La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 517)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 517)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°484 -
Le Marquis d’Evans s’éloigne, laissant derrière lui Maître kuaizi, qui est en train de retirer toutes les baguettes chinoises qu’il avait fixées sur le corps de sa soumise iziauk, et en particulier sur les zones sensibles et érogènes, bien décidé à pouvoir par la suite s’octroyer un petit temps de plaisirs sensuels pour baiser sa compagne humide et excitée à souhait. Le Dominant appelle l’esclave-femelle N°3MDE qui a été mise à sa disposition pour la soirée et qui lui a servi, en début de soirée, de cobaye pour diverses démonstrations de bondage. Il la regarde avec une certaine fierté de voir la marque temporaire sur son corps des différents nœuds et liens qui sont venus s’incruster légèrement sur sa peau, lui faisant des dessins en légères incrustations aux formes caractéristiques avec de petites hachures qui correspondent aux différents brins torsadés pour constituer la corde qui a servi aux attaches.
Le bondage se doit toujours d’être suffisamment solide surtout lorsqu’il s’agit d’une figure en suspension, pouvant marquer la peau par un serrage adapté mais sans jamais provoquer de pincement ni de garrot qui empêcherait la circulation du sang et pourrait provoquer des accidents ou lésions irréversibles. Maître kuaizi est passé « Grand Maître » dans cet Art ancestral chez les asiatiques, qu’il pratique pour sa part depuis des années avec sérieux et expérience. Il consacre beaucoup de son temps à essayer de transmettre ses connaissances en la matière à des Maîtres BDSM désireux de se lancer dans cette technique en les responsabilisant et les sensibilisant sur les risques lorsqu’on se prend à vouloir immobiliser une personne de quelque manière que ce soit, qui devient de fait totalement vulnérable, et vis-à-vis de laquelle, il est impératif de prendre toutes les précautions pour éviter tout danger, malaise et mal-être. Il est d’ailleurs toujours très inquiet de voir des jeunes novices attirés par ces techniques à la mode, encore peu qualifiés et bien trop inconscients lorsqu’ils sont prêts à se lancer à saucissonner une soumise fragile après avoir vu seulement quelques dessins ou photos qu’ils voudraient pouvoir reproduire sans passer par la phase incontournable de l’apprentissage.
Maître kuaizi charge l’esclave-femelle N°3MDE de recueillir toutes les baguettes, plus ou moins souillées pour certaines, qu’il vient de retirer de l’anus, de la poitrine et du bas-ventre de sa soumise. Il détache délicatement isiauk un peu engourdie par l’immobilité durant toute cette épreuve, afin de pouvoir la recueillir dans ses bras, si fier de celle qui lui permet de vivre ses pratiques D/s jusqu’au bout. Parallèlement, le Dominant ordonne à l’esclave MDE de veiller à bien nettoyer et sécher consciencieusement toutes les baguettes chinoises en plastique dont il s’est servi, même si elles sont pour des raisons d’hygiène à usage exclusif de celle qui partage ses jours et ses nuits, ses désirs et ses passions D/s.
Le Marquis d’Evans quitte la salle à manger qui tient encore lieu de piste de danse pour certains, mais qui, au son de la musique de l’orchestre qui se fait de plus en plus langoureuse tandis que les heures défilent, est devenu plutôt un lupanar orgiaque pour beaucoup d’autres encore présents dans la pièce. Le Châtelain rejoint le grand Hall de Réception transformé en donjon D/s pour la soirée anniversaire, encore que ce sont moins les bruits des fouets qui se font entendre à cette heure tardive que les râles de délices qui persistent encore et encore, même si Dominant(e)s et dominé(e)s ont déjà eu le comptant de bonheurs jouissifs partagés au fil des heures. Mais une telle nuitée est si exceptionnelle que presque personne ne cherche à rejoindre les chambres mises à la disposition des invités, voulant profiter au maximum d’une si belle occasion de pouvoir se livrer sans retenue à ces plaisirs D/s et à tant de concupiscence, dans une communauté où tous les vices sont permis du moment qu’ils sont consensuels, respectueux de C/chacun(e) et accomplis dans les règles de cet Art de vivre qu’est la D/s.
