La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°537)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°537)
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°536 -
Mais une autre voix parle en lui, il est surpris de constater qu’il est en train de bander d’excitation… En effet, une voix qui vient de l’intérieur, qui ne fait pas taire sa douleur mais la lui fait comprendre et accepter. Après tout, il est le premier responsable de ce qui lui arrive, s’il n’avait pas menti et s’il n’avait pas toujours la langue bien pendue, tout cela ne serait pas arrivé. Il se sent honteux de lui-même et les larmes qu’il avait réussi à contenir (mais pas les cris sauvages) commencent à sortir. Il pleure comme un gamin fautif puni et en même temps, il se rend compte que par un phénomène réactionnel qui lui paraît surprenant il se met à bander de plus belle d’excitation. Sa queue et ses couilles ballotent à chaque impact, comme un jouet suspendu à cet anneau qui les enserre. Etrange sensation que la découverte de ce plaisir masochiste qui en devient presque agréable, avec le sentiment d’avoir les fesses en feu et la tête en ébullition perdue entre douleurs et douceurs, peurs et envies, plaisirs et déplaisirs.
Il y a longtemps qu’il ne crie plus, il est juste en pleurs comme une cocotte-minute qui relâche la pression. Il se sent surtout résigné et certain de savoir ce qu’il veut, ayant été contraint de faire son choix une fois qu’il s’est trouvé acculé au mur. Certes, il désirait et appréciait de conduire les voitures de luxe de Monsieur le Marquis d’Evans, mais s’il n’y avait eu que cela, il serait parti sans nul doute, puis se serait débrouillé pour trouver une autre place de même nature professionnelle mais sans D/s et sans risque de se voir imposer ce qu’il n’aurait pas désiré. Il est donc bien obligé de reconnaître qu’il y avait autre chose au plus profond de lui qui l’avait poussé à accepter cette servitude et surtout qui l’avait retenu à l’instant le forçant à ne jamais prononcé la phrase ultime qui aurait mis fin à tout. Il prend conscience plus clairement de son désir de soumission dont il ne comprenait pas encore tous les enjeux, mais dont il a le sentiment d’en apercevoir pour la première fois la porte d’entrée vers le premier palier sur lequel il vient de grimper. Il fera tout pour devenir un soumis MDE, il en est certain maintenant, même s’il doit pour cela payer pendant quelques temps ses premiers pas hésitants dans la D/s et son comportement initial bien peu digne de celui qu’il aspire à être pour Le Maître Vénéré dont il a reconnu les immenses qualités de Dominant affirmé.
- 45 ! Et bien, il me semble que tu ne dis plus grand-chose. Te serais-tu calmé à force en prenant goût à la chose ou alors est-ce ta queue bandée qui a pris le relais dans tes sensations les plus prégnantes ? Regarde-moi cette pine qui serait prête à gicler en moins de deux. Mais si tu voyais ton postérieur, je dois avouer qu’il a pris de belles couleurs et qu’il te faudra être patient avant de retrouver un teint de pêche. Surtout que ce n’était là que la punition pour tes mensonges, il en reste encore deux à venir, pour des remarques matinales déplacées, sans parler du « Monsieur » oublié tout à l’heure, mais je laisse à Monsieur Walter le soin ce soir de te faire comprendre lui-même comment « IL » se nomme.
Le soumis ne bronche pas et n’entend plus relever les propos de Monsieur Denis. Il baisse la tête attendant les 4 derniers coups, plutôt heureux et rassurer de savoir qu’il sera ce soir rendu au Château, même s’il se demande comment il va faire pour prendre place au volant, tant il a l’impression que sa croupe va enflammer le siège et qu’il sera dans l’incapacité de s’asseoir correctement pour conduire à son aise. Mais il est bien loin en fait de savoir ce qui l’attend pour la suite, car sa mise à l’épreuve et son dressage plus intensif ne font que commencer, et les 45 coups de paddle n’étaient qu’un avant-goût de la journée qui est loin de se terminer pour lui aussi simplement qu’elle avait commencé. Les quatre derniers coups sont les plus durs à supporter sur le plan physique car il n’y a pas un centimètre carré de son postérieur qui a été épargné, et Monsieur Denis a décidé de frapper encore plus fort pour terminer en beauté. A peine le 49ème impact est-il tombé que car2MDE dans un élan inespéré, à bout de forces, la voix tremblante et humide des larmes qui coulent encore, se lance.
