La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 654)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 654)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°653) - La vie à bord du Croix Rousse -
Les deux skippers étaient les seuls à ne pas avoir regagnés le Croix Rousse. Où tout au moins, ils étaient repartis tous deux, avec masques et tubas, harpons, épuisettes et casiers pour une partie de pêche. Ils savaient qu’ici, les langoustes foisonnaient, et qu’ils reviendraient sans doute avec quelques beaux spécimens, de bons crustacés qui agrémenteraient délicieusement le repas du soir. Pendant ce temps, les passagers du bateau vaquaient à leurs occupations. Les Dominantes et Dominants s’étaient installés confortablement dans le grand salon, un verre de jus de fruits frais posé près d’eux et avaient entamé une partie de bridge. Endymion MDE lui, avait été chargé de briquer le pont supérieur, à genoux avec une simple brosse en main, alors que la soumise Estelle devait, dénudée, assurer le service près des Maîtres et faire le ménage en cabines. Le ciel s’était subitement chargé, le vent s’était manifesté brutalement en changeant de direction, de gros nuages poussés par des rafales annonçaient un de ces grains tropicaux, bien connus sous ces latitudes. Il se mit à pleuvoir subitement des trombes d’eau… Heureusement une pluie chaude, mais soutenue, si bien qu’en l’espace de deux minutes seulement le chien soumis MDE fut totalement douché et saucé, jusqu’aux os ! Malgré cette pluie diluvienne, l’esclave MDE continua le travail confié jusqu’au moment où il entendit Monsieur le Marquis le héler :
- Viens te mettre à l’abri Ma pute, ne reste pas sous ce déluge, tu vas attraper du mal !
soumis Endymion MDE ne se le fit pas dire deux fois, il se précipita sous la bâche tendue, sur le pont à l’arrière du bateau, près de la porte donnant sur le salon. Le Maître lui tendit une grande serviette et lui demanda de s’éponger alors que Madame Marie, à gorge déployée lança :
- Du travail en moins pour moi ce soir, je n’aurai pas à le doucher !
Une fois sec, Endymion MDE reçu l’ordre de se coucher tel un véritable chien, près des pieds du Maître et d’attendre sagement. Qu’il aimait se voir ainsi, d’être aux pieds, nu, humble et affalé comme serait un chien heureux mais toutefois vigilant, attendant un nouvel ordre. Étrangement, cette fin d’après-midi, dans cette posture, et pour la première fois, il se sentait fort, courageux, prêt à braver toute forme de danger, pour assurer la protection de Monsieur le Marquis d’Evans, tel un molosse, un vrai chien de garde ! Drôle de sensations, comme si, ce besoin de dépendance auprès du Maître, devenait toujours plus fort, plus intense, soutenu et puissant. L’esclave MDE aux pieds du Maître avait cette crainte de ne plus sentir cette force tranquille le dominer, de ne plus le voir agir et ordonner, de ne plus avoir ce privilège d’être asservi et humilié. C’était sans doute pour toutes ces raisons qu’il se sentait comme ce vrai chien de défense, prêt à montrer les crocs… Plongé dans ses intimes réflexions le soumis MDE se surprit lui-même lorsqu’il entendit marcher à l’avant du bateau. Il se sentit obligé d’alerter le Maître, par quelques grognements et mouvements intempestifs de son arrière train.
- Mais que t’arrive-t-il Ma pute de chien ! S’étonna Monsieur le Marquis.
Pour le calmer, le Maître lui posa un pied sur le visage écrasant ses joues au sol, tout en lui donnant deux magistrales claques sur les fesses. Monsieur le Marquis n’avait sans doute pas compris le pourquoi de ces agissements inopportuns et déplacés. Ce ne fut que lorsqu’il vit apparaître derrière la vitre de la baie vitrée, les deux skippers tenant dans chacune de leur main de magnifiques langoustes, qu’il appréhenda les manigances d’Endymion MDE.
