La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°278)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°278) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°278)
Suite de l'épisode précédent N°277 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

Le Marquis se retire quelques instants, boit un grand verre d’eau au passage et retourne dans la salle de bains, se passe un peu d’eau sur le visage, se recoiffe et se rhabille convenablement refermant sa braguette après avoir remis sa queue ramollie bien sagement dans son boxer. IL ramène le verre avec ce qu’il y reste d’eau et très délicatement, IL empoigne la tête de sa soumise par l’arrière pour l’aider à relever la tête et pour pouvoir lui offrir à boire. Thaïs remercie généreusement son Maître de son attention car elle avait la bouche très sèche à force d’haleter comme une chienne et elle apprécie de pouvoir s’hydrater, surtout qu’elle commence à sentir la douleur apparaître dans ses jambes et ses bras qui sont toujours étirés et écartelés au maximum. Pendant tout le temps de plaisirs charnels et d’excitation liée à la pénétration, l’inconfort de sa situation et de ses entraves avait presque disparu, mais maintenant elle ressent la tension sur ses muscles, et aux points d’attaches sur les poignets et les chevilles. Le Marquis a d’ailleurs pris soin de vérifier dans quel état était la circulation sanguine sur ses extrémités, mains et pieds.

- Alors la belle, tu es prête pour encore jouir pour ton Maître ? Tu as encore de la force, j’en suis sûr et de toute manière tu n’as pas le choix, d’ailleurs ce n’est pas une question, c’est Mon désir et tu ne peux t’y soustraire.
- Mon Maître, c’est Vous qui décidez de ce qui est bon pour Votre soumise docile et de ce que Vous attendez et exigez d’elle.
- Très exceptionnellement, je te donne le droit de jouir à partir de maintenant quand tu voudras, et autant de fois que tu le voudras ou le pourras. Je veux que tu prennes du plaisir, beaucoup de plaisirs à ce que je vais te faire subir et pour cela, je vais d’abord te bander les yeux pour que tu ne te concentres que sur tes sensations charnelles et sur ton plaisir féminin. Profite de ce moment qui t’es offert par chance et par ma grande bonté, car ce n’est pas toujours que j’offre à l’un de mes soumis ou mes soumises un moment de pur plaisir pour lui ou pour elle, mais je veux à cet instant qu’il en soit ainsi avec toi. C’est Mon plaisir que je puisse te faire jouir quand il me plait de te voir atteindre l’acmé et surfer sur la vague des délices sexuels et sensuels. Le Marquis d’Evans lui passe vite fait un bandeau noir sur les yeux, ce qui fait plonger Thaïs dans la nuit des plaisirs exquis qui s’annoncent.

Thais sent la main de son Maître qui s’empare de son intimité. Elle pense qu’IL va passer sa main dans sa chatte comme si souvent, et éventuellement lui caresser son bouton de rose qui est tellement excité à nouveau des simples mots de son Maître Vénéré qui évoquait la félicité qu’IL allait lui offrir. Elle sent que la main de son Maître de ses doigts écarte encore plus les petites lèvres qui recouvrent son clitoris le mettant à l’air libre, totalement dégagé de son capuchon, gonflé et tendu comme un pénis miniature qui voudrait darder et bander. Elle entend un petit bruit de vibration, comprenant que son Maître à mis en route un objet électrique ou à piles, mais elle ne reconnaît aucun des sons des godes qui se trouvent dans sa mallette et que le Maître a déjà utilisés sur elle. Elle se dit qu’il doit s’agir d’un des nouveaux joujoux qu’IL avait fait venir pour s’amuser avec elle, et attend patiemment que son Maître la gode à sa convenance. Mais elle est surprise de ne pas reconnaître la sensation qui est différente de tous les godes et œufs vibrants qu’elle a déjà testés, elle ne peut pas identifier la texture, ni la matière, de l’objet qui a pris possession de son clitoris, qui semble être petit car elle ne ressent de mouvements que précisément sur son bouton de rose, comme si son Maître se plaisait à ne titiller que cet endroit dont il semble faire le tour en continue. C’est une sensation nouvelle qu’elle découvre et qui est loin d’être déplaisante. Elle se remet à mouiller de plus belle, toute à la joie de pouvoir exprimer, puisque son Maître le lui a permis, ses ahanements de chienne en chaleur qui est en train de se faire caresser.

