La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°672)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°672)
Pauline au Château - (suite de l'épisode N°611) -
Les deux hommes me détachent, l’un d’eux me prend sur son épaule, et me porte jusqu’à la voiture. Je suis posée dans le coffre, je me recroqueville, encore en transe de l’orgasme que j’ai reçu. La voiture démarre, et continue sa route sur le chemin de terre. Après quelques temps de trajet, le moteur finit par s’éteindre, j’entends les portes claquées, puis le coffre s’ouvrir. La lumière m’éblouit, je suis nue, pour me sortir du coffre et me mettre debout, le plus robuste, me tire alors par mon collier, pour me trainer sur un large perron menant à une grande porte à double battant en bois sculpté et verni, c’est l’entrée d’un Château somptueux : Celui du Maitre, je présume. Cette double porte s’ouvre, et un grand hall d’entrée s’offre à moi, le carrelage est froid sous mes pieds, le silence qui règne dans cette pièce est oppressant, je frissonne, une excitation me parcours, ainsi qu’un sentiment d’angoisse, je découvre enfin ce lieu, majestueux, impressionnant, qui impose le respect, et l’ordre. Les gardes chasses m’ont abandonnés, je suis seule dans ce hall, et d’instinct, je prends la pose de soumise : jambes écartées, mains sur la nuque, tête baissée et le regard fixé sur mes orteils et ainsi immobile, j’attends. Une bonne dizaine de minute, je grelotte, j’ai froid quand ...
Des bruits de pas parviennent à mes oreilles, quelqu’un s’approche, je n’ose relever la tête, je reste impassible, tentant de calmer l’excitation qui bouillonne dans mon bas ventre. Les pas se sont arrêtés à ma hauteur, tête baissée, je vois juste ses chaussures impeccablement vernies et un bas de pantalon d’un costume de bonne facture. Je sens des mains d’homme passer sur mes seins, pincer mes tétons, descendre sur mes hanches, claquer mes fesses à plusieurs reprises. Je garde le silence, et maintiens ma position. L’homme est dans mon dos, je le sens attacher une laisse à l’anneau de mon collier, et passe un bandeau sur mes yeux. Toujours sans un mot, ses mains agrippent ma chevelure, il me force à me mettre à genoux, puis à quatre pattes, rapidement je comprends que je dois le suivre. Aveugle, j’avance en quadrupédie aux pieds d’un homme, le trajet me parait une éternité, quelques marches se présentent à moi, je les monte en douceur. Nous avançons dans ce qui semble être un long couloir feutré d’une moquette épaisse, puis dans un autre couloir, nous traversons une partie carrelée qui me fait mal aux genoux. J’entends un brouhaha et des gémissements qui s’amplifient lors de mon approche, la porte s’ouvre, le silence se fait. L’homme tire sur la laisse, et nous continuons d’avancer, un tapis sous mes pieds est le bienvenu, calmant mes douleurs aux genoux et aux coudes. Je suis amenée aux pieds de quelques marches, qu’on me fait grimper. Puis, la main de l’homme reprend ma tignasse, et ma tête bute contre une paire de chaussure lisse. Ma langue pendue, je m’apprête à lécher les chaussures qui se présentent à moi, j’imagine qu’il s’agit de celle du Maitre des lieux. Je sens que la laisse change de mains, et l’homme qui m’a ramenée m’assène de quelques fessées avant de s’écarter… Une voix s’exprime, ce qui me certifie qu’il s’agit bien de mon Maître tenant désormais ma laisse :
