La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 606)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 351 696 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 5 293 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 606)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°605) - Un simple objet sexuel pour Dominas lesbiennes -
Lauren revenait de la salle de bain enveloppée dans un grand peignoir éponge, ses cheveux tenus attachés et relevés par une grosse pince. Elle était très belle, sa silhouette emplie de féminité sensuelle provoquait incontestablement le désir par sa savoureuse démarche. En effet, elle s’approcha de Marina, tel un félin, sur la pointe des pieds :
- J’aimerai te déshabiller, dit-elle d’une voix charmeuse !
Marina la laissa faire, Lauren passa alors derrière elle, et c’est avec un geste d’une douceur exquise, qu’elle caressa sensuellement les épaules de sa concubine puis tout en lui embrassant le cou de baisers tendres, elle défit la fermeture éclair de la robe de Marina, la tira vers le haut, l’enleva et la posa sur la chaise près de soumis Endymion MDE immobile. Pendant ce temps Marina défit ses chaussures et les fit voler en direction de l’esclave MDE. Toujours derrière elle, Lauren passa ses mains sur le visage de Marina, descendit doucement sur ses seins puis sur son ventre et ses hanches, toujours sans précipitation, laissant à chaque caresse le temps de titiller les sens et le désir de sa belle. Elle saisit le bas de son chemisier, le remonta lentement et le déposa sur la chaise. Elle dégrafa son soutien-gorge le retira, caressa ses épaules, passa ses mains sous ses bras que Marina, caressa ses seins déjà très sensibles, déjà durs, ses mamelons pointaient. Marina ferma les yeux et se laissa aller contre elle, pour profiter pleinement de la douceur de cette caresse qui s’éternisait. Ses paumes couvraient les seins de Marina, les pressaient, s’en éloignaient, frôlaient à peine les pointes en des ronds électrisants. Marina vibrait, son sexe s’irradiait, il était en nage. Elle avait envie à la fois que Lauren aille vite, que le plaisir se déchaine, et en même temps, que le temps s’arrête. Lauren descendait lentement le collant de Marina, qui l’aidait à le retirer.
Alors, Lauren s’assit sur le bord du lit, dont elle avait repoussé la couette et tira Marina vers elle. Elle était debout immobile, avec juste sa petite culotte. Les mains de Lauren passèrent sur sa taille puis sur ses hanches, elle inséra ses pouces sous l’élastique de cette petite culotte et tira doucement vers le bas, avec une lenteur qui excitait au plus haut point Marina. Petit à petit, la culotte se retournait, dévoilant une large tache mouillée. Lauren lui posa un baiser léger sur son ventre, juste au-dessus de sa fine toison, puis attrapa le sous-vêtement et alla le coller sous le nez de soumis Endymion MDE.
- Hume ces délicieuses essences, petite lope !
Marina était excitée, et en silence le chien mâle soumis l’était tout autant. Ce string humide coincé sous son nez lui donnait le vertige, ces suaves effluves le rendaient comme fou. Sa queue cognait contre les parois de cette maudite cage. Tellement dur, son membre se contorsionnait et poussait en avant ce dispositif de chasteté tirant douloureusement sur le cockring tenant en place la cage.
- A moi ma belle ! lança Marina
Elle attrapa Lauren, la fit allonger sur le lit et lui défit la ceinture de son peignoir. Elle l’ouvrit largement pour laisser apparaitre ce magnifique corps aux formes parfaites et complètement offert. Sa peau était uniformément satinée, pas de marque de slip ou de soutien-gorge. Marina la contempla un instant, puis écarta ses genoux et posa sa main à l’intérieur de ses cuisses. Elle la remonta jusqu’à sa toison presque transparente et la laissa quelques instant plaquée sur son sexe trempé. D’une main, elle l’ouvrit, l’explora pendant que son autre main montait jusqu’aux seins fermes de Lauren. Elle avait fermé les yeux et gémissait doucement, mais soudainement Lauren se redressa pour ôter son peignoir puis s’allongea de nouveau sur le lit et attira Marina près d’elle. Elles se serrèrent l’une contre l’autre, leurs seins se touchaient, leurs cuisses s’entrecroisaient, leurs mains, par moment frénétiques parcouraient leurs corps. Lauren allongea Marina sur le ventre et posa de petits baisers et des caresses légères dans son dos. Marina sentit des vagues de plaisir déferler en elle, monter puis redescendre puis remonter encore.
