La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 583)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 352 029 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 598 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 583)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°581) - L’Acte de Propriété –
Les trente journées et nuits enfermées dans cette luxueuse chambre en guise de convalescence du marquage au fer rouge, resteraient inoubliables... Le chien soumis MDE, arborait fièrement aujourd’hui, sur le haut de sa fesse droite, les Trois Nobles Initiales de Monsieur Le Marquis d’Evans, sur sa peau. Ces trois lettres s’incrustaient magnifiquement dans ses chairs en formant un ensemble de saillies et de creux à la surface de sa peau. Un vrai plaisir à regarder, mais aussi à toucher, cette œuvre sculptée dans un cercle faisait ressorti les trois lettres finement ciselée telle une gravure sur du métal. La cicatrisation était parfaite, la peau avait retrouvé sa couleur normale grâce aux bons soins prodigués avec application au quotidien par les soumises Phryné MDE et Laïs MDE, sous le dictat de Madame Ella !...
Les trente journées enfermées dans cette prison dorée avaient été consacrées également à l’éducation et au dressage du chien soumis Endymion MDE pour faire de lui une bonne lope, mais aussi l’aguerrir et l’acclimater aux pratiques BDSM les plus perverses et les plus vicieuses. Le chien soumis MDE était devenu un vrai masochiste, trouvant l’orgasme uniquement dans des traitements humiliants, douloureux et pénibles.
Les trente nuits n’avaient été qu’orgies et débauches, au masculin uniquement. Le Maître, connaissant les penchants homosexuels de Son chien soumis, avait satisfait ses attirances gays, en l’obligeant à baiser, à maintes reprises, avec ceux qu’il lui livrait et imposait, jusqu’à presque le rassasier de bites ! Son cul et sa bouche en avait pris et repris de toutes tailles et dimensions, dans des postures les plus souvent obscènes, immorales et avilissantes afin de le dépraver, le dégrader et l’abâtardir…Son anus et sa bouche étaient devenus des vides-couilles, des réceptacles à spermes…
Ce matin, Monsieur Walter était venu récupérer soumis Endymion MDE pour le conduire dans le bureau du Maître et l’avait installé dans un carcan d’un autre âge. Monsieur le Marquis d’Evans, derrière son bureau, était en train de rédiger un document avec une plume d’oie en guise de stylo. Il ne fit guère attention à Son chien soumis, tant il était préoccupé par ses écrits. Tenu courbé, la tête et les poignets bloqués, les chevilles enfermées, lui maintenant les jambes largement écartées, soumis Endymion MDE patienta longuement ainsi, jusqu’au moment où le Maître daigna enfin lever son regard et lui adresser la parole :
- Tu es devenu une bonne salope !
Ses encouragements et ses félicitations stimulaient soumis Endymion MDE, sa queue se redressa immédiatement. Monsieur le Marquis s’était levé, était venu devant le visage de son chien soumis, l’attrapait par les cheveux pour lui faire redresser la tête.
- Tu es devenu une bonne salope ! Réitéra-t-il
soumis Endymion MDE contraint de regarder le Maître droit dans les yeux, ne comprit pas ce que voulait précisément Monsieur le Marquis d’Evans. Il balbutia :
- Mer… Merci Maître, je… je suis devenu, grâce à Vous Maître Vénéré, une bonne salope, Votre salope !
Monsieur le Marquis relâcha les cheveux de son chien soumis et dégrafa lentement les boutons de sa braguette, juste devant les yeux de soumis Endymion MDE, il baissa tranquillement son pantalon à mi-cuisses puis ce fut au tour de son boxer. Il attrapa Son Noble sexe encore flasque et le posa sur les lèvres de Son chien soumis.
- Tiens Mon Chien, suce, régale toi !
soumis Endymion MDE s’efforçait de se montrer avide, il absorba, au plus loin dans sa bouche, cette bite molle malgré la contrainte imposée, entravé dans ce carcan, s’imposant un douloureux étirement de sa nuque pour l’avaler jusqu’à la racine. Son bonheur fut immense lorsqu’il sentit ce sexe gonfler dans sa bouche. Il était aux anges, heureux et fier de satisfaire le Maître. Il le suçait et l’aspirait goulument, Monsieur le Marquis guidait la bouche de l’esclave MDE sur sa queue tendue :
- Hum ! c’est bon Ma salope, tu sais maintenant instantanément contenter le Maître, tu sens comme tu me fais bien bander, regarde comme je suis maintenant bien gros et dur. Et en plus tu aimes ça, hein de m’avoir dans ta boucher, me sentir gonfler sous ta langue, tu as fait de gros progrès depuis un mois, avec ces baises intensives que je t’ai imposées.
