La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 447)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 447) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 447)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°432 -

Tandis que Monsieur le Marquis d’Evans agenouillé en « face-sitting » sur le visage de Sa chienne Thaïs MDE allongée à même le sol se fait lécher le cul allégrement par une petite langue docile et humide qui se faufile dans la raie anale, se plaisant à essayer de s’infiltrer dans la rondelle étroite pour procurer plus de sensations charnelles au Maître Vénéré, le Châtelain songe à la manière de sanctionner les erreurs commises dans les réponses fournies devant tous les collaborateurs par celle qui reste à jamais Son esclave-soumise, mais qui est devenue sur le plan professionnel Son associée, puisque la société de l’ancienne chef d’entreprise a été ravalée par la Holding financière du Noble Président Directeur Général. De temps en temps, le Maître se relève légèrement pour permettre à Sa chienne écrasée entre ses fesses, et presque étouffée, de reprendre un peu plus sa respiration, mais aussi pour savourer encore mieux le moment où à nouveau il laisse la langue obéissante de celle qui ne cherche qu’à lui apporter du plaisir charnel venir lécher son intimité la plus profonde et la plus sombre.

- Oui, Ma chienne en chaleur, fais bien la chienne, lèche ….. Apprécie à sa juste valeur la moindre chose que Le Maître daigne consentir à te laisser lécher de Son Auguste Personne. Je suis certain que tu mouilles déjà de désir.

Le Marquis d’Evans ajoute le geste à la parole, commençant à promener ses doigts dans l’entrecuisse de la soumise qui a les jambes écartées en V et dont la peau frissonne par ce simple contact sensuel qui ne fait qu’accroître le plaisir de celle qui a tout abandonné de sa vie d’avant pour venir trouver une petite place de soumise aux pieds du Maître Vénéré. Ses lèvres intimes se gonflent de désir et se tendent dans l’espoir d’une caresse plus profonde que le Châtelain se plait à différer laissant courir ses doigts sur le pubis glabre et la peau intérieure des cuisses, mais évitant volontairement de venir s’immiscer dans une chatte de plus en onctueuse qui se couvre de cyprine et laisse échapper de suaves odeurs corporelles de chienne en chaleur.

- C’est cela, Ma chienne, montre-moi que ta soumission et ta dévotion ne sont pas feintes depuis le début. Montre-moi que tu prends plus de plaisirs entre les mains du Maître à Lui apporter ce qu’IL exige, que tu n’en as eu précédemment à faire ce matin la catin des rues, prête à héler le premier passant venu pour te faire empaler et remplir le trou du cul de foutre par un vulgaire inconnu.

Thaïs MDE redouble de petits coups de langue de plus en plus sensuels et profonds pour essayer de satisfaire au mieux Le Maître, si triste au fond de son cœur de L’entendre lui reprocher encore la sodomie qu’elle a dû subir bien malgré elle, mais surtout si culpabilisée d’y avoir pris, à défaut d’avoir pu en jouir vraiment faute d’autorisation, au moins un réel plaisir à se faire enculer, geste accepté par pure obéissance et totale acceptation de tout ce qui lui est imposé par Le Dominant directement ou indirectement, car telle est sa condition d’esclave-soumise librement asservie. Elle voudrait tant pouvoir rentrer en grâce aux yeux de Monsieur le Marquis d’Evans qui n’arrête pas de lui reprocher ce qui s’est passé au sein de Ses propres bureaux tandis qu’elle attendait docilement à quatre pattes avec les yeux bandés et la bouche bâillonnée. Pourtant au fond d’elle, elle sait qu’elle n’est pas vraiment coupable, même si elle en ressent tout le poids de la honte et de la culpabilité, et encore plus qu’elle ne s’est pas comportée comme une catin qui interpelle les passants, ni par plaisir nymphomane, ni pour des raisons plus bassement mercantiles. L’esclave ignore tout de la mise en scène du Maître Vénéré qui pour l’heure n’a pas encore décidé de se dévoiler, et elle ignore donc le fait que c’est Lui qui le matin même est venu sans se faire reconnaître l’enculer et jouir en son fondement. Monsieur le Marquis d’Evans, qui cherche une fois de plus à tester celle qui est sous Son Joug, la pousse dans ses retranchements pour connaître ses pensées les plus intimes. IL se plait avec un petit sourire pervers, mais avant tout Dominant car IL connaît bien la Dévotion sans faille de celle qu’IL a prise à ses pieds, de voir les réactions de Sa chienne lorsqu’IL lui rappelle volontairement qu’elle s’est laissée saillir et sodomiser, voulant bien moins l’humilier et la culpabiliser que la forcer à réfléchir sur la nature du plaisir qu’elle a ressenti, qui pouvait être purement physique ou à l’inverse totalement D/s dans la pure abnégation de celle qui est prête à tout accepter du Maître en confiance, car elle ne vit plus dorénavant, pour son plus grand bonheur d’esclave-soumise, qu’à travers Ses plaisirs et Ses exigences de Dominant.