- Mes amis, je vous présente ma nouvelle chienne ! soumise Pauline MDE ! Voyez comme elle est belle et désirable. Mais elle manque cruellement de discipline et je vais m’atteler à la dresser, à l’initier afin qu’elle devienne une soumise parfaitement obéissante sans plus aucune rébellion, une soumise qui va apprendre à obéir à mon premier claquement de doigts car je sais qu’elle a un potentiel non négligeable à la soumission. Il faut simplement qu’elle s’accepte telle qu’elle est et nous en ferons une parfaite chienne, lui occultant tout orgueil …
J’entends, de la part des nombreuses personnes présentes, moult commentaires sur mon corps, sur mon comportement à venir, sur mon probable potentiel pour devenir ce que le Maître veut faire de moi. Enfin je me sens à ma place, je suis enfin à Ses pieds dans Son Château. Monsieur le Marquis d’Evans continue :
- Mais en attendant continuez l’orgie laquelle vous vous adonnez avec mes esclaves, je reviens d’ici un moment, je vais promener ma nouvelle chienne dans mes couloirs afin de voir comment elle se comporte tenue en laisse à évoluer à quatre pattes …
Me tirant par la laisse, il quitte la pièce, alors je le suis sereinement à quatre pattes, sa main maintient fermement la laisse. Je garde la tête baissée durant cette promenade, dans les couloirs de son grand Château. Dans ce couloir, aux grandes fenêtres alignées, les pas du Maitre résonnent, visiblement, nous sommes seuls. Ce couloir me parait infini, sous mes yeux, le carrelage défile. Au détour d’un couloir et perdue, dans mes pensées, je n’entends pas l’homme s’avancer à notre rencontre. Le Maitre s’arrête soudainement, m’obligeant à m’arrêter à la hauteur de ses jambes. Je conserve la tête baissée, ainsi, je perçois les chaussures d’un homme devant nous.
- Monsieur le Marquis, désolé de mon retard pour votre orgie… c’est une joie de m’accueillir dans Votre demeure.
- Ah, Monsieur Le Duc de la Fougère ! Pas de souci, je suis très heureux de votre présence ici, voyons, tout Dominant est le bienvenu chez moi. Mais dites-moi votre chien que vous tenez là en laisse est sublime, mon cher ami !
- Oui, merci, cet esclave est mon fidèle compagnon, digne d’être à mes pieds, il m’écoute au doigt et à l’œil, Comme vous le voyez, c’est un black d’une carrure impressionnante, debout il mesure plus de 2 mètres. Il est tout en muscles, c’est un ancien basketteur professionnel, devenu un parfait chien soumis à Mes pieds ! … Mais que vois-je, Monsieur le Marquis ? Encore l’une de Vos nouvelles recrues, décidément, Vous m’épatez, à croire qu’ils souhaitent tous être à Vos pieds !
- En effet, il s’agit d’une jeune recrue, elle vient tout juste d’arriver, elle doit encore beaucoup apprendre, la petite chienne. N’est-ce pas soumise Pauline MDE ?
- Oui, Maitre, dis-je tête toujours baissée.
- Tu vois petite chienne, ce black, ce chien-soumis est parfaitement obéissant, lui ! Il n’a pas l’esprit rebelle, comme toi …
- Je suppose que cette petite femelle a dû subir bien des châtiments dans ce cas. Je ne doute pas un instant qu’elle sera Vous obéir aux doigts et à l’œil, Monsieur le Marquis, Vous êtes un expert pour faire plier les esclaves mal dressés de son espèce…
L’esclave noir visiblement baraqué présent aux pieds de son Maitre, semblait manifester une envie soudaine, il se mit à bander juste en me regardant, par le fait que son Maître Monsieur Le Duc de la Fougère ne lui ayant pas fixé sa cage de chasteté, certainement pour qu’il puisse participer à l’orgie en tant que baiseur de soumises et soumis. Cette érection assez spontanée ne passe pas inaperçue aux yeux du Duc :
- Je crois que soumis Samy, a une envie subite, peut-il aller renifler le sexe de cette femelle, mon cher ami ?
- Bien sûr, je ne peux refuser un tel honneur à un esclave aussi bien dressé. Je crois que nous allons bien nous divertir, mon ami.
