La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 529)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 529)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°526) - Ella et Charles-Edouard s’occupe du chien soumis MDE !
Les couilles et la bite de l’esclave MDE avaient bien plus que triplé de volume. Lorsqu’il fut détaché et redressé il ne put s’empêcher de toucher et tâter son paquet. Il savait pourtant, que ce simple geste lui était formellement interdit …Le Maître aperçu ce geste, alors Monsieur le Marquis d’Evans prit d’abord un regard sévère et réprobateur, puis indulgent cette fois-ci, Il se mit à sourire et le laissa faire. Drôle de sensation, la peau des couilles de l’esclave MDE était parfaitement distendue et toute lisse au lieu d’être naturellement fripée, il eut cru avoir un vrai ballon de baudruche entre ses cuisses. Sa nouille, pourtant au repos était difforme, avec des boursoufflures, ici ou là, tout ou long sa verge. Il était étonné par cette sensation étrange, ses deux couilles noyées dans ce liquide injecté étaient devenues insensibles. De plus, Il lui était impossible de serrer les jambes tant son ‘’service trois pièces’’ prenait de la place.
- A quatre pattes chien !
L’ordre sec, émanant du Maître, était tombé sans fioriture. Le chien soumis MDE prit la posture requise dans l’instant, cambrant bien ses reins. Le Marquis d’Evans glissa sa main entre ses fesses et lui empoigna le scrotum, le soupesa, le tâta.
- Beau travail, mon cher neveu, c’est du plus bel effet !
- Vous savez mon Oncle, j’ai injecté 250 ml de sérum. C’est un bon début. Habituellement, pour une première fois, j’injecte seulement 100 ml, mais j’avais constaté que Votre chien avec un sac à foutre déjà très souple. La prochaine fois, si vous le voulez bien, nous pourrons lui infiltrer jusqu’à 500 ml.
Le Maître ne répondit pas. Il demanda à Son esclave de frétiller du cul, de remuer le popotin, de se déhancher, il voulait voir battre ses couilles entre ses cuisses. soumis Endymion MDE se trémoussa et fit balloter son paquet dans tous les sens. Ella, la femme de Charles-Edouard, s’extasiait :
- Oh so good ! it’s marvelous, wonderful !
Elle paraissait survoltée, Ella sauta au cou de son mari et lui posa un tendre baiser sur la bouche, tant elle était excitée, joyeuse et heureuse. Cette humiliation la comblait, elle aimait les esclaves mâles aux couilles volumineuses et bien pendantes. Elle s’empressa de récupérer une laisse, de l’attacher au collier du chien soumis MDE et de l’entrainer derrière elle. Elle le fit marcher à quatre pattes, en long et en large dans ce donjon spacieux et somptueusement équipé. Puis elle quitta la pièce et entraina l’esclave dans le long couloir pour rejoindre le grand salon du Château. Le lieu dégageait une atmosphère de luxure et de débauche. Il y avait là des couples déjà rassasiés, un homme était confortablement affaissé dans un grand divan en cuir noir. Couché sur le ventre, sa tête reposait sur les cuisses de sa compagne, il était complètement nu. Il sommeillait avec un sourire radieux sur son visage, tandis que sa compagne lui caressait les cheveux. Tous deux semblaient avoir déjà jouis. Un peu plus loin, dans la pénombre, deux formes s’entrelaçaient et s’accouplaient sur une table du salon.