Le chien soumis MDE ne pouvait répondre la bouche remplie par la queue du Maître, il se contenta de grogner. Doucement le Maître retirait sa queue de sa bouche, le chien soumis MDE tentait de la garder en l’aspirant
- Tu l’aimes Ma bite, hein, la chienne !
Le Maître repoussait sévèrement soumis Endymion MDE, puis fit le tour pour se positionner derrière lui. Il s’assurait au passage que Son chien soumis bandait bien. Ses insultes, ses agissements, à l’égard de soumis Endymion MDE, ne faisaient qu’exacerber son excitation, il était littéralement en transe. En voyant le Maître se positionner derrière lui pour sans doute l’enculer, il se mit à tortiller du cul, malgré les entraves. Il l’agitait comme une chienne en chaleur, espérant être pris sauvagement. Il ne pensait plus qu’à se faire baiser comme une chienne, à en déraisonner, à en devenir dingue, happé par ce sexe, telle une drogue, qui lui faisait perdre toute lucidité. Le Maître empoignait ce cul à pleine mains, le pétrissait, l’écartait comme pour exciter un peu plus encore soumis Endymion MDE, il l’insultait, le traitait de la pire des façons. Ses assauts dans son cul étaient d’une puissance inouïe, comme s’il voulait faire payer à Son chien soumis ses mœurs de dépravé, comme s’il voulait lui faire comprendre que cette queue qu’il avait dans le cul n’était pas n’importe quelle queue, mais Celle du Maître, comme s’il voulait montrer sa pleine et entière Domination. soumis Endymion MDE sentit plus que l’étau de ses mains se refermer ses hanches et ce pieu de chair lui envahir les entrailles, puis cette main se refermer sur ses génitaux pour les lui comprimer… une immense satisfaction pour soumis Endymion MDE, il criait, grognait, râlait sous ces coups de bite enragés en de virils coups de reins et tenait sa croupe bien offerte et cambrée.
- Défoncez-moi Maître ! Implorait soumis Endymion MDE
Monsieur le Marquis continuait de le prendre à grands coups de reins, déformant et martyrisant son petit cul puis, dans un dernier râle guttural, plus puissant encore, Monsieur le Marquis d’Evans se mit à jouir, une violente explosion de foutre, une longue giclée de sperme poisseux dans son cul dilaté…
- C’est bien ce que je te disais, tu es devenu une bonne salope !
Exténué par ce qu’il venait de subir, les fesses et les cuisses souillées de sperme, soumis Endymion MDE s’effondrait sur le carcan. Le Maître l’abandonnait ainsi, et quittait le bureau. Il fallut quelques minutes au chien soumis MDE pour reprendre conscience et sortir de cette léthargie dans laquelle il s’était laissé envelopper, un peu de manière délibéré. Retenu dans ce terrible instrument de contrainte, la tension dans ses muscles était de plus en plus douloureuse. Il se redressait enfin. Il était temps d’ailleurs, le Maître entrait de nouveau dans son bureau. Il était accompagné de son personnel le plus proche, évidemment Monsieur Walter, Son Majordome, Madame Marie, Sa fidèle cuisinière, mais aussi de Ses neveux, les Vicomtes d’Evans, ainsi qu’un autre homme, jamais vu jusqu’ici. Il était assez petit, quelque peu malingre, cheveux gris et courts, des lunettes posées sur le bout du nez… Vêtu d’un complet gris anthracite, tenant à la main un cartable, il paraissait quelque peu sinistre avec certainement une sévère perversité cachée.
- Détache-le ! Ordonna le Maître à l’attention de son Majordome en pointant de son index Son chien soumis MDE.
Pendant que soumis Endymion MDE fut libéré, les convives du Maître s’installèrent assis en demi-cercle dans de petits fauteuils bas. Le mâle soumis fut amené au centre de ce demi-cercle, et dut se mettre à genoux, dos bien droit, regard au sol, mains dans le dos. Il fut autorisé à poser son fessier sur ses talons. Monsieur le Marquis d’Evans regarda attentivement Son chien soumis un long moment, juste avant de s’adresser à cet inconnu :
- Mon cher maître dit-il en introduction…
soumis Endymion MDE pensa immédiatement qu’il s’agissait d’un Dominant, encore un, sans doute un habitué de ces Nobles Lieux, mais très vite, il comprit qu’il faisait fausse route, que ce maître portait cette dénomination pour toute autre raison.
