La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°277)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°277) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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(9.0 / 10)

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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°277)
Suite de l'épisode précédent N°276 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

Le Marquis d’Evans vient d’entraîner sa soumise enchaînée vers la table basse de la chambre. Thaïs avance maladroitement, tirée par la chaînette que le Noble tient entre ses doigts et qui se termine par deux pinces accrochées sur chacun des mamelons. Elle est terriblement excitée parce que son Maître vient de lui dire qu’IL a envie de jouer avec elle et aussi parce qu’elle aime sentir la puissante Maîtrise de son Dominant quand IL la tient à sa merci, et ce malgré la douleur de la grosse chaîne qui lui strie ses parties intimes et la plus petite qui lui tiraille les seins. Ses deux tétons sont presque arrachés car elle n’arrive pas à suivre le rythme imposé par son Maître, à cause de la chaîne à gros maillons qui pend de son cou, attachée à l’avant et à l’arrière et qui a été tendue à l’extrême en passant par l’intérieur de la raie des fesses et entre ses lèvres humides. Thaïs est malgré tout contente de savoir qu’elle n’a que quelques mètres à faire pour rejoindre péniblement le centre de la pièce où se trouve la petite table, mais à ce moment là, la taille de la chambre de la suite occupée par son Maître Vénéré lui semble gigantesque.

- Et bien voilà, nous sommes enfin arrivés. Tu te déplaces finalement mieux à plat ventre en rampant ou à quatre pattes en petite chienne que lorsque je dois te traîner difficilement par tes mamelles ! (dit le Marquis d’Evans d’un ton assez coquin, car IL sait très bien que Thaïs ne pouvait guère faire mieux dans l’embarras dans laquelle IL a laissé sa soumise se mouvoir avec peu de marge de manœuvre pour avancer à son aise) Bon, passons ! Allonge-toi sur la table basse.

Thaïs ne sait pas comment s’y prendre pour y arriver, car elle se rend bien compte que lorsqu’elle essaye de s’asseoir sur la table avec l’intention de s’allonger, la tension de la chaîne qui passe entre ses jambes, mais plus précisément entre ses fesses et ses grandes lèvres devient insupportable.

- Dépêche-toi, je n’ai pas que cela à faire ! (rajoute le Maître d’un ton très directif cette fois qui ne laisse pas d’alternative).

Prenant sur elle, Thaïs s’assoit maladroitement, sentant les maillons de la chaîne qui lui rentrent dans le dos, au fur et à mesure qu’elle commence à vouloir s’allonger, et la gêne qui augmente sur ses parties intimes malmenées. Elle ne peut s’empêcher de laisser un petit cri s’échapper quand elle sent la morsure sur ses seins se faire plus prégnante, tandis qu’elle se penche vers l’arrière et que son Maître lui oppose une forte résistance en maintenant la chaîne pince-tétons en tension. Tant bien que mal, se mordant les lèvres, elle continue à forcer pour pouvoir arriver à se coucher et sent les pinces qui enferment ses deux seins céder peu à peu au niveau des mamelons. Elle a vraiment le sentiment qu’ils pourraient être déracinés complètement tant la douleur s’est fait violente au moment où la chaîne à lâché. Et Thaïs ne peut à cet instant s’empêcher de glapir, autant de douleur que de surprise mêlée de peur car elle est presque tombée à la renverse sur la table une fois qu’elle s’est trouvée libérée de ce lien que son Maître tenait encore fermement, retenant à peine sa tête qui a basculée vers l’arrière mais qui par chance n’a pas heurté la petite table. Elle ferme les yeux, rentre le menton dans son cou et la tête dans ses épaules, car elle sait qu’elle n’aurait pas dû crier et qu’elle va être punie pour cela.

