La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 620)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 620)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°619) - Humiliant et dur retour à la slave Académie (1/2) -
Dès son arrivée à la New-York Académie BDSM-MDE (c’était son nom officiel car cet établissement, rappelons-le, appartenait à Monsieur le Marquis d’Evans qui l’avait financé et voulu), soumis Endymion MDE, fut pris en main par Maitresse Marina et son amie Madame Lauren. Vêtu de sa simple djellaba froissée et largement tâchée, ses babouches trop étroites aux pieds, l’esclave MDE ne ressemblait à rien, il était épuisé sinon éreinté par ces dernières vingt-quatre heures. Il avait vécu le déshonneur, la diffamation, la déchéance et la totale dépravation. Il se sentait sale, puait même la transpiration, il était vraiment dans un piteux état. Campé debout, tête basse, les bras ballants le long de son corps, il était face à ces deux femmes perverses qui l’examinaient de la tête aux pieds. Le moment était trop bon pour elles deux, il fallait qu’elles humilient cet esclave MDE qui ne ressemblait plus à rien. Ce fut Madame Lauren qui l’interpella en lançant cyniquement :
- La dépravée fait son retour parmi nous…
Elle se tut longuement toisant et marchant lentement tout autour de l’esclave MDE. Du bout des doigts, dédaigneusement, elle leva un tant soit peu le tissu de sa djellaba, puis elle reprit la parole.
- Cette chienne pue le foutre à dix lieux à la ronde ! Elle a du en prendre plein le cul…
L’esclave restait parfaitement immobile, ne bronchait pas, attendait servilement, piteusement. Maitresse Marina, vicieusement souriait. Elle s’approcha de lui, tout près de lui, nez en avant :
- C’est vrai que tu sens le foutre à plein nez, espèce de souillonne-cochonne !
Elle le gifla deux fois, puis sitôt après plaqua sa main sur l’entrejambe d’Endymion MDE. Elle empoigna son sexe à travers le tissu de son cafetan, le serra douloureusement. Sous cette poigne d’acier, l’esclave MDE se plia en deux. Madame Lauren juste derrière lui en profita pour soulever la djellaba et lui dégagea le fessier. Elle vint s’accroupir devant ce cul dénudé, lui écarta les fesses de ses deux mains :
- Pas étonnant qu’il pue le foutre, son cul regorge… Cette chienne n’est même pas capable de contenir ce que certains lui offrent généreusement !
Elle assena deux claques sur le cul d’Endymion MDE, passa son majeur sur sa raie pour cueillir la semence qui s’échappait de son orifice encore béant suite à ces deux dernières saillies, puis se releva, s’approcha de sa bouche, majeur tendu.
- Suce chienne !
Elle enfonça son doigt dans la cavité buccale d’Endymion MDE, l’essuyant tout contre son palais. Dès que le doigt fut nettoyé correctement, Maîtresse Marina lui relâcha ses organes génitaux et l’empoigna par les cheveux puis exerça une pression sur sa tête pour lui faire comprendre qu’il devait mettre son visage au sol. Il se mit sans attendre en levrette instinctivement, le cul bien relevé, les jambes les plus écartées possible, les bras en avant et la tête plaquée sur le côté, l’ensemble dans cette position prosternée qui sied parfaitement à l’esclave MDE, avec en plus le cul fort exhibé car sa djellaba glissa le long de son dos pour se mettre en paquet tout contre ses épaules. Le spectacle était affligeant, Madame Lauren prit un pan de cette djellaba pour lui couvrir le visage.
- Gros bâtard, ta bouche de pute on n’en a rien à faire, seul ton cul nous intéresse…
Madame Lauren semblait particulièrement excitée par cette situation humiliante. Son peu d’intérêt pour les hommes, et mieux encore, son aversion et sa répugnance pour les chiens soumis, la rendait d’une perversité à toute épreuve. Elle vint de nouveau s’accroupir près du cul d’Endymion MDE et s’exclama avec une ironie humiliante :
- Mais regarde, Marina ! Il bande, ce chien !
