La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°298)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°298) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°298)
Suite de l'épisode précédent N°297 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Le temps a passé très vite et une grande horloge sonne midi dans le Château des Evans.

- Déjà midi ! Que le temps passe vite. Je dois encore Vous préparer pour pouvoir Vous conduire toutes les deux jusqu’au salon pour 13h pile. Notre Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, a exigé que vous l’attendiez sans bouger pendant le temps du repas, même s’IL n’a prévu de venir que vers 14h ou plus tard tout autant car ce sera suivant son bon plaisir du moment. IL exige dans tous les cas que Vous preniez le temps de l’attendre toutes les deux au moins une heure pour savourer l’honneur qui vous est fait d’être admises en sa présence et d’avoir pu bénéficier d’autant de privilèges et de quelques petits plaisirs excitants destinés à Vous échauffer l’esprit et le corps. Sachez que les esclaves qui passent entre mes mains habituellement sont le plus souvent celles que Monsieur le Marquis d’Evans offre à ses amis pour une nuit ou plusieurs jours, car IL tient à ce que ses cadeaux soit les plus présentables possibles pour lui faire honneur et mises en valeur pour le plus grand plaisir de celui ou celle à qui elles sont confiées. Beaucoup de soumises ici au château pourraient vous envier, moi la première, mais la jalousie et l’envie ne font pas partie de la panoplie des sentiments autorisés pour les esclaves que nous sommes, et il y a longtemps que je trouve bien plus de plaisirs à satisfaire le Maître qu’à risquer de lui déplaire.

Après avoir été coiffée, maquillée, fardée au niveau des mamelons et des lèvres d’une rouge couleur framboise, Holly MDE est habillée d’une guêpière noire qui marque sa taille fine faisant ressortir en la remontant sa poitrine dégagée et qui fait office de porte-jarretelles pour de fins bas noirs. Elle enfile de très hauts escarpins qui lui donnent une démarche gracieuse car ils l’obligent à cambrer les reins, mais elle craint de tomber si haut perchée n’ayant pas l’habitude de se déplacer avec de si grands talons fins. Elle porte autour de son cou son collier de chienne en cuir noir et ses anneaux. Emeline MDE passe, au dernier moment, de grandes et longues boucles d’oreilles en or dans les oreilles percées d’Holly MDE, desquelles pendant de fines chaines en or dont deux sont attachées sur un anneau au tour de son cou et deux sont pincées sur ses tétons, si bien que chaque fois qu’elle bouge ou relève trop la tête, les chaines tirent immanquablement sur les mamelons pincées. Elle complète la parure par un rosebud, véritable bijou, qui se termine par une belle rose noire qui écarte carrément les deux lobes des fesses fermes et rondes de Holly MDE.

Thaïs, quant à elle est laissée nue, sans le moindre vêtement, juste vêtue de son collier de métal qui est scellé en permanence sur son cou et de ses deux bracelets. La soumise lui demande d’écarter les jambes et elle lui passe une ceinture de chasteté qui est munie de deux godes de tailles différentes mais bien conséquentes toutes les deux et qu’elle a imbibé largement, non pas de gel normal, mais d’une pommade aphrodisiaque qui lui est aussi appliquée avec générosité sur l’intérieur des grandes lèvres insistant sur le clitoris. La ceinture est fermée par une chaine de métal à gros maillons qui lui entoure la taille et qui est aussi reliée par un morceau de chaîne à son collier, tant sur le devant que dans le dos. Deux pinces à seins réglables en forme de mini étau sont posées sur ses mamelons attachés entre eux par une chainette résistante qui a été passée derrière son cou et qui a pour effet de maintenir sa poitrine redressée et tendue à l’extrême. Ses deux mains sont attachées dans le dos par des menottes en croix qui ne lui permettent aucun mouvement. Sur ses yeux, on pose un large bandeau opaque qui la prive de la vue et la fait plonger dans un autre univers de sensations décuplées. Une très lourde chaine en acier poli d’un mètre de long est accrochée à l’anneau de Thaïs, ce qui la force rien qu’avec le poids du métal à pencher la tête pour tenter de limiter la tension sur son cou et ses épaules