- Voilà ! Je veux que tu apprennes à obéir au moindre de Mes ordres sans attendre, même si, sur le premier instant, la difficulté et la douleur te semblent être insurmontables. N’oublie jamais que ton corps M’appartient et que je suis libre d’en disposer à ma guise. J’aime bien te voir un peu galérer pour donner la suite qu’il convient à mes nombreuses exigences, qui ne sont pas toutes des parties de plaisirs faciles, mais qui sont avant tout là pour ma satisfaction personnelle et pour mon seul bon plaisir. Mais ne te semble t-il pas que tu as un peu malmené mes oreilles ??? … Je voulais te débarrasser de ces pinces mordantes, et là tu vas m’obliger à te les remettre un peu plus tard pour recommencer et t’apprendre à respecter le silence et Mes ordres.

Le Marquis d’Evans, tourne autour de la table, pour installer sa soumise telle qu’IL la désire. IL défait la chaîne qui lui avait passé entre les jambes pour libérer l’accès à son sexe et son anus. IL lui passe des bracelets de cuir autour des chevilles qu’IL attache sur une barre d’écartement extensible. IL attrape deux petits morceaux de quelques maillons qu’IL relie par un mousqueton sur les arceaux des deux bracelets en métal qui ont été précédemment verrouillés aux poignets de la soumise dont les jambes sont déjà écartelées. IL saisi la barre d’écartement et la ramène en amont de la tête de Thaïs qui se trouve donc carrément courbée à partir de cet instant et repliée en deux, et IL attrape aussi sec chacun des poignets qu’IL attache également sur la même barre qu’IL tend pour obtenir un écartement maximum. Thaïs se sent presque comme un culbuto reposant sur le dos, dans un équilibre précaire, car elle n’a aucun de ses membres libres pour pouvoir arriver à s’équilibrer. Elle se sent dans une position particulièrement indécente, exhibée car son sexe et son anus sont d’autant plus béants qu’elle a les jambes très écartées et que ses parties intimes se trouvent juste tournées vers le haut et exposées totalement à la vue de son Maître. Elle en ressent une excitation d’autant plus grande qu’elle sait que la cyprine, que la chaîne fouillant l’intérieur de ses lèvres avait déjà fait venir en abondance, est en train maintenant de couler à l’extérieur de son bas-ventre pour se propager entre ses fesses et sur son entrecuisse du simple fait de la position de son corps renversé et ses parties intimes tant exposées au regard de son Dominant.

Son Maître avait plutôt tendance jusque là à la vouloir en levrette, ou à quatre pattes, la croupe relevée et les jambes écartées, la tête sur le sol, et elle aimait bien être sa petite chienne lubrique ouverte, totalement à sa disposition, lui offrant tous ses orifices lorsqu’IL l’exigeait. Là, elle ressent une excitation encore plus intense, car elle se sait totalement impuissante et très vulnérable comme un jouet dont le Marquis va pouvoir s’amuser à sa guise, ce qu’IL lui avait d’ailleurs annoncé sans le moindre détour. Le Marquis d’Evans, positionne correctement Thaïs sur la table afin qu’elle ne tombe pas, la tire vers l’avant du plateau de bois laqué pour que ses fesses soient juste au bord et que sa tête repose correctement à l’arrière. Et IL commence à passer ses mains sur l’intérieur des cuisses de la soumise immobilisée qui ne peut que ronronner sous les caresses qui réveillent sa sensibilité et sa sensualité.

- Tu sais que tu es vraiment désirable quand je te vois ainsi à ma merci, ne sachant même pas ce que je vais te faire subir de douceurs ou de douleurs.

Le Marquis d’Evans attrape une cravache, dont IL se plait à promener le bout sur le corps de sa belle, la sentant frémir et tressauter à chaque fois, qu’IL s’approche de ses parties intimes. Sa respiration se fait plus haletante, quand elle se fait rappeler à l’ordre :

- Tu ne jouis pas, n’est-ce pas ! Tu sais très bien que tu ne peux pas jouir sans mon autorisation express mais simplement au moment précis où je t’y autorise.
- Oui mon Maître Vénéré, je connais la consigne que j’ai toujours respectée.
- Alors c’est très bien, car je vais t’amener vers des plaisirs de plus en plus forts avec le temps, mais pour l’heure, j’ai envie de prendre possession de celle qui m’appartient, et de trouver du plaisir à te baiser, à te remplir, te posséder, te savoir toute à moi, et j’ai l’exigence de jouir en toi encore une fois avant mon départ, pour te laisser en partant ma semence et mon odeur bien ancrées en toi.