Le Maître des Lieux aperçoit un groupe de personnes qui ne manque pas de Le surprendre car il règne tout autour un silence absolu qui, s’il n’a rien de macabre dans un tel contexte de lubricité, n’en est pas moins surprenant. Il décide de s’approcher et distingue 5 Dominants de ses amis, disposés en cercle avec au centre un groupe de soumises regroupées. Derrière chaque Dominant se tient l’esclave mâle ou femelle que chacun a tiré au sort pour la soirée. Ils ont été chargés de faire « tourner le manège », car telle est bien la métaphore, puisque les 5 Dominants qui ont les yeux bandés sont positionnés à chaque étape devant l’une des dominées, agenouillée au centre du cercle. Le Marquis d’Evans ouvre grand les yeux, attiré par l’étrangeté du divertissement, étonné de voir les Dominants portant un bandeau et privés de la vue, réduits à être presque « manipulés » de place en place par Ses propres esclaves MDE, ce qui lui semble un comble dans la logique D/s, sauf à savoir que dans certains jeux ce qui prime sur la préséance reste le plaisir que C/chacun peut en retirer. En s’approchant, Le Noble s’aperçoit que les yeux des dominé(e)s au centre sont également couverts de ce même épais tissu noir qui les rend totalement aveugles, et qu’il s’agit donc d’un double jeu de devinette récréative qui s’est mis en place pour des félicités partagées. Les braguettes de chaque Mâle sont en effet ouvertes, les boxers baissés laissant surgir 5 imposantes verges érigées qui passent de bouche en bouche.
Les 5 soumises ont été concentrées sur un petit espace en plein centre, les pieds imbriqués presque les uns sur les autres. Elles sont agenouillées, obligées de se tenir le dos bien droit sans pouvoir reposer sur les talons, leurs mains sont posées à plat sur le sol, bras tendus collés de chaque côté de leur corps. Aucune d’entre elles n’aurait eu l’idée de bouger pendant le jeu auquel elles sont astreintes, mais pour ajouter à la mise en scène, les dominées ont été bondagées, entrelacées entre elles, par plusieurs cordages de couleurs qui sont venus faire comme une chaîne multiple de 8 autour de leurs corps, passant respectivement sur le devant de l’une et le dos de la suivante, mais en inversant le sens au passage suivant puisqu’elles sont en nombre impair, et ainsi de suite. Pour solidariser l’ensemble, une autre longue corde a été enroulée au niveau de la taille, tout autour de l’ensemble des 5 soumises, et ce sur plusieurs circonférences. Le but est avant tout de les empêcher de pouvoir bouger les bras et le buste, et donc de faire usage des mains et des doigts pour identifier celui qui se tiendrait devant chacune. Mais, par-delà ce qui aurait très bien pu être remplacé par une simple consigne qui aurait été respectée par toutes ces soumises obéissantes, il était venu à l’idée des Dominants de les lier les unes aux autres dans un entrelacs sensuel qui ne pouvait qu’accroître l’excitation de la partie qui allait suivre. Vu du plafond, la rosace ainsi réalisée à 5 pétales de femelles, garnis de boucles de cordes colorées qui serpentent sur leur corps, ne peut que ressembler à un « chef-d’œuvre » de Maître en Art, tout autant que Maître D/s bien évidemment.