- … Mon cher maître, je vous ai demandé de venir jusqu’à moi aujourd’hui, parce que j’ai une chose importante à vous demander. J’aimerai que vous enregistriez dans vos livres et registres, un acte important. Tenez, ce document ici, je vous en prie, prenez en connaissance….
Le Maître se tut en tendant le courrier qu’il était en train de rédiger lorsque soumis Endymion MDE lui fut amené ce matin même. L’homme qui était peut-être un Dominant était aussi et surtout Notaire de profession. Il lut à voix basse une première fois le document d’une page seulement, puis le tendit à Monsieur le Marquis en lui disant :
- C’est parfait Très cher Monsieur le Marquis ! Il n’y a rien à redire, il ne reste plus qu’à signer ce document, lequel je l’authentifierai de mon sceau. Mais peut-être pourriez-vous le lire à cette assemblée présente, eux tous seront ainsi témoins de l’évènement.
Monsieur le Marquis attrapa le document et se leva en ordonnant à Son chien soumis de le regarder droit dans les yeux. Il s’adressa à lui avant même de lire le document.
- Mon chien, ici entre Mes mains, un acte authentique, un acte qui va s’ajouter à tous les actes enregistrés depuis des siècles à cette très ancienne l’Etude Notariale dont maître Bourdeau est l’héritier depuis si longtemps, un acte qui fait de toi, Ma chose et Ma propriété pleine et entière, définitivement !
Le Maître se tut longuement regardant Son esclave avec un regard Dominant insoutenable, puis approcha de nouveau le courrier sous ses yeux et commença à en donner lecture.
- « Acte de propriété, selon la volonté commune des deux parties signataires entre Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans et l’esclave, soumis Endymion MDE »
Le Maître se tut encore, regardant attentivement Son chien soumis éberlué !
- « Ce jour, sis novembre deux mille quinze, par devant Maître Bourdeau, notaire à Lyon, ici présent, ont comparu Monsieur Edouard Marquis d’Evans, désigné le Maître, et soumis Endymion MDE désigné l’esclave, en présence de Monsieur et Madame Charles Edouard Vicomte et Vicomtesse d’Evans, tous deux domiciliés à New-York aux Etats-Unis d’Amérique, tous deux témoins. Il est établi ce qu’il suit :
1) L’esclave soumis Endymion MDE, sain de corps et d’esprit accepte librement de devenir propriété, pleine et entière, de manière définitive de Monsieur le Marquis d’Evans en tant qu’esclave. Par cet acte, l’esclave abandonne volontairement et en toute circonstance, sa souveraineté tant sur le plan physique que sur le plan mental. Il affirme son besoin de soumission extrême et accepte d’être à la totale disposition du Maître. Il reconnait que son but unique est de se livrer complètement et totalement, d’obéir inconditionnellement, de servir, d’honorer et donner du plaisir au Maître dans une obéissance totale. Il accepte l’échange de pouvoir total en les conférant au Maître.
2) Monsieur le Marquis d’Evans accepte soumis Endymion MDE comme Sa Propriété, Sa chose pleine et entière. Il s’engage à le nourrir, l’héberger, le soigner, le dresser, le punir et à l’utiliser au gré de ses volontés afin d’en faire un esclave docile et pervers. Monsieur le Marquis d’Evans assurera la sécurité et le bien-être de son esclave
3) En cas d’empêchement ou de décès de Monsieur le Marquis d’Evans, l’esclave deviendrait automatiquement la propriété de Monsieur et Madame les Vicomtes d’Evans, à défaut leurs héritiers.