Thais aimerait bien poser une question car elle est curieuse de savoir avec quel objet son Maître joue, mais elle sait qu’elle ne doit pas céder à son envie au risque de s’attirer une nouvelle sanction et de voir son Dominant courroucé capable d’interrompre sans préavis la séance plus que récréative qu’IL est en train de lui accorder. Et ceci d’autant plus que le délice, des caresses vibrantes sur son clitoris hyper-sensible, a déjà fait monter le plaisir en elle et lui a fait totalement oublier la douleur des muscles de ses membres écartelés et attachés. Tout d’un coup, la sensation s’arrête. Thaïs commence à le regretter car elle prenait beaucoup de plaisirs à ces caresses tournoyantes, mais elle n’ose pas demander à son Maître de continuer, car elle est son esclave-soumise qui doit se contenter de ce que son Maître lui octroi en ressentant déjà beaucoup de gratitude pour ce qu’elle a pu recevoir de lui, et ce même s’IL ne désire pas poursuivre et lui permettre d’aller jusqu’à la jouissance suprême qu’elle n’a pas encore atteinte contrairement à ce qu'il avait laissé entendre. Cependant le bruit qui provient de la vibration de l’appareil ne s’est pas arrêté. Il lui semble que pourtant elle connaît ce genre de bruit, mais vraiment elle n’a reconnu aucun des godes et autres sex-toys vibrants qui ont déjà fait palpiter son corps. Le Marquis d’Evans s’est approché de la tête de Thaïs et lui dit :

- Ouvre la bouche maintenant !

Thaïs s’exécute, pensant que son Maître veut comme si souvent lui faire lécher sa mouille de femelle excitée, sur ses doigts et sur les objets dont IL se sert pour la goder. Mais elle est surprise de voir qu’IL lui soulève les lèvres et qu’IL passe l’objet sur ses dents. Cette fois-ci, elle reconnaît immédiatement la sensation dont cette partie là de son corps est coutumier. Une fois passé le premier instant de surprise, celui qui suit est un sentiment de dégoût et presque de colère, non pas vraiment de sentir sa bouche remplie de sa mouille et de ses sécrétions de femelle, mais en rapport avec l’objet employé, pour elle qui est si soigneuse de sa brosse à dents personnelle, que personne d’autre qu’elle bien sûr ne peut utiliser, qu’elle change régulièrement, veillant à avoir un entretien buccal et dentaire des plus soignés. Mais finalement, elle se dit qu’après tout, brosse à dents ou gode sortant de sa chatte et trempée de sa cyprine avant de venir aboutir dans sa bouche qui est habituée à s’ouvrir comme orifice sexuel pour son Maître suivant sa convenance à l'utiliser et le remplir, cela ne change pas grand-chose à la finalité et sa condition est de laisser tous ses orifices à la disposition de son Maître pour qu’IL en use et en abuse de mille et une manières. Elle s’en veut même d’avoir eu ces pensées négatives, allant à l’encontre des intentions de son Dominant, même si elle n’en a rien laissé paraître, alors même qu’elle n’a qu’à se plier à Son bon vouloir et tout faire pour satisfaire son Maître, qui peut disposer librement du corps qui lui appartient. Elle sait qu’elle devra s’excuser de cela auprès de son Maître et lui avouer, par loyauté, les sentiments qui l’ont traversé et dont elle se répand déjà. Le Marquis d’Evans a retiré la brosse à dents de la bouche de Thaïs et tandis qu’IL se replace, pour reprendre sa partie de jeu, devant son sexe toujours grandement ouvert et écartelé…

- Alors que dis-tu de mon nouveau jouet ? Je suis sûr que tu ne t’étais jamais titillé le clitoris avec une brosse à dents électrique. Mais tu n’as pas encore tout vu la belle ! Celle là est particulière et la brosse en est amovible, tu vas sentir la différence sous peu et je crois que je vais t’entendre couiner cette fois.

Le Marquis d’Evans commence à reposer la brosse à dents sur le clitoris de Thaïs et IL l’incline petit à petit pour que la partie vibrante de l’objet et non plus les poils viennent mettre en vibration le bouton de rose au plus près dans un mouvement de rotation si rapide, la soumise commence à sentir le plaisir qu’elle ne peut retenir et elle laisse échapper les cris de jouissance de son premier orgasme. Le Marquis se dit qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure, IL ressort la brosse à dents de la caverne qui est devenue à nouveau onctueuse à souhait, laissant le clitoris baigner dans un bain de cyprine abondante. IL défait la partie amovible, ce qui laisse une petite tige de métal apparaître et dégagée sur au moins la moitié du pourtour, l’arrière étant la partie non amovible de la brosse à dents. Le Noble reprend l’appareil en main, et s’approche délicatement du clitoris. La vibration est largement plus intense sur la tige en métal qui se termine comme une tête d’épingle arrondie de moins d’un millimètre de diamètre. Il peut donc tout à loisirs, choisir le point d’impact de la vibration sur l’ensemble du clitoris et sur toutes les parties autour.