En effet, le comble de la situation est qu’Endymion MDE était très excité de se sentir si humilié, si rabaissé par les deux Dominas. Et cette excitation ressentie si fortement en lui, n’était pas uniquement que mentale, elle était visiblement physique aussi. Alors Madame Lauren lui avait attrapé la queue, la tirant vers l’arrière et la passant entre ses cuisses, obligeant le chien soumis à tendre son cul et cambrer mieux encore ses reins. Il poussa un long gémissement tant de douleur que de plaisir masochiste…
- Oui, regarde Marina, cette pute bande comme un cerf en rut. A croire que plus on le conduit dans la fange, les bassesses, et la débauche, plus il prend du plaisir ! Je ne sais pas où ton Oncle, ce Cher Monsieur le Marquis d’Evans a trouvé ce chien… sans doute dans un caniveau… mais c’est vraiment une vraie pute ! Plus on l’humilie, plus on l’insulte, plus on le dégrade et plus il bande…
- Oh tu sais ma Chère Lauren, Mon Oncle sait très bien sélectionner son cheptel de lopes. Ce n’est pas un hasard si celui-ci est entre nos mains. Il mise beaucoup sur lui, il sait qu’il détient un vrai potentiel, ce chien est une vraie pute, oui tu as raison ! Une vraie chienne que l’on peut faire sauter aussi bien dans les grands et luxueux hôtels comme dans les bas-fonds d’un garage new-yorkais !
Maitresse Marina avait posé un de ses pieds chaussé d’un escarpin à talon aiguille sur l’omoplate de soumis Endymion MDE et semblait vouloir l’enfoncer dans ses chairs par une forte pression en appuyant longuement tout en le regardant de haut durant un long silence. Puis une fois qu’elle avait bien toisé à souhait l’esclave MDE, elle lui dit avec un certain dédain :
- Dis-moi Endymion MDE que tu es une souillonne-cochonne !
- Oui Maîtresse, je suis une souillonne-cochonne…
- Dis-moi que tu aimes faire la pute !
- Oui Maîtresse, j’aime faire ça
- Faire quoi ? (le talon s’enfonçait un peu plus)
- J’aime faire la pute, Maîtresse
- Bien Endymion MDE, très bien petite chienne et dis-moi aussi que tu aimes aussi prendre des bites dans le cul ?
- Oui Maîtresse, j’aime me faire enculer, j’aime avoir des bites dans le cul
- Très bien … et que ton cul est un vide-couilles…
- Oui Maîtresse, mon cul est un vide-couilles…
La porte de la pièce dans laquelle se trouvaient les trois protagonistes venait de s’ouvrir, Monsieur le Vicomte d’Evans entrait en interpellant :
- Mesdames, Mesdames, s’il vous plait ! Ce chien a besoin de repos, il faut le laisser un peu souffler, vous savez que cet après-midi, nous le voulons en grande forme. Marina, conduit-le s’il te plait, en cellule et fait-le se coucher !
Marina semblait fulminer, elle aurait aimé jouer encore un peu avec Endymion MDE, mais elle savait aussi que les ordres de Monsieur le Directeur de l’Etablissement ne se discutaient pas. Elle ordonna au chien soumis de se lever et de la suivre. Elle choisit une cellule au hasard, laissant là quelques instants seulement Endymion MDE. Elle revint peu après avec un sac de couchage et un paquet contenant des glaçons :
- A poil chien ! Et tiens pose ça sur ta queue !
Elle lui tendit le sac de glaçons, l’esclave MDE se réfrigéra la nouille et les couilles, l’effet fut immédiat. Sa queue perdit du volume et devint rapidement flasque. Marina alors harnacha cette bite molle d’une cage de chasteté.
- Couche-toi maintenant dans ce sac de couchage et dors le chien ! Tu as entendu Maître CharlEd, cet après-midi, il te veut en grande forme ! Et on t’apportera de quoi te sustenter …
Juste avant de s’installer dans le sac de couchage, Endymion MDE, timidement, leva son index, tel un enfant voulant s’exprimer.
