La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 645)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 645) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 645)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°626) - Dernières épreuves perverses à l’Académie (1/2) -

Monsieur le Marquis d’Evans trônait toujours assis sur son haut et confortable fauteuil et prit la parole s’adressant aux douze stagiaires soumis, tous maintenant à genoux devant Lui, mains sur la tête, le regard bas :

- Les chiens, Je veux que vous sachiez que votre séjour ici, en Ma Noble Académie, se termine. Prochainement vous allez tous repartir avec Les Maîtresses et les Maîtres à qui vous appartenez. Vous êtes ici depuis deux mois, et avec l’éducation stricte et rigoureuse que nous vous avons enseignée, nous avons fait de vous, je l’espère, de bons esclaves dociles et soumis, serviles et respectueux ! Ici, vous avez pu vous retrouver dans ce conditionnement qui est le vôtre. Oui le vôtre, dis-je ! Vous êtes nés esclaves, vous avez toujours voulu le devenir, désormais vous l’êtes pleinement, c’est ainsi, personne ni peut rien, ni Moi ni vous, ne pouvons changer votre nature, votre destin. En revanche, Moi ainsi que Celles et Ceux qui vous ont pris en main pendant votre séjour ici, vous ont aidé à vous façonner, vous structurer, vous modeler, à vous accepter tel que vous êtes pour vous épanouir dans cette vie qui est la vôtre. Je sais que certains d’entre vous nous en sont déjà reconnaissants, on les voit apaisés, confiants et sereins, d’autres pas encore tout à fait. Pour ces derniers, je les invite à bien réfléchir encore, à prendre le recul nécessaire, qu’ils comprennent qu’ils ne peuvent pas échapper à cette vie de soumission. Alors autant la vivre dans la sérénité, l’épanouissement et la plénitude de ce que vous êtes par nature.

Le Maître se tut un instant, ces mots puissants résonnaient dans toutes les têtes de ces stagiaires soumis. Certains, dont Endymion MDE, ne pouvait cacher leur excitation ...

- Un esclave doit vivre et accepter l’humiliation, un esclave doit strictement obéir, un esclave doit donner du plaisir à Celle ou Celui qui le domine, un esclave doit faire don de son corps et de son esprit à Ceux qui les conduisent et les dirigent, un esclave doit accepter les sanctions et les douloureux traitements qui lui sont imposés. Il n’a pas le choix, c’est sa vie ! Et un véritable esclave est heureux de ne pas avoir le choix… une vie faite de contraintes, une vie décadente, une vie de dépravation, mais aussi une vie d’exaltation, de satisfaction, de réjouissance et de ravissement. C’est ainsi que je veux que vous soyez ! Vivez votre vie d’esclave en étant heureux de la vivre, vivez votre vie de chien soumis, dans l’ivresse et l’exultation, vivez votre vie de salope dans la gaité et l’extase…

Le Maître se tut encore, un long silence voulu par Lui, pour que tous les chiens soumis s’imprègnent de ses ultimes et pressantes paroles !

- Là, devant moi, si j’en crois certaines queues bandées, il y en a déjà parmi vous, qui vivent pleinement cette exaltation. N’est-ce pas Mon chien Endymion MDE ?

L’esclave MDE baissa un peu plus la tête plus en guise de profond respect et répondit timidement :

- Oui Maître, merci Maître pour tout ce que vous faites pour Votre chien soumis.

Le Maître se leva et vint à la rencontre de ces douze stagiaires soumis. Tour à tour, il souleva leur menton pour les regarder droit dans les yeux. Qu’il fut difficile pour eux de soutenir un regard aussi puissant et naturellement dominant, tous se sentaient humbles, serviles et fébriles. Ils n’en menaient vraiment pas large ! Le Maître reprenait sa place, s’installait tranquillement sur son fauteuil, en croisant les jambes, il appuya son coude sur le large accoudoir, posa son index sur sa bouche fermée, comme s’il réfléchissait, tout en continuant à observer ses dévoués serviteurs. Il se leva et reprit la parole :

