La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 559)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 559)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°544 -
Le Marquis d’Evans vient de laisser sa chienne-esclave N°17MDE dont il a rempli les trois orifices avec trois godes répliques parfaites de tous ses attributs virils, un sexe gonflé en érection et deux couilles bien pleines. La soumise qui a été punie pour avoir mis un peu trop de temps à identifier avec sa bouche et sous le bandeau le divin phallus parmi cinq autres continue sa fellation imposée à gorge profonde avec application, espérant pouvoir rentrer en grâce aux yeux du Maître Vénéré le plus rapidement possible. Un exercice éprouvant car elle doit se reculer régulièrement pour reprendre un peu sa respiration et pour cela tirer sur un ressort qui inexorablement à tendance à se contracter et à l’obliger à engloutir à nouveau profondément le phallus inerte, mais un exercice au combien excitant pour la chienne en chaleur qui sait que ce n’est pas un simple morceau de plastique qu’elle a en bouche, mais bien le fac-similé du membre érigé du Dominant auquel elle a voué sa vie avec soumission et profonde Dévotion.
Le Châtelain salue courtoisement Master Bill et l’assemblée des 4 autres Dominants qui sont autour, car IL sait qu’il voudrait pouvoir continuer à faire le tour de ses amis et il vient d’apercevoir juste à côté Domma Onyx. La Dominante en question est une magnifique brune aux longs cheveux bouclés et aux yeux d’un vert émeraude particulièrement brillant. Un regard des plus envoutants avec ses longs cils noirs et un maquillage prononcé qui accentue la couleur naturelle de l’iris ; tout autour un masque noir fait de dentelle couvre le haut du visage pour lui donner encore plus de charme intriguant et captivant. Domma Onyx a depuis longtemps retiré la tenue vestimentaire plus habillée qu’elle portait à son arrivée au Château, pour profiter sans la moindre pudeur des attraits jouissifs de la nuitée orgiaque, ne conservant que ses bas sexy de dentelle noire, ses chaussures à hauts talons effilés, et ce qui lui tenait lieu de sous-vêtements bien loin de la classique petite culotte blanche en coton. En effet, elle porte un corset ajusté noir en dentelle qui laisse apparent son intimité humide et son pubis couvert d’une toison brune fournie taillée en cœur. Ce justaucorps se termine en haut par un dessous de soutien gorge avec armatures qui lui galbent deux seins fermes et pointus aux auréoles foncés laissés apparents, et au centre deux mamelons qui sont recouverts du même onguent à lèvres, couleur grenat que celui qui pare le contour de sa bouche. La Dominante n’est pas très grande physiquement, mais son allure droite et ferme en impose tout autant que le charme érotique qu’elle dégage.
Domma Onyx partage sa vie de couple tout autant que sa relation D/s avec à ses pieds un esclave mâle qui voue à la Dominante une Dévotion sans bornes tout autant qu’à la Femme-épouse une passion amoureuse qui donne à leur relation D/s une puissance toute particulière, avec des sentiments réciproques très forts qui leur permettent d’aller encore plus loin dans la recherche des plaisirs à partager. SlaveDO lui a juré une fidélité absolue et une obéissance totale depuis quatre ans déjà et étape après étape, il est devenu un autre homme pour lui plaire et pour satisfaire le moindre désir de celle qui rempli sa vie d’un bonheur sans fin, l’obligeant sans cesse à aller plus loin et à satisfaire la moindre de ses exigences. Pour pouvoir profiter de plaisirs sexuels plus puissants avec notamment certaines positions d’accouplement moins traditionnelles qui demandent de la force physique, depuis 6 mois, Domma Onyx a décidé de s’occuper de muscler le corps de son esclave qui avait eu tendance avec les années à prendre un léger embonpoint au niveau de la taille. Ceci n’était pas du tout au goût de la Dominante toujours très sportive qui voulait à ses pieds non pas une carpette affaiblie ou un béni-oui-oui que l’on mène par le bout du nez, mais bien un homme aux attributs virils capable de lui donner du plaisir quand et comme elle l’exigerait, et qui par Dévotion et/ou par Amour aurait assez de force mentale et physique pour contrôler ses pulsions de mâle bandant et éjaculant qui se laisse souvent diriger par les seuls instincts primaires de sa queue à dérouler.
