La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 636)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 636)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (1/4) -
Je m’appelle Aurélia. J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires de sexe. Afin de payer mes études, j’ai fini par trouver quelques heures de bonne de ménage au château de Monsieur le Marquis d'Evans. Nourrie et logée, le Maître des lieux me laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Cette chambre rustique était au rez-de-chaussée dans l’aile gauche du château et avait une entrée indépendante sur le côté. Une porte de communication permettait l’accès dans les appartements du Marquis et de son compagnon David. Ce couple homosexuel était très connu dans la région et même estimé car le Marquis Edouard d'Evans était d’une grande hospitalité fort légendaire acquise au fil des siècles chez les Evans. Monsieur le Marquis d'Evans était un avocat réputé pour sa verve et David juge d’instruction (ce qui formait donc un couple gays original) et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Monsieur le Marquis d'Evans et David n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur cabinet respectif, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le grand repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations en soirée mondaine. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. David m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noirs aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguisée. Mais Sir Evans et David étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issus tous les deux d’une famille de la grande et noble bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom tout en les vovoyant, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Monsieur.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Le château se situait au milieu d’un immense parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. J’avais le dimanche et lundi comme jours de congé. Mais le samedi et après mes heures de travail, ils m’avaient autorisé à me baigner et utiliser le sauna durant leur absence. Ils rentraient en général vers 21 heures le samedi soir et s’occupaient eux même du repas du samedi soir, la cuisinière n’étant pas au château car le samedi est son jour de congé.
Je passais donc tous mes samedis après-midi dans la dépendance au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Donc cette après midi là, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois de septembre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur. Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime. A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, personne ne m’attendait. Monsieur le Marquis d'Evans et David ne seraient pas là avant le soir. Et je m’entendis dire tout haut :
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ! Tu aimes ça te masturber hein ! Bien sûr, tu préfèrerais un homme mais faute de mieux … ! …Allez ma fille, fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, David qui me titillait la poitrine… Je n’avais pourtant entendu personne rentrer. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Sir Evans :
- Ne crie pas ! De toute façon, personne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi deux ! Tu as déjà fait l’amour avec un homosexuel ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme disons… plus hétéro ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! Pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Aurélia m’a l’air d’une sacrée salope, dit David en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle a un potentiel de salope et crois-moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lyla avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise.
Le Marquis avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par David qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec Sir Evans. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de David venant juste après les miennes m’avaient enlevé de ma vigueur, il reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher ‘’toute neuve’’ dans un de nos dîners mensuels. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances à Cannes, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maître Dumont me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout David. Il les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. David et moi, nous y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maître, lui dit ai-je
- Voilà un sacré cochon ce Dumont. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi David, aussi tu l’aimes bien la queue de Maître Dumont ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre, ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit le marquis, personne ne m’aurait entendu. David a du le sentir, car il a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! Nos histoires ont émoustillé cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Tient, regarde, touche !
- Mais ? tu as raison ! Dit Monsieur le Marquis d'Evans, alors sale petite vicieuse ! Ca t’excite les histoires de cul ! Tu as envie de goûter à ma bite ou tu préfères celle de David ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Aurélia, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! Tu vas voir le sien va te remplir ta bouche de salope.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, dit le marquis, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois David, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement.
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a 6 mois, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Alors David, montre lui comment on doit s’y prendre.
David ne mit à genoux devant son compagnon et après qu’il lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, il commença par lui lécher la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Monsieur le Marquis d'Evans fut bien raide, David se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
- A toi maintenant. J’allais me mettre à genoux à mon tour, quand David rajouta :
- Non, reste allongée, le Maître se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que son compagnon ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, salope, ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Il me parlait comme une mère parle à son enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant au marquis :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant nous. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? Qu’y a-t-il de plus bon dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement, il reprenait sa succion, avec un réel savoir-faire, il faut l’avouer. Bientôt il ne s’arrêta plus et c’est le Maître qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne David. Il est parfait, toutes nos amies et nos amis le disent, il suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt auparavant à un désert.
- Ouiiiiiiiiiiiiiii ! C’est bon, encore David, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhhhhhh ! Ahhhhhh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais mon David ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Sir Evans m’encourageait et David ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime me faire sucer, par mes patrons»
- Je suis une petite pute… Ahhhhhhhhhhhhh ! et j’aime que mes patrons me sucent. Ahhhhhhhhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand David vint me rouler un patin où se mêlai le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais, ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles du marquis que David finissait d’astiquer avant qu’il ne le prenne là devant moi, à l’enculer en levrette et qu’ils jouissent à leur tour, quasi simultanément.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour, ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre la peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée d’été, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sir Evans et David m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur...