4) L’acte de Propriété devient définitif après signature des deux parties et des témoins, tous ici présents. »
Le Maître se tut encore, soumis Endymion MDE, surpris eut bien du mal à cacher son émotion et son excitation, sa queue était raide presque arrogante…
- Tu le sais chien, ici, lors de ces moments si importants, lorsque des décisions importantes sont prises, l’esclave a toujours le choix de décider, sans que je lui en tienne rigueur. Tu es libre de signer ou non ce document.
soumis Endymion MDE le savait bien, et ce fut bien librement qu’il signa cet acte et apposa ses empreintes digitales de son index droit sur le feuillet et qu’il apposa aussi sa griffe…
(A suivre…)
Les trente journées et nuits enfermées dans cette luxueuse chambre en guise de convalescence du marquage au fer rouge, resteraient inoubliables... Le chien soumis MDE, arborait fièrement aujourd’hui, sur le haut de sa fesse droite, les Trois Nobles Initiales de Monsieur Le Marquis d’Evans, sur sa peau. Ces trois lettres s’incrustaient magnifiquement dans ses chairs en formant un ensemble de saillies et de creux à la surface de sa peau. Un vrai plaisir à regarder, mais aussi à toucher, cette œuvre sculptée dans un cercle faisait ressorti les trois lettres finement ciselée telle une gravure sur du métal. La cicatrisation était parfaite, la peau avait retrouvé sa couleur normale grâce aux bons soins prodigués avec application au quotidien par les soumises Phryné MDE et Laïs MDE, sous le dictat de Madame Ella !...
Les trente journées enfermées dans cette prison dorée avaient été consacrées également à l’éducation et au dressage du chien soumis Endymion MDE pour faire de lui une bonne lope, mais aussi l’aguerrir et l’acclimater aux pratiques BDSM les plus perverses et les plus vicieuses. Le chien soumis MDE était devenu un vrai masochiste, trouvant l’orgasme uniquement dans des traitements humiliants, douloureux et pénibles.
Les trente nuits n’avaient été qu’orgies et débauches, au masculin uniquement. Le Maître, connaissant les penchants homosexuels de Son chien soumis, avait satisfait ses attirances gays, en l’obligeant à baiser, à maintes reprises, avec ceux qu’il lui livrait et imposait, jusqu’à presque le rassasier de bites ! Son cul et sa bouche en avait pris et repris de toutes tailles et dimensions, dans des postures les plus souvent obscènes, immorales et avilissantes afin de le dépraver, le dégrader et l’abâtardir…Son anus et sa bouche étaient devenus des vides-couilles, des réceptacles à spermes…
Ce matin, Monsieur Walter était venu récupérer soumis Endymion MDE pour le conduire dans le bureau du Maître et l’avait installé dans un carcan d’un autre âge. Monsieur le Marquis d’Evans, derrière son bureau, était en train de rédiger un document avec une plume d’oie en guise de stylo. Il ne fit guère attention à Son chien soumis, tant il était préoccupé par ses écrits. Tenu courbé, la tête et les poignets bloqués, les chevilles enfermées, lui maintenant les jambes largement écartées, soumis Endymion MDE patienta longuement ainsi, jusqu’au moment où le Maître daigna enfin lever son regard et lui adresser la parole :
- Tu es devenu une bonne salope !
Ses encouragements et ses félicitations stimulaient soumis Endymion MDE, sa queue se redressa immédiatement. Monsieur le Marquis s’était levé, était venu devant le visage de son chien soumis, l’attrapait par les cheveux pour lui faire redresser la tête.
- Tu es devenu une bonne salope ! Réitéra-t-il
soumis Endymion MDE contraint de regarder le Maître droit dans les yeux, ne comprit pas ce que voulait précisément Monsieur le Marquis d’Evans. Il balbutia :
- Mer… Merci Maître, je… je suis devenu, grâce à Vous Maître Vénéré, une bonne salope, Votre salope !
Monsieur le Marquis relâcha les cheveux de son chien soumis et dégrafa lentement les boutons de sa braguette, juste devant les yeux de soumis Endymion MDE, il baissa tranquillement son pantalon à mi-cuisses puis ce fut au tour de son boxer. Il attrapa Son Noble sexe encore flasque et le posa sur les lèvres de Son chien soumis.
- Tiens Mon Chien, suce, régale toi !
soumis Endymion MDE s’efforçait de se montrer avide, il absorba, au plus loin dans sa bouche, cette bite molle malgré la contrainte imposée, entravé dans ce carcan, s’imposant un douloureux étirement de sa nuque pour l’avaler jusqu’à la racine. Son bonheur fut immense lorsqu’il sentit ce sexe gonfler dans sa bouche. Il était aux anges, heureux et fier de satisfaire le Maître. Il le suçait et l’aspirait goulument, Monsieur le Marquis guidait la bouche de l’esclave MDE sur sa queue tendue :
- Hum ! c’est bon Ma salope, tu sais maintenant instantanément contenter le Maître, tu sens comme tu me fais bien bander, regarde comme je suis maintenant bien gros et dur. Et en plus tu aimes ça, hein de m’avoir dans ta boucher, me sentir gonfler sous ta langue, tu as fait de gros progrès depuis un mois, avec ces baises intensives que je t’ai imposées.