Le Marquis d’Evans attrape sur le bureau un œuf vibrant de taille conséquente qu’il entre en forçant dans la chatte soyeuse de Sa chienne en chaleur et qu’il règle sur la puissance maximale. Thaïs MDE a un soubresaut de surprise lorsqu’elle ressent les premières vibrations venir mettre un peu plus d’excitation dans son bas-ventre, se demandant bien comment elle va pouvoir retenir sa jouissance, tant elle se sent déjà prête à basculer sur la crête des plaisirs de l’orgasme, alors même que Le Maître ne l’a caressé que de loin titillant du bout des doigts son entrecuisse et se promenant sur le pubis épilé proéminant, sans jamais pénétrer plus profondément entre ses deux lèvres humides à la recherche d’un petit bouton de roses qui ne demanderait pourtant qu’à éclore. Mais elle ressent un tel désir sexuel et charnel d’avoir pu longuement lécher le petit trou du Maître Vénéré pour lequel elle a tant d’affection au-delà de sa soumission, que ces préliminaires sensuels ont déjà été suffisants pour la mettre en émoi. Le Dominant se lève et se tient droit, toisant celle qui est toujours allongée à même le sol entre ses jambes. Thaïs MDE constate l’effet de ses caresses buccales anales en apercevant le phallus gonflé du Maître qui est redressé, pointant vers le haut tel une épée prête à pourfendre le ciel.

- A genoux, Ma chienne. Exécution ! A mes pieds, là où est ta vraie place, ne l’oublie jamais …… Je veux encore imaginer que ce matin, lorsqu’un inconnu est venu t’enculer et te laisser son sperme en cadeau de départ, au fond de toi, tu souhaitais que ce soit Le Maître Vénéré qui prenne possession de Sa chose, Sa chienne, que ce soit le Seul qui puisse user et abuser de toi comme IL lui plait.

Thaïs MDE n’ose pas répondre car elle sait que Le Maître ne l’a pas autorisé à parler et de plus elle se rend compte qu’IL faisait une réflexion sans lui poser vraiment une question précise, ce qui donc fait que la réponse, fut-elle d’approbation pleine et entière ne s’impose pas. Mais pour tenter de Lui montrer à quel point elle approuve les paroles du Maître Vénéré, en se redressant et avant de s’installer à genoux aux pieds du Marquis d’Evans, elle dépose deux humbles baisers sur les pieds de ce dernier. Elle se met ensuite dans la position exigée par Le Maître, croisant les mains dans le dos, faute d’autres précisions, et baisse la tête en signe de profond respect et de soumission totale.

Très heureux d’avoir à Ses pieds Sa chienne dévouée qui vient de lui lécher savoureusement le cul, Le Marquis d’Evans est très excité, il relève très légèrement le menton de celle qui garde le regard baissé. De sa queue raide et dure, il donne de grands coups sur le visage et les joues de Sa soumise qui esquisse un large sourire d’être ainsi souffletée par la puissante verge droite du Maître, appréciant ce geste Dominant avec autant de plaisirs que celui que doit éprouver en même temps le Marquis d’Evans, mâle phallique qui fait montre de sa virilité. Quelques gouttes de liquide pré-séminal perlent du gland turgescent signe de l’excitation grandissante de celui qui se sert de sa queue comme d’une baguette de tambour sur les joues qui rougissent avec la rapidité et la force des petits coups phalliques qui s’enchaînent. L’œuf vibrant faisant son effet au sein du vagin de l’esclave-soumise, Thaïs MDE a bien du mal à contenir le plaisir grandissant qui lui dévore le bas-ventre. Elle sent sa cyprine qui s’écoule de sa chatte béante et commence à se répandre le long de ses cuisses imaginant sans grand mal qu’elle va avoir laissé une encore plus grande trace humide au sol, ce que ne manquera pas de lui reprocher le Marquis d’Evans lorsqu’il s’en apercevra. Elle serre ses lèvres entre ses dents pour ne pas laisser l’orgasme l’envahir, ce qui lui vaudrait une punition encore plus importante, et entreprend par de longues respirations profondes de faire retomber la montée du plaisir qui la submerge au-delà des vibrations physiques, et ce d’autant plus qu’elle est en présence du Maître Vénéré en personne, Celui à qui elle a voué sa vie dorénavant et qui d’un seul regard Dominant et pénétrant peut fait battre son cœur à 1000 à l’heure et frissonner son corps tout entier.

