La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 643)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 643)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Un soir au Château (2/2) -
J’arrive sur le tapis rouge. Les invités ferment le cercle autour de nous de plus en plus resserré. Je suis au centre avec le Maître de cérémonie. Ils sont à environs trois mètres de moi.
Puis sur un signe du Maître, un esclave entonne un chant lugubre, comme un chant de cérémonie funéraire, après une minute de chant, le Maître de cérémonie, lève la main droite, il se met sur mon côté gauche, un peu derrière moi. Que va-t-il m’arriver ? Sa main s’abat sur ma fesse droite. Cette fessée dont le bruit retentit sous les voûtes est la première, une seconde va arriver sur ma fesse gauche.
Un esclave coupe la ronde des invités et approche une chaise. Le Maître de cérémonie s’y assoit. Un second esclave, que je n’avais pas vu arriver d’un autre côté, coupe la ronde et avance un basset. Une sorte de petit banc rehaussé à quatre pieds sur lequel je suis invitée à me mettre à plat ventre.
Comme je ne suis pas exactement au bon endroit le Maître de cérémonie, me donne une petite claque sur le haut de la cuisse, il veut que mes fesses soient exactement au niveau de l’extrémité du banc.
A partir de ce moment je sais que je vais subir des châtiments corporels, fessées peut-être, martinet, fouet... je ne sais pas.
Le Maître de cérémonie se rassoit. Il attend. Un des invités se lève. Il se met face à mon postérieur et m’assène une fessée qui retentit à nouveau. Puis à tour de rôle chacun vient frapper mes fesses. Je ressens des mains larges et puissantes, sans doute des hommes, des mains moins larges mais très énergiques de femmes. D’ailleurs j’ai l’impression que ces fessées moins puissantes en apparence sont beaucoup plus douloureuses. Elles sont moins larges et l’impact est cinglant. Lorsque tous les invités sont passés, tous s’agenouillent. Le Maître de cérémonie se lève. Il pose ses mains sur mes fesses, effectue quelques mouvements de massage.
Un serviteur soumis s’approche à nouveau. Il lui présente un plateau avec divers godemichés. Il en prend un l’entoure de son pouce et de son index comme pour le mesurer. Il le pose, en prend un second, le soupèse et le pose. Finalement son choix s’arrête sur un troisième. Celui-ci n’est pas lisse, il semble en latex noir avec des aspérités.
Il le trempe dans un bol de gel à côté puis me l’enfonce doucement mais sans hésitation dans l’anus. Il me strie l’intérieur, je crie de douleur. Je reçois une cinglante fessée. Il le retire et recommence, cette fois-ci j’essaie de ne pas crier, mais la douleur est encore la plus forte, je crie modestement, et reçois à nouveau une fessée.
Alors que le godemiché est enfoncé dans mon anus, un esclave avance avec sur un plateau des baguettes, des martinets. Le Maître de cérémonie, en choisit un avec de courtes lanières terminées de morceaux de métal. Il le tend à un Maître en face.
Ce denier avance d’environ deux mètres et prends le martinet. Il lève la main, me frappe une première fois sur les fesses, puis après un répit une seconde fois et rapidement derrière une troisième fois. Visiblement je subis une correction. Je ne dois pas crier quoiqu’il arrive. Le Maître de cérémonie serait fâché.
Après ces fessées et ces coups de martinets, il me caresse les fesses, insistant sur les marques douloureuses que je porte. Chaque passage de ses mains, me meurtrit davantage. Il arrête un instant.
Les invités à genoux se lèvent et se dirigent vers une grille en fer forgé.
L’ invité qui tient le martinet me pousse avec le bout. Il veut que je suive le groupe. Je me sens humiliée. Je suis, les Maîtres et Maîtresses s’écartent. Le Maître ferme la marche. Arrivée près de la grille, je remarque que la distance entre celle-ci et le piler de soutènement de la voute est relativement court. Des anneaux sont fixés dans ce pilier. Je me dis que je vais y être attachée et y subir d’autres coups.
Tous se taisent. Le silence est lourd. Le Maître de cérémonie réfléchit ou prépare un plan diabolique. Je ne sais pas. Finalement il attache mon poignet droit à la grille, l’autre à la chaîne qui est accrochée au pilier. Il attache ensuite ma cheville droite à la grille. Un serviteur apporte un tabouret sur lequel il exige que je pose le pied, celui-ci est sanglé au tabouret.