- Qu’y a-t’il encore ? Interrogea Maîtresse Marina agacée, comme si souvent soumis Endymion MDE réclamait quelque chose.
- Maîtresse, pourriez-vous autoriser Votre chien à pisser s’il vous plait ?
- J’ai suffisamment perdu de temps avec toi salope, si tu veux pisser alors tu te pisseras dessus, dans ce sac de couchage. Ton congénère qui dormira là-dedans ce soir sera certainement très content de s’endormir dans une couche humide et puante…
Jusqu’au bout Maîtresse Marina voulait humilier l’esclave MDE, elle le regardait perversement s’installer, penaud dans ce sac de couchage. Elle remonta elle-même la fermeture éclair puis lui posa un collier métallique autour du cou, qu’elle cadenassa à une chaine courte fixée à un anneau rivé au mur. Ainsi attaché, soumis Endymion MDE ne pouvait se lever. Ces dernières extrêmes humiliations l’excitaient de nouveau grandement surtout mentalement car les glaçons lui avait coupé toute envie physique. Mais dans sa tête l’esclave MDE jubilait de bonheur, son masochiste exacerbée était en ébullition, rarement il s’était senti aussi humilié. La décadence suprême d’être obligé à s’uriner dessus lui apportait un plaisir immense, oui paradoxalement il était heureux de vivre de tels instants si décadents…
- Dors bien la pute !
Elle tourna les talons en les faisant claquer au sol, verrouilla les barreaux de la cellule à triple tours et s’en alla, laissant le chien soumis en proie avec ses envies pressantes. Et ce qui devait arriver, arriva… le chien soumis MDE, ne tenant plus son besoin naturel, se pissa dessus, inondant le sac dans lequel il était couché… Il parvint malgré tout à s’endormir, baignant dans ses urines, il était tant épuisé mais si heureux de n’être moins que rien, moins qu’un animal, de n’être qu’un esclave MDE. Et il savourait un masochisme mental d’être humilié ainsi, oui il vivait mentalement le paroxysme de l’humiliation dans la jubilation d’un improbable bien-être psychologique …
(A suivre …)
Dès son arrivée à la New-York Académie BDSM-MDE (c’était son nom officiel car cet établissement, rappelons-le, appartenait à Monsieur le Marquis d’Evans qui l’avait financé et voulu), soumis Endymion MDE, fut pris en main par Maitresse Marina et son amie Madame Lauren. Vêtu de sa simple djellaba froissée et largement tâchée, ses babouches trop étroites aux pieds, l’esclave MDE ne ressemblait à rien, il était épuisé sinon éreinté par ces dernières vingt-quatre heures. Il avait vécu le déshonneur, la diffamation, la déchéance et la totale dépravation. Il se sentait sale, puait même la transpiration, il était vraiment dans un piteux état. Campé debout, tête basse, les bras ballants le long de son corps, il était face à ces deux femmes perverses qui l’examinaient de la tête aux pieds. Le moment était trop bon pour elles deux, il fallait qu’elles humilient cet esclave MDE qui ne ressemblait plus à rien. Ce fut Madame Lauren qui l’interpella en lançant cyniquement :
- La dépravée fait son retour parmi nous…
Elle se tut longuement toisant et marchant lentement tout autour de l’esclave MDE. Du bout des doigts, dédaigneusement, elle leva un tant soit peu le tissu de sa djellaba, puis elle reprit la parole.
- Cette chienne pue le foutre à dix lieux à la ronde ! Elle a du en prendre plein le cul…
L’esclave restait parfaitement immobile, ne bronchait pas, attendait servilement, piteusement. Maitresse Marina, vicieusement souriait. Elle s’approcha de lui, tout près de lui, nez en avant :
- C’est vrai que tu sens le foutre à plein nez, espèce de souillonne-cochonne !