- Hummm ! … Ouiiiiiiii continue, continue ! Encourageait-elle.
La main de Lauren frôlait les fesses de Marina, s’y attardait, s’insinuait entre elles jusqu’à l’orée de son vagin. Elle trempa ses doigts dans cette liqueur, puis elle monta plus haut, jusqu’à toucher son petit bouton en feu. Marina replia ses genoux et remonta son bassin pour s’exposer totalement à ses caresses. Elle était béante, elle sentit un doigt la pénétrer pendant qu’un pouce lui caressait son anus. C’était doux, liquide, gluant, avec une posture totalement impudique sous les yeux du chien soumis MDE, bavant tant et plus, et par envie et par la contrainte, cette muselière l’embarrassait et l’empêchait de déglutir correctement… Lauren attrapa la chainette reliant les pinces posées sur les tétons d’Endymion MDE, et tira sur celle-ci pour faire avancer le chien soumis à genoux près d’elle. Elle s’essuya les doigts souillés sur le visage de l’esclave MDE, puis revint s’occuper de sa belle. Elle la retourna, posa ses lèvres sur ses seins, en lécha doucement la pointe. Elle se plaça à genoux entre ses jambes entrouvertes et passa un doigt léger sur son intimité. Comme inerte Marina se laisse posséder, elle releva ses genoux, se souleva et laissa sous les yeux de Lauren son sexe rose offert, brillant et suintant. Les doigts de Lauren s’engouffrèrent alors, pénétrant celle encore lascive. Mais subitement Marina sentit monter en elle une certaine frénésie, son bassin se mit à remuer et onduler, son vagin à palpiter au rythme de la pénétration. Les gémissements allaient bon train…
C’était au tour de Marina de donner du plaisir à Lauren, mais avant ça, elle se releva d’un bon et ôta le bâillon de la bouche de soumis Endymion MDE.
- Sors la langue chienne, laisse là bien pendante, il se pourrait que j’en ai besoin.
Elle revint vers Lauren allongée sur le dos, écartée et offerte. Marina lui caressa les cuisses en progressant avec une lenteur étudiée Elle posa sa bouche sur la vulve de Lauren, ses lèvres, ses dents, sa langue la baisaient, la mordillaient, la léchaient, la rendaient folle. Cette langue experte fouillait cette chatte, s’enroulait dans les replis, faisait dresser son clitoris, vibrer son bas ventre. Lauren crut, à plusieurs reprises, qu’elle allait partir, mais Marina avait ralenti et l’avait laissée planer, accrochée dans un nuage à des centaines de mètres au-dessus de la ville, comme dans ces rêves ou le vide nous engloutit.
- Approche chien, approche toi de mon cul et offre moi du plaisir petite salope ! ordonna Marina à soumis Endymion MDE
Il grimpa sur le lit, s’empara des deux lobes fessiers de Maîtresse Marina, les lui écarta pour accéder à cet orifice, alors que Marina replongeait sa langue dans les chairs intimes de Lauren. soumis Endymion MDE posa sa langue pointue et ne se contenta pas de papillonner aux alentours de cet œillet délicat. Enroulée comme une cigarette russe, sa langue tenta de s’enfoncer dans ce petit trou, aussi loin qu’elle le pouvait. Lauren gémissait, Maitresse Marina bramait.
- Lèche-moi, lèche bien ma chatte salope ! Montre-moi que tu as bien suivi le cours que nous t’avons donné ce matin, le chien.