D’un seul coup, l’œuf vibrant s’arrête net, en même temps le Maître se recule, la queue toujours droite et tendue. Thaïs MDE panique presque se demandant ce qu’elle a pu faire de mal pour mécontenter le Maître Vénéré qui montrait pourtant un réel plaisir d’homme à s’amuser avec Son jouet, prête à tout subir entre Ses mains.

- Ma chienne, tu n’en auras pas plus pour l’instant. N’oublie pas que je ne suis pas là à ta disposition pour t’offrir du plaisir quand ton corps le réclame ! Tu dois aussi apprendre à contrôler ta jouissance, et ce pour deux raisons. La première, c’est d’abord pour Me satisfaire et répondre à Mes exigences de contrôle total sur tes plaisirs qui ne peuvent être que lorsque je les autorise. Et la deuxième, parce qu’avec un peu plus d’apprentissage, ce contrôle te permettra d’aller plus loin dans la maîtrise de ta sensualité et de ta sexualité que je désire t’inculquer. Un corps frustré et rempli de désirs sensuels, une soumise en manque de jouissance, une esclave qui n’est plus qu’obéissance et non poussée par ses besoins primaires, voilà ce que je veux obtenir, une chienne en chaleur, en demande, mais Ma chienne avant tout, celle qui sait attendre Mon ordre et Mon autorisation pour bénéficier d’un orgasme sur commande.

Thaïs MDE écoute attentivement la parole du Maître, se demandant si elle arrivera un jour à avoir la capacité et le contrôle physique que Le Dominant exige d’elle. Elle en vient presque à jalouser d’une certaine manière ses frères de soumission qui pouvant porter une cage de chasteté se voient contraints dans leur bandaison sans risque de pouvoir éjaculer, alors même qu’elle n’a pas de moyen d’avoir une grande emprise sur l’humidité qui coule de son bas-ventre très souvent. Mais elle sait aussi qu’elle apprécie sa féminité avec tout ce que cela lui apporte de sensualité et de sensibilité. Elle reste donc sans bouger la tête basse attendant les ordres du Maître Vénéré, pas mécontente après tout que le feu qui lui tiraillait le bas-ventre avec l’œuf vibrant se soit un peu calmé lorsque Le Châtelain a éteint l’appareil avec sa télécommande. Elle serre les fesses et les cuisses pour éviter que la cyprine ne continue de couler, un geste qui ne passe pas inaperçu aux yeux aguerris du Dominant, qui aussi sec d’un coup de pied force son esclave à ouvrir grand les jambes tout en devant rester à genoux, les mains dans le dos.

- Tu es Ma chienne, n’est-ce pas ? Réponds-moi !
- Oui, Maître Vénéré, je suis Votre petite chienne le plus dévouée possible.
- Alors maintenant tu vas être Ma poule ! Oui, c’est cela Ma poule … J’ai bien dit !

Thaïs MDE ne comprend pas exactement ce que veut dire Monsieur le Marquis d’Evans à ce moment là, d’autant plus qu’IL ne l’a jamais appelé ainsi, et que ce mot lui évoque plutôt avec un côté argotique l’idée d’une maitresse, d’une amante, d’une compagne, ce qui ne correspond pas à son statut d’esclave-soumise au sein du Cheptel. Mais depuis le début, avant même d’être baptisée par Le Maître et d’être autorisée à porter les Nobles initiales MDE, la novice en devenir de soumise lui a toujours dit qu’IL pouvait et pourrait la nommer comme IL le voulait, car elle désirait avant tout être ce qu’IL voulait qu’elle soit pour Lui, ne trouvant pas plus honteux ou désobligeant d’être Sa propriété, Sa chose, Sa chienne en chaleur, Sa chienne dévouée, Sa salope que Sa soumise ou Son esclave, car tout cela elle l’avait désiré ardemment … alors pourquoi ne pas être aussi Sa poule si tel était le désir du Maître Vénéré.