- Merci, Monsieur Denis, d’avoir bien voulu me punir. Merci de toute la peine que vous vous êtes donné pour me faire comprendre ce que j’avais fait d’inapproprié et d’indigne pour un soumis en devenir MDE. Merci aussi de m’avoir aidé à comprendre qui je désirai être vraiment. Je vous prie de bien vouloir me pardonner pour mes trois mensonges de ce matin. En réalité, c’est de Monsieur le Marquis d’Evans que j’ai offensé dont j’espère obtenir le pardon par votre intermédiaire.
- C’est bien le chien. Tu progresses. Je dois avouer que je ne pensais pas que tu serais encore là à cette heure là. Je vais te détacher, mais ne bouge pas avant que je t’y autorise. Prends le temps de reprendre ton souffle et de te calmer, c’est terminé. Disons, c’est terminé pour l’instant ….. en attendant la suite des réjouissances.
Le responsable ouvre les 4 menottes qui enserraient les chevilles et les poignées de car2MDE et également l’anneau qu’il était fermé autour du sexe et des couilles du soumis. Il en profite pour lui malaxer les testicules et la queue qui libérait de toute contrainte gonfle encore plus, se tend et s’étend. Car2MDE se laisse faire pas trop mécontent de sentir ses attributs libérés.
- Une bonne queue de chien que voilà, mais sache qu’elle n’est pas prête de se vider. Interdiction formelle de te toucher et de chercher à soulager l’excitation qui s’est emparé de ton bout de saucisse.
Le soumis car2MDE ressent la frustration comme jamais, ce qui lui fait prendre conscience dans son for intérieur de la portée de sa soumission. Depuis qu’il était devenu un soumis à l’essai MDE, il avait bien eu l’habitude d’être encagé pendant toutes les heures où il était en fonction, ce qui avait aussi l’avantage de lui éviter des réactions physiques déplaisantes en présence d’invités professionnels de Monsieur le Marquis, qui auraient pu faire naître des bosses dans sa livrée ajustée. Par contre, le soir venu, lorsqu’il rentrait chez lui, il retrouvait sa liberté phallique et était autorisé à se masturber s’il n’avait pas été puni dans la journée. Mais là, il sent son membre qui le démange, ses fesses qui cuisent, son esprit enflammé lui aussi, de tout ce qu’il vient de vivre mais aussi de cette force qu’il a senti naître en lui, qui lui fait comprendre qu’il est vraiment fait pour être soumis, cadré, dressé, assoupli, pour que naisse en lui ce plaisir ineffable de s’abandonner et de n’être plus qu’obéissance physique et intellectuelle.
Pendant tout ce temps là, au dernier étage du même immeuble, Monsieur le Marquis d’Evans est occupé à tout autre chose que le dressage de son soumis à l’essai, ayant fait le nécessaire pour donner les mains libres à Monsieur Denis. La discussion d’affaires entre Madame D…. et le Président Directeur Général a pris un tournant plus professionnel pour arriver à finaliser les négociations en vue de l’acquisition de l’immeuble et du terrain attenant. Encore que, la businesswoman a beaucoup de mal à rester concentrée, tournant la tête à intervalles réguliers pour apercevoir la soumise Thaïs MDE toujours agenouillée au coin de la pièce, avec les mains dans le dos jointes en prière inversée. Elle s’imagine que la position à laquelle l’esclave a été astreinte a dû devenir très inconfortable à la longue, et elle se demande toujours ce qui peut bien pousser une femme intelligente et autonome à accepter de tels avilissements et contraintes dans une servilité qui semble à toute épreuve. Le téléphone portable du Châtelain retentit d’un signal caractéristique (convenu d’avance).
- Madame D…., me permettez-vous de décrocher. Je pense qu’il s’agit de mon sous-directeur administratif et juridique, car je reconnais le bip. Il est en ce moment en réunion avec votre frère et je pense que s’il a osé nous interrompre, c’est qu’il doit avoir une bonne raison de le faire.
- Je vous en prie, Monsieur d’Evans. Après tout, vous êtes chez vous et libre de faire ce qu’il vous plait, ce qui ne semble pas être le cas de votre associée.
