La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 593)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 593)
Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°592) -
Nous quittons la pièce, reprenons le long couloir, et rejoignons la voiture par l’impasse. Ayant compris, la leçon, je prends la direction du coffre, mais Walter me stoppe net dans mon mouvement, se place devant la porte arrière, et l’ouvre. Je ne comprends pas, mais je monte prudemment dans la grosse Berline noir, j’ignore si je dois me placer sur les sièges en cuir, ou si je dois rester à terre. Walter ayant compris mon questionnement, il tire sur la laisse me faisant comprendre que je devais m’asseoir sur la banquette en cuir. Je prends la position, confortablement installée, et par habitude je croise mes jambes. Face à mon geste, Walter abat sa main plate sur ma cuisse, laissant une empreinte rouge de ses épais doigts sur ma peau. Un cri m’échappe, tellement la frappe est forte et froide sur ma cuisse. Il force l’ouverture de celles-ci, se penche sur moi, et passe des liens métalliques reliés à la banquette, à chacune de mes chevilles. Les jambes ainsi immobilisées, il m’observe.
- Tend tes bras au-dessus de ta tête.
Etonnée, je m’exécute, m’attendant à me cogner contre le plafond de la voiture. Surprise, rien ne vient butter contre mes mains, seuls des liens en cuir suspendus frôlent ma peau. Rapidement, Walter me joint les deux poignets ensembles, et mes bras sont suspendus au plafond capitonné. Une fois de plus, je suis attachée, tel un objet. Il se penche à mon oreille :
- Ne salit pas cette très belle banquette en cuir, cette voiture vaut une petite fortune...
Puis, il me décroche la laisse pendant entre mes seins, tirant au passage sur le ruban rouge, ce qui a pour effet d’irradier mes tétons. Il finit par s’écarter de la porte, et je le vois retourner en direction du sexshop, laissant la porte ouverte. Je commence à paniquer, je suis attachée, nue dans une voiture, une porte ouverte, n’importe qui pourrait passer par là… L’attente est longue, je n’ai aucune idée du temps qui passe, la panique en moi, a fait place à un étrange sentiment d’excitation, et je suis même arrivée à espérer qu’un passant un peu vicieux me découvre. Mes idées chamboulent, je me sens devenir humide, une fois de plus. Sans prévenir, le plug entre mes entrailles, vient de prendre un mode de vibration un cran au-dessus. Je tourne la tête en direction de l’impasse, espérant voir Walter surgir de la porte, mais rien, personne. Je me demande quelle est la portée de cette télécommande… Une brise d’air fraiche vient caresser ma poitrine, je frissonne, ferme les yeux et profite de cet instant. Je m’imagine, étendue au soleil, sur une plage, nue, en présence de Monsieur le Marquis, qui fait courir ses doigts le long de mon dos... Un claquement de porte, me fait revenir à la réalité, je rouvre les yeux, et découvre, une femme à ma droite et un homme à ma gauche. Les deux arrivants, ont la soixantaine passée. Je les regarde, éberluée, oubliant ma nudité, ma situation, ne les connaissant pas et relevant la tête, j’ose demander :
- Que… que faites-vous dans cette voiture ? m’exclamais-je, lançant un regard noir aux deux inconnus.
- Depuis quand les chiennes de Monsieur le Marquis, posent des questions aussi idiotes, osent relever la tête et soutiennent un regard noir ? dicte l’homme.
Je ne m’attendais pas à une telle réaction, je suis prise au dépourvu total, instinctivement, je baisse la tête.
- Voilà qui est déjà mieux, mais loin d’être suffisant. Monsieur le Marquis nous avait prévenu que tu étais une petite rebelle, une chienne sans éducation, qui se croit tout pouvoir sur les Dominants. C’est pour cela qu’il nous a demandé à moi et à ma femme, de t’éduquer. Tu nous dois respect, obéissance totale et bien plus que tout cela. Tu nous nommeras Maitre John et Maitresse Elsa. Ta période avec nous, est encore indéfinie, cela dépendra de toi, chienne. Alors avant de commencer, tu vas d’abord demander pardon, pour les mots déplacés que tu viens d’exprimer.
