La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°291)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°291)
Vanessa au château - Suite de l'épisode N°290 -
Soudain la lourde porte massive de chêne vernis s’ouvre, l’imposant lustre de cristal s’illumine, brillant de mille feux, ce qui contraint Vanessa à fermer les yeux un instant, le temps de s’habituer à cette nouvelle clarté. Des bruits de discussions se rapprochent jusqu’à emplir la grande pièce. Personne ne s’occupe de Vanessa, elle entend des brides de conversations de tout et de rien, comme si la soirée était des plus banales. Puis d’un seul coup, plus un bruit, sans trop comprendre la raison de ce silence, Vanessa tend l’oreille pour entendre enfin la voix de son Maître prendre la parole.
- Mes amis, soyez les bienvenus en mon illustre Demeure, puissiez-vous y passer une agréable soirée… Mes esclaves passeront parmi vous pour vous servir en boissons, pour les hors-d’œuvre, un plateau spécifique est à votre disposition sur la grande table. J’espère que vous saurez apprécier la très belle sculpture de celui-ci.
Vanessa ne doute pas que tous les regards sont braqués sur elle, et elle sent quasi instantanément son intimité s’humidifier d’avantage. Tous applaudissent l’accueil du Maître des lieux, et reprennent leurs conversations. L’apéritif dure très longtemps, Vanessa ne voit rien de ce qui se passe dans la pièce, mais elle entend les verres s’entrechoquer et les rires s’élever. Régulièrement des convives viennent se servir des délicieux mets qui ont été disposés soigneusement sur son corps, parfois des mains s’attardent furtivement à la caresser, sans pour autant insister, comme si la règle était de simplement effleurer… Cependant une main se saisit soudain d’un hors d’œuvre posé sur le sein gauche de Vanessa et s’amuse à titiller le téton érigé qu’il vient de découvrir.
- Je vois que vous appréciez le support de cet excellent caviar en toast, cher ami.
- Très Cher Marquis, ce plateau est une fois de plus une agréable surprise, vous savez recevoir avec classe, dit une voix qui lui semble familière mais qu’elle ne parvient pas à reconnaitre.
- Vous êtes l’invité d’honneur ce soir, il fallait que vous puissiez apprécier votre soirée à juste titre.
- J’apprécie, comme chacune de Vos soirées, bien au-delà de mes espérances, soyez en certain.
Les deux hommes s’éloignent pour continuer leur conversation, laissant Vanessa dans l’interrogation concernant cet homme qu’elle pense connaître mais qu’elle ne parvient pas à reconnaitre. Qui peut-il bien être ? Comment pourrait-elle connaitre un ami de Monsieur le Marquis d’Evans ? Cette question trotte sans cesse dans sa tête à tel point qu’elle ne voit pas le temps passer… Une heure après le début de la soirée, les soumises-esclaves qui avaient dressé la table reviennent auprès de Vanessa, elles s’affairent à retirer ce qui reste d’aliments sur son corps, un linge humide et parfumé la nettoie délicatement, puis d’autres aliments sont disposés. Elle entend des bruits d’assiettes et de couverts qui sont disposés tout autour d’elle, visiblement la suite de la soirée sera un dîner assis pour les convives. Vanessa pourrait paniquer de savoir qu’autant de mains seront à portée de son corps, autant de possibilités de faillir à sa mission, mais elle accepte, ce qui lui a été ordonnée, par dévotion à son Maître, avec le calme et la concentration légendaire que ses collègues pompiers lui connaissent. En moins de trois minutes une nouvelle table a été dressée, et de nouveaux aliments ont recouvert de nouveau le magnifique corps de la jeune femme. Une nouvelle fois Vanessa patiente la suite des évènements, dans un brouhaha continu dont elle ne capte qu’une partie des conversations. Soudain un doigt se pose sur sa joue puis descend délicatement pour caresser ses lèvres entrouvertes.
- La soirée ne fait que commencer, j’espère que tu es bien installée, car je serai déçu si tu ne parvenais pas à maintenir cette position qui te va si bien, lui chuchote son Maître à l’oreille.
Puis le Marquis d’Evans prend un verre à pied dans sa main gauche, et de sa main droite y fait tinter un couteau pour attirer l’attention.
- Mes chers amis, permettez-moi de vous inviter à prendre place.
Les convives se rapprochent, des bruits de chaises se font entendre, Vanessa devine que chacun s’est assis autour de cette grande table, toutefois elle est persuadée de ne pas avoir entendu la chaise de son Maître bouger, ni celle de l’homme situé à sa droite. Et ses sens ne lui font pas défaut, les deux hommes ont patienté que tout le monde prenne place en silence, restant debout pour capter l’attention.