- Mais c’est un bon chienchien ça, un bon toutou donnant l’alerte, viens vers moi Ma petite pute…
Monsieur le Marquis coinça la tête d’Endymion MDE entre ses cuisses et lui caressa le dessus du crâne comme il l’aurait fait à un véritable chien. Peut-être pour se faire pardonner des deux claques données à tort, le Maître dégrafa la braguette de son bermuda, glissa son boxer sous ses couilles et offrait sa queue à Son soumis MDE.
- Tiens Ma petite pute, une petite récompense pour toi, suce moi, tout doucement, sans empressement, donne du plaisir au Maître.
Et pendant plus d’une heure de temps, l’esclave MDE suça, lécha, titilla, telle une gourmandise ce sexe tendu. Et plus il honorait le Maître, plus il sentait sa queue raide dans sa bouche, plus soumis Endymion MDE éprouvait un plaisir immense et intense irradiant tout son être. De temps à autre, Monsieur le Marquis, proche de la jouissance, exigeait à son chien soumis de se retirer de sa Noble queue, le temps que la pression redescende un peu, puis le réinvitait à le ‘fellater’ encore et toujours et ce, jusqu'à la fin de cette partie de bridge ! … Le châtelain éjacula sans retenue, à gros jets de sperme dans la bouche de son soumis au moment où il abattit sa dernière carte finalisant la partie de bridge ! Puis le chien soumis nettoya avec application et sa langue le noble Vit du Maître…
La préparation du dîner fut en partie organisée par les deux skippers, ils s’occupèrent de faire griller les 4 grosses langoustes pêchées. Madame Marie, divine cuisinière, quant à elle prépara une entrée digne de ses excellentes compétences en la matière par une mousse d’avocat avec quelques petites crevettes, elles aussi pêchées par Etienne et Maximilien, une sauce armoricaine pour les crustacés et un dessert glacé à base de noix de coco ramassées sur l’île. Lorsqu’Elle eut fini, et avant de passer à table, Elle s’occupa de la douche de soumis Endymion MDE. Tel un enfant, Elle se chargea de le laver de la tête aux pieds, s’intéressant plus particulièrement aux parties intimes de son corps qui devaient être d’une propreté absolue. Avec application mais aussi fermeté, Elle nettoya la nouille, les couilles et le cul de l’esclave MDE, qui lui, au contact de cette main ne put retenir son excitation. Mais Madame Marie fit comme si Elle ne voyait pas cette bite tendue, Elle lava les cheveux du soumis MDE, puis le sécha et le parfuma même un tant soit peu avec une eau de toilette citronnée.
- Tiens, un peu de citronnelle sur ta peau en prévention des piqûres moustiques.
Madame Marie s’en mit également sur les bras tout en continuant à converser sinon d’ordonner :
- Attention Endymion MDE, le Maître t’accorde un privilège ce soir, tu ne porteras pas de cage de chasteté cette fin de journée, ou tout au moins pendant le service à table. Tu seras chargé de servir le vin, pendant tout le repas, alors que la chienne d’Estelle assurera le service des plats. Ne t’amuse pas à tripoter ta nouille, tu pourrais le regretter. Tiens enfile ça !
Madame la cuisinière tendit un tablier de sommelier au soumis MDE qu’il s’empressa d’enfiler. Son fessier restait parfaitement dégagé… Voyant ce cul à l’air, Madame Marie eut une idée. Elle farfouilla dans un grand sac et sortit un crochet en inox avec au bout une boule d’un diamètre de quatre ou cinq centimètres environ.
- Écarte ton cul salope que je t’enfile ce crochet anal correctement !
Endymion MDE se pencha en avant, s’écarta les fesses sans ressentir la moindre pudeur ni la moindre honte, comme si montrer son cul était devenu naturel. La boule glissa dans son rectum, et une fois bien en place, Madame Marie fit redresser le soumis pour s’assurer que le crochet s’insérait parfaitement dans sa raie. Au moyen d’une corde, elle attacha l’anneau du dit crochet au collier que portait le soumis MDE autour de son cou.
- Je sais que ton cul s’écarte facilement maintenant que tu es devenu une bonne pute, mais ça n’empêche pas qu’il faille poursuivre ton éducation et tes entraînements. Et puis tiens, en parlant d’entrainement, t’en qu’on y est, on va s’occuper de tes burnes, et continuer à les étirer et les allonger. Soulève-moi ce tablier et présente-moi ton paquet !