Un homme pénétrait une autre personne en position de levrette. Il était difficile de savoir s’il pénétrait un homme ou une femme. Une dominatrice se tenait près d’eux. A un rythme plutôt lent, elle fouettait les fesses de l’homme. A chaque coup qu’il recevait, il donnait un coup de hanche puissant et enfonçait sa verge profondément dans celui ou celle qu’il sodomisait. L’homme soumis semblait suivre à la lettre le rythme imposé par la Maîtresse. Son dos était couvert de sueur et de rougeur… Madame Ella quitta la pièce et entraina soumis Endymion MDE à l’extérieur, dans le parc immense de la fastueuse propriété, le Château de Monsieur le Marquis d’Evans. Le temps était à l’orage ce soir, il faisait lourd et moite. Madame Ella approcha soumis Endymion MDE près d’un arbre et lui fit comprendre qu’il devait lever une jambe pour se soulager. Le chien ne se fit guère prier, il pissa longuement sous le regard sévère et humiliant de celle qui le dominait. Sitôt qu’il eut terminé, Madame Ella le remmena au Château, elle retrouva son jeune époux toujours en conversation avec son oncle, Monsieur le Marquis d’Evans.
- Que faites-vous de votre chien pendant la nuit, mon cher oncle ?
- En principe, je le fais reconduire en mes Cachots.
- M’autoriseriez-vous à le garder près de nous cette nuit ?
- Mais bien sûr mon cher enfant… il est à ta disposition, tu peux en user et en abuser, si tel est ton désir… Tu me rappelles quand tu étais petit et que tu venais passer tes vacances, ici au Château. Tu me demandais si tu pouvais garder pour la nuit le gros nounours en peluche que je t’avais offert pour tes 5 ans !… Maintenant, ce n’est plus une peluche que tu me réclames, mais un de Mes esclaves ! Eh oui ! le petit garçon que tu étais est devenu un homme, bien évidemment, mais tu sais bien Charles-Edouard, que je ne peux rien te refuser !
- Merci beaucoup, mon oncle ! Eh oui en effet, j’ai passé de si beaux moments, ici chaque année en vacances quand je n’étais qu’un enfant, et ça je ne l’oublierai jamais, vous avez toujours été un si merveilleux tonton ! …
Sitôt arrivés dans la suite réservée à la Nièce et au Neveu de Monsieur le Marquis d’Evans, soumis Endymion MDE, fut attrapé ardemment par son collier, redressé et plaqué face au mur.
- Ecarte les jambes chien et pose tes mains sur le mur en écartant les bras.
Soumis Endymion MDE resta ainsi pendant de longues minutes ne sachant point ce que lui réservaient Monsieur le Vicomte d’Evans, neveu du Marquis, ou même son épouse… Ils étaient partis tous les deux dans la salle de bain et semblaient comploter. Monsieur Charled en sortit le premier, tenant en main la petite culotte de sa femme. Il la plaqua sur le visage du chien soumis MDE.
- Respire bien à fond salope, imprègne-toi de cette odeur, oui, tu as le privilège de sentir les sucs intimes de ma merveilleuse femme … il te faudra reconnaitre cette odeur parmi tant d’autre.
Le chien soumis MDE humait, sniffait, respirait… Il glissait son nez sur ce coton humide, il inhalait ses odeurs intimes, la cyprine et l’urine, jusqu’au moment où Monsieur Charled lui inséra la culotte toute entière dans la bouche. Monsieur Charled attrapa de nouveau le chien soumis MDE par son collier, le retourna, le fit mettre à genoux, mains sur la tête face à Madame Ella. Elle se tenait là, dans des cuissardes en cuir montant au-dessus de ses genoux, cuisses semi écartées, sa vulve bien exposée. Elle écartait avec deux doigts ses grandes lèvres intimes, son sexe bavait littéralement. Elle posa sa main sur la nuque de l’esclave MDE et l’attira vers elle. Le nez du chien soumis MDE plongea dans cette intimité ruisselante. Il suffoqua, Madame Ella se recula un tant soit peu, puis plaqua de nouveau le nez de l’esclave dans sa fente et recommença l’opération une bonne dizaine de fois. Monsieur Charled était passé derrière son épouse, il lui caressait les seins doucement, tendrement et lui posait de doux baisers dans le cou. Les trois protagonistes prenaient du plaisir, Madame Ella mouillait de plus en plus, Monsieur Charled se frottait contre les fesses de son épouse en poussant de petits gémissements, l’esclave MDE, humilié, bandait comme un âne.