- Vous faites bien cas de cette maladroite qui a renversé la cafetière sur votre ensemble et qui est bien là où je l’ai assignée pour méditer et se repentir de ses incompétences.
- Monsieur d’Evans, je pense qu’Isabelle a eu largement le temps de regretter son geste, malheureux certes, mais bien involontaire (si elle savait la vérité !) d’autant plus qu’il n’y a pas eu « mort d’homme » comme on dit. D’ailleurs, si quelqu’un devait en avoir un quelconque ressentiment, ce pourrait être moi et non vous. Ne pouvez-vous comprendre qu’elle ne peut pas rester indéfiniment ainsi pour une simple peccadille ? Mais je vous fais perdre votre temps à parler au lieu de vous laisser décrocher.
- Pour Vous faire plaisir, Madame D….., je vais rappeler à mes pieds mon esclave.
Le Marquis d’Evans ordonne à sa chienne Thaïs MDE de s’approcher de la table de travail, tandis qu’il se lève pour répondre. L’esclave se met aussi sec à quatre pattes pour se déplacer sous le regard médusé d’Aurélie qui presque instantanément serre les cuisses excitée de voir cette femme « quadrupède » capable d’exprimer avec autant de grâce par ses déhanchements son animalité et ses instincts primaires. Aurélie avait presque fini par oublier qu’elle ne porte plus de petite culotte tandis que la discussion se faisait plus professionnelle, malgré la gêne et l’inconfort qui n’avaient pas totalement disparu. Mais là, elle sent bien qu’elle mouille de voir cette chienne en chaleur qui s’est installée juste sous ses yeux, à quatre pattes, la bouche ouverte, la langue pendante, la bouche baveuse avec de la salive qui en sort, et surtout la les yeux baissés avec une humilité qui n’a pas l’air simulé, mais qui semble bien sublimée à son plus « haut (bas) » degré. Elle se demande bien comment les hommes dans cet entreprise, le Président Directeur Général le tout premier qui semble avoir tout pouvoir sur un certain nombre de salariés devenus des esclaves MDE (à moins que ce ne soient des esclaves MDE devenus salariés de la Holding), peuvent bosser avec de tels « phénomènes » sous les yeux, car ils ne doivent pas débander de la journée. Mais, elle se dit qu’après tout cela n’est pas son affaire, et qu’elle souhaite juste pouvoir vendre son bien, espérant que l’affaire ne capotera pas avant d’être conclue par le simple désaccord permanent qui existe entre son frère et elle.
Le Marquis d’Evans ayant terminé sa conversation téléphonique revient l’air ravi.
- Je suis désolé d’avoir dû vous abandonner quelques instants, encore que je pense que cela vous aura permis de réfléchir …. ou de profiter du spectacle (ajoute t-il avec un petit air coquin).
- Vous êtes toujours comme cela, Monsieur d’Evans ?
- Que voulez-vous dire, Madame D…. ?
- A avoir des petites réflexions déplacées et gênantes pour votre entourage. Votre associée est une Femme « respectable », ce n’est pas un « spectacle », même si les mots sont presque paronymes.
- Je vous assure Madame D…., je ne considère pas le moins du monde mon esclave comme un singe de cirque, bien au contraire, c’est « une soumise MDE » (insistant bien en parlant) que j’apprécie dans toute sa dimension. Elle m’appartient corps, esprit et âme. Elle m’a fait don de sa soumission et me prouve tous les jours sa gratitude et son immense Dévotion et pour tout cela, je lui en suis également reconnaissant. Elle est à moi, un bien précieux, un diamant que je cherche à polir pour le faire étinceler, une chienne obéissante et si dévouée.
- Permettez-moi d’en douter, elle semble un jouet entre vos mains, un sextoy vivant au service de vos besoins d’homme éjaculateur, et en fait de diamant une simple pierre brute dans votre édifice parmi tant d’autres.
- Je peux entendre que vous ne compreniez pas vraiment notre monde BDSM, mais ce n’est pas une raison pour le dénigrer et le dénaturer.
- Je suis désolée de devoir vous faire remarquer que c’est vous, Monsieur d’Evans, qui m’avez mis toutes vos perversités et autres déviances en pleine figure alors que je n’avais rien demandé et que je ne venais que pour négocier une banale transaction immobilière.