Le Marquis d’Evans s’approche tandis que Domma Onyx est assise sur un petit pouf les jambes écartées ayant entre ses pieds SlaveDO et visiblement dans son dos un esclave mâle qui porte le N°36MDE la tête enfouie entre les fesses de la Domina.
- Très chère amie, Domma Onyx, si Je ne vous dérange pas dans un instant sublime, permettez-moi de vous saluer et de prendre de vos nouvelles.
- Monsieur le Marquis d’Evans, Vous savez bien que j’ai toujours grand plaisir à pouvoir converser avec Vous. Approchez, je Vous en prie, il y a un fauteuil juste à mes côtés. Cela ne vous dérange pas cependant que je laisse mon esclave poursuivre son entrainement physique.
Tandis que la Dominante s’enquière auprès du Noble Maître des Lieux si elle peut poursuivre, la cravache qu’elle tient dans les mains s’abat avec force sur la croupe déjà marquée de l’esclave qui sursaute en criant.
- Qui t’a permis de t’arrêter, toi ! Crois-tu que tu sois au bout de tes peines alors que je n’ai reçu que quelques misérables furtifs coups de langue lorsque tu veux bien te redresser suffisamment. On verra ce que je déciderais lorsque j’aurais enfin pu jouir de ce qui aurait dû être un savant cunnilingus, mais qui n’arrive même pas à assécher la cyprine qui coule entre mes jambes. Un peu de nerfs, que Diable, si tu ne veux pas me déplaire et me faire honte devant le très Noble Monsieur le Marquis d’Evans.
SlaveDO est allongé entre les jambes de la Dominante et il est occupé à faire des pompes depuis un bon moment qui lui paraît avoir duré une éternité tant les muscles de ses bras et de son ventre lui tirent de partout. A chaque fois qu’il se redresse, il est autorisé pour se donner du courage à venir lécher la chatte onctueuse, attrayante et odorante de Domma Onyx, mais cela lui réclame un effort supplémentaire pour redresser le visage et tendre la langue dans l’entrecuisse qu’il arrive à peine à effleurer avant de redescendre. S’il n’arrive pas à tenir suffisamment longtemps en l’air, ou s’il n’atteint pas la cible de sa langue, ou encore s’il a le malheur de s’affaler au sol de tout son long au lieu de rester en tension sur les mains et les pieds, la cravache siffle sur son fondement sans ménagement. Dans un sursaut de désir de satisfaire la Maîtresse autant que la Femme excitée, l’esclave puise dans ses réserves pour redoubler d’énergie sachant que le Marquis d’Evans en personne doit regarder la scène avec intérêt et qu’IL ne manquera pas de commenter s’IL trouve que le dominé ne met pas tout son cœur et son corps à l’ouvrage .
Avec un petit côté de perversité qui n’échappe pas au Maître des Lieux, la Domina pose son pied sur le dos du soumis à l’entrainement. Le poids supplémentaire qu’il lui faut soulever à chaque pompe est une épreuve de plus pour l’esclave déjà exténué, mais l’entrejambe encore plus ouvert de Domma Onyx qui s’offre à sa vue et à sa langue est une raison très motivante pour celui qui cherche à venir titiller à chaque passage le petit bouton de roses turgescent qui exhale toutes les saveurs odorantes féminines du désir sexuel. SlaveDO bande de plus en plus, et il sait qu’il ne sera autorisé à pénétrer la caverne humide avec son organe phallique que s’il a su suffisamment excité au préalable celle qui lui ouvrira les portes du paradis charnel. S’il échoue, il sait très bien que son sexe frustré devra rejoindre la cage de chasteté habituelle en attendant de pouvoir profiter d’un plaisir autorisé plus jouissif. Depuis longtemps, même si parfois il trouve que c’est physiquement éprouvant, il a renoncé aux plaisirs en solitaire de la masturbation et aux accouplements vanille qui ne mettaient pas assez de piment dans leur vie sexuelle, préférant de loin tant l’un que l’autre les saveurs chocolats érotisées. Et ceci d’autant plus que la libido exacerbée de la Domina toujours en manque de sexe est telle que l’esclave y trouve largement son compte à simplement devoir satisfaire toutes ses demandes sensuelles et charnelles.
