La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°275)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°275)
Suite de l'épisode précédent N°271 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Marquis d’Evans vient de quitter le salon en laissant Thierry, son futur chien-esclave repartir avec comme consigne et première exigence de devoir Lui adresser dans les 24 heures un mail plus conforme à sa nouvelle condition dans lequel il Le suppliera, mais avec plus de conviction, de soumission et d’abnégation, de bien vouloir accepter de devenir Le Dominant et Maître de cette petite créature sans nom qu’il est encore mais cependant déjà à l’essai avec l’espoir de rejoindre le cheptel des esclaves du Château. Parallèlement, le Noble a pris le menton de Thaïs entre ses mains pour la conduire dans la chambre particulière de la suite qu’IL occupe dans le Château de M….. jusqu’à la fin du week-end, car comme IL vient de lui dire, IL éprouve l’envie et le désir de profiter de celle qui lui appartient totalement, lui ayant juste rappelé auparavant que son cou était bien vide et qu’IL ne lui avait toujours pas remis les marques de son appartenance à son Maître, dont le plus élémentaire reste le collier de soumise portant les Initiales du Maître. Le Marquis a pris dans les mains l’écrin contenant le nouveau collier-bijou qu’IL a acquis pour Sa belle chienne et divers accessoires D/s, chaînes et mousquetons, ayant la ferme intention de s’en servir sans plus tarder.
Thaïs s’est immédiatement mis à quatre pattes, pour emboîter le pas de son Maître, le suivant comme son ombre, telle la chienne fidèle qu’elle est. Mais le Marquis d’Evans regrette à ce moment là de ne pouvoir attraper la dragonne de la laisse qui pendrait au cou de sa chienne, même s’IL n’a pas besoin de ce lien symbolique pour exiger de sa soumise qu’elle le suive, car IL sait bien qu’IL pourrait lui demander de le suivre ainsi jusqu’au bout du monde, s’IL en exprimait même seulement un simple souhait. Cependant pour marquer encore plus l’emprise qu’IL a sur celle qui est sienne, IL attrape l’une des chaînes qu’IL a dans les mains et la passe juste derrière l’encolure de Thaïs, sans en faire vraiment le tour pour ne pas l’étrangler, conservant les deux extrémités en mains presque comme on l’aurait fait d’une corde jetée en lasso, juste afin de pouvoir marquer encore plus symboliquement la prise de possession de celle qui dans tous les cas est déjà depuis longtemps volontairement pieds et poings liés au service de son Maître Vénéré et à son entière merci. Thaïs redresse très légèrement le cou et les épaules tout en gardant la tête et les yeux baissés pour veiller à maintenir la chaîne en place dans le creux de la nuque, sans prendre le risque qu’elle glisse sur sa tête. Elle ressent un profond plaisir à sentir encore plus fortement sur son corps le pouvoir et la présence de son Maître et tout l’intérêt qu’IL porte à son esclave-soumise dévouée corps et âme.
Le métal froid des gros maillons de la chaîne, qui pèsent sur son cou, la fait frissonner tant le contact est marquant en opposition avec la tiédeur et la douceur de sa peau claire. Elle ne peut s’empêcher de penser à la parure que le Marquis d’Evans lui a montré quelques minutes plus tôt et qui ornerait si bien son cou, même si elle sait qu’elle regrettera toujours le collier et la laisse de petite chienne que son Maître avait serré autour de son cou la première fois où elle l’avait pu le voir en réel car IL avait daigné venir dans sa modeste demeure. Elle suit d’une grâce animale, qui fait onduler ses lourdes mamelles à chaque avancée, sans le moindre à-coup jusqu’à la porte de la chambre qu’elle franchit à la suite de son Maître. A ce moment là, le Marquis d’Evans s’arrête net. Tendant le doigt en direction du sol, IL lui fait signe de s’immobiliser. Le Marquis d’Evans se retourne pour fermer derrière lui à clef la porte qu’IL a claquée d’une impulsion nette, même s’IL n’imagine pas que Thierry aurait dans l’idée de tenter de forcer cet accès intime. Mais c’est aussi une manière de lui faire comprendre que le Châtelain ne s’intéressera plus à lui de la journée et qu’il doit donc seulement veiller à exécuter les exigences de son futur Maître s’il veut tenter de le satisfaire et qu’il ne lui reste plus qu’à quitter les lieux dans les formes qui lui ont été indiquées.