Ainsi en équilibre sur le pied droit, la seconde jambe fléchit pied posé et attaché à l’assise du tabouret je ne peux plus bouger. Les fidèles se réorganisent pour voir le spectacle. Certains sont devant moi, d’autres derrière moi.
Au goût du Maître de cérémonie, le tabouret est trop prêt de ma jambe droite. Il le pousse de son pied, le fait glisser. La position devient très inconfortable. Je suis totalement écartée.
Le Maître ordonne à trois invités de faire ce qu’ils ont à faire. Il s’assoit en face de moi, sur une chaise plutôt confortable. Je me sens fragile, comme un chrétien sur une croix. Certes mes mains et mes pieds ne sont pas transpercés, mais je suis nue, offerte aux regards des fidèles présents. Je remarque toutefois que ceux qui sont devant moi n’ont pas des mains de femmes. Y aurait-il eu un classement, les hommes face à moi, les femmes ayant mon dos comme spectacle ?
Les trois invités font un petit détour et se servent sur une table. L’un d’eux prend une poche contenant un liquide blanc, il prend un tuyau, l’autre prend un seau. Le troisième prend des gants en latex et les enfilent.
Celui qui a des gants se dirige vers moi, il me fait face, il me masturbe le clitoris d’une main et pendant ce temps enfonce les doigts de l’autre main dans mon vagin, deux doigts d’abord, puis trois et quatre. Il les retire et poursuit vers mon anus, il y met deux doigts, qu’il écarte, puis trois doigts. M’estimant assez dilatée je pense, il fait signe au porteur de poche et de tuyau d’avancer. Celui ci lui donne le bout du tuyau sur lequel une pince limite l’arrivée du produit. Je vais subir un lavement en public ! Le porteur de poche l’accroche à la grille. L’homme ganté, m’introduit une canule dans l’anus puis libère l’arrivée du produit. Je sens le liquide entrer dans mon corps. Il est chaud, cette douce chaleur me fait du bien. Rapidement, mon rectum se remplit, j’ai envie de faire, mais je n’ai pas le droit, je me laisse remplir. Je lutte contre l’envie de déféquer et lorsque je me crispe, mon ventre remplit me fait mal. Le temps d’écoulement est long.
Le Maître de cérémonie se lève, l’homme au gant de latex lui laisse le passage. Il s’approche de moi. Je suis toujours en équilibre sur ma jambe droite, la jambe gauche relevée. L’eau circule dans le tuyau qui entre dans mon anus. La poche se vide lentement.
Le Maître de cérémonie, se met à genoux devant moi, il écarte mes petites lèvres, découvre mon clitoris, le pince avec ses doigts puis il le tire, le relache, le pince à nouveau, le tire et le relache, il sort un petit tube de sa poche, pose son extrémité dessus puis aspire l’air avec sa bouche. Il est en train de me pomper le clitoris. Je sens que le sang afflue, il me semble qu’il gonfle qu’il prend du volume et se fait très sensible. Le maître continue puis ferme l’extrémité du tube dans sa bouche avec le doigt. Mon clitoris est entubé. Il le tire un peu puis relâche, le tire à nouveau. IL fait le mouvement une dizaine de fois et retire son doigt. Il me présente au fidèle. Mon clitoris est saillant, gonflé sous l’effet du pompage. Il écarte mes petites lèvres, le masturbe pour montrer que je ne suis pas insensible. En effet, j’essaie de me retenir, mais je suis à la limite de craquer, je respire profondément. Le Maître de cérémonie le voit. Il se relève me fixe droit dans les yeux, sort de sa poche un gode gonflable. Il me pénètre le vagin puis le gonfle. L’écartement me surprend, il m’excite de plus en plus. Une fois bien en place, il le laisse et retourne s’asseoir. Mon rectum est plein, mon ventre pèse, j’ai envie de relâcher mes intestins, la poche est totalement vide. L’homme au gant de latex revient. Celui au seau s’approche. A cette minute je pense que je vais pouvoir me soulager. J’ai tort. L’homme au gant de latex retire le tuyau mais insère trois doigts à la place, comme un bouchon. Il écarte ses doigts dans mon anus puis y glisse un plug. L’homme au seau est à moins d’un mètre de moi, je ne sais pourquoi. Il le retourne sur ma tête, je ne vois plus rien, ma respiration est amplifiée par la présence de ce seau métallique. Il me semble que mes soupirs s’entendent très loin. Je sens ensuite une fessée, suivie d’une autre, puis celle-ci se font plus rapides. Une bonne dizaine. J’ai du mal à accepter, fessée sur mon ventre plein d’eau. J’ai envie d’uriner. Je sens deux mains appuyer sur mon bas ventre, c’est est trop, je ne peux me retenir d’avantage, j’urine, debout, devant tout le monde le seau sur la tête m’empêche de sentir les réactions. Je n’ai pas fini d’uriner que je sens qu’on retire le Plug de mon anus. Aussitôt mes intestins se soulagent. Selon le son, je devine que mon lavement est recueilli dans un seau. L’eau chaude qui m’a pénétrée, sort doucement par salves régulières. C’est la première fois que je subis un lavement. Je découvre cette sensation nouvelle. Alors que je pense avoir terminé, à nouveau je produis un jet chaud. Mes intestins continuent de se contracter, le jet arrête puis reprend cette fois-ci un peu plus longtemps après.