Inspiré par la position de la Domina qui est à ses côtés et qui vient de poser son pied sur le dos de SlaveDO, Le Marquis d’Evans voulant prendre encore plus ses aises dans le grand fauteuil dans lequel IL vient de s’asseoir ordonne à la chienne-esclave Holly MDE qu’IL tient toujours en laisse de venir s’installer à quatre pattes juste à ses pieds. Le Châtelain, se servant de sa soumise comme d’un repose-pied, presque inerte bien qu’humain, ajoute.
- Je vais me contenter pour l’instant du dos bien droit de Ma chienne pour soulager Mes jambes et laisser ma queue qui a bien œuvrer jusqu’à présent au repos dans Mon boxer. Mais une autre fois, Je ne dis pas que Je ne serai pas tenté par un savant mélange entre pompes sportives et fellation jouissives. Je vais ajouter cet exercice à la liste de ceux que régulièrement Mon Majordome impose à tout Mon cheptel dans la salle de sport car Je veille particulièrement à garder chaque esclave en bonne santé physique et morale, il en va de Mes obligations de Maître Dominant, digne de ce nom.
Bien que Domma Onyx soit carrément en train de se faire lécher l’entrecuisse d’autant plus écarté et exhibé depuis qu’elle a plié et levé une jambe, Le Maître des Lieux et la Domina discutent ensemble sans la moindre gêne, ni regard déplacé du Noble, qui n’est pas voyeur par nature mais seulement intéressé par tout ce qui relève des enjeux des relations de Domination/soumission qui s’expriment différemment suivant chaque tandem. Se sentant particulièrement au centre de la discussion, les coups de langue de SlaveDO se font plus réguliers et plus longs, malgré le souffle haletant de l’esclave qui peine à l’effort.
- Chère Domma Onyx, à ce que Je vois, votre esclave a pris des biceps depuis notre dernière rencontre.
- Très cher Marquis, Vous avez raison. Je dois avouer que j’en avais assez de voir sa bedaine gonfler au fil des années et bien que je ne sois pas une adepte du bodybuilding à outrance, j’ai décidé de devenir également son coach sportif et de remplacer tout cela par de belles tablettes de chocolat bien plus viriles qu’une sangle abdominale gonflée et tombante qui précède souvent l’arrivée des charentaises. En réalité, je savoure surtout lorsque que ma petite chose à mes pieds est autorisée à me sauter virilement en me plaquant contre le mur tout en me faisant monter et descendre sur sa queue par la seule force de ses bras, et que ce faisant il me fait grimper au nirvana alors même qu’il n’est pas autorisé de jouir avant de m’avoir fait faire 3 ou 4 voyages au 7ème ciel sans ascenseur. C’est pourquoi, je le munie souvent d’un anneau retardateur pour profiter de sa bandaison le plus longtemps possible.
- Très chère, Je reconnais bien là la divine gourmande sensuelle qui sommeille en vous à la taille XS mais à la libido XL, sachant que cette gourmandise là et tout ce qui relève du sport en chambre ne peut qu’apporter bien-être et plénitude dans nos vies personnelles et professionnelles parfois trop trépidantes.
Tandis que l’esclave peine de plus à soulever son corps et la jambe de son épouse Dominante en appui sur son dos, la cravache retentit à moult reprises, ce qui excite largement la Domina de pouvoir librement jouer tout à son aise de l’instrument cinglant sous le regard du Maître des Lieux, reconnu par tous ses pairs comme le meilleur Dominant de toute la communauté D/s que chacun voudrait pouvoir imiter mais sans jamais parvenir à l’égaler. Son égo émoustillée par la présence et les propos du Châtelain, Domma Onyx décide d’intervertir les rôles.