Le Marquis d’Evans tient toujours Thaïs par l’encolure, qu’IL avait recouvert d’une chaîne de métal à gros maillons, pliée en deux afin de s’en servir comme d’une laisse provisoire de fortune, pour faire malgré tout avancer sa soumise en l’ayant bien en mains. IL récupère le lien qu’IL avait passé autour du cou de sa belle chienne en faisant glisser doucement jusqu’au dernier maillon chaque centimètre de la lourde chaîne, pour que Thaïs ressente bien dans son esprit la signification de la présence et de la force du lien indestructible et symbolique qui la relie et la lie à son Maître Vénéré. Et ayant récupéré en mains l’intégralité du tas pesant de maillons en métal, IL s’avance vers le centre de la pièce en ajoutant.
- Ma belle chienne ne bouge pas pour l’instant, que je te regarde ainsi.
Thaïs baisse la tête encore plus, ressentant le poids et la force du regard Dominant de son Maître posé sur elle. Un frisson la glace tout en même temps qu’une onde de chaleur diffuse depuis son plexus vers chaque extrémité de son corps. Elle creuse le haut de son dos entre les deux épaules et arc-boute les fesses pour relever sa croupe. A ce moment là, elle est aux anges, car elle sait qu’elle se sent à sa place, si radieuse quand elle peut être soumise aux pieds de son Maître Vénéré. Le plaisir en elle se fait aussi très humide car il la prend dans son bas-ventre, tant elle ressent de désir, de dévotion et d’amour pour son Maître Vénéré, même si elle sait que son plaisir à elle ne dépend plus de sa volonté car elle a abdiqué tout pouvoir sur ses désirs et plaisirs sensuels en se remettant entièrement entre les mains de son Maître, et qui plus est, qu’il ne passe dans tous les cas que par le don de soi d’une part, et d’autre part le plaisir charnel et intellectuel de son Maître qu’elle cherche avant tout à satisfaire dans la moindre de ses exigences et à rendre le plus heureux possible, car c’est en cela qu’elle trouve son plaisir de Lui faire plaisir et de Le combler. Le Marquis d’Evans se plait à regarder son esclave immobile mais frissonnante, dont IL pourrait exiger n’importe quoi d’un simple claquement de doigts tout autant que de ne rien exiger du tout sauf de ne rien dire de plus et de la laisser là où elle se trouve, juste à quatre pattes dans une position d’attente passive et docile, absolument indéfinie.
- Thaïs ! Est-ce que tu ne ressens pas le vide sur ton corps dénudé ? N’avais-je pas dit qu’il te manquait quelque chose ? N’as-tu pas envie que je te permette de porter à nouveau mes Initiales sur toi et un collier à ton cou ?
Thaïs ne sait pas si elle doit répondre à ce qui sont, certes des questions qui lui sont posées, mais dont les réponses ne sont pas en son « pouvoir » d’esclave-soumise qui justement n’a d’autres pouvoirs que celui de s’offrir et de se donner corps et âme à son Maître. Elle reste donc muette, car elle n’a pas à souhaiter autre chose que de répondre aux exigences de son Dominant et ne veut surtout pas exprimer, qu’effectivement, elle aimerait bien être parée du beau collier que le Marquis d’Evans a mis sous ses yeux, mais dont elle ne sait pas si son Maître considère qu’elle en est digne et s’IL a dans l’intention de lui offrir cette parure en guise de nouvelle marque d’appartenance.
- Et bien Thaïs, je viens de te poser quelques questions !!! Ne crois-tu pas que cela méritait une réponse quand je daigne t’interroger ? Et bien, puisque tu n’as pas voulu me répondre, tu n’auras plus le droit de t’exprimer jusqu’à ce que je décide qu’il en soit autrement !