- Redresse-toi chien et reprends ta posture contre le mur !
Le visage ruisselant, l’esclave MDE reprit place, face au mur. Sitôt installé, Monsieur le Vicomte d’Evans s’approcha de soumis Endymion MDE et lui caressa les fesses.
- L’heure est venue pour toi, chien, de subir la badine. Chez nous à New York, tes congénères que nous dressons ont droit deux fois par jour, matin et soir, à ce bel instrument. Il n’y a pas de raison que tu y échappes, ce soir tu es à notre service, alors il te faut respecter nos règles et nos rituels. Ce sont vingt-cinq coups que je vais te donner, simplement pour te tanner le cul, simplement pour t’entrainer à des traitements douloureux mais jouissifs, pour toi le maso, mais pour nous aussi les sados ! Je veux simplement te faire bien comprendre et te rappeler ta condition d’esclave, et pas n’importe quel esclave… puisque tu appartiens à mon cher Oncle, à Monsieur le Marquis d’Evans ! Ce qui n’est pas rien, c’est cet honneur que tu as de Le servir corps et âme, qu’il faut que tu aies conscience à chaque seconde de ton existence…. Je ne veux pas que tu bouges… je ne veux pas t’entendre… je veux simplement te voir tendre le cul, me l’offrir, le donner à la badine, je veux… et tu dois ! Ainsi, tu me prouveras ta détermination et ta volonté d’appartenir.
Le discours avait été on ne peut plus clair, Monsieur Charled s’était exprimé posément mais fermement. Les premiers coups furent douloureux et pénibles, heureusement pour l’esclave MDE, la culotte de Madame Ella toujours en bouche, lui permettait escamoter, t’étouffer ses geignements et ses gémissements. Ce n’est qu’au quinzième coup qu’il put se ressaisir et accepter la douleur, elle le transcendait même et s’affichait clairement. Sa queue déjà en semi érection venait de se tendre subitement encore plus fort. Madame Ella, très attentive, regardait la scène… Ses doigts trempés frottaient sa vulve énergiquement, elle était au bord de l’orgasme. Sitôt l’entrainement sadomasochiste terminé, Monsieur Charled attrapa le chien soumis par le collier et l’installa sur le lit. Il le fit mettre en levrette, cul bien relevé, lombes cambrées. Il lui ôta de la bouche la petite culotte de Madame Ella, puis le félicita.
- Je suis satisfait de toi chien, tu m’as bien fait bander, tiens regarde ma queue !
Monsieur Charled exhiba son membre sous les yeux de l’esclave MDE. Son chibre affichait effectivement une belle bandaison, son gland turgescent s’approcha de la bouche de soumis Endymion MDE. Par réflexe et par envie, le chien soumis MDE tira la langue pour tenter de lécher cette queue tendue, mais Monsieur le Vicomte d’Evans se recula un peu.
- Tu en as envie de ma queue, petite chienne en chaleur ?
- Oui Monsieur
- Tu la voudrais dans ta petite bouche de salope ?
- Oui Monsieur ?
- Alors, qu’attends-tu pour venir la chercher ?
soumis Endymion MDE avança un tantinet, toujours langue tirée, Monsieur Charled recula encore. L’esclave avide rampa encore, Monsieur le Vicomte se déplaça toujours, l’opération se renouvela plusieurs fois, jusqu’au moment où Monsieur Charled attrapa le chien soumis MDE par les cheveux pour lui faire redresser la tête.
- Tu vois chien, ma bite se mérite... Tire bien la langue, ouvre la bouche !
Ce n’est qu’après quelques secondes encore que Monsieur Charled se décida, il enfourna son sexe dru et ferme et d’un coup sec jusqu’à la glotte du chien soumis MDE en le maintenant de ses deux mains derrière la nuque...