- Bien ! Maintenant que chacun est confortablement installé, je tiens à porter un toast à mon cher ami ici présent, sans qui je n’aurais pas pu vous accueillir en ces lieux chargés d’histoire, ce soir. Je tiens à le remercier devant tous, et comme je sais qu’il apprécie les mets et cultures asiatiques, le repas de ce soir a été préparé pour lui, à son attention. Ne vous inquiétez pas pour ceux qui ne sauraient utiliser les baguettes, des fourchettes sont également à votre disposition, mais tâchez de ne pas abimer mon beau support, j’y tiens !… (termine-t-il sur un ton humoristique tout en regardant un instant Vanessa)
Des éclats de rire se font entendre et tous applaudissent le Maître des lieux. Vanessa ne comprend toujours pas qui est cet homme, et qu’a-t-il fait pour venir en aide de la sorte au Marquis d’Evans. Les convives reprennent leurs conversations alors que le Marquis et son invité d’honneur s’assoient enfin.
- Très cher Monsieur le Marquis, merci de cette éloge mais je n’ai fait que mon travail, et à vrai dire seul, je n’aurais pas fait grand-chose.
- Certes, mais vous l’avez fait avec une efficacité redoutable, tout comme vos hommes d’ailleurs. Sans vous les flammes auraient certainement atteint plus de pièces et plus d’objets familiaux et multi-centenaires auxquels je tiens beaucoup et venant de mes Ancêtres.
Vanessa réalise soudain que cette voix qu’elle avait reconnue était celle de son commandant-chef de compagnie, le chef de colonne de l’intervention sur le feu du Château, l’homme qui avait en charge le commandement de l’ensemble des opérations. Elle réalise soudain à quel point le masque qu’elle porte est important et remercie intérieurement son Maître d’avoir souhaité protéger son identité. Elle connait le commandant depuis qu’elle est entrée pompier, à l’époque, il n’était que lieutenant, mais il n’a pas changé et est toujours aussi abordable, ce qui explique que la plupart des hommes de la caserne l’apprécient. Vanessa n’aurait jamais imaginé qu’il puisse appartenir au cercle fermé du BDSM et qu’il soit, apparemment, ami personnel du Marquis d’Evans.
- Je suis heureux que le feu ait été circoncit aussi rapidement, même si je déplore les dégâts que mes hommes n’ont pas pu empêcher.
- Vos hommes oui mais aussi vos femmes ! répond le Marquis sur un ton taquin et amical.
- Vous y pensez encore, décidemment elle vous a fait grand effet, répond le commandant en souriant. A propos, pourquoi aviez-vous besoin de son adresse ?
- Elle avait oublié sa montre sur la table de la terrasse où la collation a été servie, derrière une carafe de jus de fruit, je tenais à la lui rendre par pure délicatesse, je la lui ai fait porter.
- Toujours aussi gentleman cher Marquis, l’espace d’un instant j’ai cru que vous aviez d’autres idées en tête.
- Il se peut effectivement que d’autres idées m’aient traversé l’esprit.
- Sachez que je ne doute pas qu’elle puisse appartenir à notre cercle, mais pas comme vous l’imaginez, c’est une véritable castratrice, aucun homme ne s’y frotte, elle est faite pour tenir la cravache et non la recevoir.
- Les meilleures chefs font souvent les meilleures soumises, ce sont des femmes qui ont bien souvent le besoin de lâcher les rênes qu’elles tiennent en permanence. Une sorte de décompression nécessaire parfois !
- Certes, je vous l’accorde, mais pas elle, lorsqu’elle n’était que simple sapeur, elle a posé ses règles de suite en arrivant dans son équipe. Aucun n’a osé les petites blagues de bizutages que chacun subit à son arrivée. Lorsque le blagueur de l’équipe a tenté de prendre la température en lui parlant d’œufs pourrit dans les rangers, elle a répondu avec un calme spectaculaire digne d’une dominatrice « tu peux essayer, rien ne t’en empêche, mais les œufs, tu les nettoieras à coup de langue si ça devait arriver dans mes rangers, j’espère pour ta langue, avoir été très claire, voir même limpide ». Comme vous voyez, c’est une sacrée femme de caractère que nous apprécions tous à la caserne !