Le Marquis d’Evans se lève, attrape dans l’un de ses sacs un bâillon-boule qu’IL insère immédiatement dans la bouche de la soumise et dont IL referme aussi sec l’attache en cuir derrière la tête. Attrapant alors le menton de la belle, IL l’oblige à redresser la tête et à le regarder dans ses yeux tandis qu’IL la toise de son regard perçant et incisif.
- Je veux que tu te sentes à ma merci dans tous les cas et à chaque instant, vulnérable et servile, acceptant sans rechigner, comme tu viens de le faire, la moindre de Mes exigences. Je t’aurais mis ce bâillon dans tous les cas, et à fortiori si tu avais eu le malheur de Me répondre, car tel est mon plaisir pour l’instant. Ce n’est donc pas une punition à proprement parlé mais une contrainte que je t’impose, car je veux que ce soit de ton regard que tu t’exprimes et que tu viennes maintenant me supplier.
Le Marquis d’Evans retourne vers le centre de la pièce et prend place dans l’un des fauteuils de la chambre, qu’IL tourne de telle manière qu’IL se trouve face à Thaïs.
- Ma belle chienne, je veux te voir ramper jusqu’à moi avec toute la sensualité et la suavité dont tu pourras faire preuve. Tout à l’heure, j’ai demandé à mon futur chien-esclave de faire la même chose et ce fut un spectacle des plus déplorables, tu n’as pas pu le voir, c’est dommage ! Mais, je suis sûr que tu sauras bien mieux répondre à mon attente. Il y a en toute femme, fille d’Eve, une part du serpent tentateur qui a poussé Adam à croquer la pomme du péché originel et je suis certain que ta reptation sera des plus excitantes et capable de réveiller en moi ma virilité qui vient pourtant d’officier en déposant ma Noble semence dans le fondement de mon soumis à l’essai.
Le Maître s’installe confortablement dans le fauteuil et regarde avec délectation Sa chienne Thaïs qui vient de s’allonger carrément par terre sur la moquette de la chambre et qui a redressé la tête. Sa bouche est grande ouverte, et à cause du bâillon-boule qui l’empêche de déglutir à sa guise, sa salive commence déjà à sortir de ses lèvres, mais Thaïs sent bien que ce sont ses autres lèvres roses plus intimes qui sont les plus mouillées d’un tout autre liquide onctueux à souhait qui sont la preuve de son excitation qu’elle ne renie pas. Ses yeux scintillants se sont fixés sur les yeux du Maître avec dans le regard son désir de femelle sensuelle qu’elle exprime à merveille. Elle se redresse légèrement prenant appui sur l’un des coudes pour pouvoir faire riper son corps de quelques centimètres. Et à nouveau elle incline la tête devant son Maître et Seigneur en signe de profonde soumission, pour recommencer l’instant d’après de l’autre coude, regardant à nouveau droit dans les yeux celui qu’elle Vénère plus que tout, tandis qu’elle semble glisser sur la moquette, s’inclinant à nouveau respectueusement de la tête ne pouvant soutenir le regard de son Maître trop longtemps au risque de craindre de l’offenser. Par quatre fois, elle avance donc ainsi, rampant de tout son corps à même le sol en se basculant d’un côté et de l’autre de ses avant-bras, dans ce qui reste une vraie danse érotique de reptation dont elle perçoit l’impact sur son Maître, car Ses yeux ne la quittent pas et Son visage affiche un large sourire chaque fois qu’elle croise Son regard, imaginant l’impact qu’elle peut produire sur sa virilité d’homme par delà le plaisir du Maître.