- Et bien laissons cela de côté pour l’instant, nous en reparlerons au diner si vous le voulez bien, dans un contexte plus privé qui vous mettra forcément plus à l’aise. Mais n’est-ce pas vous qui aviez autorisé Isabelle à participer à notre entretien.
- Oui, tout à fait, je le reconnais. J’ai autorisé votre associé à se joindre à nous, car il me semblait que cela était logique eu égard à la nature de notre transaction puisque elle dirige la société qui pourrait devenir l’acquéreur si nous parvenons à faire affaire. Je n’ai nullement donné quelque accord que ce soit pour une esclave MDE, nue, mise au coin, baveuse obligée de garder la langue pendante et les yeux baissés pour satisfaire vos désirs de Maître Dominant que je n’ose qualifier.
- Vous avez quelque chose contre les animaux domestiques ? Regardez ma chienne comme elle est bien dressée et comme elle semble heureuse d’être à mes pieds et de savoir combien je tiens à elle.
Le Marquis d’Evans promène affectueusement sa main dans les cheveux et sur la tête de sa chienne-soumise Thaïs MDE, tandis que l’esclave affiche un sourire des plus radieux de pouvoir être à cette place où elle se sent si bien. Aurélie est perdue dans ses pensées, un certain rejet de tout ce qu’elle voit qui la gêne et la choque, et à contrario une envie profonde de pouvoir être à la place d’Isabelle, même si elle pense qu’elle ne peut le concevoir que comme un simple fantasme intime et secret. En aucun cas, elle n’aurait l’idée de franchir le pas pour rejoindre une communauté D/s vivant leurs particularités dans la réalité de relations de Domination/soumission, même pour le temps d’un simple jeu érotisé excitant, ne voulant jamais perdre le contrôle qu’elle s’impose à tout instant. Le Marquis d’Evans reprend :
- Madame D…., ne voulez-vous pas savoir l’objet de l’appel téléphonique que je viens de recevoir ? Cela concerne notre affaire qui commence à prendre forme...
(A suivre...)
Mais une autre voix parle en lui, il est surpris de constater qu’il est en train de bander d’excitation… En effet, une voix qui vient de l’intérieur, qui ne fait pas taire sa douleur mais la lui fait comprendre et accepter. Après tout, il est le premier responsable de ce qui lui arrive, s’il n’avait pas menti et s’il n’avait pas toujours la langue bien pendue, tout cela ne serait pas arrivé. Il se sent honteux de lui-même et les larmes qu’il avait réussi à contenir (mais pas les cris sauvages) commencent à sortir. Il pleure comme un gamin fautif puni et en même temps, il se rend compte que par un phénomène réactionnel qui lui paraît surprenant il se met à bander de plus belle d’excitation. Sa queue et ses couilles ballotent à chaque impact, comme un jouet suspendu à cet anneau qui les enserre. Etrange sensation que la découverte de ce plaisir masochiste qui en devient presque agréable, avec le sentiment d’avoir les fesses en feu et la tête en ébullition perdue entre douleurs et douceurs, peurs et envies, plaisirs et déplaisirs.
Il y a longtemps qu’il ne crie plus, il est juste en pleurs comme une cocotte-minute qui relâche la pression. Il se sent surtout résigné et certain de savoir ce qu’il veut, ayant été contraint de faire son choix une fois qu’il s’est trouvé acculé au mur. Certes, il désirait et appréciait de conduire les voitures de luxe de Monsieur le Marquis d’Evans, mais s’il n’y avait eu que cela, il serait parti sans nul doute, puis se serait débrouillé pour trouver une autre place de même nature professionnelle mais sans D/s et sans risque de se voir imposer ce qu’il n’aurait pas désiré. Il est donc bien obligé de reconnaître qu’il y avait autre chose au plus profond de lui qui l’avait poussé à accepter cette servitude et surtout qui l’avait retenu à l’instant le forçant à ne jamais prononcé la phrase ultime qui aurait mis fin à tout. Il prend conscience plus clairement de son désir de soumission dont il ne comprenait pas encore tous les enjeux, mais dont il a le sentiment d’en apercevoir pour la première fois la porte d’entrée vers le premier palier sur lequel il vient de grimper. Il fera tout pour devenir un soumis MDE, il en est certain maintenant, même s’il doit pour cela payer pendant quelques temps ses premiers pas hésitants dans la D/s et son comportement initial bien peu digne de celui qu’il aspire à être pour Le Maître Vénéré dont il a reconnu les immenses qualités de Dominant affirmé.