- SlaveDO ! Suffit ! A genoux maintenant, tu vas laisser un peu ta place à l’esclave N°36MDE de Monsieur le Marquis d’Evans qui est à ma disposition pour toute la soirée. Autant que je profite également de la langue de ce chien docile qui m’a l’air robuste.
Pas trop mécontent de prendre un peu de repos physique, l’esclave se redresse, se positionne à genoux en attendant les ordres, la tête baissée, le regard à terre et les mains derrière la nuque. Il est si excité de ses nombreux va-et-vient buccaux qu’il arbore entre ses cuisses un sexe gonflé qui pointe vers le ciel.
- Et bien, ma petite chose, il me semble que tu as la queue bien raide. J’espère que Notre Noble Hôte ne s’en offusquera pas, lui qui a l’habitude de mettre en cage les nouilles de ses soumis dociles. Mais je dois avouer que voir la démonstration manifeste de ta concupiscence et de ta virilité n’est pas pour me déplaire, dans la mesure où je suis assurée que tes désirs d’homme et tes plaisirs sexuels ne passent « QUE » (en insistant bien sur les derniers mots possessifs) par « MA » volonté et qu’ils ne sont là que pour « MA » jouissance et pour satisfaire « MES » appétences et « MES » exigences. N’est-ce pas ?
- Oui, Divine Madame. Vous savez bien que je n’appartiens qu’à vous et que je n’ai qu’un seul but dans la vie, celui de vous satisfaire et de vous rendre le plus heureuse possible. C’est ainsi que je me sens moi, votre esclave à vos pieds, votre petite chose qui bande de désir de vous et que de vous.
- Alors debout, que je vois de plus près cette verge qui s’érige mais qui n’a pas encore mérité de trouver un fourreau pour venir se frotter dedans à la recherche de mon point G...
(A suivre ...)
Le Marquis d’Evans vient de laisser sa chienne-esclave N°17MDE dont il a rempli les trois orifices avec trois godes répliques parfaites de tous ses attributs virils, un sexe gonflé en érection et deux couilles bien pleines. La soumise qui a été punie pour avoir mis un peu trop de temps à identifier avec sa bouche et sous le bandeau le divin phallus parmi cinq autres continue sa fellation imposée à gorge profonde avec application, espérant pouvoir rentrer en grâce aux yeux du Maître Vénéré le plus rapidement possible. Un exercice éprouvant car elle doit se reculer régulièrement pour reprendre un peu sa respiration et pour cela tirer sur un ressort qui inexorablement à tendance à se contracter et à l’obliger à engloutir à nouveau profondément le phallus inerte, mais un exercice au combien excitant pour la chienne en chaleur qui sait que ce n’est pas un simple morceau de plastique qu’elle a en bouche, mais bien le fac-similé du membre érigé du Dominant auquel elle a voué sa vie avec soumission et profonde Dévotion.
Le Châtelain salue courtoisement Master Bill et l’assemblée des 4 autres Dominants qui sont autour, car IL sait qu’il voudrait pouvoir continuer à faire le tour de ses amis et il vient d’apercevoir juste à côté Domma Onyx. La Dominante en question est une magnifique brune aux longs cheveux bouclés et aux yeux d’un vert émeraude particulièrement brillant. Un regard des plus envoutants avec ses longs cils noirs et un maquillage prononcé qui accentue la couleur naturelle de l’iris ; tout autour un masque noir fait de dentelle couvre le haut du visage pour lui donner encore plus de charme intriguant et captivant. Domma Onyx a depuis longtemps retiré la tenue vestimentaire plus habillée qu’elle portait à son arrivée au Château, pour profiter sans la moindre pudeur des attraits jouissifs de la nuitée orgiaque, ne conservant que ses bas sexy de dentelle noire, ses chaussures à hauts talons effilés, et ce qui lui tenait lieu de sous-vêtements bien loin de la classique petite culotte blanche en coton. En effet, elle porte un corset ajusté noir en dentelle qui laisse apparent son intimité humide et son pubis couvert d’une toison brune fournie taillée en cœur. Ce justaucorps se termine en haut par un dessous de soutien gorge avec armatures qui lui galbent deux seins fermes et pointus aux auréoles foncés laissés apparents, et au centre deux mamelons qui sont recouverts du même onguent à lèvres, couleur grenat que celui qui pare le contour de sa bouche. La Dominante n’est pas très grande physiquement, mais son allure droite et ferme en impose tout autant que le charme érotique qu’elle dégage.