Mais Thaïs n’est pas une simple danseuse nue de cabaret qui devrait exciter son Maître pour le faire bander. Elle sait qu’elle est et reste son esclave-soumise et qu’elle rampe avant tout pour supplier son Maître de toujours la garder à ses pieds, souhaitant pouvoir à nouveau voir son cou paré du collier qu’il plaira à son Maître de lui ceindre. Se redressant légèrement, pour marquer un temps de pause, elle se remet à quatre pattes comme la belle chienne qu’elle reste aussi et incline la tête jusqu’à ce que son front touche le sol. Elle reste ainsi immobile pendant quelques secondes avant de reprendre, allongée à même le sol, sa reptation pour une nouvelle avancée comme si sa danse recommençait à nouveau les même pas qu’elle se plairait à répéter. Elle entend son Maître qui vient d’exprimer un « joli ! bien ! » quand elle a déposé son front à même le sol dans une attitude de profonde soumission et d’allégeance. Ces quelques mots lui donnent encore plus de volupté dans ses gestes et son regard qui happe à chaque fois celui de son Maître avant de s’incliner respectueusement tandis qu’elle s’aplatit sur le sol. Coudées après coudées, elle approche du fauteuil, donnant encore plus de force aux échanges visuels des regards de plus en plus proches qui se croisent et qui expriment à ce moment là et pendant quelques secondes à chaque fois le désir partagé du mâle et de sa femelle mais aussi la force du lien de Domination/soumission qui existe entre eux.
Thaïs se trouve maintenant à moins d’un mètre des pieds de son Maître, quand IL interrompt la danse reptilienne et si érotique de sa chienne en lui attrapant le menton pour la tirer jusqu’à lui sans ménagement sur les derniers centimètres en l’obligeant à se remettre vite fait à genoux. Thaïs bave tout ce qu’elle produit en salive, et elle a laissé derrière elle ce qui pourrait ressembler à une vraie trace d’escargot qui doit être un mélange suave entre sa salive et la cyprine qui a coulé entre ses cuisses.
- Approche ma belle, j’adore te voir ainsi. Baisse la tête maintenant ! Tu es là où tu voulais être à Mes pieds, n’est-ce pas ? Alors ne crois-tu pas qu’il serait temps de déposer sur Mes Nobles pieds un baiser en signe d’allégeance, au lieu de continuer à baver tout ce que tu sais.
Le Marquis d’Evans défait l’attache du bâillon-boule qu’IL enlève de la bouche de Thaïs et IL passe délicatement la main sur le cou nu de sa soumise qui se trouve à ses pieds. Sa main large et tactile descend ensuite le long de la colonne vertébrale lentement pour s’immiscer dans la raie plus étroite entre les fesses avant de se glisser profondément dans la chatte abondamment humide de la femelle qui a su ramper comme un vrai serpent tentateur avec sensualité. Il fouille de Ses doigts cette chatte trempée et prend plaisir à aller et venir lentement en elle. Thaïs en gémit de plaisir. Puis le Maître accélère cette masturbation occupant toute la paroi du vagin en écartant Ses doigts cadencés et tendus. Des clapotis se font entendre à chaque vas et viens de cette main dominante, signe de l’extrême lubrification naturelle du sexe tant humide de Thaïs. Pendant ce temps là, la soumise si excitée s’est courbée entièrement jusqu’à ce que sa tête vienne se poser sur les pieds nus de son Maître, qu’elle baise délicatement et humblement du bout des lèvres, comme s’ils étaient de précieux objets de valeurs qu’elle pourrait craindre de ternir. Le Marquis d’Evans retire Ses doigts poisseux de cette chatte béante, puis soulevant le menton de sa chienne, Il lui intime l’ordre de lécher sa mouille restée sur Ses doigts présentés devant son visage :
- Allez lèche, Ma belle, oui lèche bien ta mouille de chienne... Je vois que tu es toujours aussi mouillée et onctueuse, ma belle petite chienne lubrique… Aurais-tu donc déjà envie de jouir ? Mais il va te falloir attendre la belle, car ce n’est pas ce qui est au programme pour l’instant, même si je reconnais que, en rampant jusqu’à Mes pieds que tu viens d’embrasser comme tu sais si bien le faire, tu m’as sérieusement excité ce qui a fait se tendre ma Queue qui attendra bien un peu cependant. En effet, Je veux beaucoup plus de solennité pour ce que j’ai à faire maintenant, instant dont Je veux que tu te souviennes avec autant de force que lorsque je t’ai posé la première fois ton collier de chienne-soumise….