Dans sa tête, un petit air en sourdine lui vient à l’esprit d’une vieille chanson écrite par Félix Mayol, cet artiste Toulonnais du début du XXème siècle, qui avait lancé dans sa troupe des artistes méridionaux devenus célèbres par la suite tels que Raimu, Valentin Sardou, Maurice Chevalier et qui est lui-même devenu riche et célèbre avec l’écriture de la chanson « Viens Poupoule » reprise par la suite par Maurice Chevalier. Toute sa petite enfance, vécue sur les bords de la Grande Bleue qui vient baigner la rade de Toulon, ressurgi en un éclair et elle ne peut détacher son esprit de ces quelques notes et paroles « … Viens poupoule, viens, quand j'entends des chansons, ça me rend tout polisson ! Viens poupoule, Viens poupoule, viens ! Tu sais bien que c’est comme cela que je suis devenu papa ! Viens poupoule, Viens poupoule, viens ! …». Pour autant elle se doute, que Le Maître Vénéré ne doit certainement pas voir les choses ainsi, en tout cas pas comme « ce petit ouvrier parisien » de ladite chanson qui « le samedi soir après le turbin s’envoyait en l’air avec sa poupoule à lui ». Reste même à savoir même si Monsieur le Marquis d’Evans, dont le Château Ancestral se trouve aux confins du Beaujolais, connaît cet air très ancien dont seuls les varois fredonnent encore le refrain avec leur petit accent chantant du midi. Et ceci d’autant plus, que quelques instants plus tôt, il vient de lui dire qu’elle n’en aurait pas plus et qu’IL s’est retiré après avoir pris soin d’essuyer sa queue sur ses cheveux avant de se rhabiller avec la ferme intention de ne pas la baiser malgré ses envies de mâle bandant.

- Cela à l’air de te faire sourire que je t’appelle Ma poule au lieu de Ma chienne ! Je peux supposer que tu sais tout comme moi ce que font les poules en général. …. Elles pondent des œufs !!! ….. J’exige maintenant que tu me rendes l’œuf qui est en ton bas-ventre….. C’est cela, tu vas le pondre comme le ferait une poule ….. Pousse sur les muscles intérieurs de ton vagin et laisse-le sortir de ton intimité. Comme tu es plus que poisseuse, je pense qu’il va glisser tout seul…

Thaïs MDE est interloquée de la demande du Maître qu’il a pris le temps d’expliciter avec entre temps des pauses qui ont pesé lourd sur les pensées en émoi de la soumise, qui est d’autant plus troublée qu’elle se rend compte à quel point elle s’était fourvoyée en se laissant entraîner très vite par une petite chanson, et ses envies inconscientes ou non de se faire baiser et aimer à la rustre comme une « poule » par son amant. Elle aurait mieux fait de songer à cette autre comptine pour enfants « Une poule sur un mur qui picore du pain dur, picoti, picota, pond un œuf et puis s'en va … ». Elle se rappelle qu’à l’intromission, vu la taille de l’œuf vibrant, le Maître avait dû forcer pour le faire entrer, et elle s’imagine mal comment avec des muscles dont elle ne connaît pas bien les commandes elle va arriver à le faire sortir tout seul, n’ayant jamais encore fait cela ainsi, sans tirer tout bêtement sur le fil lorsqu’elle se masturbait en solitaire avant de devenir soumise ou par la suite sur ordre du Maître, avec un objet ovoïde de taille moindre de plus. Le Marquis d’Evans d’un ton qui s’est un peu durci, voyant que son ordre n’a pas été immédiatement suivi d’effet, s’exclame :

- Bon, cela vient cet œuf ! … tu ne t’imagines tout de même pas que je vais passer ma journée ici à te regarder essayer de pondre ? Déjà que je vais perdre une partie de mon précieux temps pour la punition méritée sur laquelle j’ai eu le temps de réfléchir et que je vais imposer à l’ex-chef d’entreprise qui a été incapable de répondre correctement aux questions qui lui étaient posées par Mes proches collaborateurs, ce qui m’a fortement courroucé à chaque fois, tandis que le gong qui a retenti à moult reprises venait en plus m’échauffer les oreilles, et tout cela sans parler de la déception que j’ai eu de constater ton manque de compétences professionnelles dont je n’avais pas encore pris pleinement conscience.