L’homme claqua des doigts, et soumis Samy fit le tour de mon corps, il vint planter son visage au niveau de mes lèvres intimes. Cette situation, m’excite énormément quand il commence par me lécher mon clito et mes lèvres. C’est si excitant qu’un esclave puisse me prendre ainsi, aux pieds de ces deux Dominants, comme une vulgaire chienne-soumise qui est utilisée pour vider les couilles d’un soumis. Je n’arriverai pas à contenir le désir qui me brûle les entrailles, je suis trop excitée, je mouille tellement que ma cyprine coule le long de mes cuisses alors que l’esclave accentue son léchage en enfonçant sa longue langue dans mon sexe...
- Chienne, position 5, me lance Monsieur le Marquis d’Evans.
A ces mots, je me plie en levrette, présentant ma croupe bien relevée, les bras allongés devant moi, la tête posée au sol. Je ferme les yeux, préférant savourer le plaisir d’une grosse bite dans mon vagin. Le nez de soumis Samy, vient écarter mes lèvres, et renifle abondamment mon sexe entre deux coups de langues profonds, je sens son souffle chaud me caresser. Je sens son envie de me baiser parcourir mon corps …
- Je crois, que soumis Samy a envie de cette soumise. Remarquez, Monsieur le Marquis, comme son sexe est bien dressé… D’ailleurs, votre soumise Pauline MDE a l’air aussi d’être bien excitée ...
- Il s’agit de Votre esclave, à Vous de décider, s’il a droit à se vider ses couilles de soumis. Ma chienne-soumise est prête en position de saillie ! Elle doit apprendre à retenir l’orgasme qui lui brûle les entrailles, cette épreuve peut être intéressante.
A ces mots, je sens mon estomac faire un tour, j’ai envie d’hurler le droit à la jouissance. Je réfléchis, si ce soumis me pénètre, je n’arriverai pas à retenir mon orgasme, je me sens déjà très humide rien qu’à l’idée de me faire prendre par ce mâle corpulent black en chaleur. L’humiliation, les orgies, et tout le reste, oui, mais retenir un orgasme encore plus longtemps me parait impossible. Confrontée à mes réflexions, je n’entends pas Monsieur le Duc placer un préservatif sur l’impressionnant sexe dressé de son soumis Samy. Un frisson d’excitation me parcourt, quand l’esclave mâle vient placer ses deux mains sur mon fessier. Ce contact est froid, et étrangement doux, à la fois. Les yeux toujours fermés, je me mords la langue pour ne pas crier déjà mon plaisir. Mon corps est tendu, sous la pression de l’esclave qui m’enjambe quand je sens sa verge noire épaisse et longue se placer à l’entrée de mon sexe trempé. La pression sur mon fessier augmente, le sexe de soumis Samy s’insinue en moi, avec force, et sans ménagement, il me pénètre d’un coup de reins puissant. Cette intrusion est forte et profonde. Son sexe d’un calibre bien au-dessus de la normale, me déchire l’entrée de mon vagin. Sa pression augmente, je tente de garder la position, mais ses mouvements de bassin sont rudes et brusques pour devenir cadencés et plus précis…
A plusieurs reprises, je sens mon corps divaguer. Cette pénétration, se fait plus intense, plus profonde, et le plaisir augmente encore en moi, je sens mon ventre grogner de désir. Je tente de faire abstraction de la cyprine qui coule de mon sexe, je tente de faire abstraction de l’orgasme présent au fond de mes entrailles qui n’attend qu’à exploser. Le soumis mâle au-dessus de moi, finit rapidement par éjaculer abondamment en moi accompagné de longs râles orgasmiques, il devait, je suppose n’avoir pas eu droit à se vider les couilles depuis déjà longtemps car il éjacule sans retenue de longs jets de sperme dans sa capote et reste un long moment immobile en coït… Quand il se retire, son préservatif est ôté, et posé sur ma croupe, en signe de remerciement. Je tente d’imposer le calme à mon corps car je me suis retenue, je ne sais pas comment j’ai réussi à ne pas jouir. Je n’ose un mouvement, des bruits de pas reprennent, jusqu’à s’estomper au loin. Je suis de nouveau seule avec Monsieur le Marquis d’Evans et je sens une main me retirer le préservatif sur mes fesses, puis une caresse est appliquée à ce même endroit, je reconnais de suite cette caresse bienveillante, celle du Maitre.