Avec dextérité, Madame Marie noua sévèrement les couilles de l’esclave MDE avec un lien assez fin. Elle laissa pendre un des bouts de cette ficelle entre ses jambes. Puis, telle Mary Poppins, Elle tripatouilla une fois encore dans son sac magique, et cette fois-ci, en sortit un poids d’un kilogramme. Elle l’attacha au lien et le fit ballotter entre les jambes du chien soumis MDE.
- Tu vois le chien, ce poids pendu à tes burnes à un double intérêt. Un, il étire ton sac et c’est vraiment le but recherché et Deux, à chaque pas que tu vas faire, ce poids va venir cogner tout contre tes genoux et brutalisera tes articulations et donc te rappellera qu’une pute de ton espèce doit tenir les jambes écartés et les cuisses ouvertes.
Madame Marie était d’une perverse dureté, elle prenait un sadique plaisir à contraindre et humilier Endymion MDE. Mais elle savait qu’en agissant ainsi sur lui, elle lui apportait ce qu’il recherchait. Pendant tout le repas, Endymion MDE se tint en retrait, debout, immobile, attentif. A chaque fois qu’un verre se vidait, il s’empressait de le remplir de nouveau. Quant à soumise Estelle, elle servait les plats, et bien souvent, elle se faisait tripoter le cul ou la chatte par l’un ou l’autre des Dominants. Vers la fin du repas la Maîtresse d’Estelle (Madame Gabriella) lui ordonna d’expliquer à Monsieur le Marquis ce qu’était le rituel du soir pour Elle. Alors qu’elle se tenait debout, en attente, quelque peu réservée et timide, à faible voix, elle commença à donner quelques explications. Elle reçut deux claques sur les fesses de la part de Madame Gabriella.
- Aurais-tu honte de dire haut et fort ce que je fais pour toi et ton éducation ?
La soumise honteuse recommença en parlant d’une voix plus forte :
- Monsieur le Marquis, Maitresse Gabriella, tous les soirs après le dîner, me distribue dix coups de martinet sur les fesses et dix autres sur ma poitrine. Elle estime, à juste titre que ce rituel fait partie intégrante de mon éducation.
Monsieur le Marquis d’Evans, menton appuyé au creux de sa main regardait et écoutait attentivement soumise Estelle.
- Ce n’est pas tout Monsieur le Marquis… après cette séquence douloureuse, Maître Henri me pose des électrodes dans mon vagin pour tonifier mes parois intimes, et ce pendant dix minutes. Lui seul décide de l’intensité et des variations électriques. Je me plie volontairement à ses contraintes physiques, sommes toute douloureuses Monsieur le Marquis, car je sais qu’elles sont indispensables au bon fonctionnement d’une chienne soumise comme moi, je tends à le devenir !
Monsieur le Marquis demanda à Estelle de s’approcher de lui. Une fois à proximité, il l’attrapa à pleine main par sa chatte
- Et bien le repas est terminé, nous allons donc pouvoir assister à ce beau spectacle, petite chienne.
Les quatre Dominants se levèrent aussitôt, Monsieur le Marquis d’Evans attrapa Endymion MDE par son collier pour qu’il les suive, Madame Marie appela les deux skippers, tous se dirigèrent vers la proue du bateau. Il faisait nuit, une belle nuit en réalité avec un ciel qui s’était subitement éclairci éloignant ses sombres nuages d’orage et désormais était parsemé d’étoiles, une belle lune éclairait le Croix Rousse. Estelle attrapa le bastingage de ses deux mains, écarta les jambes, tendit son dos.
- Monsieur le Marquis, me feriez-vous l’honneur de flageller ma chienne ? demanda Madame Gabriella en lui tendant un lourd martinet de cuir
Il répondit que oui, bien sûr.
- Soyez sans pitié, Monsieur le Marquis, je vous en conjure, car elle aime ça et elle ne souhaite aucune modération ! Elle me supplie même parfois de frapper plus fort, repris Madame Gabriella.