Essayant de ne pas trop prêter attention pour l’instant aux derniers propos du Maître pour ne pas se déconcentrer, la « poule » Thaïs MDE se contorsionne dans tous les sens au niveau du ventre, essayant de voir comment elle peut agir sur ses muscles internes pour évacuer l’œuf éteint qui lui emplit le vagin. Elle se dit que les sages-femmes précisent toujours aux femmes qui accouchent qu’elles doivent se contracter et pousser pour aider le bébé à sortir, et s’imaginant donc en train de mettre au monde un nouveau-né bien plus que se voyant sous les traits d’une poule pondeuse, elle force tous les muscles de son ventre et de son bas-ventre pour expulser l’œuf de plastique inerte qui fait un bruit lorsqu’il tombe par terre, suivant presque aussi sec d’un bruit sourd comme si son vagin se refermait tel un clapet, laissant couler en même temps que l’œuf une masse de cyprine et d’éjaculat retenu à l’intérieur.

- Et bien voilà, ce n’était pas si dur pour Ma chienne de faire la poule … Il faudra que tu entraines tes muscles internes, c’est très bon pour l’élasticité de ton vagin et pour les sensations que tu peux procurer à Ma Queue lorsque je consens à daigner te pénétrer et qui n’apprécie pas de se trouver à flotter dans le vide d’une caverne humide flasque ou trop élargie. Certes, une chatte humide et bien lubrifiée est onctueuse à souhait, mais Ma verge d’Homme n’est pas là pour venir prendre un bain mais bien pour rentrer Ma Divine Queue dans un fourreau relativement ferme et étroit qui sollicite par un contact onctueux chaque partie sensible et érogène de Mon Noble attribut phallique, depuis le gland jusqu’à la base, en passant par toute la longueur de la hampe…

L’esclave Thaïs MDE qui vient de pondre un œuf pour la première fois de sa vie n’est pas mécontente de sa prestation obtenue aux termes d’efforts musculaires désorganisés, surtout que le ton du Maître s’est adouci, mais comme elle garde la tête baissée avec les yeux regardant vers le sol, elle ne peut s’empêcher de voir la tâche qu’elle a fait sur la moquette et l’auréole qui s’est formé autour de l’œuf vibrant souillé de cyprine gisant sur le sol. Mais en même temps, elle commence à repenser aux dernières paroles du Maître lorsqu’IL a parlé de la punition qu’il se devait d’infliger à celle qui n’a pas su être à la hauteur de Ses attentes et de Ses espérances pendant toute la durée de la réunion de travail. Mais comment pouvait-elle songer qu’elle serait interrogée et « mise sur le grill » comme une simple étudiante qui est entrain de subir un examen de passage ou de soutenir une thèse devant une assemblée de collaborateurs. Thaïs MDE a d’ailleurs bien plus de mal à accepter les paroles du Dominant lorsqu’il fait référence à ses incapacités professionnelles, preuve que son égo de femme d’affaires n’est pas encore totalement sous contrôle du Maître, et PDG-Associé de surcroît, alors que son esprit et son âme de soumise et de femme sont toutes entières entre les mains du Dominant, quelque soit ce que ce dernier exige de Sa chienne-femelle obéissante. Thaïs MDE se dit qu’elle doit arriver à faire fi de sa vie d’avant si elle veut devenir une bonne esclave-soumise aux pieds du Maître, et ne s’en tenir qu’au seul jugement du Maître Vénéré et à Ses exigences à satisfaire en tous points. Si elle n’a pas été à la hauteur ce matin, elle ne pourra que chercher à s’améliorer pour satisfaire autant Le Dominant D/s que le Président Directeur Général exigeant et ferme, tant dans sa vie de Maître D/s que dans sa vie d’Homme d’Affaires, mais également compréhensif et juste, ce qu’elle reconnaît parfaitement. C’est donc dans une grande confiance qu’elle attend de connaître la sanction que Le Châtelain va lui infliger pour sa prestation imparfaite.

- Debout, Thaïs MDE ! J’ai dit !

(A suivre …)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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