Je sens que quelqu’un retire le seau de dessus ma tête. Je respire à nouveau l’air libre. Je commençais à étouffer dessous. Le groupe de invités est toujours devant moi, mais ils semblent très excités. Sans doute la vision de ce lavement. Personnellement je me sens sale, humiliée, souillée et je baisse la tête et les yeux. Le Maître de cérémonie s’en aperçoit. Il se lève et vient me caresser les joues puis me pose un baiser prolongé sur la bouche comme pour me remercier de ce spectacle. Je suis toujours accrochée et ne peux l’enlacer. Lui me serre dans ses bras. Sous son manteau qui me touche je sens son sexe dur prêt à me pénétrer. J’ai peur. Va-t-il me sodomiser maintenant que je suis propre, me pénétrer normalement ou presque pendant que je suis attachée, je ne sais pas. Il entrouvre son manteau. Sur son sexe, il a mis un préservatif. Plus grand que moi il me prend une main sous chaque fesse, me décolle du sol et m’empale sur son sexe Je suis coincée, attachée, les pieds dans le vide. Il me bourre violemment, puis fait signe à un esclave de me détacher. Celui-ci libère mes poignets je m’agrippe aux épaules du Maître de cérémonie, il libère ensuite mes chevilles. Le Maître de cérémonie qui me porte sur son sexe, me pose sur le sol et me pénètre à nouveau de forts coups de reins. Il sort et recommence comme on assène des coups sur un supplicié au sol. Il m’excite mon clitoris, je suis trempée et je suis au bord de l’orgasme. Il finit par éjaculer et reste un instant sur moi. Le poids de son corps sur le mien me rappelle que je ne suis pas en position de force. Lorsqu’il s’agenouille. Il fait signe à quatre invités de s’approcher. Ceux-ci à tour de rôle, protégés de préservatifs vont me pénétrer avec force, violence. Je suis fatiguée mais voudrais que ces pénétrations ne cessent pas, tant l’excitation l’emporte sur la fatigue. Mon dos sur le tapis me fait mal. Ma paroi vaginale commence à me faire souffrir, elle s’échauffe malgré la cyprine qui s’en écoule, mais malgré tout ça, je ne veux pas qu’ils s’arrêtent.
Le quatrième homme me pénètre, très fort, il me soulève en s’asseyant, je me retrouve sur lui. Je suis enfin dans une position dominante. Pas pour longtemps.
Un autre invité s’approche et me sodomise en se mettant à califourchon sur les cuisses de l’autre homme. Je suis coincée et prise en double entre deux hommes. Les coups de boutoirs s’accélèrent, ma respiration est de plus en plus courte. Un troisième vient se faire sucer. Je le prends en bouche sans aucune hésitation, tant je suis emportée dans un tourbillon de plaisir. Ils multiplient leurs efforts, je suis dans un état second, la fatigue l’excitation, le public qui me regarde je vais m’évanouir... je me sens partir…
Et d’un coup je me réveille en sursaut. Je suis chez moi dans mon lit, seule, intacte, aucune trace sur mon corps. J’ai rêvé. Oui rêvé ! Le Plug inséré dans mon anus avant de me coucher n’est plus à sa place. Je me réveille … Et je repense d'un coup à l'invitation reçue hier soir par mail du Marquis d'Evans, invitation à venir passer un week-end dans son château, suite à notre abondante correspondance virtuelle ... Ce rêve m'a ouvert les portes de la soumission et est peut être prémonitoire…
J’arrive sur le tapis rouge. Les invités ferment le cercle autour de nous de plus en plus resserré. Je suis au centre avec le Maître de cérémonie. Ils sont à environs trois mètres de moi.
