le peut et se sent devenir plus écarlate qu'une jeune fille pré-pubère qui viendrait de découvrir l'effet du désir sexuel couler entre ses jambes pour la première fois. Comme il regarde le sol, il ne peut s'empêcher de voir la trace blanche de son sperme étalé sur les lames de parquet et il sait que jamais de sa vie, il n'a ressenti autant de honte et de plaisir mélangé à la suite d'une de ces jouissances d'homme. Il n'ose plus ni bouger, ni parler, attendant que le Marquis s'exprime, par crainte de rajouter à l'exaspération de ce dernier. Et d'ailleurs, c'est ainsi que le Noble reprend.
- Ma belle Thaïs, est-ce que tu vois ce que j'aperçois ? Je ne sais pas si finalement tu as mis à mes pieds une bonne future recrue, car depuis ce matin, on ne voyait que son pénis turgescent à tout bout de champ qu'il ne pouvait pas empêcher de gonfler et maintenant il nous exhibe un minuscule petit haricot dont il n'a même pas eu la décence d'attendre avant de le laisser se vider tout seul, me dit-il. Je suis sûr que ce sont tes halètements de chienne en chaleur et tes odeurs de femelle qui ont excité ce chien qui n'est pas encore dressé et qu'il en a profité pour se frotter la queue sur le sol de la manière la plus effrontée et indécente qui soit.
- Non je vous assure, je n'ai pas bougé et j'ai essayé de résister (dit une petite voix craintive venant du sol)
- Qui a parlé ? Est-ce toi la petite chose sans nom couverte de sperme ? Tu ne crois pas que tu ferais mieux de te taire pour l'instant et d'attendre ce que je vais décider et ce que je vais faire de toi ? Et puis, ne t'ai-je pas dit que tu dois me parler avec déférence et surtout attendre que je te pose des questions avant d'ouvrir la bouche. Où te crois-tu donc, pour oublier les formules de politesse en t'adressant à moi sans même au préalable un Monsieur, et à fortiori un Monsieur le Marquis d'Evans ? Et te sens-tu déjà autorisé à présenter des arguments pour ta défense, même s'il est vrai que tu es un peu sur la sellette pour l'instant ?
Thierry sent son cœur qui bat de plus en plus fort et il en ressent le tempo saccadé et rapide entre ses tempes, jamais de sa vie il ne s'est senti aussi mal à l'aise. Il est terriblement humilié par la situation mais en même temps, il sent l'excitation qui revient, son corps nu est parcouru de frissons à fleur de peau et de manière presque par réflexe sont vit est en train de se tendre à nouveau, sous les yeux de Thaïs et de son Maître Vénéré qui n'en perdent pas une.
- Attends, mais je rêve ! (s'écrie alors le Marquis, comme s'IL s'adressait à Thaîs, mais résolument tourné vers Thierry qui attend toujours à genoux de savoir le sort qui va lui être réservé) ..... Non seulement, il n'a même pas honte de s'afficher ainsi en ma présence, couvert de son sperme qui a coulé de partout, mais en plus le voilà qui se remet à bander, l'animal. N'importe quoi !!! Je vais finir par penser que là, à Mes pieds, rampant sur le sol, c'est un alligator que nous avons, cet animal qui reste en érection tout le temps, rentrant et sortant juste sa queue virile par une simple contraction du muscle pelvien. J'ai mieux à faire que de continuer à regarder les érections incontrôlées de cette petite chose sans nom…
(A suivre …)
Le Marquis Edouard d'Evans quitte la salle de bains, après s'être rhabillé. IL a laissé à Sa soumise Thaïs cinq minutes pour reprendre ses esprits et le rejoindre dans le salon après un orgasme qui fut spécialement arrosé tant par l'eau de la douche qui giclait sur les deux amants, que par son eau de femme fontaine qui coule si abondamment par grands jets saccadés dès que Thaïs s'envole vers le summum des plaisirs charnels. Le Maître rejoint le salon où IL sait que l'attend Son soumis en devenir, qu'IL avait abandonné à sa méditation sur le choix d'avenir qu'il souhaitait, car vouloir faire partie du cheptel du Marquis allait forcément changer sa vie du tout au tout, ne serait-ce que parce qu'en désirant et en acceptant de devenir la propriété du Marquis d'Evans, il lui fallait renoncer à être l'ancien Thierry en cravate, businessman, Monsieur, respecté et sûr de lui.