Le chien soumis MDE ne pouvait répondre la bouche remplie par la queue du Maître, il se contenta de grogner. Doucement le Maître retirait sa queue de sa bouche, le chien soumis MDE tentait de la garder en l’aspirant
- Tu l’aimes Ma bite, hein, la chienne !
Le Maître repoussait sévèrement soumis Endymion MDE, puis fit le tour pour se positionner derrière lui. Il s’assurait au passage que Son chien soumis bandait bien. Ses insultes, ses agissements, à l’égard de soumis Endymion MDE, ne faisaient qu’exacerber son excitation, il était littéralement en transe. En voyant le Maître se positionner derrière lui pour sans doute l’enculer, il se mit à tortiller du cul, malgré les entraves. Il l’agitait comme une chienne en chaleur, espérant être pris sauvagement. Il ne pensait plus qu’à se faire baiser comme une chienne, à en déraisonner, à en devenir dingue, happé par ce sexe, telle une drogue, qui lui faisait perdre toute lucidité. Le Maître empoignait ce cul à pleine mains, le pétrissait, l’écartait comme pour exciter un peu plus encore soumis Endymion MDE, il l’insultait, le traitait de la pire des façons. Ses assauts dans son cul étaient d’une puissance inouïe, comme s’il voulait faire payer à Son chien soumis ses mœurs de dépravé, comme s’il voulait lui faire comprendre que cette queue qu’il avait dans le cul n’était pas n’importe quelle queue, mais Celle du Maître, comme s’il voulait montrer sa pleine et entière Domination. soumis Endymion MDE sentit plus que l’étau de ses mains se refermer ses hanches et ce pieu de chair lui envahir les entrailles, puis cette main se refermer sur ses génitaux pour les lui comprimer… une immense satisfaction pour soumis Endymion MDE, il criait, grognait, râlait sous ces coups de bite enragés en de virils coups de reins et tenait sa croupe bien offerte et cambrée.
- Défoncez-moi Maître ! Implorait soumis Endymion MDE
Monsieur le Marquis continuait de le prendre à grands coups de reins, déformant et martyrisant son petit cul puis, dans un dernier râle guttural, plus puissant encore, Monsieur le Marquis d’Evans se mit à jouir, une violente explosion de foutre, une longue giclée de sperme poisseux dans son cul dilaté…
- C’est bien ce que je te disais, tu es devenu une bonne salope !
Exténué par ce qu’il venait de subir, les fesses et les cuisses souillées de sperme, soumis Endymion MDE s’effondrait sur le carcan. Le Maître l’abandonnait ainsi, et quittait le bureau. Il fallut quelques minutes au chien soumis MDE pour reprendre conscience et sortir de cette léthargie dans laquelle il s’était laissé envelopper, un peu de manière délibéré. Retenu dans ce terrible instrument de contrainte, la tension dans ses muscles était de plus en plus douloureuse. Il se redressait enfin. Il était temps d’ailleurs, le Maître entrait de nouveau dans son bureau. Il était accompagné de son personnel le plus proche, évidemment Monsieur Walter, Son Majordome, Madame Marie, Sa fidèle cuisinière, mais aussi de Ses neveux, les Vicomtes d’Evans, ainsi qu’un autre homme, jamais vu jusqu’ici. Il était assez petit, quelque peu malingre, cheveux gris et courts, des lunettes posées sur le bout du nez… Vêtu d’un complet gris anthracite, tenant à la main un cartable, il paraissait quelque peu sinistre avec certainement une sévère perversité cachée.
- Détache-le ! Ordonna le Maître à l’attention de son Majordome en pointant de son index Son chien soumis MDE.
Pendant que soumis Endymion MDE fut libéré, les convives du Maître s’installèrent assis en demi-cercle dans de petits fauteuils bas. Le mâle soumis fut amené au centre de ce demi-cercle, et dut se mettre à genoux, dos bien droit, regard au sol, mains dans le dos. Il fut autorisé à poser son fessier sur ses talons. Monsieur le Marquis d’Evans regarda attentivement Son chien soumis un long moment, juste avant de s’adresser à cet inconnu :
- Mon cher maître dit-il en introduction…
soumis Endymion MDE pensa immédiatement qu’il s’agissait d’un Dominant, encore un, sans doute un habitué de ces Nobles Lieux, mais très vite, il comprit qu’il faisait fausse route, que ce maître portait cette dénomination pour toute autre raison.