Puis sur un signe du Maître, un esclave entonne un chant lugubre, comme un chant de cérémonie funéraire, après une minute de chant, le Maître de cérémonie, lève la main droite, il se met sur mon côté gauche, un peu derrière moi. Que va-t-il m’arriver ? Sa main s’abat sur ma fesse droite. Cette fessée dont le bruit retentit sous les voûtes est la première, une seconde va arriver sur ma fesse gauche.
Un esclave coupe la ronde des invités et approche une chaise. Le Maître de cérémonie s’y assoit. Un second esclave, que je n’avais pas vu arriver d’un autre côté, coupe la ronde et avance un basset. Une sorte de petit banc rehaussé à quatre pieds sur lequel je suis invitée à me mettre à plat ventre.
Comme je ne suis pas exactement au bon endroit le Maître de cérémonie, me donne une petite claque sur le haut de la cuisse, il veut que mes fesses soient exactement au niveau de l’extrémité du banc.
A partir de ce moment je sais que je vais subir des châtiments corporels, fessées peut-être, martinet, fouet... je ne sais pas.
Le Maître de cérémonie se rassoit. Il attend. Un des invités se lève. Il se met face à mon postérieur et m’assène une fessée qui retentit à nouveau. Puis à tour de rôle chacun vient frapper mes fesses. Je ressens des mains larges et puissantes, sans doute des hommes, des mains moins larges mais très énergiques de femmes. D’ailleurs j’ai l’impression que ces fessées moins puissantes en apparence sont beaucoup plus douloureuses. Elles sont moins larges et l’impact est cinglant. Lorsque tous les invités sont passés, tous s’agenouillent. Le Maître de cérémonie se lève. Il pose ses mains sur mes fesses, effectue quelques mouvements de massage.
Un serviteur soumis s’approche à nouveau. Il lui présente un plateau avec divers godemichés. Il en prend un l’entoure de son pouce et de son index comme pour le mesurer. Il le pose, en prend un second, le soupèse et le pose. Finalement son choix s’arrête sur un troisième. Celui-ci n’est pas lisse, il semble en latex noir avec des aspérités.
Il le trempe dans un bol de gel à côté puis me l’enfonce doucement mais sans hésitation dans l’anus. Il me strie l’intérieur, je crie de douleur. Je reçois une cinglante fessée. Il le retire et recommence, cette fois-ci j’essaie de ne pas crier, mais la douleur est encore la plus forte, je crie modestement, et reçois à nouveau une fessée.
Alors que le godemiché est enfoncé dans mon anus, un esclave avance avec sur un plateau des baguettes, des martinets. Le Maître de cérémonie, en choisit un avec de courtes lanières terminées de morceaux de métal. Il le tend à un Maître en face.
Ce denier avance d’environ deux mètres et prends le martinet. Il lève la main, me frappe une première fois sur les fesses, puis après un répit une seconde fois et rapidement derrière une troisième fois. Visiblement je subis une correction. Je ne dois pas crier quoiqu’il arrive. Le Maître de cérémonie serait fâché.
Après ces fessées et ces coups de martinets, il me caresse les fesses, insistant sur les marques douloureuses que je porte. Chaque passage de ses mains, me meurtrit davantage. Il arrête un instant.
Les invités à genoux se lèvent et se dirigent vers une grille en fer forgé.
L’ invité qui tient le martinet me pousse avec le bout. Il veut que je suive le groupe. Je me sens humiliée. Je suis, les Maîtres et Maîtresses s’écartent. Le Maître ferme la marche. Arrivée près de la grille, je remarque que la distance entre celle-ci et le piler de soutènement de la voute est relativement court. Des anneaux sont fixés dans ce pilier. Je me dis que je vais y être attachée et y subir d’autres coups.
Tous se taisent. Le silence est lourd. Le Maître de cérémonie réfléchit ou prépare un plan diabolique. Je ne sais pas. Finalement il attache mon poignet droit à la grille, l’autre à la chaîne qui est accrochée au pilier. Il attache ensuite ma cheville droite à la grille. Un serviteur apporte un tabouret sur lequel il exige que je pose le pied, celui-ci est sanglé au tabouret.