Monsieur le Marquis fit d’abord glisser les multiples lanières du martinet sur le dos d’Estelle, telle une caresse, comme s’il voulait faire goûter l’objet à cette peau sensible, puis avec détermination il asséna les dix coups, sans cruauté, ni bonté mais avec une dextérité imputée à sa longue expérience. Estelle hurlait à chaque coup et à chacun d’eux, et de par son masochisme, elle semblait mouiller de plus en plus, ce qui à l’évidence excitait grandement la soumise, tandis que Monsieur Henri l’enjoignait à crier plus fort encore.
- Braille petite chienne, petite salope, ici au milieu de l’océan, personne ne peut t’entendre !
Dès le dixième coup reçu, Estelle se retourna, écarta largement les cuisses, présenta sa belle poitrine, renversa la tête vers l’arrière. Monsieur le Marquis récidiva, de la même manière sauf qu’au neuvième coup distribué, Monsieur Henri intervint et stoppa la séquence.
- Regarde mon cher Edouard, comme cette petite salope mouille… Regarde sa chatte, elle est trempée, sa cyprine lui coule sur la cuisse… C’est une vraie chienne en chaleur…
Monsieur Henri glissa son majeur dans cette fente, le remua tant et plus pour l’imprégner de cyprine, puis dégagea son doigt et s’approcha de Monsieur le Marquis en le lui montrant….
- Tu vois ce que je te disais, elle ruisselle… alors pour lui apprendre à se contenir, donne lui, s’il te plait, le dernier coup de martinet sur sa vulve. Je suis sûr qu’elle va gueuler de plaisir...
Sans attendre une seconde de plus, Monsieur le Marquis appliqua ce dernier coup sur l’endroit choisi par le Maître d’Estelle. Elle hurla tant et plus, autant de douleur que de plaisir… Endymion MDE bandait, sa queue soulevait son tablier de sommelier. Les deux skippers se paluchaient et se branlaient allègrement alors que la belle soumise Estelle s’allongeait sur le dos relevait ses jambes sur sa poitrine et mettait son petit minou à disposition de qui voudrait bien la posséder, la baiser, la prendre à même le sol ….
(A suivre…)
Les deux skippers étaient les seuls à ne pas avoir regagnés le Croix Rousse. Où tout au moins, ils étaient repartis tous deux, avec masques et tubas, harpons, épuisettes et casiers pour une partie de pêche. Ils savaient qu’ici, les langoustes foisonnaient, et qu’ils reviendraient sans doute avec quelques beaux spécimens, de bons crustacés qui agrémenteraient délicieusement le repas du soir. Pendant ce temps, les passagers du bateau vaquaient à leurs occupations. Les Dominantes et Dominants s’étaient installés confortablement dans le grand salon, un verre de jus de fruits frais posé près d’eux et avaient entamé une partie de bridge. Endymion MDE lui, avait été chargé de briquer le pont supérieur, à genoux avec une simple brosse en main, alors que la soumise Estelle devait, dénudée, assurer le service près des Maîtres et faire le ménage en cabines. Le ciel s’était subitement chargé, le vent s’était manifesté brutalement en changeant de direction, de gros nuages poussés par des rafales annonçaient un de ces grains tropicaux, bien connus sous ces latitudes. Il se mit à pleuvoir subitement des trombes d’eau… Heureusement une pluie chaude, mais soutenue, si bien qu’en l’espace de deux minutes seulement le chien soumis MDE fut totalement douché et saucé, jusqu’aux os ! Malgré cette pluie diluvienne, l’esclave MDE continua le travail confié jusqu’au moment où il entendit Monsieur le Marquis le héler :
- Viens te mettre à l’abri Ma pute, ne reste pas sous ce déluge, tu vas attraper du mal !
soumis Endymion MDE ne se le fit pas dire deux fois, il se précipita sous la bâche tendue, sur le pont à l’arrière du bateau, près de la porte donnant sur le salon. Le Maître lui tendit une grande serviette et lui demanda de s’éponger alors que Madame Marie, à gorge déployée lança :
- Du travail en moins pour moi ce soir, je n’aurai pas à le doucher !