Elle le gifla deux fois, puis sitôt après plaqua sa main sur l’entrejambe d’Endymion MDE. Elle empoigna son sexe à travers le tissu de son cafetan, le serra douloureusement. Sous cette poigne d’acier, l’esclave MDE se plia en deux. Madame Lauren juste derrière lui en profita pour soulever la djellaba et lui dégagea le fessier. Elle vint s’accroupir devant ce cul dénudé, lui écarta les fesses de ses deux mains :
- Pas étonnant qu’il pue le foutre, son cul regorge… Cette chienne n’est même pas capable de contenir ce que certains lui offrent généreusement !
Elle assena deux claques sur le cul d’Endymion MDE, passa son majeur sur sa raie pour cueillir la semence qui s’échappait de son orifice encore béant suite à ces deux dernières saillies, puis se releva, s’approcha de sa bouche, majeur tendu.
- Suce chienne !
Elle enfonça son doigt dans la cavité buccale d’Endymion MDE, l’essuyant tout contre son palais. Dès que le doigt fut nettoyé correctement, Maîtresse Marina lui relâcha ses organes génitaux et l’empoigna par les cheveux puis exerça une pression sur sa tête pour lui faire comprendre qu’il devait mettre son visage au sol. Il se mit sans attendre en levrette instinctivement, le cul bien relevé, les jambes les plus écartées possible, les bras en avant et la tête plaquée sur le côté, l’ensemble dans cette position prosternée qui sied parfaitement à l’esclave MDE, avec en plus le cul fort exhibé car sa djellaba glissa le long de son dos pour se mettre en paquet tout contre ses épaules. Le spectacle était affligeant, Madame Lauren prit un pan de cette djellaba pour lui couvrir le visage.
- Gros bâtard, ta bouche de pute on n’en a rien à faire, seul ton cul nous intéresse…
Madame Lauren semblait particulièrement excitée par cette situation humiliante. Son peu d’intérêt pour les hommes, et mieux encore, son aversion et sa répugnance pour les chiens soumis, la rendait d’une perversité à toute épreuve. Elle vint de nouveau s’accroupir près du cul d’Endymion MDE et s’exclama avec une ironie humiliante :
- Mais regarde, Marina ! Il bande, ce chien !
En effet, le comble de la situation est qu’Endymion MDE était très excité de se sentir si humilié, si rabaissé par les deux Dominas. Et cette excitation ressentie si fortement en lui, n’était pas uniquement que mentale, elle était visiblement physique aussi. Alors Madame Lauren lui avait attrapé la queue, la tirant vers l’arrière et la passant entre ses cuisses, obligeant le chien soumis à tendre son cul et cambrer mieux encore ses reins. Il poussa un long gémissement tant de douleur que de plaisir masochiste…
- Oui, regarde Marina, cette pute bande comme un cerf en rut. A croire que plus on le conduit dans la fange, les bassesses, et la débauche, plus il prend du plaisir ! Je ne sais pas où ton Oncle, ce Cher Monsieur le Marquis d’Evans a trouvé ce chien… sans doute dans un caniveau… mais c’est vraiment une vraie pute ! Plus on l’humilie, plus on l’insulte, plus on le dégrade et plus il bande…
- Oh tu sais ma Chère Lauren, Mon Oncle sait très bien sélectionner son cheptel de lopes. Ce n’est pas un hasard si celui-ci est entre nos mains. Il mise beaucoup sur lui, il sait qu’il détient un vrai potentiel, ce chien est une vraie pute, oui tu as raison ! Une vraie chienne que l’on peut faire sauter aussi bien dans les grands et luxueux hôtels comme dans les bas-fonds d’un garage new-yorkais !
Maitresse Marina avait posé un de ses pieds chaussé d’un escarpin à talon aiguille sur l’omoplate de soumis Endymion MDE et semblait vouloir l’enfoncer dans ses chairs par une forte pression en appuyant longuement tout en le regardant de haut durant un long silence. Puis une fois qu’elle avait bien toisé à souhait l’esclave MDE, elle lui dit avec un certain dédain :
- Dis-moi Endymion MDE que tu es une souillonne-cochonne !
- Oui Maîtresse, je suis une souillonne-cochonne…
- Dis-moi que tu aimes faire la pute !