Les yeux toujours rivés au sol, les mots de cet homme tournent et retournent dans mon esprit. Ainsi, le Maitre a décidé de confier mon éducation à ce couple de vieux pervers. Il n’a même pas pris le temps et visiblement pas l’envie de me prendre sous Son aile, et de m’éduquer Lui-même, comme je le souhaitais. Je suis outrée par cette nouvelle, j’ai envie de hurler, j’ai envie de rejoindre ce Marquis, et de lui dire que rien ne se passe, comme je l’exigeais. Mais à bien y réfléchir, une soumise n’exige jamais, elle souhaite... Et cela ne m’empêche pas de rugir intérieurement, il m’a caché cette partie, sachant que je ne l’accepterai certainement pas. A croire qu’il a agi comme un lâche… Non, à bien y réfléchir de nouveau, je ne peux pas dire que Monsieur le Marquis est un lâche, je pense plutôt qu’il n’a que faire d’une jeune femme qui se dit soumise et qui se rebelle, même si cette jeune femme que je suis, a un gros potentiel dans la soumission. C’est, je suppose pour cela qu’il me place entre les mains de ce couple, afin que je lui arrive à Ses pieds, dans Son Château telle une véritable soumise obéissante, docile et dévouée. C’est donc un passage obligatoire à mon éducation que le Maître a décidé afin que toute rébellion quitte définitivement mon esprit de soumise… Perdue dans mes pensées, une claque s’abat sur ma joue droite.
- Je crois que l’on t’a demandé quelque chose, chienne.
- Je… Heu…
Je me remémore en vitesse les paroles de l’homme, reprends contenance, et d’une voix claire, je m’exprime :
- Je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour mes mots déplacées, impliquant également un regard noir et hautain. Ma situation de chienne ne le permettant en aucun cas.
- Bien, ceci est un bon début. Mais, c’est très loin d’être satisfaisant. Tu aurais dû demander à être détachée pour pouvoir présenter tes excuses dans la position adéquate, laquelle est, à genou, aux pieds des Dominants, les mains dans le dos, la tête baissée, et finir par une demande de correction. Mais pour le moment, nous n’allons pas te détacher, je vais faire venir Walter, afin qu’il nous conduise à notre domicile, et pour que nous puissions enfin commencer ton éducation, crois-moi, il y a du boulot, chienne !
- Oui, Maitre.
- Elsa, peux-tu aller chercher Walter, s’il te plait, en attendant que je fasse plus ample connaissance avec ce corps, qui me parait exquis.
La femme quitte rapidement, la voiture tout en ricanant avec perversité, me laissant seule avec l’homme, je suis alors prise de panique. L’homme place ses mains sur mes flancs, les fait descendre sur mon bas-ventre, effleure mon clitoris, et constate la mouille présente entre mes cuisses et répandue sur le cuir de la banquette.
- Walter aurait-il omis de te donner l’ordre de ne pas salir cette luxueuse banquette en pur cuir, chienne ?
- Non, Maitre John.
- Alors pourquoi est-ce humide ?
- Je… c’est que… je suis…
Cela m’est impossible, je ne peux le concevoir. Je ne peux avouer ma faiblesse à cet inconnu, je ne peux avouer ce qu’au fond de moi, mon corps tout entier réclame et l’état même de mon excitation à souiller la banquette de ma cyprine.
- … je suis… ?... Dis-le, chienne.
Conservant la tête baissée, je me résous à garder le silence, trop honteuse à avouer à haute voix, face à cet inconnu, ma profonde nature. D’une voix calme et posée, l’homme reprend :
- N’ai pas peur de ce que tu es, sois en plutôt fière. Dis-le, maintenant, chienne Pauline.
A l’entente de mon nom, je prends une forte inspiration, et d’une voix marquant aucune hésitation, j’avoue à lui, comme à moi-même.
- Je n’ai pas respecté l’ordre donné par Monsieur Walter, parce je ne sais pas contrôler mon excitation, Maitre John.
- Et pourquoi ne sais-tu, pas la contrôler, chienne ?
- Parce que je suis une chienne sans éducation, qui n’a pas appris à maitriser son corps, et qui a un appétit sexuel sans limite, Maitre John.