Domma Onyx partage sa vie de couple tout autant que sa relation D/s avec à ses pieds un esclave mâle qui voue à la Dominante une Dévotion sans bornes tout autant qu’à la Femme-épouse une passion amoureuse qui donne à leur relation D/s une puissance toute particulière, avec des sentiments réciproques très forts qui leur permettent d’aller encore plus loin dans la recherche des plaisirs à partager. SlaveDO lui a juré une fidélité absolue et une obéissance totale depuis quatre ans déjà et étape après étape, il est devenu un autre homme pour lui plaire et pour satisfaire le moindre désir de celle qui rempli sa vie d’un bonheur sans fin, l’obligeant sans cesse à aller plus loin et à satisfaire la moindre de ses exigences. Pour pouvoir profiter de plaisirs sexuels plus puissants avec notamment certaines positions d’accouplement moins traditionnelles qui demandent de la force physique, depuis 6 mois, Domma Onyx a décidé de s’occuper de muscler le corps de son esclave qui avait eu tendance avec les années à prendre un léger embonpoint au niveau de la taille. Ceci n’était pas du tout au goût de la Dominante toujours très sportive qui voulait à ses pieds non pas une carpette affaiblie ou un béni-oui-oui que l’on mène par le bout du nez, mais bien un homme aux attributs virils capable de lui donner du plaisir quand et comme elle l’exigerait, et qui par Dévotion et/ou par Amour aurait assez de force mentale et physique pour contrôler ses pulsions de mâle bandant et éjaculant qui se laisse souvent diriger par les seuls instincts primaires de sa queue à dérouler.
Le Marquis d’Evans s’approche tandis que Domma Onyx est assise sur un petit pouf les jambes écartées ayant entre ses pieds SlaveDO et visiblement dans son dos un esclave mâle qui porte le N°36MDE la tête enfouie entre les fesses de la Domina.
- Très chère amie, Domma Onyx, si Je ne vous dérange pas dans un instant sublime, permettez-moi de vous saluer et de prendre de vos nouvelles.
- Monsieur le Marquis d’Evans, Vous savez bien que j’ai toujours grand plaisir à pouvoir converser avec Vous. Approchez, je Vous en prie, il y a un fauteuil juste à mes côtés. Cela ne vous dérange pas cependant que je laisse mon esclave poursuivre son entrainement physique.
Tandis que la Dominante s’enquière auprès du Noble Maître des Lieux si elle peut poursuivre, la cravache qu’elle tient dans les mains s’abat avec force sur la croupe déjà marquée de l’esclave qui sursaute en criant.
- Qui t’a permis de t’arrêter, toi ! Crois-tu que tu sois au bout de tes peines alors que je n’ai reçu que quelques misérables furtifs coups de langue lorsque tu veux bien te redresser suffisamment. On verra ce que je déciderais lorsque j’aurais enfin pu jouir de ce qui aurait dû être un savant cunnilingus, mais qui n’arrive même pas à assécher la cyprine qui coule entre mes jambes. Un peu de nerfs, que Diable, si tu ne veux pas me déplaire et me faire honte devant le très Noble Monsieur le Marquis d’Evans.