Le Châtelain appuie lentement sur la partie amont pour commencer et immédiatement Thaïs se sent prise par une onde de chaleur et de plaisirs qu’elle a rarement connue, et qui est d’autant plus forte qu’elle est localisée sur une toute petite partie de son corps et de ses zones érogènes. Elle sent son Maître qui se balade lentement sur l’ensemble de son clitoris qui ne lui a jamais paru plus grand qu’en ce jour, où elle peut savourer des sensations diverses et intenses en des points distincts et pourtant très proches. D’orgasme en orgasme, Thaïs est de plus en plus haletante, arrivant à peine à reprendre son souffle entre deux montées en puissance, chaque fois qu’IL appuie un peu plus pour maintenir le contact entre la tige vibrante et le clitoris qui est devenue une véritable boule de feu dans la tête de Thaïs qui ne ressent plus que cela. Un gode en général transmet une vibration sur l’ensemble de la zone vaginale et clitoridienne, mais là c’est en chaque petit point qu’elle ressent le plaisir, les multiples plaisirs. Sa respiration est devenue en quelques secondes plus qu’intense et elle commence à hurler carrément tant les orgasmes la submergent, serrant ses doigts fortement à s’en faire rentrer les ongles dans les paumes, mais pour autant son Maître n’arrête toujours pas de déplacer l’engin sur la zone déjà toute excitée, gonflée de sang et rouge vermillon. C’est d’orgasme en orgasme que la femme fontaine qu’elle est coule de longs jets comme jamais, qui jaillissent de son corps comme ils pourraient le faire d’une fontaine, commençant à monter vers le haut avant de redescendre pour venir atterrir sur son corps, sur la table et sur le sol.

Le Maître voyant le plaisir inondant de sa belle soumise continue car IL savait qu’elle voulait voir depuis longtemps ce qu’il pouvait y avoir au-delà de l’orgasme le plus jouissif et IL lui semble qu’aujourd’hui, IL est en train de pouvoir lui faire découvrir quelque chose de plus puissant même qu’un orgasme à répétitions. IL accentue la pression de la tige vibrante sur la partie la plus sensible du clitoris de Thaïs, il lui semble que c’est le haut, car chaque fois qu’IL passe à cet endroit là, ses cris de jouissance étaient encore plus forts. Elle gémit de plus en plus fort, et pousse même de grands râles profonds qui sortent du fond de sa gorge et tout d’un coup, c’est un grand silence qui se fait, elle s’est mise à respirer plus lentement, et pourtant son corps bouge encore et son bas-ventre expulse de longs jets de manière saccadés, accompagnés de puissantes contractions du bas ventre. Le Marquis se plait de voir sa soumise fontaine qui semble être dans un parfait état second de bonheur extrême, continuant visiblement à jouir du plaisir, mais d’un plaisir différent de celui d’un simple orgasme, d’un plaisir qui dure et dure encore, qui coule et coule encore pendant plusieurs minutes.

Le Marquis d’Evans n’a pas dit un mot pendant tout ce temps, et IL sait qu’IL doit maintenant aider sa soumise à sortir de l’état où elle se trouve en la faisant revenir progressivement dans le monde présent, un peu comme quand on réveille doucement quelqu’un qui a été plongé dans un sommeil hypnotique. IL vient d’arrêter la brosse à dents électrique et doucement la retire de l’intimité de sa soumise qui n’est plus qu’une immense mare de cyprine et d’éjaculat mélangée qui déborde et coule sur le sol. IL pose ses mains sur le corps presque encore en transe de Thaïs qui sursaute et se met à être secouée de spasmes convulsifs qui lui traversent le corps.

- Doucement, la belle, tout va bien, ne cherche pas à parler, reprend ton calme, je crois que tu reviens de loin.

IL s’approche de Thaïs se met tout près d’elle pour pouvoir la prendre dans les bras quand IL va la détacher, car IL se doute qu’elle va se trouver sans force et sans moyen de bouger. IL défait le plus rapidement possible maintenant les attaches qui reliaient les poignets et les chevilles de la soumise à la barre d’écartement et fait basculer la belle chienne dans ses bras tandis qu’IL s’est mis à même le sol pour la prendre. Le corps complètement ankylosé, Thaïs a du mal à pouvoir simplement se dérouler sur elle-même, et le Marquis lui masse les jambes et les bras pour refaire circuler le sang dans toutes les parties du corps et au niveau des attaches en particulier. Elle s’est complètement lovée dans les bras dans lesquels elle a atterri, ceux de son amant et Maître tant Vénéré, savourant le plaisir absolu qu’elle a pu vivre, comme jamais de sa vie, ayant perdu pied sur la réalité et le temps qui passe. Elle voudrait lui dire mille fois merci pour tout ce qui s’est passé, mais sa voix ne répond pas encore à ses désirs. Alors Thaïs ouvre doucement les yeux, car le Marquis lui avait retiré depuis plusieurs minutes le bandeau, mais elle était restée « enfermée » dans son monde de sensations extrêmes.