(A suivre …)
Le Marquis d’Evans vient de quitter le salon en laissant Thierry, son futur chien-esclave repartir avec comme consigne et première exigence de devoir Lui adresser dans les 24 heures un mail plus conforme à sa nouvelle condition dans lequel il Le suppliera, mais avec plus de conviction, de soumission et d’abnégation, de bien vouloir accepter de devenir Le Dominant et Maître de cette petite créature sans nom qu’il est encore mais cependant déjà à l’essai avec l’espoir de rejoindre le cheptel des esclaves du Château. Parallèlement, le Noble a pris le menton de Thaïs entre ses mains pour la conduire dans la chambre particulière de la suite qu’IL occupe dans le Château de M….. jusqu’à la fin du week-end, car comme IL vient de lui dire, IL éprouve l’envie et le désir de profiter de celle qui lui appartient totalement, lui ayant juste rappelé auparavant que son cou était bien vide et qu’IL ne lui avait toujours pas remis les marques de son appartenance à son Maître, dont le plus élémentaire reste le collier de soumise portant les Initiales du Maître. Le Marquis a pris dans les mains l’écrin contenant le nouveau collier-bijou qu’IL a acquis pour Sa belle chienne et divers accessoires D/s, chaînes et mousquetons, ayant la ferme intention de s’en servir sans plus tarder.
Thaïs s’est immédiatement mis à quatre pattes, pour emboîter le pas de son Maître, le suivant comme son ombre, telle la chienne fidèle qu’elle est. Mais le Marquis d’Evans regrette à ce moment là de ne pouvoir attraper la dragonne de la laisse qui pendrait au cou de sa chienne, même s’IL n’a pas besoin de ce lien symbolique pour exiger de sa soumise qu’elle le suive, car IL sait bien qu’IL pourrait lui demander de le suivre ainsi jusqu’au bout du monde, s’IL en exprimait même seulement un simple souhait. Cependant pour marquer encore plus l’emprise qu’IL a sur celle qui est sienne, IL attrape l’une des chaînes qu’IL a dans les mains et la passe juste derrière l’encolure de Thaïs, sans en faire vraiment le tour pour ne pas l’étrangler, conservant les deux extrémités en mains presque comme on l’aurait fait d’une corde jetée en lasso, juste afin de pouvoir marquer encore plus symboliquement la prise de possession de celle qui dans tous les cas est déjà depuis longtemps volontairement pieds et poings liés au service de son Maître Vénéré et à son entière merci. Thaïs redresse très légèrement le cou et les épaules tout en gardant la tête et les yeux baissés pour veiller à maintenir la chaîne en place dans le creux de la nuque, sans prendre le risque qu’elle glisse sur sa tête. Elle ressent un profond plaisir à sentir encore plus fortement sur son corps le pouvoir et la présence de son Maître et tout l’intérêt qu’IL porte à son esclave-soumise dévouée corps et âme.
Le métal froid des gros maillons de la chaîne, qui pèsent sur son cou, la fait frissonner tant le contact est marquant en opposition avec la tiédeur et la douceur de sa peau claire. Elle ne peut s’empêcher de penser à la parure que le Marquis d’Evans lui a montré quelques minutes plus tôt et qui ornerait si bien son cou, même si elle sait qu’elle regrettera toujours le collier et la laisse de petite chienne que son Maître avait serré autour de son cou la première fois où elle l’avait pu le voir en réel car IL avait daigné venir dans sa modeste demeure. Elle suit d’une grâce animale, qui fait onduler ses lourdes mamelles à chaque avancée, sans le moindre à-coup jusqu’à la porte de la chambre qu’elle franchit à la suite de son Maître. A ce moment là, le Marquis d’Evans s’arrête net. Tendant le doigt en direction du sol, IL lui fait signe de s’immobiliser. Le Marquis d’Evans se retourne pour fermer derrière lui à clef la porte qu’IL a claquée d’une impulsion nette, même s’IL n’imagine pas que Thierry aurait dans l’idée de tenter de forcer cet accès intime. Mais c’est aussi une manière de lui faire comprendre que le Châtelain ne s’intéressera plus à lui de la journée et qu’il doit donc seulement veiller à exécuter les exigences de son futur Maître s’il veut tenter de le satisfaire et qu’il ne lui reste plus qu’à quitter les lieux dans les formes qui lui ont été indiquées.