Après avoir été conduite dans le Salon Privé de son Maître à l’heure dite, soumise Thaïs MDE est installée à genoux au centre de la pièce. Elle a eu beaucoup de mal à se baisser à cause de la ceinture en métal qui passe entre ses cuisses et des deux godes qui la pénètrent profondément. Elle ressent une douleur certaine mais l’excitation est à son comble, tant parce que l’émotion et le désir de revoir son Maître Vénéré la submergent que parce qu’elle est forcée, pénétrée par deux godes qu’elle a ressenti profondément à chaque pas pour venir jusque là et que ses parties intimes sont de plus en plus terriblement gonflées et échauffées par le gel. Son rythme cardiaque s’est accéléré quand elle a compris qu’elle était arrivée à destination et qu’elle devait se trouver dans le fameux Grand Salon où elle allait pouvoir attendre patiemment l’arrivée du Marquis Edouard d’Evans. Emeline MDE installe soumise Holly MDE à son tour, juste à droite de sa toute nouvelle sœur de soumission, le dos droit mais les reins cambrés, perchée sur ses hauts talons, tenant dans la main la laisse qui est attachée au cou de Thaïs. Walter passe sur ces entrefaites pour s’assurer que tout est prêt et il fait le tour des deux soumises, rectifiant leur position à chacune, renvoyant Emeline MDE à ses autres occupations et ne prononçant qu’un seul mot « parfait » avant de quitter le grand salon d’un battement sec de porte. Un silence pesant se fait alors ressentir dans la pièce, laissant là les deux soumises dans l’attente pour au minimum une heure de temps, ce que chacune sait au plus profond de leur méditation et réflexion. Holly MDE a la capacité de voir ce qui l’entoure, ce qui n’est pas le cas de Thaïs, mais elle est si impressionnée de se trouver dans cette majestueuse pièce où elle n’était jamais rentrée et qu’elle n’ose pas tourner la tête, de peur aussi de perdre l’équilibre et de se tordre la cheville.

Le silence … toujours le silence … L’attente est longue, et même presque douloureuse, pour les deux soumises contraintes de rester immobiles, mais paradoxalement, elle est terriblement excitante au fur et à mesure que les minutes passent, focalisant toutes les pensées sur l’arrivée tant désirée de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans que chacune Vénère intensément au plus profond de leur cœur, de leur corps et de leur âme. Une grande horloge d’un autre siècle, dont ni l’une ni l’autre n’avait entendu le bruit des battements, se met à retentir soudain de deux coups résonnants, faisant comprendre à chacune qu’il doit être 14h. C’est à cette heure précise que la porte s’ouvre, car le Marquis d’Evans a toujours aimé la ponctualité, punissant d’ailleurs très sévèrement chacun des retards des esclaves du cheptel et ne se privant pas non plus de réprimander ses salariés dans son entreprise pour les retards sans raison valable qu’IL ne peut également pas tolérer, même s’Il doit y mettre des formes différentes vis-à-vis de son personnel salarié… Les deux soumises ont tout naturellement baissé la tête un peu plus, ressentant l’une comme l’autre un bonheur enivrant les envahir de l’intérieur de leur intimité de femme, et aussi dans cette zone située entre le plexus et le fond de la gorge qui est un centre névralgique des sensations intérieures, reliant les points de Chakra essentiels (plexus, cœur et gorge).

- Bonjour soumise Holly MDE (dit le châtelain d’une voix posé mais tendre)
- Bonjour mon Vénéré Maître (répond aussitôt Holly MDE)
- Tu es particulièrement belle et toute à ton avantage dans cette magnifique tenue qui te sied si bien. Je suis content de te voir ainsi aussi désirable, je sens que tu vas me procurer beaucoup de plaisirs. Seras-tu ma bonne petite chienne en chaleur cet après-midi ?
- Oui, Maître, je ferai tout ce qu’il Vous plaira pour Vous faire plaisir et Vous satisfaire pleinement et je serai Votre petite chienne à Vos pieds dès qu’il Vous plaira de m’y appeler.
- Tu auras droit de me sucer tout à l’heure, mes couilles sont pleines et il me tarde de pouvoir me vider. Je me suis retenu pendant le repas rien que pour toi, ma belle chienne.