La langue de soumis Endymion MDE ressortait de ce petit trou, remontait jusqu’au clitoris déjà bandé de Maîtresse Marina, et retournait sans se lasser vers cette anus pour tenter une réintroduction avec force et vigueur. Il fit ça à maintes reprises, allant même grignoter du bout des dents, ces petits bouts de chairs qui trainaient à leur portée. Il donna le « coup de grâce » lorsqu’il porta ses lèvres sur ce clitoris cramoisi. Il le pinça très fort sans pour autant le blesser. Maîtresse Marina se mit à hurler, tant son orgasme était puissant, électrisant tout son être. Peu après, Lauren elle aussi se laissa partir. Marina la masturbait énergiquement, alors que soumis Endymion MDE, sur ordre, lui caressait délicatement les seins.
Toutes deux s’allongèrent et se pelotonnèrent l’une contre l’autre, après avoir ordonné à l’esclave MDE de se remettre à genoux aux pieds du lit. Elles s’embrassèrent longuement et fougueusement encore. L’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans, lui, peut-être pour la première fois, venait de ressentir une vraie et réelle frustration sexuelle auprès de ces deux Dominas lesbiennes. Pour l’esclave MDE, les femmes pourtant, n’avaient jamais été jusqu’ici, comment dire… sa tasse de thé. Bizarrement, là, il aurait aimé utiliser sa nouille, la glisser dans ces cavités chaudes et humides, il aurait aimé les prendre toutes les deux, délicatement, servilement afin de leur procurer du plaisir. Etait-ce un premier déclic ? Etait-ce ses premiers pas vers de nouveaux horizons, déjà des premiers résultats encourageants de cet enseignement à l’autorité féminine ? Il était incapable de s’en assurer encore ! En tout état de cause, cette frustration lui avait rappelé qu’il était là pour être lésé, démuni, dépossédé et là, pour être aussi utilisé et il l’avait été ! Alors plutôt que d’en éprouver de l’affliction ou de la contrariété, il se délecta de cette situation, force était de constater que ce plaisir mental avec quelques répercutions sur le plan anatomique : sa queue cramoisie, gonflée et séquestrée ne pouvait le contredire !
Maitresse Marina fut la première à sortir du lit, elle s’approcha de soumis Endymion MDE, immobile et tête baissée.
- Tu es un bon bouffeur de cul, petite salope, je dirai même que tu es performant, tu as une bonne langue et tu sais t’en servir. lança-t-elle !
soumis Endymion MDE baissa ostensiblement la tête en signe de respect, de servilité et d’humilité. Maitresse Marina lui attrapa le menton et lui souleva le visage. Elle le regarda sévèrement, droit dans les yeux un long moment avant d’intervenir de nouveau.
- Mais tu n’es qu’un chien mâle… un incapable…, comme tous les mâles que porte cette terre !
Elle asséna deux gifles magistrales à soumis Endymion MDE, qui ne comprit pas pourquoi un tel geste, alors qu’il venait d’être à l’instant félicité. Etait est-ce un message d’encouragement ? Une façon bien à elle de le remercier ?
- Comme tous les mâles, tu es incapable de faire deux choses à la fois ! reprit-elle.
L’esclave MDE ne comprenait toujours pas, il regardait cette Maîtresse d’un air servile mais interrogatif ! Alors Maîtresse Marina attrapa sauvagement le chien soumis MDE par son collier, et d’un geste rapide lui colla le visage près du sol. Lorsqu’il ouvrit et leva les yeux, là juste devant lui, il vit un plug posé sur le sol …
- Tu vois bien que j’ai raison, j’ai d’ailleurs toujours raison. Tu n’es qu’un incapable te disais-je. Incapable de garder ancré dans ton cul de lope, ce que je t’avais ordonné de tenir. Tu n’es qu’un chien désobéissant ! (Marina se tut quelques secondes). Et tu sais ce qu’on fait ici au chien mâle désobéissant ? (Elle regarda sévèrement le chien soumis, puis calmement elle termina sa phrase). On le punit !