Le Marquis d’Evans tient toujours Thaïs par l’encolure, qu’IL avait recouvert d’une chaîne de métal à gros maillons, pliée en deux afin de s’en servir comme d’une laisse provisoire de fortune, pour faire malgré tout avancer sa soumise en l’ayant bien en mains. IL récupère le lien qu’IL avait passé autour du cou de sa belle chienne en faisant glisser doucement jusqu’au dernier maillon chaque centimètre de la lourde chaîne, pour que Thaïs ressente bien dans son esprit la signification de la présence et de la force du lien indestructible et symbolique qui la relie et la lie à son Maître Vénéré. Et ayant récupéré en mains l’intégralité du tas pesant de maillons en métal, IL s’avance vers le centre de la pièce en ajoutant.
- Ma belle chienne ne bouge pas pour l’instant, que je te regarde ainsi.
Thaïs baisse la tête encore plus, ressentant le poids et la force du regard Dominant de son Maître posé sur elle. Un frisson la glace tout en même temps qu’une onde de chaleur diffuse depuis son plexus vers chaque extrémité de son corps. Elle creuse le haut de son dos entre les deux épaules et arc-boute les fesses pour relever sa croupe. A ce moment là, elle est aux anges, car elle sait qu’elle se sent à sa place, si radieuse quand elle peut être soumise aux pieds de son Maître Vénéré. Le plaisir en elle se fait aussi très humide car il la prend dans son bas-ventre, tant elle ressent de désir, de dévotion et d’amour pour son Maître Vénéré, même si elle sait que son plaisir à elle ne dépend plus de sa volonté car elle a abdiqué tout pouvoir sur ses désirs et plaisirs sensuels en se remettant entièrement entre les mains de son Maître, et qui plus est, qu’il ne passe dans tous les cas que par le don de soi d’une part, et d’autre part le plaisir charnel et intellectuel de son Maître qu’elle cherche avant tout à satisfaire dans la moindre de ses exigences et à rendre le plus heureux possible, car c’est en cela qu’elle trouve son plaisir de Lui faire plaisir et de Le combler. Le Marquis d’Evans se plait à regarder son esclave immobile mais frissonnante, dont IL pourrait exiger n’importe quoi d’un simple claquement de doigts tout autant que de ne rien exiger du tout sauf de ne rien dire de plus et de la laisser là où elle se trouve, juste à quatre pattes dans une position d’attente passive et docile, absolument indéfinie.
- Thaïs ! Est-ce que tu ne ressens pas le vide sur ton corps dénudé ? N’avais-je pas dit qu’il te manquait quelque chose ? N’as-tu pas envie que je te permette de porter à nouveau mes Initiales sur toi et un collier à ton cou ?
Thaïs ne sait pas si elle doit répondre à ce qui sont, certes des questions qui lui sont posées, mais dont les réponses ne sont pas en son « pouvoir » d’esclave-soumise qui justement n’a d’autres pouvoirs que celui de s’offrir et de se donner corps et âme à son Maître. Elle reste donc muette, car elle n’a pas à souhaiter autre chose que de répondre aux exigences de son Dominant et ne veut surtout pas exprimer, qu’effectivement, elle aimerait bien être parée du beau collier que le Marquis d’Evans a mis sous ses yeux, mais dont elle ne sait pas si son Maître considère qu’elle en est digne et s’IL a dans l’intention de lui offrir cette parure en guise de nouvelle marque d’appartenance.
- Et bien Thaïs, je viens de te poser quelques questions !!! Ne crois-tu pas que cela méritait une réponse quand je daigne t’interroger ? Et bien, puisque tu n’as pas voulu me répondre, tu n’auras plus le droit de t’exprimer jusqu’à ce que je décide qu’il en soit autrement !