(A suivre ...)
Je m’appelle Aurélia. J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires de sexe. Afin de payer mes études, j’ai fini par trouver quelques heures de bonne de ménage au château de Monsieur le Marquis d'Evans. Nourrie et logée, le Maître des lieux me laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Cette chambre rustique était au rez-de-chaussée dans l’aile gauche du château et avait une entrée indépendante sur le côté. Une porte de communication permettait l’accès dans les appartements du Marquis et de son compagnon David. Ce couple homosexuel était très connu dans la région et même estimé car le Marquis Edouard d'Evans était d’une grande hospitalité fort légendaire acquise au fil des siècles chez les Evans. Monsieur le Marquis d'Evans était un avocat réputé pour sa verve et David juge d’instruction (ce qui formait donc un couple gays original) et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Monsieur le Marquis d'Evans et David n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur cabinet respectif, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le grand repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations en soirée mondaine. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. David m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noirs aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguisée. Mais Sir Evans et David étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issus tous les deux d’une famille de la grande et noble bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom tout en les vovoyant, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Monsieur.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Le château se situait au milieu d’un immense parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. J’avais le dimanche et lundi comme jours de congé. Mais le samedi et après mes heures de travail, ils m’avaient autorisé à me baigner et utiliser le sauna durant leur absence. Ils rentraient en général vers 21 heures le samedi soir et s’occupaient eux même du repas du samedi soir, la cuisinière n’étant pas au château car le samedi est son jour de congé.
Je passais donc tous mes samedis après-midi dans la dépendance au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Donc cette après midi là, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois de septembre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur. Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime. A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, personne ne m’attendait. Monsieur le Marquis d'Evans et David ne seraient pas là avant le soir. Et je m’entendis dire tout haut :
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ! Tu aimes ça te masturber hein ! Bien sûr, tu préfèrerais un homme mais faute de mieux … ! …Allez ma fille, fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, David qui me titillait la poitrine… Je n’avais pourtant entendu personne rentrer. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Sir Evans :
- Ne crie pas ! De toute façon, personne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi deux ! Tu as déjà fait l’amour avec un homosexuel ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme disons… plus hétéro ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! Pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Aurélia m’a l’air d’une sacrée salope, dit David en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle a un potentiel de salope et crois-moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lyla avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise.
Le Marquis avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par David qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec Sir Evans. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de David venant juste après les miennes m’avaient enlevé de ma vigueur, il reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher ‘’toute neuve’’ dans un de nos dîners mensuels. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances à Cannes, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maître Dumont me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout David. Il les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. David et moi, nous y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maître, lui dit ai-je
- Voilà un sacré cochon ce Dumont. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi David, aussi tu l’aimes bien la queue de Maître Dumont ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre, ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit le marquis, personne ne m’aurait entendu. David a du le sentir, car il a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! Nos histoires ont émoustillé cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Tient, regarde, touche !
- Mais ? tu as raison ! Dit Monsieur le Marquis d'Evans, alors sale petite vicieuse ! Ca t’excite les histoires de cul ! Tu as envie de goûter à ma bite ou tu préfères celle de David ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Aurélia, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! Tu vas voir le sien va te remplir ta bouche de salope.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, dit le marquis, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois David, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement.
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a 6 mois, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Alors David, montre lui comment on doit s’y prendre.
David ne mit à genoux devant son compagnon et après qu’il lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, il commença par lui lécher la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Monsieur le Marquis d'Evans fut bien raide, David se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
- A toi maintenant. J’allais me mettre à genoux à mon tour, quand David rajouta :
- Non, reste allongée, le Maître se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que son compagnon ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, salope, ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Il me parlait comme une mère parle à son enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant au marquis :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant nous. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? Qu’y a-t-il de plus bon dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement, il reprenait sa succion, avec un réel savoir-faire, il faut l’avouer. Bientôt il ne s’arrêta plus et c’est le Maître qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne David. Il est parfait, toutes nos amies et nos amis le disent, il suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt auparavant à un désert.
- Ouiiiiiiiiiiiiiii ! C’est bon, encore David, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhhhhhh ! Ahhhhhh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais mon David ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Sir Evans m’encourageait et David ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime me faire sucer, par mes patrons»
- Je suis une petite pute… Ahhhhhhhhhhhhh ! et j’aime que mes patrons me sucent. Ahhhhhhhhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand David vint me rouler un patin où se mêlai le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais, ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles du marquis que David finissait d’astiquer avant qu’il ne le prenne là devant moi, à l’enculer en levrette et qu’ils jouissent à leur tour, quasi simultanément.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour, ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre la peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée d’été, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sir Evans et David m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur...
(A suivre ...)
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