- Oui Maîtresse, j’aime faire ça
- Faire quoi ? (le talon s’enfonçait un peu plus)
- J’aime faire la pute, Maîtresse
- Bien Endymion MDE, très bien petite chienne et dis-moi aussi que tu aimes aussi prendre des bites dans le cul ?
- Oui Maîtresse, j’aime me faire enculer, j’aime avoir des bites dans le cul
- Très bien … et que ton cul est un vide-couilles…
- Oui Maîtresse, mon cul est un vide-couilles…
La porte de la pièce dans laquelle se trouvaient les trois protagonistes venait de s’ouvrir, Monsieur le Vicomte d’Evans entrait en interpellant :
- Mesdames, Mesdames, s’il vous plait ! Ce chien a besoin de repos, il faut le laisser un peu souffler, vous savez que cet après-midi, nous le voulons en grande forme. Marina, conduit-le s’il te plait, en cellule et fait-le se coucher !
Marina semblait fulminer, elle aurait aimé jouer encore un peu avec Endymion MDE, mais elle savait aussi que les ordres de Monsieur le Directeur de l’Etablissement ne se discutaient pas. Elle ordonna au chien soumis de se lever et de la suivre. Elle choisit une cellule au hasard, laissant là quelques instants seulement Endymion MDE. Elle revint peu après avec un sac de couchage et un paquet contenant des glaçons :
- A poil chien ! Et tiens pose ça sur ta queue !
Elle lui tendit le sac de glaçons, l’esclave MDE se réfrigéra la nouille et les couilles, l’effet fut immédiat. Sa queue perdit du volume et devint rapidement flasque. Marina alors harnacha cette bite molle d’une cage de chasteté.
- Couche-toi maintenant dans ce sac de couchage et dors le chien ! Tu as entendu Maître CharlEd, cet après-midi, il te veut en grande forme ! Et on t’apportera de quoi te sustenter …
Juste avant de s’installer dans le sac de couchage, Endymion MDE, timidement, leva son index, tel un enfant voulant s’exprimer.
- Qu’y a-t’il encore ? Interrogea Maîtresse Marina agacée, comme si souvent soumis Endymion MDE réclamait quelque chose.
- Maîtresse, pourriez-vous autoriser Votre chien à pisser s’il vous plait ?
- J’ai suffisamment perdu de temps avec toi salope, si tu veux pisser alors tu te pisseras dessus, dans ce sac de couchage. Ton congénère qui dormira là-dedans ce soir sera certainement très content de s’endormir dans une couche humide et puante…
Jusqu’au bout Maîtresse Marina voulait humilier l’esclave MDE, elle le regardait perversement s’installer, penaud dans ce sac de couchage. Elle remonta elle-même la fermeture éclair puis lui posa un collier métallique autour du cou, qu’elle cadenassa à une chaine courte fixée à un anneau rivé au mur. Ainsi attaché, soumis Endymion MDE ne pouvait se lever. Ces dernières extrêmes humiliations l’excitaient de nouveau grandement surtout mentalement car les glaçons lui avait coupé toute envie physique. Mais dans sa tête l’esclave MDE jubilait de bonheur, son masochiste exacerbée était en ébullition, rarement il s’était senti aussi humilié. La décadence suprême d’être obligé à s’uriner dessus lui apportait un plaisir immense, oui paradoxalement il était heureux de vivre de tels instants si décadents…
- Dors bien la pute !
Elle tourna les talons en les faisant claquer au sol, verrouilla les barreaux de la cellule à triple tours et s’en alla, laissant le chien soumis en proie avec ses envies pressantes. Et ce qui devait arriver, arriva… le chien soumis MDE, ne tenant plus son besoin naturel, se pissa dessus, inondant le sac dans lequel il était couché… Il parvint malgré tout à s’endormir, baignant dans ses urines, il était tant épuisé mais si heureux de n’être moins que rien, moins qu’un animal, de n’être qu’un esclave MDE. Et il savourait un masochisme mental d’être humilié ainsi, oui il vivait mentalement le paroxysme de l’humiliation dans la jubilation d’un improbable bien-être psychologique …
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