C’est dans un deuxième temps, sur proposition de l’un d’entre eux, que les Dominants ont décidé eux aussi d’avoir le droit de jouer au lieu de rester dans un divertissement plus passif, même s’il n’avait rien de déplaisant de se faire lécher et prendre en bouche par leur attribut viril. Ils ont fait entre eux le pari que chacun saurait reconnaître, sans la moindre erreur la fellation qui serait exécutée par sa soumise personnelle. Parce que la nature est ainsi faite chez les êtres sexués, ils avaient dû écarter deux invitées qui n’avaient pu se joindre au groupe, car il leur semblait que le plastique du gode-ceinture de la Domina qui souhaitait être de la fête serait trop facilement repérable. C’est donc dépitées que « La Seignora Bella » et sa compagne switch « Blue-blue » étaient allées faire une partie de jambes en l’air à quatre sur un sofa voisin, chacune suivie des deux esclaves mâles MDE qu’elles avaient tirés au sort, qui allaient être autorisés à se délecter de deux minous humides, tandis que les deux femmes pourraient gouignasser goulument.
Le jeu était conçu de telle manière que personne ne savait qui se trouvait en face de qui, car les esclaves chargés des déplacements avaient pris soin de bien mélanger les Dominants en leur faisant perdre tout repère spatial avant de les positionner pour la première fellation. 3 minutes étaient consacrées à chaque soumise, un « speed-dating » d’un autre genre, au terme duquel chacune devait baisser la tête si elle avait cru reconnaître le phallus du Maître auquel elle appartenait et la garder levée dans le cas contraire. Les Dominants qui se devait de rester silencieux eux aussi pour ne pas être repéré par la voix devait lever le pouce s’ils pensaient s’être fait sucer voluptueusement par leur soumise et mettre le pouce sur le côté s’ils pensaient avoir eu l’honneur de prendre possession d’une autre bouche inconnue. Pour ne pas perturber le déroulement du test buccal ludique, aucun résultat ne devait être annoncé avant la fin du « Tournez manège » qui ne ressemblait en rien au jeu télévisé matrimonial qui avait envahi tous les midis dans les années 80 nos écrans de télévision, inspiré d’une émission américaine « The Dating Game ».
Les Dominants avaient imposé, pour qu’aucun ne perde la face vis-à-vis des autres en présence de leur soumise, qu’eux seuls seraient au courant de leurs propres résultats, furent-ils positifs ou négatifs. Si le pari fait entre les 5 hommes se voulait avant tout plaisant et convivial, le jeu pour les 5 soumises avait plus l’allure d’une épreuve qui serait assortie de sanctions punitives en cas de défaillance de leur part. Aucune d’entre elles n’avait relevé le côté presque « injuste » et machiste des règles du jeu puisque seules les femelles seraient punies à la fin de la 5ème fellation ; toutes étaient bien trop excitées à l’idée de pouvoir se délecter de verges gonflées, bien qu’un peu inquiètes ne sachant pas si elles seraient capables de déterminer la bonne dans le tas. Un étalonnage précis de nombre de coups de cravache avait été décidé pour distinguer celle qui ne ferait aucune erreur qui serait alors épargnée et félicitée pour ses capacités, 10 coups pour celle qui en ferait une par méprise (ce cas de figure ne pouvant arriver que si la soumise avait répondu deux fois oui, hésitant entre deux queues), 10+10 coups pour celle qui en ferait une par abstention (en répondant toujours non sans avoir jamais pu reconnaître le sexe du Maître) et au final 10+20 coups pour celle qui en ferait deux (en n’ayant pas su reconnaître et désigner le bon partenaire, tout en choisissant un autre à la place, ce qui rendait la faute encore plus inadmissible). Aucun des Dominants n’avaient pu imaginer que celle dont ils envahissaient si souvent la bouche pour la forcer ne pourrait se tromper 3 fois ou plus sur un lot réduit de 5 vits offerts à la « dégustation en aveugle », se sachant tous unique en leur genre de par leur forme, leur taille, leur odeur.