Vanessa se retient de ne pas sourire à l’évocation de ce souvenir, elle s’étonne que le commandant s’en rappelle si bien, elle ne pensait pas avoir marqué les esprits à ce point.
- Je vois, elle a un tempérament de feu, si je puis me permettre ce piètre jeu de mot, mais je maintiens que ce genre de tempérament cache bien souvent une nature soumise.
- Bien souvent n’est pas toujours, mon cher ami, elle est faite pour dominer, ça me parait si évident ! En intervention, devant des hommes agressifs, avec un calme impressionnant, un sourire bien placé, elle sait prendre le dessus, parfois sans dire un mot, simplement un regard fixe.
- Je vois que vous êtes persuadé de sa nature dominatrice, écoutez, si nous avons l’occasion de la faire entrer un jour dans ce cercle, je vous promets de lui laisser le choix de sa condition, et je lui prêterais même mes soumis avec joie si elle choisit le côté de la cravache.
- N’espérez pas trop tout de même, je ne me vois pas l’inviter innocemment à une de vos soirées, ponctue le commandant en souriant.
Le Marquis d’Evans lui rend son sourire, un œil sur Vanessa pour observer ses réactions, mais même si elle est fortement troublée par la présence de son commandant en chef, elle se contrôle à la perfection, comme si son esprit avait abandonné son enveloppe charnelle. Le repas se poursuit, les deux amis continuent de converser, mais Vanessa n’y prête plus attention, elle reste troublée sur la présence du commandant, et s’interroge de la suite que son Maître décidera de donner à la soirée. Elle craint qu’il ne la dévoile, elle craint que cet homme qui l’a toujours respecté dans le milieu professionnel des pompiers ne la voit plus du même œil. C’est un homme qu’elle apprécie énormément, et elle ne voudrait pas que leur relation soit gâchée parce qu’elle a fait le choix de vivre la soumission qu’elle a toujours rêvée… Perdue dans ses pensées, elle ne sent même pas les pics des fourchettes qui viennent volontairement éveiller sa chair à la grande surprise des invités qui félicitent le Marquis de la docilité de Son esclave. Ce dernier sourit, satisfait de l’immobilisme de Vanessa, mais Il sait que ce contrôle est dû à ce qui traverse son esprit en ce moment, et savoure le trouble qui la traverse. Le Noble se lève solennellement, sans un mot il obtient l’attention de Ses convives.
- Mes amis, j’espère que ce met vous a plu, en attendant le dessert, je vous propose un petit moment de détente et de jeux avec Mes esclaves et différents objets qui sont à votre disposition.
Tous applaudissent la proposition et se lèvent dans la joie pour aller profiter et abuser des corps offerts des esclaves du Marquis d’Evans. Vanessa ne voit toujours rien, mais au fil des minutes qui suivent, elle entend le bruit des chaînes, des fouets, parfois même des gémissements. Elle devine aisément qu’ici ou là, on attache, on fouette, on suce, on baise, on encule… Que ce petit moment de détente proposé par le Maître des lieux est en réalité un véritable moment orgiaque ou la Domination perverse sur les esclaves est la principale occupation des Invités qui ont l’air de s’en donner à cœur joie. Finalement elle se réjouit de sa place, même si elle est difficile à tenir, elle n’est pas certaine qu’elle aurait pu assumer aussi rapidement d’être offerte à autant de personnes en même temps. Les soumises chargées de la table reviennent, tout a été mangé, il n’y a plus rien à retirer, elles nettoient Vanessa du même linge humide et parfumé, puis Holly MDE apparait dans son champ de vision.
- Pour le moment le Maître est satisfait, c’est bien, continue ainsi, lui dit-elle en souriant. Pour le dessert il exige une autre présentation, tourne toi sur le ventre.
Sans un mot, Vanessa s’exécute, mais un peu difficilement tant ses muscles sont engourdis et Holly MDE perfectionne la position, lui replace la tête en la tournant du côté gauche, puis les soumises s’affairent une fois de plus à la recouvrir de délicieux gâteaux en tout genre.
- Le Maître tient à ce que l’invité d’honneur puisse apprécier les courbes de ton visage, tâche de ne jamais croiser son regard.