- Debout chienne, tes mains sur ta nuque.
Je m’exécute aussitôt, plaçant mes mains sur ma nuque, tête baissée, cuisses écartées. Le silence se fait, puis il vint placer deux doigts sous mon menton, m’obligeant à redresser la tête, pour autant, je garde les yeux rivés au sol.
- Regarde-moi, Pauline.
Surprise par cette appellation, je lève les yeux, pour me plonger dans le regard bleu dominant et étrangement lumineux du Maitre. Jamais encore il m’avait appelée ainsi, je trouvais mon simple prénom beau dit entre ses lèvres, sa façon de le prononcer était empli de respect.
- Je suis fière de toi, tu es restée calme, sereine, ne laissant trahir d’aucune manière ton envie de rébellion. Tu n’as pas laissé ton corps prendre le dessus en te retenant de jouir, ton esprit a su vaincre ton envie irrésistible de jouissance. Cette épreuve, je me devais de te l’imposer, et je dois dire que je suis surpris par ton comportement, et surtout je suis fier de toi, soumise, tu ne m’as pas fait honte face à ce Dominant, tu as su retenir ton orgasme, alors que je devine qu’il te brûle les entrailles.
Mon regard perdu dans le siens, ses mots résonnent en écho dans mon esprit, je suis à présent détendue, sereine, mon calme intérieur est revenu.
- Dis-moi, soumise à quoi as-tu pensé durant cette baise en levrette ?
J’ouvre la bouche, je la referme, prends une inspiration, garde le contact visuel, et décide de lui dire la vérité quoiqu’il en coûte.
- J’avais envie d’exploser de plaisirs orgasmiques, de crier fort ma jouissance, de me laisser envahir par le plaisir charnel…
Le Maitre reste impassible à chacun de mes mots, je me tais laissant le silence s’installer, je sais que je devrais lui supplier une punition à l’instant même pour ces mots que je viens de prononcer. Je soutiens son regard, lui montrant toute ma considération, ainsi que tout le respect que j’ai pour lui. Je me prépare à toutes éventualités, punition forte, humiliation sévère, voir même rejet de ce monde, pour ces propos tenus. Le visage impassible du Maitre, m’admire, il contient ses émotions avec une telle dextérité, que cela me révolte, j’ai envie de savoir ce qu’il pense à cet instant même, j’aimerai pouvoir lire en lui, comme un livre ouvert, et ce Dominant m’est indéchiffrable. Les précédents que j’ai pu connaitre, ne savaient pas autant maitriser leurs émotions, et cela étaient ma force face à eux. Mais là, je me sens démunie, impossible de pouvoir deviner la suite des évènements. Les minutes défilent, et une tension s’installe entre nous deux, je sens mon bas ventre se torde, je me sens devenir de nouveau humide, mais je tente d’ignorer cette sensation délicieuse qui me pique la chair. J’ai envie de faire un pas en avant pour embrasser le Maitre, mais je ne bouge pas, soumise. J’ai envie de baisser le regard, mais ce geste signifierait que je serais prête à me soumettre totalement et aveuglément à lui, ce qui n’est pas encore le cas. Je remarque une étincelle éclairée ses pupilles, cela me déroute. Puis un sourire se dessine sur son visage, il me pousse en arrière, dos au mur, il place ses mains sur mes bras, les écartent, puis ses doigts se joignent aux miens.