Monsieur le Marquis d’Evans s’approche silencieusement pour regarder la fin du jeu, ayant vite compris même sans que personne ne lui explique que chacun devait faire un tour complet des bouches à assaillir. Il imagine assez bien les règles du jeu, apercevant qu’après chaque test, les esclaves MDE notent sur un petit papier le résultat de chaque soumise qui se remplit de O (réponse « oui » de la dominée, tête baissée), de I (réponse « non » de la dominée, tête levée), la lettre étant soulignée dans le cas d’une bonne réponse, barrée en croix dans le cas d’une mauvaise réponse. Il reste silencieux pour se délecter des deux derniers tours de piste, appréciant de voir les visages masqués des Dominants qui se pâment en silence et les bouches voluptueuses des dominées qui s’affairent de la langue et des lèvres pour découvrir la bonne queue à sucer et à avaler pour la voir vibrer, se tendre et se redresser encore plus. C’est au moment où l’esclave MDE annonce que le temps est imparti pour la dernière prestation des suceuses-femelles que le Châtelain s’avance pour intervenir après avoir taper dans ses mains, un bravo qui est repris aussitôt par les autres spectateurs restés silencieux tout autour en attendant le verdict.
Chaque esclave MDE annonce discrètement à l’oreille du Dominant auquel ils ont été affecté son résultat personnel tout en lui défaisant son bandeau noir. Certains visages s’illuminent plus que d’autres qui reconnaissent avoir perdu leur pari et fait le mauvais choix de soumise. Mais le but de l’attraction, qui n’était pas une simple léchouille rotative, se devait aussi d’être D/s et éducative, afin de pouvoir juger des capacités de chaque femelle à savoir distinguer le bon phallus, celui qu’elle se devait d’honorer avant tout. Trois des Dominants s’approche de leur dominées dont il baisse la tête tout en leur caressant le visage, leur faisant comprendre qu’elles ont réussi l’épreuve sans faillir. Un autre des Dominants s’approche à son tour de sa jeune chienne-soumise.
- Je ne peux pas dire que je suis fier de toi, mais je vais rester magnanime, car si ta première réponse était erronée, la deuxième était la bonne. Je me doute que l’épreuve ne devait pas être facile pour toi, car nous avons eu ensemble peu de rencontres en réel, très isolées car j’ai peu de disponibilités à te consacrer. Je suis certain que chacune des minutes de nos cinq rencontres passées sont présentes dans ta mémoire, mais je peux admettre que ton souvenir soit plus diffus quant à la particularité de mon anatomie physique que tu n’as pu appréciée aussi souvent que toi et moi le voudrions. Cependant, il n’est pas question de t’exonérer de la sanction qui t’attend et des 20 coups de cravache qui te permettront de graver encore plus la forme de mon pénis dans ta bouche.
Le Dominant qui n’avait pas encore refermé sa braguette, extirpe à nouveau le sexe qu’il venait de ranger et le fourre sans attendre dans la bouche de la soumise fautive.
- Voilà de quoi te rafraîchir la mémoire !
Lui laissant peu le temps de se mettre à lécher le gland et la hampe du sexe qui très rapidement reprend du volume, le Dominant la fourre jusqu’au fond de la gorge, lui tenant les cheveux pour imprimer le rythme qu’il impose et l’empêcher de se retirer sauf quand lui-même se recule pour lui permettre de reprendre sa respiration. A grands coups de butoir assénés à la cosaque, il la baise de la bouche sans ménagement, ne cherchant rien de plus que son propre plaisir qu’il pourra prendre en éjaculant et en déversant dans la gorge ouverte sa semence tiède et épaisse.
Pendant le même temps, le cinquième Dominant très en colère s’approche de sa soumise qui avait baissé la tête au dernier tour à tort, lui relève le menton en lui assénant une bonne gifle.