Une fois sec, Endymion MDE reçu l’ordre de se coucher tel un véritable chien, près des pieds du Maître et d’attendre sagement. Qu’il aimait se voir ainsi, d’être aux pieds, nu, humble et affalé comme serait un chien heureux mais toutefois vigilant, attendant un nouvel ordre. Étrangement, cette fin d’après-midi, dans cette posture, et pour la première fois, il se sentait fort, courageux, prêt à braver toute forme de danger, pour assurer la protection de Monsieur le Marquis d’Evans, tel un molosse, un vrai chien de garde ! Drôle de sensations, comme si, ce besoin de dépendance auprès du Maître, devenait toujours plus fort, plus intense, soutenu et puissant. L’esclave MDE aux pieds du Maître avait cette crainte de ne plus sentir cette force tranquille le dominer, de ne plus le voir agir et ordonner, de ne plus avoir ce privilège d’être asservi et humilié. C’était sans doute pour toutes ces raisons qu’il se sentait comme ce vrai chien de défense, prêt à montrer les crocs… Plongé dans ses intimes réflexions le soumis MDE se surprit lui-même lorsqu’il entendit marcher à l’avant du bateau. Il se sentit obligé d’alerter le Maître, par quelques grognements et mouvements intempestifs de son arrière train.
- Mais que t’arrive-t-il Ma pute de chien ! S’étonna Monsieur le Marquis.
Pour le calmer, le Maître lui posa un pied sur le visage écrasant ses joues au sol, tout en lui donnant deux magistrales claques sur les fesses. Monsieur le Marquis n’avait sans doute pas compris le pourquoi de ces agissements inopportuns et déplacés. Ce ne fut que lorsqu’il vit apparaître derrière la vitre de la baie vitrée, les deux skippers tenant dans chacune de leur main de magnifiques langoustes, qu’il appréhenda les manigances d’Endymion MDE.
- Mais c’est un bon chienchien ça, un bon toutou donnant l’alerte, viens vers moi Ma petite pute…
Monsieur le Marquis coinça la tête d’Endymion MDE entre ses cuisses et lui caressa le dessus du crâne comme il l’aurait fait à un véritable chien. Peut-être pour se faire pardonner des deux claques données à tort, le Maître dégrafa la braguette de son bermuda, glissa son boxer sous ses couilles et offrait sa queue à Son soumis MDE.
- Tiens Ma petite pute, une petite récompense pour toi, suce moi, tout doucement, sans empressement, donne du plaisir au Maître.
Et pendant plus d’une heure de temps, l’esclave MDE suça, lécha, titilla, telle une gourmandise ce sexe tendu. Et plus il honorait le Maître, plus il sentait sa queue raide dans sa bouche, plus soumis Endymion MDE éprouvait un plaisir immense et intense irradiant tout son être. De temps à autre, Monsieur le Marquis, proche de la jouissance, exigeait à son chien soumis de se retirer de sa Noble queue, le temps que la pression redescende un peu, puis le réinvitait à le ‘fellater’ encore et toujours et ce, jusqu'à la fin de cette partie de bridge ! … Le châtelain éjacula sans retenue, à gros jets de sperme dans la bouche de son soumis au moment où il abattit sa dernière carte finalisant la partie de bridge ! Puis le chien soumis nettoya avec application et sa langue le noble Vit du Maître…
La préparation du dîner fut en partie organisée par les deux skippers, ils s’occupèrent de faire griller les 4 grosses langoustes pêchées. Madame Marie, divine cuisinière, quant à elle prépara une entrée digne de ses excellentes compétences en la matière par une mousse d’avocat avec quelques petites crevettes, elles aussi pêchées par Etienne et Maximilien, une sauce armoricaine pour les crustacés et un dessert glacé à base de noix de coco ramassées sur l’île. Lorsqu’Elle eut fini, et avant de passer à table, Elle s’occupa de la douche de soumis Endymion MDE. Tel un enfant, Elle se chargea de le laver de la tête aux pieds, s’intéressant plus particulièrement aux parties intimes de son corps qui devaient être d’une propreté absolue. Avec application mais aussi fermeté, Elle nettoya la nouille, les couilles et le cul de l’esclave MDE, qui lui, au contact de cette main ne put retenir son excitation. Mais Madame Marie fit comme si Elle ne voyait pas cette bite tendue, Elle lava les cheveux du soumis MDE, puis le sécha et le parfuma même un tant soit peu avec une eau de toilette citronnée.