Le Maître s’interrompt quelques instants. Thaïs entend nettement le bruit de la fermeture éclair qu’IL ouvre rapidement mais elle ne sait pas comment son Maître va décider de la prendre. De toute manière, elle est bien incapable de bouger et d’anticiper quoi que ce soit. Le désir qu’elle a de savoir que son Maître et amant sera physiquement en elle, en train de la baiser et la posséder, est intense et elle ferme les yeux de bonheur, se laissant aller au plaisir de son Maître Vénéré qui est aussi le sien quand elle sait qu’il désire jouir d’elle, avec elle et en elle. Elle vient cependant de réaliser que le Week-end arrivait à son terme, que son Maître allait partir de cet excellent château-hôtel et qu’IL ne lui avait rien dit sur le moment où elle aurait à nouveau la chance de pouvoir encore se retrouver à ses pieds. Elle sent bien qu’elle n’aura sûrement pas l’occasion de revivre des moments aussi intenses et aussi longs presque en tête à tête avec son Maître Vénéré, et ce sûrement avant fort longtemps, car le quotidien va vite reprendre le dessus, et leurs activités professionnelles aussi, même si elle se rappelle que son Maître lui avait dit, il y a peu, qu’IL avait déjà des projets en ce qui concerne la société immobilière qu’elle gère, dont IL lui ferait part le moment venu. Mais Thaïs se dit que ce n’est pas le bon moment pour penser à toutes ces choses là, et qu’il vaut mieux qu’elle profite de ce qu’elle a encore la chance de pouvoir vivre à l’instant présent avec son Maître et amant… Le Marquis extrait du pantalon sa Noble verge qui est à nouveau fort gonflée et toute dure, car son désir d’homme est fortement excité par le corps de sa femelle entravée sous lui et dont IL peut disposer sans ménagement pour toutes sortes de jeux et de fantasmes, tout aussi pervers les uns que les autres.

- Avant de commencer, il me semble qu’il te restait en suspens une punition. Tu n’avais pas oublié ? Je suppose !!! Dis-moi alors pourquoi je suis obligé de te punir.
- Mon Maître, je n’ai rien oublié ! A cause de mes cris intempestifs, Vous avez dit que Vous seriez contraint de reposer la chaîne et les pinces sur mes seins. Je Vous prie de bien vouloir me pardonner de Vous obliger à me châtier pour ma faute inacceptable et je Vous remercie de la punition que Vous m’infligerez, qui m’aidera à m’améliorer pour mieux Vous servir en respectant à tout instants Vos consignes et exigences.

IL attrape la chaîne avec la pince à seins, et la pose à nouveau sur les mamelons sensibles et douloureux, qui sont turgescents et gonflés de sang. La belle soumise se mord la lèvre pour ne pas gémir et risque une punition encore plus importante. Le Noble prend également une petite chaînette qui lui permet d’attacher en tension la chaîne pince-seins trop courte directement sur la barre d’écartement. Chaque fois que Thaïs bouge les jambes ou les bras, la tension sur ses tétons se fait plus forte, et elle ressent une douleur qui la martyrise d’autant plus que ses tétons sont, du fait de son excitation croissante, en train de vouloir se gonfler encore plus malgré les pinces qui les empêchent. Mais en même temps, cette douleur vive à laquelle elle s’habitue essayant de bouger le moins possible attise son excitation et ceci d’autant plus qu’elle commence à sentir le phallus gonflée de son Maître qui s’est posé juste contre sa petite rondelle déjà lubrifiée par l’excès de cyprine qui coule de sa chatte.