(A suivre…)
Les couilles et la bite de l’esclave MDE avaient bien plus que triplé de volume. Lorsqu’il fut détaché et redressé il ne put s’empêcher de toucher et tâter son paquet. Il savait pourtant, que ce simple geste lui était formellement interdit …Le Maître aperçu ce geste, alors Monsieur le Marquis d’Evans prit d’abord un regard sévère et réprobateur, puis indulgent cette fois-ci, Il se mit à sourire et le laissa faire. Drôle de sensation, la peau des couilles de l’esclave MDE était parfaitement distendue et toute lisse au lieu d’être naturellement fripée, il eut cru avoir un vrai ballon de baudruche entre ses cuisses. Sa nouille, pourtant au repos était difforme, avec des boursoufflures, ici ou là, tout ou long sa verge. Il était étonné par cette sensation étrange, ses deux couilles noyées dans ce liquide injecté étaient devenues insensibles. De plus, Il lui était impossible de serrer les jambes tant son ‘’service trois pièces’’ prenait de la place.
- A quatre pattes chien !
L’ordre sec, émanant du Maître, était tombé sans fioriture. Le chien soumis MDE prit la posture requise dans l’instant, cambrant bien ses reins. Le Marquis d’Evans glissa sa main entre ses fesses et lui empoigna le scrotum, le soupesa, le tâta.
- Beau travail, mon cher neveu, c’est du plus bel effet !
- Vous savez mon Oncle, j’ai injecté 250 ml de sérum. C’est un bon début. Habituellement, pour une première fois, j’injecte seulement 100 ml, mais j’avais constaté que Votre chien avec un sac à foutre déjà très souple. La prochaine fois, si vous le voulez bien, nous pourrons lui infiltrer jusqu’à 500 ml.
Le Maître ne répondit pas. Il demanda à Son esclave de frétiller du cul, de remuer le popotin, de se déhancher, il voulait voir battre ses couilles entre ses cuisses. soumis Endymion MDE se trémoussa et fit balloter son paquet dans tous les sens. Ella, la femme de Charles-Edouard, s’extasiait :
- Oh so good ! it’s marvelous, wonderful !
Elle paraissait survoltée, Ella sauta au cou de son mari et lui posa un tendre baiser sur la bouche, tant elle était excitée, joyeuse et heureuse. Cette humiliation la comblait, elle aimait les esclaves mâles aux couilles volumineuses et bien pendantes. Elle s’empressa de récupérer une laisse, de l’attacher au collier du chien soumis MDE et de l’entrainer derrière elle. Elle le fit marcher à quatre pattes, en long et en large dans ce donjon spacieux et somptueusement équipé. Puis elle quitta la pièce et entraina l’esclave dans le long couloir pour rejoindre le grand salon du Château. Le lieu dégageait une atmosphère de luxure et de débauche. Il y avait là des couples déjà rassasiés, un homme était confortablement affaissé dans un grand divan en cuir noir. Couché sur le ventre, sa tête reposait sur les cuisses de sa compagne, il était complètement nu. Il sommeillait avec un sourire radieux sur son visage, tandis que sa compagne lui caressait les cheveux. Tous deux semblaient avoir déjà jouis. Un peu plus loin, dans la pénombre, deux formes s’entrelaçaient et s’accouplaient sur une table du salon.