La table de nouveau prête, les soumises repartent, sauf Holly MDE qui s’agenouille à côté de la place de son Maître, les mains dans le dos, le regard baissé, immobile dans l’attente. Vanessa peut la voir, elle se surprend à apprécier la beauté de la position de cette image de servitude et dévotion totale… Dans sa nouvelle position, Vanessa voit une partie de la salle, et ce qu’elle voit, bien loin de la choquer, l’excite au plus haut point…
(A suivre …)
Soudain la lourde porte massive de chêne vernis s’ouvre, l’imposant lustre de cristal s’illumine, brillant de mille feux, ce qui contraint Vanessa à fermer les yeux un instant, le temps de s’habituer à cette nouvelle clarté. Des bruits de discussions se rapprochent jusqu’à emplir la grande pièce. Personne ne s’occupe de Vanessa, elle entend des brides de conversations de tout et de rien, comme si la soirée était des plus banales. Puis d’un seul coup, plus un bruit, sans trop comprendre la raison de ce silence, Vanessa tend l’oreille pour entendre enfin la voix de son Maître prendre la parole.
- Mes amis, soyez les bienvenus en mon illustre Demeure, puissiez-vous y passer une agréable soirée… Mes esclaves passeront parmi vous pour vous servir en boissons, pour les hors-d’œuvre, un plateau spécifique est à votre disposition sur la grande table. J’espère que vous saurez apprécier la très belle sculpture de celui-ci.
Vanessa ne doute pas que tous les regards sont braqués sur elle, et elle sent quasi instantanément son intimité s’humidifier d’avantage. Tous applaudissent l’accueil du Maître des lieux, et reprennent leurs conversations. L’apéritif dure très longtemps, Vanessa ne voit rien de ce qui se passe dans la pièce, mais elle entend les verres s’entrechoquer et les rires s’élever. Régulièrement des convives viennent se servir des délicieux mets qui ont été disposés soigneusement sur son corps, parfois des mains s’attardent furtivement à la caresser, sans pour autant insister, comme si la règle était de simplement effleurer… Cependant une main se saisit soudain d’un hors d’œuvre posé sur le sein gauche de Vanessa et s’amuse à titiller le téton érigé qu’il vient de découvrir.
- Je vois que vous appréciez le support de cet excellent caviar en toast, cher ami.
- Très Cher Marquis, ce plateau est une fois de plus une agréable surprise, vous savez recevoir avec classe, dit une voix qui lui semble familière mais qu’elle ne parvient pas à reconnaitre.
- Vous êtes l’invité d’honneur ce soir, il fallait que vous puissiez apprécier votre soirée à juste titre.
- J’apprécie, comme chacune de Vos soirées, bien au-delà de mes espérances, soyez en certain.
Les deux hommes s’éloignent pour continuer leur conversation, laissant Vanessa dans l’interrogation concernant cet homme qu’elle pense connaître mais qu’elle ne parvient pas à reconnaitre. Qui peut-il bien être ? Comment pourrait-elle connaitre un ami de Monsieur le Marquis d’Evans ? Cette question trotte sans cesse dans sa tête à tel point qu’elle ne voit pas le temps passer… Une heure après le début de la soirée, les soumises-esclaves qui avaient dressé la table reviennent auprès de Vanessa, elles s’affairent à retirer ce qui reste d’aliments sur son corps, un linge humide et parfumé la nettoie délicatement, puis d’autres aliments sont disposés. Elle entend des bruits d’assiettes et de couverts qui sont disposés tout autour d’elle, visiblement la suite de la soirée sera un dîner assis pour les convives. Vanessa pourrait paniquer de savoir qu’autant de mains seront à portée de son corps, autant de possibilités de faillir à sa mission, mais elle accepte, ce qui lui a été ordonnée, par dévotion à son Maître, avec le calme et la concentration légendaire que ses collègues pompiers lui connaissent. En moins de trois minutes une nouvelle table a été dressée, et de nouveaux aliments ont recouvert de nouveau le magnifique corps de la jeune femme. Une nouvelle fois Vanessa patiente la suite des évènements, dans un brouhaha continu dont elle ne capte qu’une partie des conversations. Soudain un doigt se pose sur sa joue puis descend délicatement pour caresser ses lèvres entrouvertes.
- La soirée ne fait que commencer, j’espère que tu es bien installée, car je serai déçu si tu ne parvenais pas à maintenir cette position qui te va si bien, lui chuchote son Maître à l’oreille.
Puis le Marquis d’Evans prend un verre à pied dans sa main gauche, et de sa main droite y fait tinter un couteau pour attirer l’attention.
- Mes chers amis, permettez-moi de vous inviter à prendre place.
Les convives se rapprochent, des bruits de chaises se font entendre, Vanessa devine que chacun s’est assis autour de cette grande table, toutefois elle est persuadée de ne pas avoir entendu la chaise de son Maître bouger, ni celle de l’homme situé à sa droite. Et ses sens ne lui font pas défaut, les deux hommes ont patienté que tout le monde prenne place en silence, restant debout pour capter l’attention.