- Tiens, un peu de citronnelle sur ta peau en prévention des piqûres moustiques.
Madame Marie s’en mit également sur les bras tout en continuant à converser sinon d’ordonner :
- Attention Endymion MDE, le Maître t’accorde un privilège ce soir, tu ne porteras pas de cage de chasteté cette fin de journée, ou tout au moins pendant le service à table. Tu seras chargé de servir le vin, pendant tout le repas, alors que la chienne d’Estelle assurera le service des plats. Ne t’amuse pas à tripoter ta nouille, tu pourrais le regretter. Tiens enfile ça !
Madame la cuisinière tendit un tablier de sommelier au soumis MDE qu’il s’empressa d’enfiler. Son fessier restait parfaitement dégagé… Voyant ce cul à l’air, Madame Marie eut une idée. Elle farfouilla dans un grand sac et sortit un crochet en inox avec au bout une boule d’un diamètre de quatre ou cinq centimètres environ.
- Écarte ton cul salope que je t’enfile ce crochet anal correctement !
Endymion MDE se pencha en avant, s’écarta les fesses sans ressentir la moindre pudeur ni la moindre honte, comme si montrer son cul était devenu naturel. La boule glissa dans son rectum, et une fois bien en place, Madame Marie fit redresser le soumis pour s’assurer que le crochet s’insérait parfaitement dans sa raie. Au moyen d’une corde, elle attacha l’anneau du dit crochet au collier que portait le soumis MDE autour de son cou.
- Je sais que ton cul s’écarte facilement maintenant que tu es devenu une bonne pute, mais ça n’empêche pas qu’il faille poursuivre ton éducation et tes entraînements. Et puis tiens, en parlant d’entrainement, t’en qu’on y est, on va s’occuper de tes burnes, et continuer à les étirer et les allonger. Soulève-moi ce tablier et présente-moi ton paquet !
Avec dextérité, Madame Marie noua sévèrement les couilles de l’esclave MDE avec un lien assez fin. Elle laissa pendre un des bouts de cette ficelle entre ses jambes. Puis, telle Mary Poppins, Elle tripatouilla une fois encore dans son sac magique, et cette fois-ci, en sortit un poids d’un kilogramme. Elle l’attacha au lien et le fit ballotter entre les jambes du chien soumis MDE.
- Tu vois le chien, ce poids pendu à tes burnes à un double intérêt. Un, il étire ton sac et c’est vraiment le but recherché et Deux, à chaque pas que tu vas faire, ce poids va venir cogner tout contre tes genoux et brutalisera tes articulations et donc te rappellera qu’une pute de ton espèce doit tenir les jambes écartés et les cuisses ouvertes.
Madame Marie était d’une perverse dureté, elle prenait un sadique plaisir à contraindre et humilier Endymion MDE. Mais elle savait qu’en agissant ainsi sur lui, elle lui apportait ce qu’il recherchait. Pendant tout le repas, Endymion MDE se tint en retrait, debout, immobile, attentif. A chaque fois qu’un verre se vidait, il s’empressait de le remplir de nouveau. Quant à soumise Estelle, elle servait les plats, et bien souvent, elle se faisait tripoter le cul ou la chatte par l’un ou l’autre des Dominants. Vers la fin du repas la Maîtresse d’Estelle (Madame Gabriella) lui ordonna d’expliquer à Monsieur le Marquis ce qu’était le rituel du soir pour Elle. Alors qu’elle se tenait debout, en attente, quelque peu réservée et timide, à faible voix, elle commença à donner quelques explications. Elle reçut deux claques sur les fesses de la part de Madame Gabriella.
- Aurais-tu honte de dire haut et fort ce que je fais pour toi et ton éducation ?
La soumise honteuse recommença en parlant d’une voix plus forte :
- Monsieur le Marquis, Maitresse Gabriella, tous les soirs après le dîner, me distribue dix coups de martinet sur les fesses et dix autres sur ma poitrine. Elle estime, à juste titre que ce rituel fait partie intégrante de mon éducation.