- Ce n’était pas plus compliqué que cela. Ah, voilà, Walter et Elsa, qui sont de retour. Nous allons pouvoir commencer à prendre la route…
(A suivre …)
Nous quittons la pièce, reprenons le long couloir, et rejoignons la voiture par l’impasse. Ayant compris, la leçon, je prends la direction du coffre, mais Walter me stoppe net dans mon mouvement, se place devant la porte arrière, et l’ouvre. Je ne comprends pas, mais je monte prudemment dans la grosse Berline noir, j’ignore si je dois me placer sur les sièges en cuir, ou si je dois rester à terre. Walter ayant compris mon questionnement, il tire sur la laisse me faisant comprendre que je devais m’asseoir sur la banquette en cuir. Je prends la position, confortablement installée, et par habitude je croise mes jambes. Face à mon geste, Walter abat sa main plate sur ma cuisse, laissant une empreinte rouge de ses épais doigts sur ma peau. Un cri m’échappe, tellement la frappe est forte et froide sur ma cuisse. Il force l’ouverture de celles-ci, se penche sur moi, et passe des liens métalliques reliés à la banquette, à chacune de mes chevilles. Les jambes ainsi immobilisées, il m’observe.
- Tend tes bras au-dessus de ta tête.
Etonnée, je m’exécute, m’attendant à me cogner contre le plafond de la voiture. Surprise, rien ne vient butter contre mes mains, seuls des liens en cuir suspendus frôlent ma peau. Rapidement, Walter me joint les deux poignets ensembles, et mes bras sont suspendus au plafond capitonné. Une fois de plus, je suis attachée, tel un objet. Il se penche à mon oreille :
- Ne salit pas cette très belle banquette en cuir, cette voiture vaut une petite fortune...
Puis, il me décroche la laisse pendant entre mes seins, tirant au passage sur le ruban rouge, ce qui a pour effet d’irradier mes tétons. Il finit par s’écarter de la porte, et je le vois retourner en direction du sexshop, laissant la porte ouverte. Je commence à paniquer, je suis attachée, nue dans une voiture, une porte ouverte, n’importe qui pourrait passer par là… L’attente est longue, je n’ai aucune idée du temps qui passe, la panique en moi, a fait place à un étrange sentiment d’excitation, et je suis même arrivée à espérer qu’un passant un peu vicieux me découvre. Mes idées chamboulent, je me sens devenir humide, une fois de plus. Sans prévenir, le plug entre mes entrailles, vient de prendre un mode de vibration un cran au-dessus. Je tourne la tête en direction de l’impasse, espérant voir Walter surgir de la porte, mais rien, personne. Je me demande quelle est la portée de cette télécommande… Une brise d’air fraiche vient caresser ma poitrine, je frissonne, ferme les yeux et profite de cet instant. Je m’imagine, étendue au soleil, sur une plage, nue, en présence de Monsieur le Marquis, qui fait courir ses doigts le long de mon dos... Un claquement de porte, me fait revenir à la réalité, je rouvre les yeux, et découvre, une femme à ma droite et un homme à ma gauche. Les deux arrivants, ont la soixantaine passée. Je les regarde, éberluée, oubliant ma nudité, ma situation, ne les connaissant pas et relevant la tête, j’ose demander :
- Que… que faites-vous dans cette voiture ? m’exclamais-je, lançant un regard noir aux deux inconnus.
- Depuis quand les chiennes de Monsieur le Marquis, posent des questions aussi idiotes, osent relever la tête et soutiennent un regard noir ? dicte l’homme.
Je ne m’attendais pas à une telle réaction, je suis prise au dépourvu total, instinctivement, je baisse la tête.
- Voilà qui est déjà mieux, mais loin d’être suffisant. Monsieur le Marquis nous avait prévenu que tu étais une petite rebelle, une chienne sans éducation, qui se croit tout pouvoir sur les Dominants. C’est pour cela qu’il nous a demandé à moi et à ma femme, de t’éduquer. Tu nous dois respect, obéissance totale et bien plus que tout cela. Tu nous nommeras Maitre John et Maitresse Elsa. Ta période avec nous, est encore indéfinie, cela dépendra de toi, chienne. Alors avant de commencer, tu vas d’abord demander pardon, pour les mots déplacés que tu viens d’exprimer.