Le Marquis d’Evans se lève, attrape dans l’un de ses sacs un bâillon-boule qu’IL insère immédiatement dans la bouche de la soumise et dont IL referme aussi sec l’attache en cuir derrière la tête. Attrapant alors le menton de la belle, IL l’oblige à redresser la tête et à le regarder dans ses yeux tandis qu’IL la toise de son regard perçant et incisif.
- Je veux que tu te sentes à ma merci dans tous les cas et à chaque instant, vulnérable et servile, acceptant sans rechigner, comme tu viens de le faire, la moindre de Mes exigences. Je t’aurais mis ce bâillon dans tous les cas, et à fortiori si tu avais eu le malheur de Me répondre, car tel est mon plaisir pour l’instant. Ce n’est donc pas une punition à proprement parlé mais une contrainte que je t’impose, car je veux que ce soit de ton regard que tu t’exprimes et que tu viennes maintenant me supplier.
Le Marquis d’Evans retourne vers le centre de la pièce et prend place dans l’un des fauteuils de la chambre, qu’IL tourne de telle manière qu’IL se trouve face à Thaïs.
- Ma belle chienne, je veux te voir ramper jusqu’à moi avec toute la sensualité et la suavité dont tu pourras faire preuve. Tout à l’heure, j’ai demandé à mon futur chien-esclave de faire la même chose et ce fut un spectacle des plus déplorables, tu n’as pas pu le voir, c’est dommage ! Mais, je suis sûr que tu sauras bien mieux répondre à mon attente. Il y a en toute femme, fille d’Eve, une part du serpent tentateur qui a poussé Adam à croquer la pomme du péché originel et je suis certain que ta reptation sera des plus excitantes et capable de réveiller en moi ma virilité qui vient pourtant d’officier en déposant ma Noble semence dans le fondement de mon soumis à l’essai.
Le Maître s’installe confortablement dans le fauteuil et regarde avec délectation Sa chienne Thaïs qui vient de s’allonger carrément par terre sur la moquette de la chambre et qui a redressé la tête. Sa bouche est grande ouverte, et à cause du bâillon-boule qui l’empêche de déglutir à sa guise, sa salive commence déjà à sortir de ses lèvres, mais Thaïs sent bien que ce sont ses autres lèvres roses plus intimes qui sont les plus mouillées d’un tout autre liquide onctueux à souhait qui sont la preuve de son excitation qu’elle ne renie pas. Ses yeux scintillants se sont fixés sur les yeux du Maître avec dans le regard son désir de femelle sensuelle qu’elle exprime à merveille. Elle se redresse légèrement prenant appui sur l’un des coudes pour pouvoir faire riper son corps de quelques centimètres. Et à nouveau elle incline la tête devant son Maître et Seigneur en signe de profonde soumission, pour recommencer l’instant d’après de l’autre coude, regardant à nouveau droit dans les yeux celui qu’elle Vénère plus que tout, tandis qu’elle semble glisser sur la moquette, s’inclinant à nouveau respectueusement de la tête ne pouvant soutenir le regard de son Maître trop longtemps au risque de craindre de l’offenser. Par quatre fois, elle avance donc ainsi, rampant de tout son corps à même le sol en se basculant d’un côté et de l’autre de ses avant-bras, dans ce qui reste une vraie danse érotique de reptation dont elle perçoit l’impact sur son Maître, car Ses yeux ne la quittent pas et Son visage affiche un large sourire chaque fois qu’elle croise Son regard, imaginant l’impact qu’elle peut produire sur sa virilité d’homme par delà le plaisir du Maître.