- Bien ! Maintenant que chacun est confortablement installé, je tiens à porter un toast à mon cher ami ici présent, sans qui je n’aurais pas pu vous accueillir en ces lieux chargés d’histoire, ce soir. Je tiens à le remercier devant tous, et comme je sais qu’il apprécie les mets et cultures asiatiques, le repas de ce soir a été préparé pour lui, à son attention. Ne vous inquiétez pas pour ceux qui ne sauraient utiliser les baguettes, des fourchettes sont également à votre disposition, mais tâchez de ne pas abimer mon beau support, j’y tiens !… (termine-t-il sur un ton humoristique tout en regardant un instant Vanessa)
Des éclats de rire se font entendre et tous applaudissent le Maître des lieux. Vanessa ne comprend toujours pas qui est cet homme, et qu’a-t-il fait pour venir en aide de la sorte au Marquis d’Evans. Les convives reprennent leurs conversations alors que le Marquis et son invité d’honneur s’assoient enfin.
- Très cher Monsieur le Marquis, merci de cette éloge mais je n’ai fait que mon travail, et à vrai dire seul, je n’aurais pas fait grand-chose.
- Certes, mais vous l’avez fait avec une efficacité redoutable, tout comme vos hommes d’ailleurs. Sans vous les flammes auraient certainement atteint plus de pièces et plus d’objets familiaux et multi-centenaires auxquels je tiens beaucoup et venant de mes Ancêtres.
Vanessa réalise soudain que cette voix qu’elle avait reconnue était celle de son commandant-chef de compagnie, le chef de colonne de l’intervention sur le feu du Château, l’homme qui avait en charge le commandement de l’ensemble des opérations. Elle réalise soudain à quel point le masque qu’elle porte est important et remercie intérieurement son Maître d’avoir souhaité protéger son identité. Elle connait le commandant depuis qu’elle est entrée pompier, à l’époque, il n’était que lieutenant, mais il n’a pas changé et est toujours aussi abordable, ce qui explique que la plupart des hommes de la caserne l’apprécient. Vanessa n’aurait jamais imaginé qu’il puisse appartenir au cercle fermé du BDSM et qu’il soit, apparemment, ami personnel du Marquis d’Evans.
- Je suis heureux que le feu ait été circoncit aussi rapidement, même si je déplore les dégâts que mes hommes n’ont pas pu empêcher.
- Vos hommes oui mais aussi vos femmes ! répond le Marquis sur un ton taquin et amical.
- Vous y pensez encore, décidemment elle vous a fait grand effet, répond le commandant en souriant. A propos, pourquoi aviez-vous besoin de son adresse ?
- Elle avait oublié sa montre sur la table de la terrasse où la collation a été servie, derrière une carafe de jus de fruit, je tenais à la lui rendre par pure délicatesse, je la lui ai fait porter.
- Toujours aussi gentleman cher Marquis, l’espace d’un instant j’ai cru que vous aviez d’autres idées en tête.
- Il se peut effectivement que d’autres idées m’aient traversé l’esprit.
- Sachez que je ne doute pas qu’elle puisse appartenir à notre cercle, mais pas comme vous l’imaginez, c’est une véritable castratrice, aucun homme ne s’y frotte, elle est faite pour tenir la cravache et non la recevoir.
- Les meilleures chefs font souvent les meilleures soumises, ce sont des femmes qui ont bien souvent le besoin de lâcher les rênes qu’elles tiennent en permanence. Une sorte de décompression nécessaire parfois !
- Certes, je vous l’accorde, mais pas elle, lorsqu’elle n’était que simple sapeur, elle a posé ses règles de suite en arrivant dans son équipe. Aucun n’a osé les petites blagues de bizutages que chacun subit à son arrivée. Lorsque le blagueur de l’équipe a tenté de prendre la température en lui parlant d’œufs pourrit dans les rangers, elle a répondu avec un calme spectaculaire digne d’une dominatrice « tu peux essayer, rien ne t’en empêche, mais les œufs, tu les nettoieras à coup de langue si ça devait arriver dans mes rangers, j’espère pour ta langue, avoir été très claire, voir même limpide ». Comme vous voyez, c’est une sacrée femme de caractère que nous apprécions tous à la caserne !
Vanessa se retient de ne pas sourire à l’évocation de ce souvenir, elle s’étonne que le commandant s’en rappelle si bien, elle ne pensait pas avoir marqué les esprits à ce point.