- 45 ! Et bien, il me semble que tu ne dis plus grand-chose. Te serais-tu calmé à force en prenant goût à la chose ou alors est-ce ta queue bandée qui a pris le relais dans tes sensations les plus prégnantes ? Regarde-moi cette pine qui serait prête à gicler en moins de deux. Mais si tu voyais ton postérieur, je dois avouer qu’il a pris de belles couleurs et qu’il te faudra être patient avant de retrouver un teint de pêche. Surtout que ce n’était là que la punition pour tes mensonges, il en reste encore deux à venir, pour des remarques matinales déplacées, sans parler du « Monsieur » oublié tout à l’heure, mais je laisse à Monsieur Walter le soin ce soir de te faire comprendre lui-même comment « IL » se nomme.
Le soumis ne bronche pas et n’entend plus relever les propos de Monsieur Denis. Il baisse la tête attendant les 4 derniers coups, plutôt heureux et rassurer de savoir qu’il sera ce soir rendu au Château, même s’il se demande comment il va faire pour prendre place au volant, tant il a l’impression que sa croupe va enflammer le siège et qu’il sera dans l’incapacité de s’asseoir correctement pour conduire à son aise. Mais il est bien loin en fait de savoir ce qui l’attend pour la suite, car sa mise à l’épreuve et son dressage plus intensif ne font que commencer, et les 45 coups de paddle n’étaient qu’un avant-goût de la journée qui est loin de se terminer pour lui aussi simplement qu’elle avait commencé. Les quatre derniers coups sont les plus durs à supporter sur le plan physique car il n’y a pas un centimètre carré de son postérieur qui a été épargné, et Monsieur Denis a décidé de frapper encore plus fort pour terminer en beauté. A peine le 49ème impact est-il tombé que car2MDE dans un élan inespéré, à bout de forces, la voix tremblante et humide des larmes qui coulent encore, se lance.
- Merci, Monsieur Denis, d’avoir bien voulu me punir. Merci de toute la peine que vous vous êtes donné pour me faire comprendre ce que j’avais fait d’inapproprié et d’indigne pour un soumis en devenir MDE. Merci aussi de m’avoir aidé à comprendre qui je désirai être vraiment. Je vous prie de bien vouloir me pardonner pour mes trois mensonges de ce matin. En réalité, c’est de Monsieur le Marquis d’Evans que j’ai offensé dont j’espère obtenir le pardon par votre intermédiaire.
- C’est bien le chien. Tu progresses. Je dois avouer que je ne pensais pas que tu serais encore là à cette heure là. Je vais te détacher, mais ne bouge pas avant que je t’y autorise. Prends le temps de reprendre ton souffle et de te calmer, c’est terminé. Disons, c’est terminé pour l’instant ….. en attendant la suite des réjouissances.
Le responsable ouvre les 4 menottes qui enserraient les chevilles et les poignées de car2MDE et également l’anneau qu’il était fermé autour du sexe et des couilles du soumis. Il en profite pour lui malaxer les testicules et la queue qui libérait de toute contrainte gonfle encore plus, se tend et s’étend. Car2MDE se laisse faire pas trop mécontent de sentir ses attributs libérés.
- Une bonne queue de chien que voilà, mais sache qu’elle n’est pas prête de se vider. Interdiction formelle de te toucher et de chercher à soulager l’excitation qui s’est emparé de ton bout de saucisse.