- Ma belle chienne, tu es déjà toute trempée, pas besoin de lubrifiant pour ma queue qui va te pourfendre. Tu vas pouvoir émettre tous les sons que tu veux à partir de maintenant. Je veux l’entendre cette petite chienne lubrique, haleter, souffler et crier…. Mais pas de jouissance avant mon autorisation.

Le Marquis d’Evans prend possession de l’anus exhibé qui s’offre à lui et qui s’ouvre pour le laisser entrer profondément tandis que Thaïs s’efforce de relâcher la contraction de ses muscles fessiers. D’un grand coup, le Châtelain la pénètre profondément et se retire complètement pour recommencer encore et encore, voulant sentir l’orifice céder et se détendre complètement. Thaïs respire de plus en plus fort, elle halète comme une vraie petite chienne, mêlant petits cris de plaisirs et de divine souffrance aussi car à chaque coup de butoir violent qu’elle reçoit de son Maître, son corps est projeté sous la pression jusqu’à ce que ce dernier ne la ramène à lui par les hanches qu’IL tient fermement pour pouvoir leur imprimer le même rythme que celui de sa pénétration anale. Thaïs se sent totalement impuissante et elle ne peut qu’avec docilité et plaisir se laisser enculer, car ayant les jambes et les bras écartés en arrière au dessus de sa tête elle n’a aucun moyen de pouvoir bouger son corps qui ne repose que par le dos sur le plateau de la table.

Le Marquis effectue de longs et puissants va et vient dans le fondement de sa soumise, l’entendant souffler pour calmer la montée du plaisir anal qu’elle éprouve et IL la regarde avec délectation voyant comme elle essaye de résister à son propre plaisir pour Lui obéir. Cela provoque en Lui un sentiment profond de Domination de la savoir ainsi à ses ordres, respectant toutes ses exigences du mieux possible, attendant son bon plaisir pour pouvoir prendre le sien si tant est encore qu’il daignerait l’y autoriser. IL aime sentir le pouvoir qu’IL détient sur celle qui lui appartient totalement. IL ne tarde pas à sentir son plaisir de mâle qui monte en lui et s’apprête à jaillir, et juste avant d’exploser de longs jets de sperme tiède, IL lui précise :

- Maintenant ! Tu peux jouir tout de suite et avec moi, et couler autant que tu veux.

Dans un long râle de Mâle, le Marquis éjacule sous les cris de plaisirs de sa belle chienne qui est prise de violents spasmes qui la secouent dans tous les sens. C’est presque la queue de son Maître, qui l’empale encore, qui la retient sur la table car elle pourrait fort en tomber dans ses tremblements incontrôlables, bougeant dans tous les sens sous les soubresauts d’un puissant orgasme. Dans sa jouissance de femme fontaine, Thaïs s’est vidée elle aussi de longs jets chauds d’éjaculat féminin que le Maître a ressentis car ils sont venus couler sur sa verge et sur l’anus dilaté qui s’est rempli de ce liquide translucide tout autant que de son sperme. C’est donc dans un vrai splash qu’IL retire sa queue qui commence à se ramollir. IL fait le tour de la table, se positionne au dessus de la bouche de Thaïs et lui dit.

- Lèche ma belle chienne, ma queue, que je puisse me sentir tout propre, bien qu’en fait, tu lui as presque déjà fait prendre un bain avec tout ton éjaculat féminin qui m’a inondé. Tu sais à quel point j’aime te voir couler quand tu jouis. Cela reste toujours un spectacle dont je me lasserai difficilement. Mais je n’en ai pas fini avec toi, encore que ta punition est terminée, je vais déjà te retirer la pince sur tes seins qui ont été largement mis à contribution, et c’est surtout que je veux que tu te concentres sur un autre plaisir que je vais te faire goûter avant de devoir te quitter…

(A suivre …)

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