- Thaïs, ma belle chienne, j’ai vécu de bons moments intenses pendant ce Week-end. Je crois que je ne suis pas le seul, si j’en juge à tes yeux qui semblent si radieux, même si tu ne dis toujours rien.
- Mer…… Merci, mon Maître Vénéré, je ne saurais jamais Vous le dire assez longtemps et assez souvent (finit-elle par sortir)
- Je vais devoir partir sans attendre, car je veux rejoindre mon château en Beaujolais avant ce soir, où je suis attendu. Tu n’auras pas toujours la chance de bénéficier de la présence de ton Maître aussi longtemps. Je suis content car je vais récupérer le terrain que je convoitais, et je n’aime pas quand mes affaires ne vont pas dans le sens que j’ai décidé. Tu vas pouvoir rester dans la chambre encore cette nuit et te reposer, tu l’as bien mérité, mais dès que tu seras un peu remise de tes émotions fort réjouissantes et de ta dose intense de plaisirs, il te faudra veiller à ranger toutes mes affaires. Je pars sans rien emporter.

Le Marquis se lève laissant encore Thaïs à même le sol, presque recroquevillée en position fœtale de bien-être. Une totale plénitude a envahi son corps.

- Ne bouge pas…
- Mais, Maître, laissez moi Vous remercier à genoux et Vous saluer comme il se doit avant Votre départ, en Vous baisant les mains et les pieds.
- Thais ! (réplique aussi sec le Châtelain d’une voix autoritaire qui dénote largement avec celle qu’IL avait adopté précédemment) Aurais-tu dans l’intention de discuter mes ordres ? Je sais ce que je dis et j’ai dit, je n’aime pas avoir à me répéter. Alors, ne bouge SURTOUT pas ! Ce n’est pas parce que je m’en vais qu’il te faut oublier les bonnes manières et ta condition d’esclave-soumise obéissante qui est la tienne à chaque instant, et ce même en mon absence. Tu seras punie pour ton écart de langage, pour avoir parlé sans y être autorisée, pour avoir cru pouvoir commencer ta phrase par « Mais » et pour avoir parler à ton Maître en utilisant l’impératif. Crois-tu que j’ai des ordres à recevoir de toi ! Tu n’es qu’une chienne qui doit se tenir à Mes pieds quand je daigne la siffler et m’intéresser à l’insignifiante chose que tu restes. Demain matin, à 10h très précises, mon majordome, Walter, viendra te chercher avec toutes Mes affaires. Ne sois pas en retard d’une seule seconde. Il n’aime pas non plus attendre une soumise qui n’aurait pas su écouter les ordres de son Maître et il est largement aussi intransigeant que Moi, si ce n’est plus. Il aura Mes consignes et tu devras lui obéir en tous points comme si c’était moi. Il me rapportera chacun de tes faits et gestes, sois-en certaine. Ta vie ne t’appartient plus maintenant, tu es à Moi.

Thaïs ressent à cet instant le poids pesant de sa condition, toujours à la merci de son Maître, vulnérable, devant obéir aveuglément, ne pouvant rien décider par elle-même, mais la dévotion qu’elle porte à son Maître est telle qu’elle souhaite en tous points le satisfaire. Elle sait aussi que c’est cette soumission et le fait de sentir son Maître qui marque son emprise et sa Maîtrise sur elle qui veut rester à Ses pieds, là où elle a trouvé sa place, qui lui apporte un réel plaisir et un bien être qui va au-delà du plaisir physique qu’elle peut recevoir quand son Maître désire qu’il en soit ainsi. Elle reste immobile, sans bouger, entendant le Marquis Edouard d’Evans vaquer dans la pièce, avant de percevoir le bruit de la porte qui s’est fermé. Le Marquis d’Evans est parti sans même un mot de plus, sans un au revoir, et volontairement sans lui laisser la moindre information sur l’avenir. Thaïs est une esclave soumise dévouée, qui sait se satisfaire des bienfaits que son Maître lui octroie et qui a appris à s’en contenter sans y trouver à redire. Sans attendre, elle se lève pour commencer à tout ranger dans les appartements occupés pendant ce week-end par le Châtelain, et ce comme son Maître le lui a ordonné, très triste malgré tout en son fort intérieur de lui avoir déplu au moment de son départ, s’en voulant dans la précipitation d’avoir ouvert la bouche de manière intempestive et inapproprié pour une soumise bien dressée, elle dont le cœur ne voulait être que remerciements et gratitude pour exprimer toute la reconnaissance qu’elle éprouve d’être encore et encore aux pieds de son Maître Vénéré…

(A suivre…)

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