- Tu aurais mieux fait de t’abstenir plutôt que de me confondre avec un autre et de me faire affront en public. Nous réglerons cela à la maison, car 30 coups de cravache vont peut-être suffire à distraire mes amis ici présents, mais ils ne seront pas suffisants pour me faire oublier que tu es bien peu digne de mériter à nouveau ma queue que tu ne sais même pas reconnaître lorsque tu as l’honneur de pouvoir en profiter…
(A suivre…)
Le Marquis d’Evans s’éloigne, laissant derrière lui Maître kuaizi, qui est en train de retirer toutes les baguettes chinoises qu’il avait fixées sur le corps de sa soumise iziauk, et en particulier sur les zones sensibles et érogènes, bien décidé à pouvoir par la suite s’octroyer un petit temps de plaisirs sensuels pour baiser sa compagne humide et excitée à souhait. Le Dominant appelle l’esclave-femelle N°3MDE qui a été mise à sa disposition pour la soirée et qui lui a servi, en début de soirée, de cobaye pour diverses démonstrations de bondage. Il la regarde avec une certaine fierté de voir la marque temporaire sur son corps des différents nœuds et liens qui sont venus s’incruster légèrement sur sa peau, lui faisant des dessins en légères incrustations aux formes caractéristiques avec de petites hachures qui correspondent aux différents brins torsadés pour constituer la corde qui a servi aux attaches.
Le bondage se doit toujours d’être suffisamment solide surtout lorsqu’il s’agit d’une figure en suspension, pouvant marquer la peau par un serrage adapté mais sans jamais provoquer de pincement ni de garrot qui empêcherait la circulation du sang et pourrait provoquer des accidents ou lésions irréversibles. Maître kuaizi est passé « Grand Maître » dans cet Art ancestral chez les asiatiques, qu’il pratique pour sa part depuis des années avec sérieux et expérience. Il consacre beaucoup de son temps à essayer de transmettre ses connaissances en la matière à des Maîtres BDSM désireux de se lancer dans cette technique en les responsabilisant et les sensibilisant sur les risques lorsqu’on se prend à vouloir immobiliser une personne de quelque manière que ce soit, qui devient de fait totalement vulnérable, et vis-à-vis de laquelle, il est impératif de prendre toutes les précautions pour éviter tout danger, malaise et mal-être. Il est d’ailleurs toujours très inquiet de voir des jeunes novices attirés par ces techniques à la mode, encore peu qualifiés et bien trop inconscients lorsqu’ils sont prêts à se lancer à saucissonner une soumise fragile après avoir vu seulement quelques dessins ou photos qu’ils voudraient pouvoir reproduire sans passer par la phase incontournable de l’apprentissage.
Maître kuaizi charge l’esclave-femelle N°3MDE de recueillir toutes les baguettes, plus ou moins souillées pour certaines, qu’il vient de retirer de l’anus, de la poitrine et du bas-ventre de sa soumise. Il détache délicatement isiauk un peu engourdie par l’immobilité durant toute cette épreuve, afin de pouvoir la recueillir dans ses bras, si fier de celle qui lui permet de vivre ses pratiques D/s jusqu’au bout. Parallèlement, le Dominant ordonne à l’esclave MDE de veiller à bien nettoyer et sécher consciencieusement toutes les baguettes chinoises en plastique dont il s’est servi, même si elles sont pour des raisons d’hygiène à usage exclusif de celle qui partage ses jours et ses nuits, ses désirs et ses passions D/s.
Le Marquis d’Evans quitte la salle à manger qui tient encore lieu de piste de danse pour certains, mais qui, au son de la musique de l’orchestre qui se fait de plus en plus langoureuse tandis que les heures défilent, est devenu plutôt un lupanar orgiaque pour beaucoup d’autres encore présents dans la pièce. Le Châtelain rejoint le grand Hall de Réception transformé en donjon D/s pour la soirée anniversaire, encore que ce sont moins les bruits des fouets qui se font entendre à cette heure tardive que les râles de délices qui persistent encore et encore, même si Dominant(e)s et dominé(e)s ont déjà eu le comptant de bonheurs jouissifs partagés au fil des heures. Mais une telle nuitée est si exceptionnelle que presque personne ne cherche à rejoindre les chambres mises à la disposition des invités, voulant profiter au maximum d’une si belle occasion de pouvoir se livrer sans retenue à ces plaisirs D/s et à tant de concupiscence, dans une communauté où tous les vices sont permis du moment qu’ils sont consensuels, respectueux de C/chacun(e) et accomplis dans les règles de cet Art de vivre qu’est la D/s.