Monsieur le Marquis d’Evans, menton appuyé au creux de sa main regardait et écoutait attentivement soumise Estelle.
- Ce n’est pas tout Monsieur le Marquis… après cette séquence douloureuse, Maître Henri me pose des électrodes dans mon vagin pour tonifier mes parois intimes, et ce pendant dix minutes. Lui seul décide de l’intensité et des variations électriques. Je me plie volontairement à ses contraintes physiques, sommes toute douloureuses Monsieur le Marquis, car je sais qu’elles sont indispensables au bon fonctionnement d’une chienne soumise comme moi, je tends à le devenir !
Monsieur le Marquis demanda à Estelle de s’approcher de lui. Une fois à proximité, il l’attrapa à pleine main par sa chatte
- Et bien le repas est terminé, nous allons donc pouvoir assister à ce beau spectacle, petite chienne.
Les quatre Dominants se levèrent aussitôt, Monsieur le Marquis d’Evans attrapa Endymion MDE par son collier pour qu’il les suive, Madame Marie appela les deux skippers, tous se dirigèrent vers la proue du bateau. Il faisait nuit, une belle nuit en réalité avec un ciel qui s’était subitement éclairci éloignant ses sombres nuages d’orage et désormais était parsemé d’étoiles, une belle lune éclairait le Croix Rousse. Estelle attrapa le bastingage de ses deux mains, écarta les jambes, tendit son dos.
- Monsieur le Marquis, me feriez-vous l’honneur de flageller ma chienne ? demanda Madame Gabriella en lui tendant un lourd martinet de cuir
Il répondit que oui, bien sûr.
- Soyez sans pitié, Monsieur le Marquis, je vous en conjure, car elle aime ça et elle ne souhaite aucune modération ! Elle me supplie même parfois de frapper plus fort, repris Madame Gabriella.
Monsieur le Marquis fit d’abord glisser les multiples lanières du martinet sur le dos d’Estelle, telle une caresse, comme s’il voulait faire goûter l’objet à cette peau sensible, puis avec détermination il asséna les dix coups, sans cruauté, ni bonté mais avec une dextérité imputée à sa longue expérience. Estelle hurlait à chaque coup et à chacun d’eux, et de par son masochisme, elle semblait mouiller de plus en plus, ce qui à l’évidence excitait grandement la soumise, tandis que Monsieur Henri l’enjoignait à crier plus fort encore.
- Braille petite chienne, petite salope, ici au milieu de l’océan, personne ne peut t’entendre !
Dès le dixième coup reçu, Estelle se retourna, écarta largement les cuisses, présenta sa belle poitrine, renversa la tête vers l’arrière. Monsieur le Marquis récidiva, de la même manière sauf qu’au neuvième coup distribué, Monsieur Henri intervint et stoppa la séquence.
- Regarde mon cher Edouard, comme cette petite salope mouille… Regarde sa chatte, elle est trempée, sa cyprine lui coule sur la cuisse… C’est une vraie chienne en chaleur…
Monsieur Henri glissa son majeur dans cette fente, le remua tant et plus pour l’imprégner de cyprine, puis dégagea son doigt et s’approcha de Monsieur le Marquis en le lui montrant….
- Tu vois ce que je te disais, elle ruisselle… alors pour lui apprendre à se contenir, donne lui, s’il te plait, le dernier coup de martinet sur sa vulve. Je suis sûr qu’elle va gueuler de plaisir...
Sans attendre une seconde de plus, Monsieur le Marquis appliqua ce dernier coup sur l’endroit choisi par le Maître d’Estelle. Elle hurla tant et plus, autant de douleur que de plaisir… Endymion MDE bandait, sa queue soulevait son tablier de sommelier. Les deux skippers se paluchaient et se branlaient allègrement alors que la belle soumise Estelle s’allongeait sur le dos relevait ses jambes sur sa poitrine et mettait son petit minou à disposition de qui voudrait bien la posséder, la baiser, la prendre à même le sol ….
(A suivre…)
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