Un homme pénétrait une autre personne en position de levrette. Il était difficile de savoir s’il pénétrait un homme ou une femme. Une dominatrice se tenait près d’eux. A un rythme plutôt lent, elle fouettait les fesses de l’homme. A chaque coup qu’il recevait, il donnait un coup de hanche puissant et enfonçait sa verge profondément dans celui ou celle qu’il sodomisait. L’homme soumis semblait suivre à la lettre le rythme imposé par la Maîtresse. Son dos était couvert de sueur et de rougeur… Madame Ella quitta la pièce et entraina soumis Endymion MDE à l’extérieur, dans le parc immense de la fastueuse propriété, le Château de Monsieur le Marquis d’Evans. Le temps était à l’orage ce soir, il faisait lourd et moite. Madame Ella approcha soumis Endymion MDE près d’un arbre et lui fit comprendre qu’il devait lever une jambe pour se soulager. Le chien ne se fit guère prier, il pissa longuement sous le regard sévère et humiliant de celle qui le dominait. Sitôt qu’il eut terminé, Madame Ella le remmena au Château, elle retrouva son jeune époux toujours en conversation avec son oncle, Monsieur le Marquis d’Evans.
- Que faites-vous de votre chien pendant la nuit, mon cher oncle ?
- En principe, je le fais reconduire en mes Cachots.
- M’autoriseriez-vous à le garder près de nous cette nuit ?
- Mais bien sûr mon cher enfant… il est à ta disposition, tu peux en user et en abuser, si tel est ton désir… Tu me rappelles quand tu étais petit et que tu venais passer tes vacances, ici au Château. Tu me demandais si tu pouvais garder pour la nuit le gros nounours en peluche que je t’avais offert pour tes 5 ans !… Maintenant, ce n’est plus une peluche que tu me réclames, mais un de Mes esclaves ! Eh oui ! le petit garçon que tu étais est devenu un homme, bien évidemment, mais tu sais bien Charles-Edouard, que je ne peux rien te refuser !
- Merci beaucoup, mon oncle ! Eh oui en effet, j’ai passé de si beaux moments, ici chaque année en vacances quand je n’étais qu’un enfant, et ça je ne l’oublierai jamais, vous avez toujours été un si merveilleux tonton ! …
Sitôt arrivés dans la suite réservée à la Nièce et au Neveu de Monsieur le Marquis d’Evans, soumis Endymion MDE, fut attrapé ardemment par son collier, redressé et plaqué face au mur.
- Ecarte les jambes chien et pose tes mains sur le mur en écartant les bras.
Soumis Endymion MDE resta ainsi pendant de longues minutes ne sachant point ce que lui réservaient Monsieur le Vicomte d’Evans, neveu du Marquis, ou même son épouse… Ils étaient partis tous les deux dans la salle de bain et semblaient comploter. Monsieur Charled en sortit le premier, tenant en main la petite culotte de sa femme. Il la plaqua sur le visage du chien soumis MDE.
- Respire bien à fond salope, imprègne-toi de cette odeur, oui, tu as le privilège de sentir les sucs intimes de ma merveilleuse femme … il te faudra reconnaitre cette odeur parmi tant d’autre.
Le chien soumis MDE humait, sniffait, respirait… Il glissait son nez sur ce coton humide, il inhalait ses odeurs intimes, la cyprine et l’urine, jusqu’au moment où Monsieur Charled lui inséra la culotte toute entière dans la bouche. Monsieur Charled attrapa de nouveau le chien soumis MDE par son collier, le retourna, le fit mettre à genoux, mains sur la tête face à Madame Ella. Elle se tenait là, dans des cuissardes en cuir montant au-dessus de ses genoux, cuisses semi écartées, sa vulve bien exposée. Elle écartait avec deux doigts ses grandes lèvres intimes, son sexe bavait littéralement. Elle posa sa main sur la nuque de l’esclave MDE et l’attira vers elle. Le nez du chien soumis MDE plongea dans cette intimité ruisselante. Il suffoqua, Madame Ella se recula un tant soit peu, puis plaqua de nouveau le nez de l’esclave dans sa fente et recommença l’opération une bonne dizaine de fois. Monsieur Charled était passé derrière son épouse, il lui caressait les seins doucement, tendrement et lui posait de doux baisers dans le cou. Les trois protagonistes prenaient du plaisir, Madame Ella mouillait de plus en plus, Monsieur Charled se frottait contre les fesses de son épouse en poussant de petits gémissements, l’esclave MDE, humilié, bandait comme un âne.