- Alors la petite chose sans nom est encore là ? Tu te rappelles que la porte de sortie est grande ouverte et que tu es libre de partir si tu as changé d'avis, je pense que ce serait une bêtise à ton niveau, mais sache que je ne ferai rien pour te retenir. Bien au contraire, si tu as des doutes quand à tes choix, il te faut partir sans attendre, et je t'y encourage, car je ne peux garder à Mes pieds que des esclaves très motivés et prêt à supporter, et même à endurer, tout ce que j'attends d'eux, et ce avec une grande loyauté et aussi beaucoup de patience, d'abnégation et d'allégeance…
Le Marquis d'Evans, marque un temps de pause avant de poursuivre d'un ton froid et autoritaire qui glacerait d'effroi le plus téméraire des hommes. Thierry se demande s'il ne ferait effectivement pas mieux de partir tout de suite, car il n'a jamais été très endurant, ni particulièrement courageux. Il sait aussi qu'il est assez sensible, douillet et peu résistant à la douleur. Les perspectives du Marquis quand IL lui parle de ce qui l'attend comme esclave aux pieds de son Maître ne sont pas toujours des plus alléchantes pour tout un chacun, mais la force qui le pousse à rester semble être la plus forte, tout comme l'est son désir profond de soumission. De toute manière, il se dit qu'il ne risque rien d'essayer et de tenter l'expérience, ne se rendant pas encore compte à quel point lorsque l'on a franchi le grand fossé et fait le premier pas dans ce monde D/s, il est très difficile d'y renoncer par la suite, car on devient très vite en addiction totale des sensations que l'on désire pouvoir ressentir de plus en plus souvent et de plus en plus intensément.
- … Te sens-tu prêt à renoncer à ta vie d'avant pour ne plus même t'appartenir et devenir Ma propriété exclusive obéissant au moindre de Mes désirs servilement ? Es-tu vraiment sûr de tout ce à quoi tu t'engages ? As-tu bien réfléchi, après IL sera trop tard ! Une fois de plus, je préfère te prévenir avant, tout comme je l'avais fait pour Isabelle, mais ta fierté et vanité l'ont emporté et tu t'es fait piéger malgré mes mises en garde.
Thierry se demande bien comment il aurait pu réfléchir plus qu'il ne l'a fait depuis quelque minutes, car il ne sait rien ou pas grand chose de ce à quoi il s'engage vraiment. Mais il ne se sent pas de poser plus de questions pour obtenir que le Marquis daigne consentir à lui en dire un peu plus sur ce qui l'attend au quotidien dans sa vie d'esclave futur, pieds et poings liés au service de son Maître et à sa merci la plus totale.
Pendant ce temps là, Thaïs est revenue à quatre pattes de la salle de bains. Elle s'approche de son Maître Vénéré, se mettant à sa disposition et cherchant à décrypter le geste que son Maître lui adresserait pour lui indiquer ce qu'IL attend d'elle. D'un doigt pointé vers le sol, sans même se retourner, IL lui fait signe et la soumise comprend sans qu'aucun mot ne soit prononcé qu'elle doit venir s'agenouiller aux pieds de son Maître, juste à sa gauche, ce qu'elle fait dans le plus grand silence. Une fois à genoux, elle s'assoit sur les talons, écarte les cuisses comme elle en a l'habitude, incline la tête et pose les mains sur ses cuisses, paumes tournées vers le haut, dans une position d'attente et de soumission passive. Le Maître passe sa main dans la chevelure de sa chienne à plusieurs reprises, comme IL le ferait d'un animal domestique qu'IL caresserait avec plaisir tactile et sensuel, pour le simple réconfort de savoir qu'IL possède pleinement la créature qui est Ses pieds, immobile et patiente. Enfin, IL reprend en s'adressant à Thierry, toujours allongé, nu à même le sol.
- Je vois que tu n'as pas encore bougé pour tenter de repartir vite fait chez toi comme je te l'ai proposé juste avant ! Est-ce donc que tu aurais dans l'intention de rester et de tenter de me convaincre pour que je daigne enfin écouter ce que tu peux avoir à me dire. Tu as bien rampé depuis ton arrivée, alors maintenant il va falloir supplier, puisqu'il me semble que c'est aussi pour cela que tu étais venu me rejoindre ici dans ma suite, ramper à mes pieds et me supplier de t'écouter et de te garder en te faisant une place dans mon cheptel !!! Je te donne le droit de parler, enfin jusqu'à ce que je t'arrête si je me lasse de t'entendre ou si ce que tu me sors n'est pas à mon goût, mais avant, il va falloir te mettre en vraie position de suppliant humble, à genoux, la tête basse et le regard tourné vers le sol, et surtout les mains jointes pour m'adresser ta supplique. Je n'ai pas l'habitude d'écouter les vers de terre flasque qui sont étalés sur le sol.
