La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 612)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 612)
franckdocile au Château - (suite de l'épisode N°610) -
Alors, on s'embrasse goulûment. Je la bascule sur le dos sur le lit, ce qui me fait basculer sur elle avec ma tête au niveau de sa poitrine. Je descends le long de son corps pour lui retirer son jeans, elle en profite pour se redresser et retirer son haut. Elle porte de jolis sous-vêtements en dentelle noire qui mettent en valeur son corps de femme. Sa poitrine me semble superbement bien proportionnée et cela m’excite. Je me couche sur elle tout habillé et commence à l'embrasser puis en descendant au fur et à mesure le long de son corps, je lui retire son soutien-gorge et sa culotte. La voilà allongée et dénudée, couchée sur le dos les cuisses largement ouvertes avec un homme inconnu en train de s'activer avec sa langue sur la chatte humide. Il est clair que la situation l'excite au plus point. Quelques coups de langues ont suffi pour obtenir une chatte complètement trempée. Je prends beaucoup de plaisir à la voir gémir ainsi grâce à mes caresses buccales. Je passe et repasse le bout de ma langue sur son clitoris, ma langue titille son petit capuchon clitoridien puis mon appendice buccal s’incruste entre ses lèvres intimes et fait de petits vas-et-viens. Je lèche goulument aussi longuement sa chatte de bas en haut et inversement … Et après quelques minutes de pareil traitement, elle explose dans un cri à peine retenu. Ceci l'a complètement transformée, car si j’ai senti un peu de timidité tout de même dans les premières minutes dans la chambre, ce n'est plus du tout le cas maintenant. Je me retrouve avec une femme totalement brûlante qui n'a pas l'intention du tout d'en rester là. J'avoue qu'à ce moment-là, je ne me rends pas compte, étant dans le feu de l'action, que ma mission est déjà atteinte et que je pourrais en rester là.
Elle se redresse et ouvre ma ceinture tout en me fixant dans les yeux avec un air incroyablement coquin. Elle fait tomber mon pantalon, enlève mon haut et caresse ma queue à travers le caleçon tout en me fixant du regard. Ma bite est toute raide et elle aime faire monter le plaisir à travers cette attente de la fellation. Elle finit par retirer mon caleçon et prendre la bite en main. Elle se met assise sur le lit, les jambes écartées, met ses deux mains sur mes fesses et entame une savoureuse fellation qui me rend dingue. De temps en temps, elle retire ses mains de mes fesses pour se caresser le clitoris tout en continuant de me sucer sans jamais utiliser les mains sur ma bite. C'est divin, elle sait y faire. Je décide ensuite de passer à l'étape suivante. Je me baisse vers elle, pour l'embrasser à pleine bouche puis l'invite à se retourner et à se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle glisse sa main entre ses jambes et se caresse la chatte en attendant que je la pénètre. Je présente ma bite et elle la saisit en levrette quand avec sa main elle guide ma queue vers sa chatte qui l'avale en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire.
- Vas-y baise moi maintenant, j'aime ça, me lance-t-elle d'un ton suave.
Je réponds par une série de coups de reins virils, vifs et appuyés qui la font rugir de plaisir. Ces hanches se dandinent et sa croupe arrondie est de toute beauté. Je poursuis mes va-et-vient durant un certain temps avant de m'allonger sur le dos sur le lit et de l'inviter à s'asseoir sur moi. Elle monte à califourchon sur ma bite droite comme un I dressé et nous alternons ainsi des positions couchées et redressées durant plusieurs minutes. Nos mouvements de bassins sont tantôt alternatifs tantôt en symbiose et finissent par nous faire exploser simultanément dans un orgasme fort d'une rare intensité. Elle me chuchote un merci à l'oreille que je lui rends puis elle s'échappe avec un large sourire évocateur dans la salle de bain. Je l’entends qui prend une douche. Lorsqu'elle en sortira, je serai déjà loin. Je me rends compte que je viens d'avoir un coup de chance inouï : une approche, un orgasme, et tout cela en un temps record étant donné qu'il n'est que 17 heures. Mon portefeuille s'est par contre déjà allégé de 60 euros, heureusement Monsieur le Marquis d’Evans a été généreux financièrement ...