Thaïs MDE a la gorge qui se serre en entendant les échanges entre Le Maître et Sa soumise Holly MDE, dans lesquels elle n’a aucune place, comme si elle n’existait pas, comme si elle n’était pas là dans la pièce. Elle ne voit pas sous son bandeau mais elle sait qu’elle n’est pas devenue invisible pour autant. Depuis une heure, elle avait imaginé avec délice le moment où elle allait être « présentée officiellement » à son Maître Vénéré, et voilà que rien de ce qu’elle avait pu imaginer et désirer ne se passait. Elle est encore à genoux au centre de la pièce, les yeux bandés, le corps et les jambes devenus douloureux par la longue posture avec le buste droit, les mains cadenassés dans le dos qui ont commencé à enflammer ses épaules tournées vers l’arrière, ses orifices emplis de godes qui la pénètrent profondément, ses parties intimes gonflées de désir ardent qu’elle ne peut assouvir… Et pour autant, elle sent que cette situation dans laquelle elle se trouve impuissante, vulnérable, insignifiante, juste là à attendre le bon vouloir de son Maître Vénéré, lui procure un sentiment de bien-être profond lié à sa condition de soumission qu’elle assume pleinement et librement, et qui compense largement l’appréhension et la tristesse de ne pas avoir été également saluée par le Marquis d’Evans à son arrivée, tout comme sa sœur de soumission. Le Marquis d’Evans, qui n’en est pas à dresser sa première soumise et qui a fini par bien connaître ce qui se passe dans la tête de celles qui se placent sous son joug volontairement, a sciemment fait attendre Thaïs en l’ignorant, allant presque jusqu’à pousser sa soumise dans ses derniers retranchements quitte à susciter chez elle des sentiments de frustration, de déplaisir et même de jalousie, qu’elle doit apprendre à contrôler et refreiner si elle veut vraiment devenir une esclave-soumise du cheptel, digne de ce nom.

Le Châtelain s’approche de la commode, se sert comme digestif dans un verre ballon tout de pur cristal ciselé, un cognac de grand âge et revient s’asseoir dans un large fauteuil tapissé du même velours que celui des grands doubles rideaux qui encadrent chacune des hautes fenêtres de la pièce qui doit correspondre en hauteur à l’équivalent de deux étages traditionnels. En effet cette pièce au haut plafond à la française avec de magnifiques poutres du XVII ème siècle d’origine est un des lieux historiques des Origines de la Saga (en 1784). Le fauteuil d’époque est sculpté au niveau des pieds courbés qui se terminent par des pattes de lion, et une tête de lion se trouve sculptée dans la partie haute de la boiserie du dossier de chaise. Aucune des deux soumises n’a encore osé bouger d’un millimètre, même si le temps leur semble interminable dans les positions inconfortables qu’elles endurent toutes les deux depuis largement plus d’une heure suivant les ordres de leur Maître. Il est évident qu’elles attendraient bien la fin du monde si leur Maître l’exigeait tant IL peut compter leur soumission profonde et sur leur dévotion totale. Le Noble prend donc son temps de savourer le spectacle qui s’offre à lui et qui lui procure de profonds sentiments de Domination de voir sous ses yeux ses deux dernières soumises immobiles, tête baissée, totalement offertes et à Son entière disposition. Dans ce lieu ancestral, rempli d’objet précieux de tous âges qu’IL affectionne, de livres anciens, de tapisseries brodées et de tableaux de grandes valeurs, accumulés au fil des générations par tous les Marquis d’Evans successifs, le Marquis Edouard d’Evans toujours assis dans son large siège, savourant tout autant son cognac à petites gorgées que son plaisir de Maître incontesté et adulé par toute Sa maisonnée et Son cheptel, rompt enfin le silence qui plane.

- Soumise Holly MDE, peux-tu me dire ce que tu tiens dans ta main et qui est le petit animal qui est à tes côtés. Il me semble ne pas l’avoir déjà vu au Château. Serait-ce une nouvelle chienne que tu m’amènes pour mon cheptel ?
- Mon Vénéré Maître, je tiens dans ma main la laisse de votre esclave-soumise Thaïs MDE qui espère pouvoir être présentée officiellement et accueillie ici par Vous dans Votre Noble demeure. Elle Vous prie par ma voix de l’autoriser à se jeter à Vos pieds et à baiser le sol que Vous foulez.