(A suivre …)
Lauren revenait de la salle de bain enveloppée dans un grand peignoir éponge, ses cheveux tenus attachés et relevés par une grosse pince. Elle était très belle, sa silhouette emplie de féminité sensuelle provoquait incontestablement le désir par sa savoureuse démarche. En effet, elle s’approcha de Marina, tel un félin, sur la pointe des pieds :
- J’aimerai te déshabiller, dit-elle d’une voix charmeuse !
Marina la laissa faire, Lauren passa alors derrière elle, et c’est avec un geste d’une douceur exquise, qu’elle caressa sensuellement les épaules de sa concubine puis tout en lui embrassant le cou de baisers tendres, elle défit la fermeture éclair de la robe de Marina, la tira vers le haut, l’enleva et la posa sur la chaise près de soumis Endymion MDE immobile. Pendant ce temps Marina défit ses chaussures et les fit voler en direction de l’esclave MDE. Toujours derrière elle, Lauren passa ses mains sur le visage de Marina, descendit doucement sur ses seins puis sur son ventre et ses hanches, toujours sans précipitation, laissant à chaque caresse le temps de titiller les sens et le désir de sa belle. Elle saisit le bas de son chemisier, le remonta lentement et le déposa sur la chaise. Elle dégrafa son soutien-gorge le retira, caressa ses épaules, passa ses mains sous ses bras que Marina, caressa ses seins déjà très sensibles, déjà durs, ses mamelons pointaient. Marina ferma les yeux et se laissa aller contre elle, pour profiter pleinement de la douceur de cette caresse qui s’éternisait. Ses paumes couvraient les seins de Marina, les pressaient, s’en éloignaient, frôlaient à peine les pointes en des ronds électrisants. Marina vibrait, son sexe s’irradiait, il était en nage. Elle avait envie à la fois que Lauren aille vite, que le plaisir se déchaine, et en même temps, que le temps s’arrête. Lauren descendait lentement le collant de Marina, qui l’aidait à le retirer.
Alors, Lauren s’assit sur le bord du lit, dont elle avait repoussé la couette et tira Marina vers elle. Elle était debout immobile, avec juste sa petite culotte. Les mains de Lauren passèrent sur sa taille puis sur ses hanches, elle inséra ses pouces sous l’élastique de cette petite culotte et tira doucement vers le bas, avec une lenteur qui excitait au plus haut point Marina. Petit à petit, la culotte se retournait, dévoilant une large tache mouillée. Lauren lui posa un baiser léger sur son ventre, juste au-dessus de sa fine toison, puis attrapa le sous-vêtement et alla le coller sous le nez de soumis Endymion MDE.
- Hume ces délicieuses essences, petite lope !
Marina était excitée, et en silence le chien mâle soumis l’était tout autant. Ce string humide coincé sous son nez lui donnait le vertige, ces suaves effluves le rendaient comme fou. Sa queue cognait contre les parois de cette maudite cage. Tellement dur, son membre se contorsionnait et poussait en avant ce dispositif de chasteté tirant douloureusement sur le cockring tenant en place la cage.
- A moi ma belle ! lança Marina
Elle attrapa Lauren, la fit allonger sur le lit et lui défit la ceinture de son peignoir. Elle l’ouvrit largement pour laisser apparaitre ce magnifique corps aux formes parfaites et complètement offert. Sa peau était uniformément satinée, pas de marque de slip ou de soutien-gorge. Marina la contempla un instant, puis écarta ses genoux et posa sa main à l’intérieur de ses cuisses. Elle la remonta jusqu’à sa toison presque transparente et la laissa quelques instant plaquée sur son sexe trempé. D’une main, elle l’ouvrit, l’explora pendant que son autre main montait jusqu’aux seins fermes de Lauren. Elle avait fermé les yeux et gémissait doucement, mais soudainement Lauren se redressa pour ôter son peignoir puis s’allongea de nouveau sur le lit et attira Marina près d’elle. Elles se serrèrent l’une contre l’autre, leurs seins se touchaient, leurs cuisses s’entrecroisaient, leurs mains, par moment frénétiques parcouraient leurs corps. Lauren allongea Marina sur le ventre et posa de petits baisers et des caresses légères dans son dos. Marina sentit des vagues de plaisir déferler en elle, monter puis redescendre puis remonter encore.