SlaveDO est allongé entre les jambes de la Dominante et il est occupé à faire des pompes depuis un bon moment qui lui paraît avoir duré une éternité tant les muscles de ses bras et de son ventre lui tirent de partout. A chaque fois qu’il se redresse, il est autorisé pour se donner du courage à venir lécher la chatte onctueuse, attrayante et odorante de Domma Onyx, mais cela lui réclame un effort supplémentaire pour redresser le visage et tendre la langue dans l’entrecuisse qu’il arrive à peine à effleurer avant de redescendre. S’il n’arrive pas à tenir suffisamment longtemps en l’air, ou s’il n’atteint pas la cible de sa langue, ou encore s’il a le malheur de s’affaler au sol de tout son long au lieu de rester en tension sur les mains et les pieds, la cravache siffle sur son fondement sans ménagement. Dans un sursaut de désir de satisfaire la Maîtresse autant que la Femme excitée, l’esclave puise dans ses réserves pour redoubler d’énergie sachant que le Marquis d’Evans en personne doit regarder la scène avec intérêt et qu’IL ne manquera pas de commenter s’IL trouve que le dominé ne met pas tout son cœur et son corps à l’ouvrage .
Avec un petit côté de perversité qui n’échappe pas au Maître des Lieux, la Domina pose son pied sur le dos du soumis à l’entrainement. Le poids supplémentaire qu’il lui faut soulever à chaque pompe est une épreuve de plus pour l’esclave déjà exténué, mais l’entrejambe encore plus ouvert de Domma Onyx qui s’offre à sa vue et à sa langue est une raison très motivante pour celui qui cherche à venir titiller à chaque passage le petit bouton de roses turgescent qui exhale toutes les saveurs odorantes féminines du désir sexuel. SlaveDO bande de plus en plus, et il sait qu’il ne sera autorisé à pénétrer la caverne humide avec son organe phallique que s’il a su suffisamment excité au préalable celle qui lui ouvrira les portes du paradis charnel. S’il échoue, il sait très bien que son sexe frustré devra rejoindre la cage de chasteté habituelle en attendant de pouvoir profiter d’un plaisir autorisé plus jouissif. Depuis longtemps, même si parfois il trouve que c’est physiquement éprouvant, il a renoncé aux plaisirs en solitaire de la masturbation et aux accouplements vanille qui ne mettaient pas assez de piment dans leur vie sexuelle, préférant de loin tant l’un que l’autre les saveurs chocolats érotisées. Et ceci d’autant plus que la libido exacerbée de la Domina toujours en manque de sexe est telle que l’esclave y trouve largement son compte à simplement devoir satisfaire toutes ses demandes sensuelles et charnelles.
Inspiré par la position de la Domina qui est à ses côtés et qui vient de poser son pied sur le dos de SlaveDO, Le Marquis d’Evans voulant prendre encore plus ses aises dans le grand fauteuil dans lequel IL vient de s’asseoir ordonne à la chienne-esclave Holly MDE qu’IL tient toujours en laisse de venir s’installer à quatre pattes juste à ses pieds. Le Châtelain, se servant de sa soumise comme d’un repose-pied, presque inerte bien qu’humain, ajoute.
- Je vais me contenter pour l’instant du dos bien droit de Ma chienne pour soulager Mes jambes et laisser ma queue qui a bien œuvrer jusqu’à présent au repos dans Mon boxer. Mais une autre fois, Je ne dis pas que Je ne serai pas tenté par un savant mélange entre pompes sportives et fellation jouissives. Je vais ajouter cet exercice à la liste de ceux que régulièrement Mon Majordome impose à tout Mon cheptel dans la salle de sport car Je veille particulièrement à garder chaque esclave en bonne santé physique et morale, il en va de Mes obligations de Maître Dominant, digne de ce nom.
Bien que Domma Onyx soit carrément en train de se faire lécher l’entrecuisse d’autant plus écarté et exhibé depuis qu’elle a plié et levé une jambe, Le Maître des Lieux et la Domina discutent ensemble sans la moindre gêne, ni regard déplacé du Noble, qui n’est pas voyeur par nature mais seulement intéressé par tout ce qui relève des enjeux des relations de Domination/soumission qui s’expriment différemment suivant chaque tandem. Se sentant particulièrement au centre de la discussion, les coups de langue de SlaveDO se font plus réguliers et plus longs, malgré le souffle haletant de l’esclave qui peine à l’effort.