Le Châtelain laisse passer un long moment de silence avant de reprendre la parole, sachant très bien les émotions que tout cela suscite chez les deux soumises frémissantes qui se demandent si le silence du Maître n’est pas le signe manifeste d’une réponse négative, et qui s’interrogent forcément pour savoir ce qu’elles ont bien pu faire de mal pour déplaire à leur Dominant. Thaïs se demande si son cœur ne va pas défaillir car le mutisme de son Maître pèse sur elle plus lourd qu’un chargement de plusieurs tonnes dans la nuit de ses pensées. Que deviendrait-elle si le Marquis d’Evans décidait tout d’un coup de la renvoyer et de ne pas l’accepter à Ses pieds ? Elle a sacrifié toute sa vie pour Lui, lui a même cédé le fruit de plusieurs années de son travail, c’est à dire l’entreprise qu’elle a créé jour après jour laborieusement et qu’elle gérait, sa maison est occupée par celui qui a aussi pris possession de son siège de dirigeant dans ses bureaux pour un temps indéterminé, elle n’en a même plus les clefs qu’elle a remise sur l’ordre de son Maître dans la boite aux lettres en quittant Orléans. Elle n’a plus rien, ni papiers, ni argent, ni vêtements, ni liberté de mouvements, s’étant délesté de tout dans la plus grande confiance en celui qu’elle souhaite servir jusqu’à la fin de sa misérable vie. Le chaos à nouveau s’installe dans sa tête, lui faisant encore plus ressentir la douleur de la position à genoux qu’elle tient toujours mais presque tremblotante maintenant. Elle essaye de ne pas se laisser submerger par ses émotions qui envahissent ses yeux de larmes qu’elle ne peut retenir mais qu’elle cache en penchant la tête un peu plus. Elle se rend pourtant compte que c’est aussi cela qu’elle avait envie de vivre, ce moment où elle lâche prise et s’abandonne à ne plus vouloir, ni pouvoir, réfléchir et penser à son passé, son présent, son avenir, ne cherchant même plus à espérer, se laissant totalement guider et maitriser par Celui qui tient sa vie entre Ses mains. C’est à ce moment-là précisément, comme s’IL avait pu lire dans ses pensées, que le Châtelain ajoute :

- Ma soumise Thaïs MDE, je suis ravie de t’accueillir dans Mon Château ancestral et de pouvoir te retrouver à Mes pieds… Approche jusqu’à celui qui est ton Maître Vénéré, mais qui est aussi votre Maître à toute les deux...

D’un signe de la main, IL fait comprendre à Holly MDE qu’elle doit avancer jusqu’à lui, conduisant Thaïs MDE qui est encore dans la nuit de son bandeau et qui s’est concentrée pour savoir où était positionné son Maître en se référant au son de sa voix. Le Marquis d’Evans demande à Holly de se mettre à genoux juste à côté du fauteuil, lui précisant qu’elle peut même se mettre assise sur le côté si elle le souhaite, car ses pieds et ses jambes ont largement été mis à contribution. Holly ne se fait pas prier pour s’installer plus confortablement, son corps touchant la jambe de son Maître et sa tête reposant sur son genou, suivant une position que le Marquis à lui-même rectifié. Pour Holly, c’est un vrai moment de bonheur, pour la soumise qu’elle est, de se savoir concrètement et réellement aux pieds de son Vénéré Maître, prête à tout pour satisfaire le moindre de Ses désirs.

Thaïs pendant ce temps là, comprenant qu’elle doit se trouver juste devant son Maître Vénéré, s’incline profondément, jusqu’à toucher le sol de son front et de ses lèvres. Toutes ses inquiétudes ont disparues et elle sait qu’elle a enfin retrouvé sa place, la seule à laquelle elle a toujours aspiré, celle d’être physiquement aux pieds de son Maître. C’est un vrai plaisir cérébral qui s’empare d’elle, renforcé par le plaisir charnel qu’elle ressent à nouveau, prenant conscience qu’elle est toujours pénétré par deux godes, que ces zones sensibles sont dans un état d’excitation comme jamais, que ces mamelons serrés depuis des heures sont devenus très sensibles même si le serrage était loin d’être au maximum, mais surtout qu’elle imagine le plaisir de son Maître à la savoir à ses pieds qui la transcende et la met dans une extase plus forte que les fois précédentes où elle avait retrouvé le Marquis d’Evans dans divers endroits neutres. Elle comprend que là précisément, ce haut lieu, qui est la Propriété du Marquis d’Evans, est très chargé de symbolisme et que toute la mise en scène depuis son arrivée au château a été programmée pour la préparer à cet ultime instant qui lui semble presque magique et surnaturel. Le Noble attrape la lourde chaîne qui pend au cou de sa soumise Thaïs MDE, tire dessus un petit coup sec juste pour lui faire bien ressentir qu’IL l’a prise en mains et qu’IL ne la lâchera pas de sitôt. IL lui ôte le bandeau, pose sa main sous son menton pour la faire se redresser légèrement, et d’une voix très tendre ajoute :

- Ma belle chienne, bienvenue dans Ma Noble demeure et à Mes pieds. Ouvre tes beaux yeux bleus que je vois ton visage et que je puisse savoir s’ils rayonnent de la joie de te retrouver aux pieds de ton Maître Vénéré.