Le soumis car2MDE ressent la frustration comme jamais, ce qui lui fait prendre conscience dans son for intérieur de la portée de sa soumission. Depuis qu’il était devenu un soumis à l’essai MDE, il avait bien eu l’habitude d’être encagé pendant toutes les heures où il était en fonction, ce qui avait aussi l’avantage de lui éviter des réactions physiques déplaisantes en présence d’invités professionnels de Monsieur le Marquis, qui auraient pu faire naître des bosses dans sa livrée ajustée. Par contre, le soir venu, lorsqu’il rentrait chez lui, il retrouvait sa liberté phallique et était autorisé à se masturber s’il n’avait pas été puni dans la journée. Mais là, il sent son membre qui le démange, ses fesses qui cuisent, son esprit enflammé lui aussi, de tout ce qu’il vient de vivre mais aussi de cette force qu’il a senti naître en lui, qui lui fait comprendre qu’il est vraiment fait pour être soumis, cadré, dressé, assoupli, pour que naisse en lui ce plaisir ineffable de s’abandonner et de n’être plus qu’obéissance physique et intellectuelle.
Pendant tout ce temps là, au dernier étage du même immeuble, Monsieur le Marquis d’Evans est occupé à tout autre chose que le dressage de son soumis à l’essai, ayant fait le nécessaire pour donner les mains libres à Monsieur Denis. La discussion d’affaires entre Madame D…. et le Président Directeur Général a pris un tournant plus professionnel pour arriver à finaliser les négociations en vue de l’acquisition de l’immeuble et du terrain attenant. Encore que, la businesswoman a beaucoup de mal à rester concentrée, tournant la tête à intervalles réguliers pour apercevoir la soumise Thaïs MDE toujours agenouillée au coin de la pièce, avec les mains dans le dos jointes en prière inversée. Elle s’imagine que la position à laquelle l’esclave a été astreinte a dû devenir très inconfortable à la longue, et elle se demande toujours ce qui peut bien pousser une femme intelligente et autonome à accepter de tels avilissements et contraintes dans une servilité qui semble à toute épreuve. Le téléphone portable du Châtelain retentit d’un signal caractéristique (convenu d’avance).
- Madame D…., me permettez-vous de décrocher. Je pense qu’il s’agit de mon sous-directeur administratif et juridique, car je reconnais le bip. Il est en ce moment en réunion avec votre frère et je pense que s’il a osé nous interrompre, c’est qu’il doit avoir une bonne raison de le faire.
- Je vous en prie, Monsieur d’Evans. Après tout, vous êtes chez vous et libre de faire ce qu’il vous plait, ce qui ne semble pas être le cas de votre associée.
- Vous faites bien cas de cette maladroite qui a renversé la cafetière sur votre ensemble et qui est bien là où je l’ai assignée pour méditer et se repentir de ses incompétences.
- Monsieur d’Evans, je pense qu’Isabelle a eu largement le temps de regretter son geste, malheureux certes, mais bien involontaire (si elle savait la vérité !) d’autant plus qu’il n’y a pas eu « mort d’homme » comme on dit. D’ailleurs, si quelqu’un devait en avoir un quelconque ressentiment, ce pourrait être moi et non vous. Ne pouvez-vous comprendre qu’elle ne peut pas rester indéfiniment ainsi pour une simple peccadille ? Mais je vous fais perdre votre temps à parler au lieu de vous laisser décrocher.
- Pour Vous faire plaisir, Madame D….., je vais rappeler à mes pieds mon esclave.
Le Marquis d’Evans ordonne à sa chienne Thaïs MDE de s’approcher de la table de travail, tandis qu’il se lève pour répondre. L’esclave se met aussi sec à quatre pattes pour se déplacer sous le regard médusé d’Aurélie qui presque instantanément serre les cuisses excitée de voir cette femme « quadrupède » capable d’exprimer avec autant de grâce par ses déhanchements son animalité et ses instincts primaires. Aurélie avait presque fini par oublier qu’elle ne porte plus de petite culotte tandis que la discussion se faisait plus professionnelle, malgré la gêne et l’inconfort qui n’avaient pas totalement disparu. Mais là, elle sent bien qu’elle mouille de voir cette chienne en chaleur qui s’est installée juste sous ses yeux, à quatre pattes, la bouche ouverte, la langue pendante, la bouche baveuse avec de la salive qui en sort, et surtout la les yeux baissés avec une humilité qui n’a pas l’air simulé, mais qui semble bien sublimée à son plus « haut (bas) » degré. Elle se demande bien comment les hommes dans cet entreprise, le Président Directeur Général le tout premier qui semble avoir tout pouvoir sur un certain nombre de salariés devenus des esclaves MDE (à moins que ce ne soient des esclaves MDE devenus salariés de la Holding), peuvent bosser avec de tels « phénomènes » sous les yeux, car ils ne doivent pas débander de la journée. Mais, elle se dit qu’après tout cela n’est pas son affaire, et qu’elle souhaite juste pouvoir vendre son bien, espérant que l’affaire ne capotera pas avant d’être conclue par le simple désaccord permanent qui existe entre son frère et elle.