- Hummm ! … Ouiiiiiiii continue, continue ! Encourageait-elle.
La main de Lauren frôlait les fesses de Marina, s’y attardait, s’insinuait entre elles jusqu’à l’orée de son vagin. Elle trempa ses doigts dans cette liqueur, puis elle monta plus haut, jusqu’à toucher son petit bouton en feu. Marina replia ses genoux et remonta son bassin pour s’exposer totalement à ses caresses. Elle était béante, elle sentit un doigt la pénétrer pendant qu’un pouce lui caressait son anus. C’était doux, liquide, gluant, avec une posture totalement impudique sous les yeux du chien soumis MDE, bavant tant et plus, et par envie et par la contrainte, cette muselière l’embarrassait et l’empêchait de déglutir correctement… Lauren attrapa la chainette reliant les pinces posées sur les tétons d’Endymion MDE, et tira sur celle-ci pour faire avancer le chien soumis à genoux près d’elle. Elle s’essuya les doigts souillés sur le visage de l’esclave MDE, puis revint s’occuper de sa belle. Elle la retourna, posa ses lèvres sur ses seins, en lécha doucement la pointe. Elle se plaça à genoux entre ses jambes entrouvertes et passa un doigt léger sur son intimité. Comme inerte Marina se laisse posséder, elle releva ses genoux, se souleva et laissa sous les yeux de Lauren son sexe rose offert, brillant et suintant. Les doigts de Lauren s’engouffrèrent alors, pénétrant celle encore lascive. Mais subitement Marina sentit monter en elle une certaine frénésie, son bassin se mit à remuer et onduler, son vagin à palpiter au rythme de la pénétration. Les gémissements allaient bon train…
C’était au tour de Marina de donner du plaisir à Lauren, mais avant ça, elle se releva d’un bon et ôta le bâillon de la bouche de soumis Endymion MDE.
- Sors la langue chienne, laisse là bien pendante, il se pourrait que j’en ai besoin.
Elle revint vers Lauren allongée sur le dos, écartée et offerte. Marina lui caressa les cuisses en progressant avec une lenteur étudiée Elle posa sa bouche sur la vulve de Lauren, ses lèvres, ses dents, sa langue la baisaient, la mordillaient, la léchaient, la rendaient folle. Cette langue experte fouillait cette chatte, s’enroulait dans les replis, faisait dresser son clitoris, vibrer son bas ventre. Lauren crut, à plusieurs reprises, qu’elle allait partir, mais Marina avait ralenti et l’avait laissée planer, accrochée dans un nuage à des centaines de mètres au-dessus de la ville, comme dans ces rêves ou le vide nous engloutit.
- Approche chien, approche toi de mon cul et offre moi du plaisir petite salope ! ordonna Marina à soumis Endymion MDE
Il grimpa sur le lit, s’empara des deux lobes fessiers de Maîtresse Marina, les lui écarta pour accéder à cet orifice, alors que Marina replongeait sa langue dans les chairs intimes de Lauren. soumis Endymion MDE posa sa langue pointue et ne se contenta pas de papillonner aux alentours de cet œillet délicat. Enroulée comme une cigarette russe, sa langue tenta de s’enfoncer dans ce petit trou, aussi loin qu’elle le pouvait. Lauren gémissait, Maitresse Marina bramait.
- Lèche-moi, lèche bien ma chatte salope ! Montre-moi que tu as bien suivi le cours que nous t’avons donné ce matin, le chien.