- Il est dans les us et coutumes ici, lors de la fin de chaque stage, qu’il soit désigné le chien soumis dominant ! Un seul parmi vous douze sera celui-ci, un privilège pour lui, puisqu’il sera installé au plus haut de la hiérarchie des slaves, lui conférant le droit de ne plus porter de cage de chasteté, de pouvoir utiliser sa nouille selon ses envies. Il pourra se branler, jouir, utiliser ses congénères autant de fois qui le voudra sans que le Maître ou la Maîtresse à qui il appartient lui en face le moindre grief ! Et ça, pour le restant de son humble vie. Il sera noté dans son pédigrée qu’il est un slave alfa, et que ce statut, lui confère les droits que je viens de vous expliquer. Mais pour désigner celui-ci, des épreuves vous attendent, de difficiles et douloureuses épreuves pour vous, mais tellement agréables pour nous. Vous allez vous donner en spectacle pour Notre plaisir, faites en sorte de nous satisfaire pleinement !

Monsieur le Marquis d’Evans claqua des mains trois fois. Les trois éducatrices se levèrent, l’une d’elles emmenait les douze chiens soumis dans un petit local voisin, jouxtant la grande salle.

- Attendez ici sagement, debout et mains sur la tête. Un conseil, ne vous avisez surtout pas à vous toucher vos nouilles, vous êtes filmés.

L’Educatrice pointa son index sur les angles supérieurs de la pièce, quatre caméras étaient installées. Elle laissa les esclaves en leur demandant en sus de rester dans le silence absolu. Au bout d’un moment, la même Educatrice réapparut, elle attrapa deux esclaves par les bras et les remmena dans la pièce qu’ils avaient quittée peu avant. L’esclave MDE et ses congénères restèrent, quant à eux, là, toujours immobiles et silencieux, sans doute aux aguets, espérant entendre ce qui se passait à côté… Hormis des applaudissements, rien ne leur laissait présager ce qui les attendait. Au bout d’un moment seulement ils entendirent un bruit sourd, comme si quelque chose de lourd venait de tomber au sol et sitôt après, les cris d’un des deux soumis, puis de nouveau le même bruit et les cris du second esclave. Peu après l’Educatrice réapparut et attrapa deux autres soumis. Le même scénario se présenta aux oreilles de ceux confinés dans cette petite pièce. L’Educatrice revint encore et attrapa Endymion MDE par un bras et un autre stagiaire.

- Ah voila Mon chien ! s’exclama Monsieur le Marquis d’Evans voyant arriver soumis Endymion quelque peu apeuré.

Deux tréteaux BDSM étaient installés face au public. Sur chaque tréteau, un gode, d’une taille respectable tenait fixé à la verticale. Les deux esclaves durent monter sur ces tréteaux et s’empaler sur cet objet bien profondément. Sitôt installés, on leur attacha les mains dans le dos, les pieds aux montants des tréteaux afin que ceux-ci ne puissent plus prendre appui au sol. La posture était déjà délicate et pénible, avec le cul engodé et l’arête en bois de ce tréteau qui leur martyrisait le périnée, la douleur commençait déjà à être omniprésente, mais ce n’était qu’un début… Deux Educatrices placèrent sur le corps des deux esclaves des pinces à linge partant du pli des aisselles jusqu’au pli de l’aine et de chaque côté de leur corps, pinces reliées entre-elles par une fine cordelette. Les cordelettes étaient attachées à deux boules en fonte (d’une dizaine de kilos) suspendue devant chaque tréteau par un ingénieux système de poulie fixée au plafond via une corde épaisse. On demanda à chacun des chiens soumis de tenir l’extrémité de ces deux cordes rugueuses entre leurs dents. On leur expliqua que s’ils lâchaient ces cordes, les boules en fonte tomberaient au sol, leur arrachant au passage chacune des pinces à linge posées sur leur corps. Evidemment celui qui lâcherait le premier serait disqualifié et ne pourrait plus concourir à ce statut de d’esclave dominant.