En route pour trouver une bite qui veuille bien jouir dans ma bouche maintenant… Le timing n'est pas mauvais, pour l'instant, je décide de parcourir le centre-ville de Villefranche-sur-Saône et ses alentours sans objectif précis pour essayer de trouver une piste. Je ne sais pas trop comment procéder, j'observe aléatoirement autour de moi le profil des bars, des boites de nuits, éventuellement un sex-shop ou un homme qui pourrait avoir le profil. Ce n'est pas évident et donc guère fructueux. Je pourrais aussi croiser un couple d'hommes. Arrivant à bout de patience, je change de méthode. Je m'installe dans un cyber-café avec la première demi-heure d'internet offerte avec ma boisson. Je recherche un bar gay ou une boite gay dans la ville mais il n'y a rien. Je me connecte à un forum de rencontres gays en précisant que je cherche à rencontrer très rapidement quelqu'un car j'adore sucer. Le nombre de connectés n'est pas très important, cela a peu de chances d'aboutir. En parallèle je recherche, de toutes les manières possibles, un endroit de rencontre ou lieu à tendance gays dans la ville. Je reçois soudain un mail d'un certain ‘’motardcuirtbm’’ et la conversation s'installe instantanément :
- Alors, petite chienne t'es en chaleur ? (Elégant comme approche... mais bon, pas vraiment le choix pour satisfaire le Maître)
- Oui, je fantasme de sucer une bonne queue
- Tu fantasmes ou tu veux vraiment ?
- Viens au café du Commerce à Villefranche-sur-Saône dans moins d'une heure et je m'occupe de toi
- Je connais les petits fantasmeurs en ton genre, j'ai pas envie de me déplacer pour rien. J'ai une heure de route. Je ne sais pas si ça vaut le coup...
- Ca vaudra le coup je t'assure. Je t'attends sur place. Je te le prouve en ne me déconnectant pas jusqu'à ton arrivée. (Que c'est humiliant. Sucer le premier venu et en plus lui garantir que ma pipe vaudra le déplacement).
- J'arrive mais t'as intérêt à bien sucer. Sale chienne.
Je veille à ce que ma connexion soit maintenue durant l'heure qu'il me faudra attendre. L’heure passe ainsi à attendre et lorsque je commençais à m'impatienter, je vois soudain un motard entrer dans le café. Celui me cherche du regard puis s'avance vers ma table. Il se commande une bière et s'installe à côté de moi en posant la main sur ma cuisse sans plus de retenue.
- Salut mon petit.
Je me sens terriblement mal à l'aise, moi l'homme marié, d'être comme ça la petite chienne de ce motard qui va bientôt me ramoner la bouche. Je me ressaisis rapidement car il ne faut pas que j'oublie les raisons de ma présence ici.
- Salut.
- Alors comme ça t'as très envie de sucer ma pine ?
- Oui, j'adore ça.
- Tu sais moi ce qui me plairait avec un petit minet comme toi ?
- Non, dis-moi.
- Tu viens avec moi sur ma moto. Je t'emmène dans mon petit hangar et on s'amuse un peu tous les deux.
- Ce sera avec plaisir une prochaine fois. Mais ce soir je n'ai vraiment pas le temps, j'ai un rendez-vous important. J'ai juste le temps pour te sucer aujourd'hui.
- Dommage. Je t'aurais bien pété ta petite rondelle toi. Mais bon ça me va et on se fera ça tranquillement la prochaine fois.
- Je t'emmène à côté du centre commercial du Domaine Caladois, tu t'occupes de moi et on se bipera pour la prochaine fois. Ca te va ?
- Ok.