Avant même que je comprenne ce qu’il se passe, ses lèvres viennent se poser sur les miennes, il m’embrasse avec force et domination, je réponds à son baiser avec beaucoup d’émotions. Je tente de lui faire comprendre à quel point, je lui reconnaissante pour ce baiser, à quel point, j’ai envie de lui à cet instant même. Il s’appuie sur moi, frottant son bassin contre mes cuisses, je sens son sexe dur. Notre baiser est intense, et jamais un homme ne m’avait embrassé de cette manière. Il libère ses mains l’espace d’un instant pour descendre son pantalon à ses cuisses. Puis il place une de mes jambes sur sa taille, et reprenant mes mains contre le mur, il s’enfonce en moi, avec force, ce contact m’électrise, je suis dégoulinante de plaisir, il me pénètre à la fois avec force et douceur, je sens très vite une vague de chaleur parcourir mon corps. Il m’assène de coups de reins rapides et efficaces, mon sexe est contracté contre le sien, augmentant ainsi les sensations. Son sexe bute contre le fond de ma paroi vaginale, ce contact est un pur délice. Nos lèvres toujours accrochées, je me sens possédé par cet homme, ce Maitre à qui j’appartiens. A cette pensée, l’envie d’orgasme monte d’un cran. Privée de jouissances depuis mon arrivée au Château, je sens ma jambe gauche faiblir sous mon poids, il me lâche une main, pour la placer sous mes fesses, afin de me maintenir. Mon corps se mets à trembler, j’en perds le contrôle, je suis en transe, prête à exploser. Il s’écarte un instant de moi, et avant même que je le supplie, il lâche dans un râle :
- Jouis, soumise, maintenant.
Face à cet ordre, l’orgasme que je contenais en moi, enflamme mon corps, je perle de sueur, par reflexe, je place mon avant-bras libre au niveau de ma bouche, et je me mords avec force afin d’étouffer mes cris. Face à ce comportement, le Maitre m’arrache le bras de ma bouche, et l’immobilise. Mes cris résonnent en écho dans ce couloir, je me sens couler sous les coups de reins du Maitre, je ne retiens plus rien, et deviens entre ses bras, son emprise, sa soumise fontaine qui jouit avec plaisir, et sans retenue. Cet orgasme est long, trop bon, trop violent, trop divin et je balance mes hanches afin d’être en rythme avec le Maitre pour obtenir meilleure satisfaction. Les yeux fermés, je me sens dans un autre univers, plein de plaisirs, et mon corps irradié ne se supporte plus, je me cambre en avant, pour accueillir d’avantage le sexe du Maitre. Je sens la semence du Maitre envahir mes entrailles, une seconde fois, une vague de chaleur me parcourt et me procure un bonheur intense. Une fois encore, j’ai envie de me mordre pour étouffer mes cris. Je ne peux joindre le geste à ma pensée, et je gémis sans retenue, sans peur. J’aimerai que cette sensation soit infinie. Alors que mon orgasme est au maximum, je me sens perdre pied, et je m’écroule au pied du Maitre, inconsciente, mais si heureuse... Je suis enfin un des soumises MDE du Château.
Fin de Pauline au Château
Les deux hommes me détachent, l’un d’eux me prend sur son épaule, et me porte jusqu’à la voiture. Je suis posée dans le coffre, je me recroqueville, encore en transe de l’orgasme que j’ai reçu. La voiture démarre, et continue sa route sur le chemin de terre. Après quelques temps de trajet, le moteur finit par s’éteindre, j’entends les portes claquées, puis le coffre s’ouvrir. La lumière m’éblouit, je suis nue, pour me sortir du coffre et me mettre debout, le plus robuste, me tire alors par mon collier, pour me trainer sur un large perron menant à une grande porte à double battant en bois sculpté et verni, c’est l’entrée d’un Château somptueux : Celui du Maitre, je présume. Cette double porte s’ouvre, et un grand hall d’entrée s’offre à moi, le carrelage est froid sous mes pieds, le silence qui règne dans cette pièce est oppressant, je frissonne, une excitation me parcours, ainsi qu’un sentiment d’angoisse, je découvre enfin ce lieu, majestueux, impressionnant, qui impose le respect, et l’ordre. Les gardes chasses m’ont abandonnés, je suis seule dans ce hall, et d’instinct, je prends la pose de soumise : jambes écartées, mains sur la nuque, tête baissée et le regard fixé sur mes orteils et ainsi immobile, j’attends. Une bonne dizaine de minute, je grelotte, j’ai froid quand ...