Mais Thaïs n’est pas une simple danseuse nue de cabaret qui devrait exciter son Maître pour le faire bander. Elle sait qu’elle est et reste son esclave-soumise et qu’elle rampe avant tout pour supplier son Maître de toujours la garder à ses pieds, souhaitant pouvoir à nouveau voir son cou paré du collier qu’il plaira à son Maître de lui ceindre. Se redressant légèrement, pour marquer un temps de pause, elle se remet à quatre pattes comme la belle chienne qu’elle reste aussi et incline la tête jusqu’à ce que son front touche le sol. Elle reste ainsi immobile pendant quelques secondes avant de reprendre, allongée à même le sol, sa reptation pour une nouvelle avancée comme si sa danse recommençait à nouveau les même pas qu’elle se plairait à répéter. Elle entend son Maître qui vient d’exprimer un « joli ! bien ! » quand elle a déposé son front à même le sol dans une attitude de profonde soumission et d’allégeance. Ces quelques mots lui donnent encore plus de volupté dans ses gestes et son regard qui happe à chaque fois celui de son Maître avant de s’incliner respectueusement tandis qu’elle s’aplatit sur le sol. Coudées après coudées, elle approche du fauteuil, donnant encore plus de force aux échanges visuels des regards de plus en plus proches qui se croisent et qui expriment à ce moment là et pendant quelques secondes à chaque fois le désir partagé du mâle et de sa femelle mais aussi la force du lien de Domination/soumission qui existe entre eux.
Thaïs se trouve maintenant à moins d’un mètre des pieds de son Maître, quand IL interrompt la danse reptilienne et si érotique de sa chienne en lui attrapant le menton pour la tirer jusqu’à lui sans ménagement sur les derniers centimètres en l’obligeant à se remettre vite fait à genoux. Thaïs bave tout ce qu’elle produit en salive, et elle a laissé derrière elle ce qui pourrait ressembler à une vraie trace d’escargot qui doit être un mélange suave entre sa salive et la cyprine qui a coulé entre ses cuisses.
- Approche ma belle, j’adore te voir ainsi. Baisse la tête maintenant ! Tu es là où tu voulais être à Mes pieds, n’est-ce pas ? Alors ne crois-tu pas qu’il serait temps de déposer sur Mes Nobles pieds un baiser en signe d’allégeance, au lieu de continuer à baver tout ce que tu sais.
Le Marquis d’Evans défait l’attache du bâillon-boule qu’IL enlève de la bouche de Thaïs et IL passe délicatement la main sur le cou nu de sa soumise qui se trouve à ses pieds. Sa main large et tactile descend ensuite le long de la colonne vertébrale lentement pour s’immiscer dans la raie plus étroite entre les fesses avant de se glisser profondément dans la chatte abondamment humide de la femelle qui a su ramper comme un vrai serpent tentateur avec sensualité. Il fouille de Ses doigts cette chatte trempée et prend plaisir à aller et venir lentement en elle. Thaïs en gémit de plaisir. Puis le Maître accélère cette masturbation occupant toute la paroi du vagin en écartant Ses doigts cadencés et tendus. Des clapotis se font entendre à chaque vas et viens de cette main dominante, signe de l’extrême lubrification naturelle du sexe tant humide de Thaïs. Pendant ce temps là, la soumise si excitée s’est courbée entièrement jusqu’à ce que sa tête vienne se poser sur les pieds nus de son Maître, qu’elle baise délicatement et humblement du bout des lèvres, comme s’ils étaient de précieux objets de valeurs qu’elle pourrait craindre de ternir. Le Marquis d’Evans retire Ses doigts poisseux de cette chatte béante, puis soulevant le menton de sa chienne, Il lui intime l’ordre de lécher sa mouille restée sur Ses doigts présentés devant son visage :
- Allez lèche, Ma belle, oui lèche bien ta mouille de chienne... Je vois que tu es toujours aussi mouillée et onctueuse, ma belle petite chienne lubrique… Aurais-tu donc déjà envie de jouir ? Mais il va te falloir attendre la belle, car ce n’est pas ce qui est au programme pour l’instant, même si je reconnais que, en rampant jusqu’à Mes pieds que tu viens d’embrasser comme tu sais si bien le faire, tu m’as sérieusement excité ce qui a fait se tendre ma Queue qui attendra bien un peu cependant. En effet, Je veux beaucoup plus de solennité pour ce que j’ai à faire maintenant, instant dont Je veux que tu te souviennes avec autant de force que lorsque je t’ai posé la première fois ton collier de chienne-soumise….
(A suivre …)
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