On paye nos boissons, et on se rend dans cette zone commerciale. L'endroit qu'il a prévu et effectivement à l'écart et nous ne serons pas vus ici…
(A suivre …)
Alors, on s'embrasse goulûment. Je la bascule sur le dos sur le lit, ce qui me fait basculer sur elle avec ma tête au niveau de sa poitrine. Je descends le long de son corps pour lui retirer son jeans, elle en profite pour se redresser et retirer son haut. Elle porte de jolis sous-vêtements en dentelle noire qui mettent en valeur son corps de femme. Sa poitrine me semble superbement bien proportionnée et cela m’excite. Je me couche sur elle tout habillé et commence à l'embrasser puis en descendant au fur et à mesure le long de son corps, je lui retire son soutien-gorge et sa culotte. La voilà allongée et dénudée, couchée sur le dos les cuisses largement ouvertes avec un homme inconnu en train de s'activer avec sa langue sur la chatte humide. Il est clair que la situation l'excite au plus point. Quelques coups de langues ont suffi pour obtenir une chatte complètement trempée. Je prends beaucoup de plaisir à la voir gémir ainsi grâce à mes caresses buccales. Je passe et repasse le bout de ma langue sur son clitoris, ma langue titille son petit capuchon clitoridien puis mon appendice buccal s’incruste entre ses lèvres intimes et fait de petits vas-et-viens. Je lèche goulument aussi longuement sa chatte de bas en haut et inversement … Et après quelques minutes de pareil traitement, elle explose dans un cri à peine retenu. Ceci l'a complètement transformée, car si j’ai senti un peu de timidité tout de même dans les premières minutes dans la chambre, ce n'est plus du tout le cas maintenant. Je me retrouve avec une femme totalement brûlante qui n'a pas l'intention du tout d'en rester là. J'avoue qu'à ce moment-là, je ne me rends pas compte, étant dans le feu de l'action, que ma mission est déjà atteinte et que je pourrais en rester là.
Elle se redresse et ouvre ma ceinture tout en me fixant dans les yeux avec un air incroyablement coquin. Elle fait tomber mon pantalon, enlève mon haut et caresse ma queue à travers le caleçon tout en me fixant du regard. Ma bite est toute raide et elle aime faire monter le plaisir à travers cette attente de la fellation. Elle finit par retirer mon caleçon et prendre la bite en main. Elle se met assise sur le lit, les jambes écartées, met ses deux mains sur mes fesses et entame une savoureuse fellation qui me rend dingue. De temps en temps, elle retire ses mains de mes fesses pour se caresser le clitoris tout en continuant de me sucer sans jamais utiliser les mains sur ma bite. C'est divin, elle sait y faire. Je décide ensuite de passer à l'étape suivante. Je me baisse vers elle, pour l'embrasser à pleine bouche puis l'invite à se retourner et à se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle glisse sa main entre ses jambes et se caresse la chatte en attendant que je la pénètre. Je présente ma bite et elle la saisit en levrette quand avec sa main elle guide ma queue vers sa chatte qui l'avale en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire.
- Vas-y baise moi maintenant, j'aime ça, me lance-t-elle d'un ton suave.
Je réponds par une série de coups de reins virils, vifs et appuyés qui la font rugir de plaisir. Ces hanches se dandinent et sa croupe arrondie est de toute beauté. Je poursuis mes va-et-vient durant un certain temps avant de m'allonger sur le dos sur le lit et de l'inviter à s'asseoir sur moi. Elle monte à califourchon sur ma bite droite comme un I dressé et nous alternons ainsi des positions couchées et redressées durant plusieurs minutes. Nos mouvements de bassins sont tantôt alternatifs tantôt en symbiose et finissent par nous faire exploser simultanément dans un orgasme fort d'une rare intensité. Elle me chuchote un merci à l'oreille que je lui rends puis elle s'échappe avec un large sourire évocateur dans la salle de bain. Je l’entends qui prend une douche. Lorsqu'elle en sortira, je serai déjà loin. Je me rends compte que je viens d'avoir un coup de chance inouï : une approche, un orgasme, et tout cela en un temps record étant donné qu'il n'est que 17 heures. Mon portefeuille s'est par contre déjà allégé de 60 euros, heureusement Monsieur le Marquis d’Evans a été généreux financièrement ...