La langue de soumis Endymion MDE ressortait de ce petit trou, remontait jusqu’au clitoris déjà bandé de Maîtresse Marina, et retournait sans se lasser vers cette anus pour tenter une réintroduction avec force et vigueur. Il fit ça à maintes reprises, allant même grignoter du bout des dents, ces petits bouts de chairs qui trainaient à leur portée. Il donna le « coup de grâce » lorsqu’il porta ses lèvres sur ce clitoris cramoisi. Il le pinça très fort sans pour autant le blesser. Maîtresse Marina se mit à hurler, tant son orgasme était puissant, électrisant tout son être. Peu après, Lauren elle aussi se laissa partir. Marina la masturbait énergiquement, alors que soumis Endymion MDE, sur ordre, lui caressait délicatement les seins.
Toutes deux s’allongèrent et se pelotonnèrent l’une contre l’autre, après avoir ordonné à l’esclave MDE de se remettre à genoux aux pieds du lit. Elles s’embrassèrent longuement et fougueusement encore. L’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans, lui, peut-être pour la première fois, venait de ressentir une vraie et réelle frustration sexuelle auprès de ces deux Dominas lesbiennes. Pour l’esclave MDE, les femmes pourtant, n’avaient jamais été jusqu’ici, comment dire… sa tasse de thé. Bizarrement, là, il aurait aimé utiliser sa nouille, la glisser dans ces cavités chaudes et humides, il aurait aimé les prendre toutes les deux, délicatement, servilement afin de leur procurer du plaisir. Etait-ce un premier déclic ? Etait-ce ses premiers pas vers de nouveaux horizons, déjà des premiers résultats encourageants de cet enseignement à l’autorité féminine ? Il était incapable de s’en assurer encore ! En tout état de cause, cette frustration lui avait rappelé qu’il était là pour être lésé, démuni, dépossédé et là, pour être aussi utilisé et il l’avait été ! Alors plutôt que d’en éprouver de l’affliction ou de la contrariété, il se délecta de cette situation, force était de constater que ce plaisir mental avec quelques répercutions sur le plan anatomique : sa queue cramoisie, gonflée et séquestrée ne pouvait le contredire !
Maitresse Marina fut la première à sortir du lit, elle s’approcha de soumis Endymion MDE, immobile et tête baissée.
- Tu es un bon bouffeur de cul, petite salope, je dirai même que tu es performant, tu as une bonne langue et tu sais t’en servir. lança-t-elle !
soumis Endymion MDE baissa ostensiblement la tête en signe de respect, de servilité et d’humilité. Maitresse Marina lui attrapa le menton et lui souleva le visage. Elle le regarda sévèrement, droit dans les yeux un long moment avant d’intervenir de nouveau.
- Mais tu n’es qu’un chien mâle… un incapable…, comme tous les mâles que porte cette terre !
Elle asséna deux gifles magistrales à soumis Endymion MDE, qui ne comprit pas pourquoi un tel geste, alors qu’il venait d’être à l’instant félicité. Etait est-ce un message d’encouragement ? Une façon bien à elle de le remercier ?
- Comme tous les mâles, tu es incapable de faire deux choses à la fois ! reprit-elle.
L’esclave MDE ne comprenait toujours pas, il regardait cette Maîtresse d’un air servile mais interrogatif ! Alors Maîtresse Marina attrapa sauvagement le chien soumis MDE par son collier, et d’un geste rapide lui colla le visage près du sol. Lorsqu’il ouvrit et leva les yeux, là juste devant lui, il vit un plug posé sur le sol …
- Tu vois bien que j’ai raison, j’ai d’ailleurs toujours raison. Tu n’es qu’un incapable te disais-je. Incapable de garder ancré dans ton cul de lope, ce que je t’avais ordonné de tenir. Tu n’es qu’un chien désobéissant ! (Marina se tut quelques secondes). Et tu sais ce qu’on fait ici au chien mâle désobéissant ? (Elle regarda sévèrement le chien soumis, puis calmement elle termina sa phrase). On le punit !
(A suivre …)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...