- Je vois, elle a un tempérament de feu, si je puis me permettre ce piètre jeu de mot, mais je maintiens que ce genre de tempérament cache bien souvent une nature soumise.
- Bien souvent n’est pas toujours, mon cher ami, elle est faite pour dominer, ça me parait si évident ! En intervention, devant des hommes agressifs, avec un calme impressionnant, un sourire bien placé, elle sait prendre le dessus, parfois sans dire un mot, simplement un regard fixe.
- Je vois que vous êtes persuadé de sa nature dominatrice, écoutez, si nous avons l’occasion de la faire entrer un jour dans ce cercle, je vous promets de lui laisser le choix de sa condition, et je lui prêterais même mes soumis avec joie si elle choisit le côté de la cravache.
- N’espérez pas trop tout de même, je ne me vois pas l’inviter innocemment à une de vos soirées, ponctue le commandant en souriant.
Le Marquis d’Evans lui rend son sourire, un œil sur Vanessa pour observer ses réactions, mais même si elle est fortement troublée par la présence de son commandant en chef, elle se contrôle à la perfection, comme si son esprit avait abandonné son enveloppe charnelle. Le repas se poursuit, les deux amis continuent de converser, mais Vanessa n’y prête plus attention, elle reste troublée sur la présence du commandant, et s’interroge de la suite que son Maître décidera de donner à la soirée. Elle craint qu’il ne la dévoile, elle craint que cet homme qui l’a toujours respecté dans le milieu professionnel des pompiers ne la voit plus du même œil. C’est un homme qu’elle apprécie énormément, et elle ne voudrait pas que leur relation soit gâchée parce qu’elle a fait le choix de vivre la soumission qu’elle a toujours rêvée… Perdue dans ses pensées, elle ne sent même pas les pics des fourchettes qui viennent volontairement éveiller sa chair à la grande surprise des invités qui félicitent le Marquis de la docilité de Son esclave. Ce dernier sourit, satisfait de l’immobilisme de Vanessa, mais Il sait que ce contrôle est dû à ce qui traverse son esprit en ce moment, et savoure le trouble qui la traverse. Le Noble se lève solennellement, sans un mot il obtient l’attention de Ses convives.
- Mes amis, j’espère que ce met vous a plu, en attendant le dessert, je vous propose un petit moment de détente et de jeux avec Mes esclaves et différents objets qui sont à votre disposition.
Tous applaudissent la proposition et se lèvent dans la joie pour aller profiter et abuser des corps offerts des esclaves du Marquis d’Evans. Vanessa ne voit toujours rien, mais au fil des minutes qui suivent, elle entend le bruit des chaînes, des fouets, parfois même des gémissements. Elle devine aisément qu’ici ou là, on attache, on fouette, on suce, on baise, on encule… Que ce petit moment de détente proposé par le Maître des lieux est en réalité un véritable moment orgiaque ou la Domination perverse sur les esclaves est la principale occupation des Invités qui ont l’air de s’en donner à cœur joie. Finalement elle se réjouit de sa place, même si elle est difficile à tenir, elle n’est pas certaine qu’elle aurait pu assumer aussi rapidement d’être offerte à autant de personnes en même temps. Les soumises chargées de la table reviennent, tout a été mangé, il n’y a plus rien à retirer, elles nettoient Vanessa du même linge humide et parfumé, puis Holly MDE apparait dans son champ de vision.
- Pour le moment le Maître est satisfait, c’est bien, continue ainsi, lui dit-elle en souriant. Pour le dessert il exige une autre présentation, tourne toi sur le ventre.
Sans un mot, Vanessa s’exécute, mais un peu difficilement tant ses muscles sont engourdis et Holly MDE perfectionne la position, lui replace la tête en la tournant du côté gauche, puis les soumises s’affairent une fois de plus à la recouvrir de délicieux gâteaux en tout genre.
- Le Maître tient à ce que l’invité d’honneur puisse apprécier les courbes de ton visage, tâche de ne jamais croiser son regard.
La table de nouveau prête, les soumises repartent, sauf Holly MDE qui s’agenouille à côté de la place de son Maître, les mains dans le dos, le regard baissé, immobile dans l’attente. Vanessa peut la voir, elle se surprend à apprécier la beauté de la position de cette image de servitude et dévotion totale… Dans sa nouvelle position, Vanessa voit une partie de la salle, et ce qu’elle voit, bien loin de la choquer, l’excite au plus haut point…
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