Thaïs obéit immédiatement, trop heureuse de pouvoir apercevoir et regarder son Maître dans les yeux, ne fussent que quelques secondes. Des larmes de cristal d’émotion sortent de ses yeux brillants qui viennent étinceler dans le sourire radieux qu’elle offre à son Dominant. Le Marquis d’Evans lâche le menton de la belle qui comprend aussi sec qu’elle doit à nouveau baisser les yeux et la tête, mais elle garde à jamais en mémoire la magie du moment merveilleux qu’elle vient de vivre.

- Levez-vous maintenant toutes les deux que je vous vois un peu évoluer. Chacune va enlever à l’autre l’un des vêtements ou accessoires qu’elle porte, l’une après l’autre, commençant par celui que vous voulez, à l’exception bien sûr de Vos colliers respectifs qui portent Mes Armoiries et qui montrent Votre appartenance et que d’ailleurs Vous ne pouvez retirer sans la clef que je détiens sur moi. Je vous regarde me faire ce déshabillé en tandem et je compte sur toute votre sensualité pour qu’elle s’exprime et me séduise. C’est toi qui débute Holly et tu n’as pas le choix, car tu dois commencer par ouvrir le cadenas qui enferme les mains de ta sœur, sinon elle ne pourra pas t’être d’une grande utilité pour que tu puisses te retrouver nue devant Moi.

Holly délivre donc les mains de sa sœur Thaïs qui apprécie largement d’être soulagée de cette première contrainte et de pouvoir ramener ses bras dans une position plus naturelle. Holly essaye du regard de faire comprendre à Thaïs que ce dont elle aimerait pouvoir à son tour être libéré le plus vite possible. Ce sont les escarpins sur lesquels elle ne tient plus, tant sa plante des pieds lui semble en feu. Thaïs a tout de suite saisi le signe de tête et le clin d’œil de Holly et elle s’empresse de se baisser pour la faire descendre d’un cran retirant délicatement les deux escarpins. Le Marquis qui a vu le manège entre les deux femelles s’empresse de rectifier le tir :

- N’oubliez pas que Votre Maître voit tout. J’avais dit un accessoire à la fois. Il me semble Thaïs que tu as pris deux escarpins en main. Tu auras donc un gage tout à l’heure. Quand à toi Holly, comme tu sembles avoir cherché à tricher et à influencer ta sœur pour qu’elle te libère de ton perchoir, tu mériterais que je te fasse remonter sur tes échasses, mais j’ai une bien meilleure idée, je pourrai te priver du droit de sucer ma queue, cela serait une très bonne punition plus pédagogique pour ta formation.

Holly a baissé la tête comprenant trop tard son erreur et sa faiblesse. Elle voudrait pouvoir se jeter aux pieds de son Maître pour implorer son pardon, mais pour ne pas le décevoir davantage et pour que la punition ne soit pas la privation de ce à quoi elle aspire si fort, elle continue en s’appliquant de son mieux, détachant maintenant la lourde chaine qui servait de laisse à Thaïs, qui à son tour défait l’une des pinces qui mordait le téton de Holly, passant la main dessus en même temps pour réduire l’élancement, car elle sait à quel point le reflux du sang dans la partie comprimée est d’autant plus douloureuse que les mamelons sont restés pincés pendant un long moment. Le jeu se poursuit sans autre incident notable jusqu’au moment où Thaïs n’a plus sur elle que la ceinture de chasteté munie des deux godes. Le Marquis d’Evans interrompt la partie d’effeuillage.

- Holly, Laisse, cela c’est à moi de le lui ôter et d’ailleurs tu n’en as pas la clef. A la place, tu vas aller chercher une cravache, tu en trouveras dans le tiroir de la commode ventrue Louis XV, juste à ta droite... Nous allons passer aux choses sérieuses …

(A suivre…..)

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