Les yeux toujours rivés au sol, les mots de cet homme tournent et retournent dans mon esprit. Ainsi, le Maitre a décidé de confier mon éducation à ce couple de vieux pervers. Il n’a même pas pris le temps et visiblement pas l’envie de me prendre sous Son aile, et de m’éduquer Lui-même, comme je le souhaitais. Je suis outrée par cette nouvelle, j’ai envie de hurler, j’ai envie de rejoindre ce Marquis, et de lui dire que rien ne se passe, comme je l’exigeais. Mais à bien y réfléchir, une soumise n’exige jamais, elle souhaite... Et cela ne m’empêche pas de rugir intérieurement, il m’a caché cette partie, sachant que je ne l’accepterai certainement pas. A croire qu’il a agi comme un lâche… Non, à bien y réfléchir de nouveau, je ne peux pas dire que Monsieur le Marquis est un lâche, je pense plutôt qu’il n’a que faire d’une jeune femme qui se dit soumise et qui se rebelle, même si cette jeune femme que je suis, a un gros potentiel dans la soumission. C’est, je suppose pour cela qu’il me place entre les mains de ce couple, afin que je lui arrive à Ses pieds, dans Son Château telle une véritable soumise obéissante, docile et dévouée. C’est donc un passage obligatoire à mon éducation que le Maître a décidé afin que toute rébellion quitte définitivement mon esprit de soumise… Perdue dans mes pensées, une claque s’abat sur ma joue droite.
- Je crois que l’on t’a demandé quelque chose, chienne.
- Je… Heu…
Je me remémore en vitesse les paroles de l’homme, reprends contenance, et d’une voix claire, je m’exprime :
- Je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour mes mots déplacées, impliquant également un regard noir et hautain. Ma situation de chienne ne le permettant en aucun cas.
- Bien, ceci est un bon début. Mais, c’est très loin d’être satisfaisant. Tu aurais dû demander à être détachée pour pouvoir présenter tes excuses dans la position adéquate, laquelle est, à genou, aux pieds des Dominants, les mains dans le dos, la tête baissée, et finir par une demande de correction. Mais pour le moment, nous n’allons pas te détacher, je vais faire venir Walter, afin qu’il nous conduise à notre domicile, et pour que nous puissions enfin commencer ton éducation, crois-moi, il y a du boulot, chienne !
- Oui, Maitre.
- Elsa, peux-tu aller chercher Walter, s’il te plait, en attendant que je fasse plus ample connaissance avec ce corps, qui me parait exquis.
La femme quitte rapidement, la voiture tout en ricanant avec perversité, me laissant seule avec l’homme, je suis alors prise de panique. L’homme place ses mains sur mes flancs, les fait descendre sur mon bas-ventre, effleure mon clitoris, et constate la mouille présente entre mes cuisses et répandue sur le cuir de la banquette.
- Walter aurait-il omis de te donner l’ordre de ne pas salir cette luxueuse banquette en pur cuir, chienne ?
- Non, Maitre John.
- Alors pourquoi est-ce humide ?
- Je… c’est que… je suis…
Cela m’est impossible, je ne peux le concevoir. Je ne peux avouer ma faiblesse à cet inconnu, je ne peux avouer ce qu’au fond de moi, mon corps tout entier réclame et l’état même de mon excitation à souiller la banquette de ma cyprine.
- … je suis… ?... Dis-le, chienne.
Conservant la tête baissée, je me résous à garder le silence, trop honteuse à avouer à haute voix, face à cet inconnu, ma profonde nature. D’une voix calme et posée, l’homme reprend :
- N’ai pas peur de ce que tu es, sois en plutôt fière. Dis-le, maintenant, chienne Pauline.
A l’entente de mon nom, je prends une forte inspiration, et d’une voix marquant aucune hésitation, j’avoue à lui, comme à moi-même.
- Je n’ai pas respecté l’ordre donné par Monsieur Walter, parce je ne sais pas contrôler mon excitation, Maitre John.
- Et pourquoi ne sais-tu, pas la contrôler, chienne ?
- Parce que je suis une chienne sans éducation, qui n’a pas appris à maitriser son corps, et qui a un appétit sexuel sans limite, Maitre John.
- Ce n’était pas plus compliqué que cela. Ah, voilà, Walter et Elsa, qui sont de retour. Nous allons pouvoir commencer à prendre la route…
(A suivre …)
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