Le Marquis d’Evans ayant terminé sa conversation téléphonique revient l’air ravi.
- Je suis désolé d’avoir dû vous abandonner quelques instants, encore que je pense que cela vous aura permis de réfléchir …. ou de profiter du spectacle (ajoute t-il avec un petit air coquin).
- Vous êtes toujours comme cela, Monsieur d’Evans ?
- Que voulez-vous dire, Madame D…. ?
- A avoir des petites réflexions déplacées et gênantes pour votre entourage. Votre associée est une Femme « respectable », ce n’est pas un « spectacle », même si les mots sont presque paronymes.
- Je vous assure Madame D…., je ne considère pas le moins du monde mon esclave comme un singe de cirque, bien au contraire, c’est « une soumise MDE » (insistant bien en parlant) que j’apprécie dans toute sa dimension. Elle m’appartient corps, esprit et âme. Elle m’a fait don de sa soumission et me prouve tous les jours sa gratitude et son immense Dévotion et pour tout cela, je lui en suis également reconnaissant. Elle est à moi, un bien précieux, un diamant que je cherche à polir pour le faire étinceler, une chienne obéissante et si dévouée.
- Permettez-moi d’en douter, elle semble un jouet entre vos mains, un sextoy vivant au service de vos besoins d’homme éjaculateur, et en fait de diamant une simple pierre brute dans votre édifice parmi tant d’autres.
- Je peux entendre que vous ne compreniez pas vraiment notre monde BDSM, mais ce n’est pas une raison pour le dénigrer et le dénaturer.
- Je suis désolée de devoir vous faire remarquer que c’est vous, Monsieur d’Evans, qui m’avez mis toutes vos perversités et autres déviances en pleine figure alors que je n’avais rien demandé et que je ne venais que pour négocier une banale transaction immobilière.
- Et bien laissons cela de côté pour l’instant, nous en reparlerons au diner si vous le voulez bien, dans un contexte plus privé qui vous mettra forcément plus à l’aise. Mais n’est-ce pas vous qui aviez autorisé Isabelle à participer à notre entretien.
- Oui, tout à fait, je le reconnais. J’ai autorisé votre associé à se joindre à nous, car il me semblait que cela était logique eu égard à la nature de notre transaction puisque elle dirige la société qui pourrait devenir l’acquéreur si nous parvenons à faire affaire. Je n’ai nullement donné quelque accord que ce soit pour une esclave MDE, nue, mise au coin, baveuse obligée de garder la langue pendante et les yeux baissés pour satisfaire vos désirs de Maître Dominant que je n’ose qualifier.
- Vous avez quelque chose contre les animaux domestiques ? Regardez ma chienne comme elle est bien dressée et comme elle semble heureuse d’être à mes pieds et de savoir combien je tiens à elle.
Le Marquis d’Evans promène affectueusement sa main dans les cheveux et sur la tête de sa chienne-soumise Thaïs MDE, tandis que l’esclave affiche un sourire des plus radieux de pouvoir être à cette place où elle se sent si bien. Aurélie est perdue dans ses pensées, un certain rejet de tout ce qu’elle voit qui la gêne et la choque, et à contrario une envie profonde de pouvoir être à la place d’Isabelle, même si elle pense qu’elle ne peut le concevoir que comme un simple fantasme intime et secret. En aucun cas, elle n’aurait l’idée de franchir le pas pour rejoindre une communauté D/s vivant leurs particularités dans la réalité de relations de Domination/soumission, même pour le temps d’un simple jeu érotisé excitant, ne voulant jamais perdre le contrôle qu’elle s’impose à tout instant. Le Marquis d’Evans reprend :
- Madame D…., ne voulez-vous pas savoir l’objet de l’appel téléphonique que je viens de recevoir ? Cela concerne notre affaire qui commence à prendre forme...
(A suivre...)
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