On leur avait tout dit, où presque… L’équilibre était précaire, la situation était à la fois douloureuse, humiliante mais aussi terriblement excitante, soumis Endymion MDE aimait cet esprit de compétition, ça le faisait même bander encore plus fort, bandaison remarquée par l’assistance qui se mit à l’applaudir. Les deux chiens soumis, semblaient ne rien vouloir lâcher, ils contrôlaient leurs moindre mouvements, crispaient et tendaient leurs muscles, et attendaient patiemment que l’un de deux cède… Ils restaient ainsi devant le regard des Dominants, qui parfois chuchotaient entre eux. Misaient-ils sur l’un ou l’autre ? La posture était maintenant maitrisée, l’équilibre semblait parfait pour l’un et l’autre, leurs muscles contractés jusqu’ici se détendaient petit à petit. Le moment était donc venu de les surprendre… soudainement une décharge électrique se fit sentir entre leurs reins au plus profond de leurs entrailles, ils faillirent lâcher cette corde tant ils furent surpris mais aussi terrassés. Un deuxième choc électrique émanant du gode planté dans leur intimité se produisit encore, plus long et plus douloureux, le gode vibrait en même temps qu’il envoyait de l’électricité dans leur fondement. Cette fois-ci le congénère de soumis Endymion MDE hurla en desserrant les dents, belle erreur ! La boule en plomb chuta au sol et au passage lui arracha une part une les pinces à linge accrochée à lui. Il cria encore plus fort et paradoxalement on pouvait nettement distinguer que cela le faisait bander fort. Le masochisme de cet esclave était donc évident et exprimé !

- Bravo Endymion, tu es sélectionné pour un deuxième round, mais avant ça, fait-nous voir combien de temps encore peux-tu tenir sur ce tréteau ! lui lança le Maître.

Les chocs électriques étaient de moins en moins espacés, lui provoquant à la fois des douleurs intenses, et des plaisirs terribles, il avait l’impression que ce gode carré dans son cul le pénétrait terriblement tout en vibant, lui envoyant des ondes abominablement délicieuses, à tel point qu’il pensait qu’il allait éjaculer encore une fois sans pour autant se branler, tant le plaisir qu’il ressentait était intense. Mais celui qui avait les commandes en main de cette boxe électrique en décida autrement. Le dernier choc fut terrible, soumis Endymion MDE lâcha prise. La boule tomba, les pinces s’arrachèrent, il hurla ! Son cri était accompagné d’une érection hors norme, sa queue était au sommet de son excitation ! A peine fut-il détaché, qu’une nouvelle injonction tomba :

- Viens baiser mes pieds le Chien ! lui ordonna le Maître.

Endymion MDE se prosterna devant Monsieur le Marquis d’Evans qui le caressa en le félicitant. Puis Le Maître lui ordonna de se redresser, de se tenir les fesses écartées, raie bien dégagée, torse incliné à quarante-cinq degrés. Il appela ensuite le soumis vaincu, exigea qu’il vienne près d’eux à quatre pattes. Lui, penaud s’exécuta. Le Maître alors lui ordonna de lécher le cul de soumis Endymion MDE. Belle récompense que Monsieur le Marquis d’Evans accordait à Son chien…

Les six autres stagiaires soumis vinrent chacun leur tour, toujours deux par deux subir l’épreuve du tréteau. A la fin de cette séquence, les six perdants furent attachés bras tendus vers le plafond, une barre d’écartement entre leurs chevilles, ils subirent le fouet, quarante coups donnés à chacun par Monsieur le Marquis lui-même aidé de Son Neveu. Mais pendant ce temps, les trois Educatrices s’occupaient déjà des six vainqueurs, où tout au moins de leurs couilles. Leurs burnes étaient emballées et empaquetées dans un cuir épais, fermement tenu lacées, étranglant leurs boules coincées au fond de leurs sacs à foutre ! Un anneau métallique était rivé à cet équipement de cuir. Endymion MDE et un autre congénère furent les premiers à se présenter et à se donner en spectacle. Ils furent tous les deux mis, dos à dos au centre de la pièce et Monsieur le Marquis expliqua ce que l’on attendait d’eux.

- Vos couilles vont être reliées entre elles, par une chaine de deux mètres de long. Vous allez être placés au centre de ces deux demi-cercles dessinés au sol. L’objectif pour vous sera de tirer sur vos couilles afin de faire sortir l’autre chien soumis de ce demi-cercle, que ses deux pieds soient totalement derrière l’arrondi. Le vainqueur sera bien évidemment celui qui aura contraint l’autre à avoir posé ses pieds à l’extérieur du demi-cercle. Avez-vous bien compris les chiens ?…

(A suivre …)

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