Ainsi en équilibre sur le pied droit, la seconde jambe fléchit pied posé et attaché à l’assise du tabouret je ne peux plus bouger. Les fidèles se réorganisent pour voir le spectacle. Certains sont devant moi, d’autres derrière moi.
Au goût du Maître de cérémonie, le tabouret est trop prêt de ma jambe droite. Il le pousse de son pied, le fait glisser. La position devient très inconfortable. Je suis totalement écartée.
Le Maître ordonne à trois invités de faire ce qu’ils ont à faire. Il s’assoit en face de moi, sur une chaise plutôt confortable. Je me sens fragile, comme un chrétien sur une croix. Certes mes mains et mes pieds ne sont pas transpercés, mais je suis nue, offerte aux regards des fidèles présents. Je remarque toutefois que ceux qui sont devant moi n’ont pas des mains de femmes. Y aurait-il eu un classement, les hommes face à moi, les femmes ayant mon dos comme spectacle ?
Les trois invités font un petit détour et se servent sur une table. L’un d’eux prend une poche contenant un liquide blanc, il prend un tuyau, l’autre prend un seau. Le troisième prend des gants en latex et les enfilent.
Celui qui a des gants se dirige vers moi, il me fait face, il me masturbe le clitoris d’une main et pendant ce temps enfonce les doigts de l’autre main dans mon vagin, deux doigts d’abord, puis trois et quatre. Il les retire et poursuit vers mon anus, il y met deux doigts, qu’il écarte, puis trois doigts. M’estimant assez dilatée je pense, il fait signe au porteur de poche et de tuyau d’avancer. Celui ci lui donne le bout du tuyau sur lequel une pince limite l’arrivée du produit. Je vais subir un lavement en public ! Le porteur de poche l’accroche à la grille. L’homme ganté, m’introduit une canule dans l’anus puis libère l’arrivée du produit. Je sens le liquide entrer dans mon corps. Il est chaud, cette douce chaleur me fait du bien. Rapidement, mon rectum se remplit, j’ai envie de faire, mais je n’ai pas le droit, je me laisse remplir. Je lutte contre l’envie de déféquer et lorsque je me crispe, mon ventre remplit me fait mal. Le temps d’écoulement est long.
Le Maître de cérémonie se lève, l’homme au gant de latex lui laisse le passage. Il s’approche de moi. Je suis toujours en équilibre sur ma jambe droite, la jambe gauche relevée. L’eau circule dans le tuyau qui entre dans mon anus. La poche se vide lentement.
Le Maître de cérémonie, se met à genoux devant moi, il écarte mes petites lèvres, découvre mon clitoris, le pince avec ses doigts puis il le tire, le relache, le pince à nouveau, le tire et le relache, il sort un petit tube de sa poche, pose son extrémité dessus puis aspire l’air avec sa bouche. Il est en train de me pomper le clitoris. Je sens que le sang afflue, il me semble qu’il gonfle qu’il prend du volume et se fait très sensible. Le maître continue puis ferme l’extrémité du tube dans sa bouche avec le doigt. Mon clitoris est entubé. Il le tire un peu puis relâche, le tire à nouveau. IL fait le mouvement une dizaine de fois et retire son doigt. Il me présente au fidèle. Mon clitoris est saillant, gonflé sous l’effet du pompage. Il écarte mes petites lèvres, le masturbe pour montrer que je ne suis pas insensible. En effet, j’essaie de me retenir, mais je suis à la limite de craquer, je respire profondément. Le Maître de cérémonie le voit. Il se relève me fixe droit dans les yeux, sort de sa poche un gode gonflable. Il me pénètre le vagin puis le gonfle. L’écartement me surprend, il m’excite de plus en plus. Une fois bien en place, il le laisse et retourne s’asseoir. Mon rectum est plein, mon ventre pèse, j’ai envie de relâcher mes intestins, la poche est totalement vide. L’homme au gant de latex revient. Celui au seau s’approche. A cette minute je pense que je vais pouvoir me soulager. J’ai tort. L’homme au gant de latex retire le tuyau mais insère trois doigts à la place, comme un bouchon. Il écarte ses doigts dans mon anus puis y glisse un plug. L’homme au seau est à moins d’un mètre de moi, je ne sais pourquoi. Il le retourne sur ma tête, je ne vois plus rien, ma respiration est amplifiée par la présence de ce seau métallique. Il me semble que mes soupirs s’entendent très loin. Je sens ensuite une fessée, suivie d’une autre, puis celle-ci se font plus rapides. Une bonne dizaine. J’ai du mal à accepter, fessée sur mon ventre plein d’eau. J’ai envie d’uriner. Je sens deux mains appuyer sur mon bas ventre, c’est est trop, je ne peux me retenir d’avantage, j’urine, debout, devant tout le monde le seau sur la tête m’empêche de sentir les réactions. Je n’ai pas fini d’uriner que je sens qu’on retire le Plug de mon anus. Aussitôt mes intestins se soulagent. Selon le son, je devine que mon lavement est recueilli dans un seau. L’eau chaude qui m’a pénétrée, sort doucement par salves régulières. C’est la première fois que je subis un lavement. Je découvre cette sensation nouvelle. Alors que je pense avoir terminé, à nouveau je produis un jet chaud. Mes intestins continuent de se contracter, le jet arrête puis reprend cette fois-ci un peu plus longtemps après.