Le Maître des Lieux aperçoit un groupe de personnes qui ne manque pas de Le surprendre car il règne tout autour un silence absolu qui, s’il n’a rien de macabre dans un tel contexte de lubricité, n’en est pas moins surprenant. Il décide de s’approcher et distingue 5 Dominants de ses amis, disposés en cercle avec au centre un groupe de soumises regroupées. Derrière chaque Dominant se tient l’esclave mâle ou femelle que chacun a tiré au sort pour la soirée. Ils ont été chargés de faire « tourner le manège », car telle est bien la métaphore, puisque les 5 Dominants qui ont les yeux bandés sont positionnés à chaque étape devant l’une des dominées, agenouillée au centre du cercle. Le Marquis d’Evans ouvre grand les yeux, attiré par l’étrangeté du divertissement, étonné de voir les Dominants portant un bandeau et privés de la vue, réduits à être presque « manipulés » de place en place par Ses propres esclaves MDE, ce qui lui semble un comble dans la logique D/s, sauf à savoir que dans certains jeux ce qui prime sur la préséance reste le plaisir que C/chacun peut en retirer. En s’approchant, Le Noble s’aperçoit que les yeux des dominé(e)s au centre sont également couverts de ce même épais tissu noir qui les rend totalement aveugles, et qu’il s’agit donc d’un double jeu de devinette récréative qui s’est mis en place pour des félicités partagées. Les braguettes de chaque Mâle sont en effet ouvertes, les boxers baissés laissant surgir 5 imposantes verges érigées qui passent de bouche en bouche.
Les 5 soumises ont été concentrées sur un petit espace en plein centre, les pieds imbriqués presque les uns sur les autres. Elles sont agenouillées, obligées de se tenir le dos bien droit sans pouvoir reposer sur les talons, leurs mains sont posées à plat sur le sol, bras tendus collés de chaque côté de leur corps. Aucune d’entre elles n’aurait eu l’idée de bouger pendant le jeu auquel elles sont astreintes, mais pour ajouter à la mise en scène, les dominées ont été bondagées, entrelacées entre elles, par plusieurs cordages de couleurs qui sont venus faire comme une chaîne multiple de 8 autour de leurs corps, passant respectivement sur le devant de l’une et le dos de la suivante, mais en inversant le sens au passage suivant puisqu’elles sont en nombre impair, et ainsi de suite. Pour solidariser l’ensemble, une autre longue corde a été enroulée au niveau de la taille, tout autour de l’ensemble des 5 soumises, et ce sur plusieurs circonférences. Le but est avant tout de les empêcher de pouvoir bouger les bras et le buste, et donc de faire usage des mains et des doigts pour identifier celui qui se tiendrait devant chacune. Mais, par-delà ce qui aurait très bien pu être remplacé par une simple consigne qui aurait été respectée par toutes ces soumises obéissantes, il était venu à l’idée des Dominants de les lier les unes aux autres dans un entrelacs sensuel qui ne pouvait qu’accroître l’excitation de la partie qui allait suivre. Vu du plafond, la rosace ainsi réalisée à 5 pétales de femelles, garnis de boucles de cordes colorées qui serpentent sur leur corps, ne peut que ressembler à un « chef-d’œuvre » de Maître en Art, tout autant que Maître D/s bien évidemment.