En route pour trouver une bite qui veuille bien jouir dans ma bouche maintenant… Le timing n'est pas mauvais, pour l'instant, je décide de parcourir le centre-ville de Villefranche-sur-Saône et ses alentours sans objectif précis pour essayer de trouver une piste. Je ne sais pas trop comment procéder, j'observe aléatoirement autour de moi le profil des bars, des boites de nuits, éventuellement un sex-shop ou un homme qui pourrait avoir le profil. Ce n'est pas évident et donc guère fructueux. Je pourrais aussi croiser un couple d'hommes. Arrivant à bout de patience, je change de méthode. Je m'installe dans un cyber-café avec la première demi-heure d'internet offerte avec ma boisson. Je recherche un bar gay ou une boite gay dans la ville mais il n'y a rien. Je me connecte à un forum de rencontres gays en précisant que je cherche à rencontrer très rapidement quelqu'un car j'adore sucer. Le nombre de connectés n'est pas très important, cela a peu de chances d'aboutir. En parallèle je recherche, de toutes les manières possibles, un endroit de rencontre ou lieu à tendance gays dans la ville. Je reçois soudain un mail d'un certain ‘’motardcuirtbm’’ et la conversation s'installe instantanément :
- Alors, petite chienne t'es en chaleur ? (Elégant comme approche... mais bon, pas vraiment le choix pour satisfaire le Maître)
- Oui, je fantasme de sucer une bonne queue
- Tu fantasmes ou tu veux vraiment ?
- Viens au café du Commerce à Villefranche-sur-Saône dans moins d'une heure et je m'occupe de toi
- Je connais les petits fantasmeurs en ton genre, j'ai pas envie de me déplacer pour rien. J'ai une heure de route. Je ne sais pas si ça vaut le coup...
- Ca vaudra le coup je t'assure. Je t'attends sur place. Je te le prouve en ne me déconnectant pas jusqu'à ton arrivée. (Que c'est humiliant. Sucer le premier venu et en plus lui garantir que ma pipe vaudra le déplacement).
- J'arrive mais t'as intérêt à bien sucer. Sale chienne.
Je veille à ce que ma connexion soit maintenue durant l'heure qu'il me faudra attendre. L’heure passe ainsi à attendre et lorsque je commençais à m'impatienter, je vois soudain un motard entrer dans le café. Celui me cherche du regard puis s'avance vers ma table. Il se commande une bière et s'installe à côté de moi en posant la main sur ma cuisse sans plus de retenue.
- Salut mon petit.
Je me sens terriblement mal à l'aise, moi l'homme marié, d'être comme ça la petite chienne de ce motard qui va bientôt me ramoner la bouche. Je me ressaisis rapidement car il ne faut pas que j'oublie les raisons de ma présence ici.
- Salut.
- Alors comme ça t'as très envie de sucer ma pine ?
- Oui, j'adore ça.
- Tu sais moi ce qui me plairait avec un petit minet comme toi ?
- Non, dis-moi.
- Tu viens avec moi sur ma moto. Je t'emmène dans mon petit hangar et on s'amuse un peu tous les deux.
- Ce sera avec plaisir une prochaine fois. Mais ce soir je n'ai vraiment pas le temps, j'ai un rendez-vous important. J'ai juste le temps pour te sucer aujourd'hui.
- Dommage. Je t'aurais bien pété ta petite rondelle toi. Mais bon ça me va et on se fera ça tranquillement la prochaine fois.
- Je t'emmène à côté du centre commercial du Domaine Caladois, tu t'occupes de moi et on se bipera pour la prochaine fois. Ca te va ?
- Ok.
On paye nos boissons, et on se rend dans cette zone commerciale. L'endroit qu'il a prévu et effectivement à l'écart et nous ne serons pas vus ici…
(A suivre …)
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