- Chère Domma Onyx, à ce que Je vois, votre esclave a pris des biceps depuis notre dernière rencontre.
- Très cher Marquis, Vous avez raison. Je dois avouer que j’en avais assez de voir sa bedaine gonfler au fil des années et bien que je ne sois pas une adepte du bodybuilding à outrance, j’ai décidé de devenir également son coach sportif et de remplacer tout cela par de belles tablettes de chocolat bien plus viriles qu’une sangle abdominale gonflée et tombante qui précède souvent l’arrivée des charentaises. En réalité, je savoure surtout lorsque que ma petite chose à mes pieds est autorisée à me sauter virilement en me plaquant contre le mur tout en me faisant monter et descendre sur sa queue par la seule force de ses bras, et que ce faisant il me fait grimper au nirvana alors même qu’il n’est pas autorisé de jouir avant de m’avoir fait faire 3 ou 4 voyages au 7ème ciel sans ascenseur. C’est pourquoi, je le munie souvent d’un anneau retardateur pour profiter de sa bandaison le plus longtemps possible.
- Très chère, Je reconnais bien là la divine gourmande sensuelle qui sommeille en vous à la taille XS mais à la libido XL, sachant que cette gourmandise là et tout ce qui relève du sport en chambre ne peut qu’apporter bien-être et plénitude dans nos vies personnelles et professionnelles parfois trop trépidantes.
Tandis que l’esclave peine de plus à soulever son corps et la jambe de son épouse Dominante en appui sur son dos, la cravache retentit à moult reprises, ce qui excite largement la Domina de pouvoir librement jouer tout à son aise de l’instrument cinglant sous le regard du Maître des Lieux, reconnu par tous ses pairs comme le meilleur Dominant de toute la communauté D/s que chacun voudrait pouvoir imiter mais sans jamais parvenir à l’égaler. Son égo émoustillée par la présence et les propos du Châtelain, Domma Onyx décide d’intervertir les rôles.
- SlaveDO ! Suffit ! A genoux maintenant, tu vas laisser un peu ta place à l’esclave N°36MDE de Monsieur le Marquis d’Evans qui est à ma disposition pour toute la soirée. Autant que je profite également de la langue de ce chien docile qui m’a l’air robuste.
Pas trop mécontent de prendre un peu de repos physique, l’esclave se redresse, se positionne à genoux en attendant les ordres, la tête baissée, le regard à terre et les mains derrière la nuque. Il est si excité de ses nombreux va-et-vient buccaux qu’il arbore entre ses cuisses un sexe gonflé qui pointe vers le ciel.
- Et bien, ma petite chose, il me semble que tu as la queue bien raide. J’espère que Notre Noble Hôte ne s’en offusquera pas, lui qui a l’habitude de mettre en cage les nouilles de ses soumis dociles. Mais je dois avouer que voir la démonstration manifeste de ta concupiscence et de ta virilité n’est pas pour me déplaire, dans la mesure où je suis assurée que tes désirs d’homme et tes plaisirs sexuels ne passent « QUE » (en insistant bien sur les derniers mots possessifs) par « MA » volonté et qu’ils ne sont là que pour « MA » jouissance et pour satisfaire « MES » appétences et « MES » exigences. N’est-ce pas ?
- Oui, Divine Madame. Vous savez bien que je n’appartiens qu’à vous et que je n’ai qu’un seul but dans la vie, celui de vous satisfaire et de vous rendre le plus heureuse possible. C’est ainsi que je me sens moi, votre esclave à vos pieds, votre petite chose qui bande de désir de vous et que de vous.
- Alors debout, que je vois de plus près cette verge qui s’érige mais qui n’a pas encore mérité de trouver un fourreau pour venir se frotter dedans à la recherche de mon point G...
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