- … Mon cher maître, je vous ai demandé de venir jusqu’à moi aujourd’hui, parce que j’ai une chose importante à vous demander. J’aimerai que vous enregistriez dans vos livres et registres, un acte important. Tenez, ce document ici, je vous en prie, prenez en connaissance….
Le Maître se tut en tendant le courrier qu’il était en train de rédiger lorsque soumis Endymion MDE lui fut amené ce matin même. L’homme qui était peut-être un Dominant était aussi et surtout Notaire de profession. Il lut à voix basse une première fois le document d’une page seulement, puis le tendit à Monsieur le Marquis en lui disant :
- C’est parfait Très cher Monsieur le Marquis ! Il n’y a rien à redire, il ne reste plus qu’à signer ce document, lequel je l’authentifierai de mon sceau. Mais peut-être pourriez-vous le lire à cette assemblée présente, eux tous seront ainsi témoins de l’évènement.
Monsieur le Marquis attrapa le document et se leva en ordonnant à Son chien soumis de le regarder droit dans les yeux. Il s’adressa à lui avant même de lire le document.
- Mon chien, ici entre Mes mains, un acte authentique, un acte qui va s’ajouter à tous les actes enregistrés depuis des siècles à cette très ancienne l’Etude Notariale dont maître Bourdeau est l’héritier depuis si longtemps, un acte qui fait de toi, Ma chose et Ma propriété pleine et entière, définitivement !
Le Maître se tut longuement regardant Son esclave avec un regard Dominant insoutenable, puis approcha de nouveau le courrier sous ses yeux et commença à en donner lecture.
- « Acte de propriété, selon la volonté commune des deux parties signataires entre Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans et l’esclave, soumis Endymion MDE »
Le Maître se tut encore, regardant attentivement Son chien soumis éberlué !
- « Ce jour, sis novembre deux mille quinze, par devant Maître Bourdeau, notaire à Lyon, ici présent, ont comparu Monsieur Edouard Marquis d’Evans, désigné le Maître, et soumis Endymion MDE désigné l’esclave, en présence de Monsieur et Madame Charles Edouard Vicomte et Vicomtesse d’Evans, tous deux domiciliés à New-York aux Etats-Unis d’Amérique, tous deux témoins. Il est établi ce qu’il suit :
1) L’esclave soumis Endymion MDE, sain de corps et d’esprit accepte librement de devenir propriété, pleine et entière, de manière définitive de Monsieur le Marquis d’Evans en tant qu’esclave. Par cet acte, l’esclave abandonne volontairement et en toute circonstance, sa souveraineté tant sur le plan physique que sur le plan mental. Il affirme son besoin de soumission extrême et accepte d’être à la totale disposition du Maître. Il reconnait que son but unique est de se livrer complètement et totalement, d’obéir inconditionnellement, de servir, d’honorer et donner du plaisir au Maître dans une obéissance totale. Il accepte l’échange de pouvoir total en les conférant au Maître.
2) Monsieur le Marquis d’Evans accepte soumis Endymion MDE comme Sa Propriété, Sa chose pleine et entière. Il s’engage à le nourrir, l’héberger, le soigner, le dresser, le punir et à l’utiliser au gré de ses volontés afin d’en faire un esclave docile et pervers. Monsieur le Marquis d’Evans assurera la sécurité et le bien-être de son esclave
3) En cas d’empêchement ou de décès de Monsieur le Marquis d’Evans, l’esclave deviendrait automatiquement la propriété de Monsieur et Madame les Vicomtes d’Evans, à défaut leurs héritiers.
4) L’acte de Propriété devient définitif après signature des deux parties et des témoins, tous ici présents. »
Le Maître se tut encore, soumis Endymion MDE, surpris eut bien du mal à cacher son émotion et son excitation, sa queue était raide presque arrogante…
- Tu le sais chien, ici, lors de ces moments si importants, lorsque des décisions importantes sont prises, l’esclave a toujours le choix de décider, sans que je lui en tienne rigueur. Tu es libre de signer ou non ce document.
soumis Endymion MDE le savait bien, et ce fut bien librement qu’il signa cet acte et apposa ses empreintes digitales de son index droit sur le feuillet et qu’il apposa aussi sa griffe…
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...