C’est dans un deuxième temps, sur proposition de l’un d’entre eux, que les Dominants ont décidé eux aussi d’avoir le droit de jouer au lieu de rester dans un divertissement plus passif, même s’il n’avait rien de déplaisant de se faire lécher et prendre en bouche par leur attribut viril. Ils ont fait entre eux le pari que chacun saurait reconnaître, sans la moindre erreur la fellation qui serait exécutée par sa soumise personnelle. Parce que la nature est ainsi faite chez les êtres sexués, ils avaient dû écarter deux invitées qui n’avaient pu se joindre au groupe, car il leur semblait que le plastique du gode-ceinture de la Domina qui souhaitait être de la fête serait trop facilement repérable. C’est donc dépitées que « La Seignora Bella » et sa compagne switch « Blue-blue » étaient allées faire une partie de jambes en l’air à quatre sur un sofa voisin, chacune suivie des deux esclaves mâles MDE qu’elles avaient tirés au sort, qui allaient être autorisés à se délecter de deux minous humides, tandis que les deux femmes pourraient gouignasser goulument.
Le jeu était conçu de telle manière que personne ne savait qui se trouvait en face de qui, car les esclaves chargés des déplacements avaient pris soin de bien mélanger les Dominants en leur faisant perdre tout repère spatial avant de les positionner pour la première fellation. 3 minutes étaient consacrées à chaque soumise, un « speed-dating » d’un autre genre, au terme duquel chacune devait baisser la tête si elle avait cru reconnaître le phallus du Maître auquel elle appartenait et la garder levée dans le cas contraire. Les Dominants qui se devait de rester silencieux eux aussi pour ne pas être repéré par la voix devait lever le pouce s’ils pensaient s’être fait sucer voluptueusement par leur soumise et mettre le pouce sur le côté s’ils pensaient avoir eu l’honneur de prendre possession d’une autre bouche inconnue. Pour ne pas perturber le déroulement du test buccal ludique, aucun résultat ne devait être annoncé avant la fin du « Tournez manège » qui ne ressemblait en rien au jeu télévisé matrimonial qui avait envahi tous les midis dans les années 80 nos écrans de télévision, inspiré d’une émission américaine « The Dating Game ».
Les Dominants avaient imposé, pour qu’aucun ne perde la face vis-à-vis des autres en présence de leur soumise, qu’eux seuls seraient au courant de leurs propres résultats, furent-ils positifs ou négatifs. Si le pari fait entre les 5 hommes se voulait avant tout plaisant et convivial, le jeu pour les 5 soumises avait plus l’allure d’une épreuve qui serait assortie de sanctions punitives en cas de défaillance de leur part. Aucune d’entre elles n’avait relevé le côté presque « injuste » et machiste des règles du jeu puisque seules les femelles seraient punies à la fin de la 5ème fellation ; toutes étaient bien trop excitées à l’idée de pouvoir se délecter de verges gonflées, bien qu’un peu inquiètes ne sachant pas si elles seraient capables de déterminer la bonne dans le tas. Un étalonnage précis de nombre de coups de cravache avait été décidé pour distinguer celle qui ne ferait aucune erreur qui serait alors épargnée et félicitée pour ses capacités, 10 coups pour celle qui en ferait une par méprise (ce cas de figure ne pouvant arriver que si la soumise avait répondu deux fois oui, hésitant entre deux queues), 10+10 coups pour celle qui en ferait une par abstention (en répondant toujours non sans avoir jamais pu reconnaître le sexe du Maître) et au final 10+20 coups pour celle qui en ferait deux (en n’ayant pas su reconnaître et désigner le bon partenaire, tout en choisissant un autre à la place, ce qui rendait la faute encore plus inadmissible). Aucun des Dominants n’avaient pu imaginer que celle dont ils envahissaient si souvent la bouche pour la forcer ne pourrait se tromper 3 fois ou plus sur un lot réduit de 5 vits offerts à la « dégustation en aveugle », se sachant tous unique en leur genre de par leur forme, leur taille, leur odeur.