- Ma.. Maît....
Dans la seconde même avant qu'un mot de plus ne soit prononcé, le Noble a déjà interrompu la phrase que Thierry s'apprêtait à formuler, déjà très craintif et intimidé par les propos du Marquis Edouard d'Evans dont la prestance et la dominance transparaissent dans chacune de ses phrases et ses attitudes, car il sait au fond de lui qu'il est dans une position d'autant plus gênante que le Marquis d'Evans ne l'a pas encore remarqué et qu'il ne va pas pouvoir cacher plus longtemps. Les cris et râles de la belle chienne en chaleur qui s'est faite baiser virilement sous la douche ont eu raison de l'érection du soumis en devenir qui, à force de bander depuis le matin même, n'a pas pu se retenir et ce sans même qu'il ait eu besoin de se masturber, ou même de bouger ou de mettre ses doigts pour que sa verge soit sollicitée. Il s'est rappelé qu'adolescent les rêves érotiques de la nuit le conduisait souvent jusqu'à l'éjaculation et la pollution nocturne que ses parents réprouvaient et ce sans la moindre caresse durant son sommeil, mais depuis cette période de poussée hormonale juvénile, il n'avait jamais eu l'occasion de se retrouver dans une situation pareille qui ajoute à son trouble, car il a senti le liquide chaud se répandre sous lui et a été bien incapable de se maîtriser tant la honte qu'il ressentait à se sentir ainsi, nu, solitaire, allongé à même le sol et souillé de sa propre semence l'excitait encore plus.
Mais ce n'est même pas pour cette raison encore ignorée du Marquis d'Evans, car invisible et masquée par le corps de Thierry, allongé par dessus, que le Châtelain l'avait coupé dans sa lancée oratoire pour finalement ajouter.
- Tu commences un peu mal ta récitation et ton hommage à Celui qui pourrait devenir ton futur Dominant et Maître. Je t'ai déjà dit que pour l'instant, tu ne pouvais pas m'appeler Maître, car je ne t'y ai pas autorisé et car je ne t'ai pas encore fait part de ma décision de devenir ton Maître et de faire de toi Mon esclave. J'attends de voir ce que tu as à me dire, mais je me pose quelques questions à ton sujet, car tu sembles ne pas savoir ce qu'obéir veut dire et cela je ne peux le tolérer.
- Monsi… Monsieur le Marquis Edouard d'Evans, je dois d'abord Vous avouer quelque chose qui ne va sûrement pas Vous satisfaire et je crains Votre vive réaction à mon encontre, même si je sais qu'elle sera légitime. Mais je ne peux pas différer plus longtemps avant de Vous en parler et j'en accepte toutes les conséquences qu'IL Vous plaira de m'imposer car je sais que je n'aurais pas dû.
- Je ne comprends rien à ton charabia, tâche d'être un peu plus clair, si tu veux que je daigne perdre de mon précieux temps à t'écouter. Encore une phrase dénuée de sens pratique et je te tourne les talons aussi sec pour ne plus revenir vers toi. Par contre, Il y a une chose essentielle que je comprends aisément car elle me déplait fortement et dont tu risques fort de ressentir durement mon courroux qui va en résulter, c'est que tu ne comprends pas ou ne veux pas comprendre ce que je t’exige. Dis-toi bien, que, en premier, j'ai horreur qu'on me désobéisse, et en second, j'ai horreur qu'on m'oblige à répéter les choses une deuxième fois (dit-IL d'un ton lourd en appuyant fortement sur les mots comprendre et horreur qu'il a sciemment répété plusieurs fois pour marquer l'esprit de Thierry. Et au bout de quelques secondes d'un lourd silence, d'une voix très sèche et saccadée, le Marquis ajoute.
- J'ai dit à genoux, J'ai dit les mains jointes pour me supplier ! J'ai dit !...
- Monsieur le Marquis Edouard d'Evans, pardonnez-moi, mais justement c'est que je ne peux pas me mettre à genoux, c'est de cela dont je voulais Vous parler
- Comment cela tu ne Veux pas m'obéir ! (dit-IL d'une voix carrément excédée cette fois) Alors dehors, à l'instant !!!