Je sens que quelqu’un retire le seau de dessus ma tête. Je respire à nouveau l’air libre. Je commençais à étouffer dessous. Le groupe de invités est toujours devant moi, mais ils semblent très excités. Sans doute la vision de ce lavement. Personnellement je me sens sale, humiliée, souillée et je baisse la tête et les yeux. Le Maître de cérémonie s’en aperçoit. Il se lève et vient me caresser les joues puis me pose un baiser prolongé sur la bouche comme pour me remercier de ce spectacle. Je suis toujours accrochée et ne peux l’enlacer. Lui me serre dans ses bras. Sous son manteau qui me touche je sens son sexe dur prêt à me pénétrer. J’ai peur. Va-t-il me sodomiser maintenant que je suis propre, me pénétrer normalement ou presque pendant que je suis attachée, je ne sais pas. Il entrouvre son manteau. Sur son sexe, il a mis un préservatif. Plus grand que moi il me prend une main sous chaque fesse, me décolle du sol et m’empale sur son sexe Je suis coincée, attachée, les pieds dans le vide. Il me bourre violemment, puis fait signe à un esclave de me détacher. Celui-ci libère mes poignets je m’agrippe aux épaules du Maître de cérémonie, il libère ensuite mes chevilles. Le Maître de cérémonie qui me porte sur son sexe, me pose sur le sol et me pénètre à nouveau de forts coups de reins. Il sort et recommence comme on assène des coups sur un supplicié au sol. Il m’excite mon clitoris, je suis trempée et je suis au bord de l’orgasme. Il finit par éjaculer et reste un instant sur moi. Le poids de son corps sur le mien me rappelle que je ne suis pas en position de force. Lorsqu’il s’agenouille. Il fait signe à quatre invités de s’approcher. Ceux-ci à tour de rôle, protégés de préservatifs vont me pénétrer avec force, violence. Je suis fatiguée mais voudrais que ces pénétrations ne cessent pas, tant l’excitation l’emporte sur la fatigue. Mon dos sur le tapis me fait mal. Ma paroi vaginale commence à me faire souffrir, elle s’échauffe malgré la cyprine qui s’en écoule, mais malgré tout ça, je ne veux pas qu’ils s’arrêtent.
Le quatrième homme me pénètre, très fort, il me soulève en s’asseyant, je me retrouve sur lui. Je suis enfin dans une position dominante. Pas pour longtemps.
Un autre invité s’approche et me sodomise en se mettant à califourchon sur les cuisses de l’autre homme. Je suis coincée et prise en double entre deux hommes. Les coups de boutoirs s’accélèrent, ma respiration est de plus en plus courte. Un troisième vient se faire sucer. Je le prends en bouche sans aucune hésitation, tant je suis emportée dans un tourbillon de plaisir. Ils multiplient leurs efforts, je suis dans un état second, la fatigue l’excitation, le public qui me regarde je vais m’évanouir... je me sens partir…
Et d’un coup je me réveille en sursaut. Je suis chez moi dans mon lit, seule, intacte, aucune trace sur mon corps. J’ai rêvé. Oui rêvé ! Le Plug inséré dans mon anus avant de me coucher n’est plus à sa place. Je me réveille … Et je repense d'un coup à l'invitation reçue hier soir par mail du Marquis d'Evans, invitation à venir passer un week-end dans son château, suite à notre abondante correspondance virtuelle ... Ce rêve m'a ouvert les portes de la soumission et est peut être prémonitoire…
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