Monsieur le Marquis d’Evans s’approche silencieusement pour regarder la fin du jeu, ayant vite compris même sans que personne ne lui explique que chacun devait faire un tour complet des bouches à assaillir. Il imagine assez bien les règles du jeu, apercevant qu’après chaque test, les esclaves MDE notent sur un petit papier le résultat de chaque soumise qui se remplit de O (réponse « oui » de la dominée, tête baissée), de I (réponse « non » de la dominée, tête levée), la lettre étant soulignée dans le cas d’une bonne réponse, barrée en croix dans le cas d’une mauvaise réponse. Il reste silencieux pour se délecter des deux derniers tours de piste, appréciant de voir les visages masqués des Dominants qui se pâment en silence et les bouches voluptueuses des dominées qui s’affairent de la langue et des lèvres pour découvrir la bonne queue à sucer et à avaler pour la voir vibrer, se tendre et se redresser encore plus. C’est au moment où l’esclave MDE annonce que le temps est imparti pour la dernière prestation des suceuses-femelles que le Châtelain s’avance pour intervenir après avoir taper dans ses mains, un bravo qui est repris aussitôt par les autres spectateurs restés silencieux tout autour en attendant le verdict.
Chaque esclave MDE annonce discrètement à l’oreille du Dominant auquel ils ont été affecté son résultat personnel tout en lui défaisant son bandeau noir. Certains visages s’illuminent plus que d’autres qui reconnaissent avoir perdu leur pari et fait le mauvais choix de soumise. Mais le but de l’attraction, qui n’était pas une simple léchouille rotative, se devait aussi d’être D/s et éducative, afin de pouvoir juger des capacités de chaque femelle à savoir distinguer le bon phallus, celui qu’elle se devait d’honorer avant tout. Trois des Dominants s’approche de leur dominées dont il baisse la tête tout en leur caressant le visage, leur faisant comprendre qu’elles ont réussi l’épreuve sans faillir. Un autre des Dominants s’approche à son tour de sa jeune chienne-soumise.
- Je ne peux pas dire que je suis fier de toi, mais je vais rester magnanime, car si ta première réponse était erronée, la deuxième était la bonne. Je me doute que l’épreuve ne devait pas être facile pour toi, car nous avons eu ensemble peu de rencontres en réel, très isolées car j’ai peu de disponibilités à te consacrer. Je suis certain que chacune des minutes de nos cinq rencontres passées sont présentes dans ta mémoire, mais je peux admettre que ton souvenir soit plus diffus quant à la particularité de mon anatomie physique que tu n’as pu appréciée aussi souvent que toi et moi le voudrions. Cependant, il n’est pas question de t’exonérer de la sanction qui t’attend et des 20 coups de cravache qui te permettront de graver encore plus la forme de mon pénis dans ta bouche.
Le Dominant qui n’avait pas encore refermé sa braguette, extirpe à nouveau le sexe qu’il venait de ranger et le fourre sans attendre dans la bouche de la soumise fautive.
- Voilà de quoi te rafraîchir la mémoire !
Lui laissant peu le temps de se mettre à lécher le gland et la hampe du sexe qui très rapidement reprend du volume, le Dominant la fourre jusqu’au fond de la gorge, lui tenant les cheveux pour imprimer le rythme qu’il impose et l’empêcher de se retirer sauf quand lui-même se recule pour lui permettre de reprendre sa respiration. A grands coups de butoir assénés à la cosaque, il la baise de la bouche sans ménagement, ne cherchant rien de plus que son propre plaisir qu’il pourra prendre en éjaculant et en déversant dans la gorge ouverte sa semence tiède et épaisse.
Pendant le même temps, le cinquième Dominant très en colère s’approche de sa soumise qui avait baissé la tête au dernier tour à tort, lui relève le menton en lui assénant une bonne gifle.
- Tu aurais mieux fait de t’abstenir plutôt que de me confondre avec un autre et de me faire affront en public. Nous réglerons cela à la maison, car 30 coups de cravache vont peut-être suffire à distraire mes amis ici présents, mais ils ne seront pas suffisants pour me faire oublier que tu es bien peu digne de mériter à nouveau ma queue que tu ne sais même pas reconnaître lorsque tu as l’honneur de pouvoir en profiter…
(A suivre…)
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