- Redresse-toi chien et reprends ta posture contre le mur !
Le visage ruisselant, l’esclave MDE reprit place, face au mur. Sitôt installé, Monsieur le Vicomte d’Evans s’approcha de soumis Endymion MDE et lui caressa les fesses.
- L’heure est venue pour toi, chien, de subir la badine. Chez nous à New York, tes congénères que nous dressons ont droit deux fois par jour, matin et soir, à ce bel instrument. Il n’y a pas de raison que tu y échappes, ce soir tu es à notre service, alors il te faut respecter nos règles et nos rituels. Ce sont vingt-cinq coups que je vais te donner, simplement pour te tanner le cul, simplement pour t’entrainer à des traitements douloureux mais jouissifs, pour toi le maso, mais pour nous aussi les sados ! Je veux simplement te faire bien comprendre et te rappeler ta condition d’esclave, et pas n’importe quel esclave… puisque tu appartiens à mon cher Oncle, à Monsieur le Marquis d’Evans ! Ce qui n’est pas rien, c’est cet honneur que tu as de Le servir corps et âme, qu’il faut que tu aies conscience à chaque seconde de ton existence…. Je ne veux pas que tu bouges… je ne veux pas t’entendre… je veux simplement te voir tendre le cul, me l’offrir, le donner à la badine, je veux… et tu dois ! Ainsi, tu me prouveras ta détermination et ta volonté d’appartenir.
Le discours avait été on ne peut plus clair, Monsieur Charled s’était exprimé posément mais fermement. Les premiers coups furent douloureux et pénibles, heureusement pour l’esclave MDE, la culotte de Madame Ella toujours en bouche, lui permettait escamoter, t’étouffer ses geignements et ses gémissements. Ce n’est qu’au quinzième coup qu’il put se ressaisir et accepter la douleur, elle le transcendait même et s’affichait clairement. Sa queue déjà en semi érection venait de se tendre subitement encore plus fort. Madame Ella, très attentive, regardait la scène… Ses doigts trempés frottaient sa vulve énergiquement, elle était au bord de l’orgasme. Sitôt l’entrainement sadomasochiste terminé, Monsieur Charled attrapa le chien soumis par le collier et l’installa sur le lit. Il le fit mettre en levrette, cul bien relevé, lombes cambrées. Il lui ôta de la bouche la petite culotte de Madame Ella, puis le félicita.
- Je suis satisfait de toi chien, tu m’as bien fait bander, tiens regarde ma queue !
Monsieur Charled exhiba son membre sous les yeux de l’esclave MDE. Son chibre affichait effectivement une belle bandaison, son gland turgescent s’approcha de la bouche de soumis Endymion MDE. Par réflexe et par envie, le chien soumis MDE tira la langue pour tenter de lécher cette queue tendue, mais Monsieur le Vicomte d’Evans se recula un peu.
- Tu en as envie de ma queue, petite chienne en chaleur ?
- Oui Monsieur
- Tu la voudrais dans ta petite bouche de salope ?
- Oui Monsieur ?
- Alors, qu’attends-tu pour venir la chercher ?
soumis Endymion MDE avança un tantinet, toujours langue tirée, Monsieur Charled recula encore. L’esclave avide rampa encore, Monsieur le Vicomte se déplaça toujours, l’opération se renouvela plusieurs fois, jusqu’au moment où Monsieur Charled attrapa le chien soumis MDE par les cheveux pour lui faire redresser la tête.
- Tu vois chien, ma bite se mérite... Tire bien la langue, ouvre la bouche !
Ce n’est qu’après quelques secondes encore que Monsieur Charled se décida, il enfourna son sexe dru et ferme et d’un coup sec jusqu’à la glotte du chien soumis MDE en le maintenant de ses deux mains derrière la nuque...
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