- Je Vous en supplie, ce n'est pas que je ne Veux pas Vous obéir, mais que je ne peux pas le faire.
- Et pourquoi donc ? La belle histoire que tu me contes là... des sornettes ....... " Quand on veux, on peut ", ne connais-tu pas le dicton célèbre.
Le Marquis vient de comprendre ce qui a dû se passer devant le trouble manifeste de Thierry, et pour ajouter à la honte et à la confusion de celui qui, allongé sur le sol, essaye encore de cacher le résultat visible de son éjaculation non maîtrisée, IL se penche sur Thierry, lui attrape une grande mèche de cheveux et le tire assez violemment vers l'arrière, obligeant le jeune homme à se redresser à l'aide de ses bras pour réduire la tension sur son crâne, et à enfin se mettre à genoux, bien malgré lui. Thierry baisse la tête autant qu'il le peut et se sent devenir plus écarlate qu'une jeune fille pré-pubère qui viendrait de découvrir l'effet du désir sexuel couler entre ses jambes pour la première fois. Comme il regarde le sol, il ne peut s'empêcher de voir la trace blanche de son sperme étalé sur les lames de parquet et il sait que jamais de sa vie, il n'a ressenti autant de honte et de plaisir mélangé à la suite d'une de ces jouissances d'homme. Il n'ose plus ni bouger, ni parler, attendant que le Marquis s'exprime, par crainte de rajouter à l'exaspération de ce dernier. Et d'ailleurs, c'est ainsi que le Noble reprend.
- Ma belle Thaïs, est-ce que tu vois ce que j'aperçois ? Je ne sais pas si finalement tu as mis à mes pieds une bonne future recrue, car depuis ce matin, on ne voyait que son pénis turgescent à tout bout de champ qu'il ne pouvait pas empêcher de gonfler et maintenant il nous exhibe un minuscule petit haricot dont il n'a même pas eu la décence d'attendre avant de le laisser se vider tout seul, me dit-il. Je suis sûr que ce sont tes halètements de chienne en chaleur et tes odeurs de femelle qui ont excité ce chien qui n'est pas encore dressé et qu'il en a profité pour se frotter la queue sur le sol de la manière la plus effrontée et indécente qui soit.
- Non je vous assure, je n'ai pas bougé et j'ai essayé de résister (dit une petite voix craintive venant du sol)
- Qui a parlé ? Est-ce toi la petite chose sans nom couverte de sperme ? Tu ne crois pas que tu ferais mieux de te taire pour l'instant et d'attendre ce que je vais décider et ce que je vais faire de toi ? Et puis, ne t'ai-je pas dit que tu dois me parler avec déférence et surtout attendre que je te pose des questions avant d'ouvrir la bouche. Où te crois-tu donc, pour oublier les formules de politesse en t'adressant à moi sans même au préalable un Monsieur, et à fortiori un Monsieur le Marquis d'Evans ? Et te sens-tu déjà autorisé à présenter des arguments pour ta défense, même s'il est vrai que tu es un peu sur la sellette pour l'instant ?
Thierry sent son cœur qui bat de plus en plus fort et il en ressent le tempo saccadé et rapide entre ses tempes, jamais de sa vie il ne s'est senti aussi mal à l'aise. Il est terriblement humilié par la situation mais en même temps, il sent l'excitation qui revient, son corps nu est parcouru de frissons à fleur de peau et de manière presque par réflexe sont vit est en train de se tendre à nouveau, sous les yeux de Thaïs et de son Maître Vénéré qui n'en perdent pas une.
- Attends, mais je rêve ! (s'écrie alors le Marquis, comme s'IL s'adressait à Thaîs, mais résolument tourné vers Thierry qui attend toujours à genoux de savoir le sort qui va lui être réservé) ..... Non seulement, il n'a même pas honte de s'afficher ainsi en ma présence, couvert de son sperme qui a coulé de partout, mais en plus le voilà qui se remet à bander, l'animal. N'importe quoi !!! Je vais finir par penser que là, à Mes pieds, rampant sur le sol, c'est un alligator que nous avons, cet animal qui reste en érection tout le temps, rentrant et sortant juste sa queue virile par une simple contraction du muscle pelvien. J'ai mieux à faire que de continuer à regarder les érections incontrôlées de cette petite chose sans nom…
(A suivre …)
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