Des bruits de pas parviennent à mes oreilles, quelqu’un s’approche, je n’ose relever la tête, je reste impassible, tentant de calmer l’excitation qui bouillonne dans mon bas ventre. Les pas se sont arrêtés à ma hauteur, tête baissée, je vois juste ses chaussures impeccablement vernies et un bas de pantalon d’un costume de bonne facture. Je sens des mains d’homme passer sur mes seins, pincer mes tétons, descendre sur mes hanches, claquer mes fesses à plusieurs reprises. Je garde le silence, et maintiens ma position. L’homme est dans mon dos, je le sens attacher une laisse à l’anneau de mon collier, et passe un bandeau sur mes yeux. Toujours sans un mot, ses mains agrippent ma chevelure, il me force à me mettre à genoux, puis à quatre pattes, rapidement je comprends que je dois le suivre. Aveugle, j’avance en quadrupédie aux pieds d’un homme, le trajet me parait une éternité, quelques marches se présentent à moi, je les monte en douceur. Nous avançons dans ce qui semble être un long couloir feutré d’une moquette épaisse, puis dans un autre couloir, nous traversons une partie carrelée qui me fait mal aux genoux. J’entends un brouhaha et des gémissements qui s’amplifient lors de mon approche, la porte s’ouvre, le silence se fait. L’homme tire sur la laisse, et nous continuons d’avancer, un tapis sous mes pieds est le bienvenu, calmant mes douleurs aux genoux et aux coudes. Je suis amenée aux pieds de quelques marches, qu’on me fait grimper. Puis, la main de l’homme reprend ma tignasse, et ma tête bute contre une paire de chaussure lisse. Ma langue pendue, je m’apprête à lécher les chaussures qui se présentent à moi, j’imagine qu’il s’agit de celle du Maitre des lieux. Je sens que la laisse change de mains, et l’homme qui m’a ramenée m’assène de quelques fessées avant de s’écarter… Une voix s’exprime, ce qui me certifie qu’il s’agit bien de mon Maître tenant désormais ma laisse :
- Mes amis, je vous présente ma nouvelle chienne ! soumise Pauline MDE ! Voyez comme elle est belle et désirable. Mais elle manque cruellement de discipline et je vais m’atteler à la dresser, à l’initier afin qu’elle devienne une soumise parfaitement obéissante sans plus aucune rébellion, une soumise qui va apprendre à obéir à mon premier claquement de doigts car je sais qu’elle a un potentiel non négligeable à la soumission. Il faut simplement qu’elle s’accepte telle qu’elle est et nous en ferons une parfaite chienne, lui occultant tout orgueil …
J’entends, de la part des nombreuses personnes présentes, moult commentaires sur mon corps, sur mon comportement à venir, sur mon probable potentiel pour devenir ce que le Maître veut faire de moi. Enfin je me sens à ma place, je suis enfin à Ses pieds dans Son Château. Monsieur le Marquis d’Evans continue :
- Mais en attendant continuez l’orgie laquelle vous vous adonnez avec mes esclaves, je reviens d’ici un moment, je vais promener ma nouvelle chienne dans mes couloirs afin de voir comment elle se comporte tenue en laisse à évoluer à quatre pattes …
Me tirant par la laisse, il quitte la pièce, alors je le suis sereinement à quatre pattes, sa main maintient fermement la laisse. Je garde la tête baissée durant cette promenade, dans les couloirs de son grand Château. Dans ce couloir, aux grandes fenêtres alignées, les pas du Maitre résonnent, visiblement, nous sommes seuls. Ce couloir me parait infini, sous mes yeux, le carrelage défile. Au détour d’un couloir et perdue, dans mes pensées, je n’entends pas l’homme s’avancer à notre rencontre. Le Maitre s’arrête soudainement, m’obligeant à m’arrêter à la hauteur de ses jambes. Je conserve la tête baissée, ainsi, je perçois les chaussures d’un homme devant nous.
- Monsieur le Marquis, désolé de mon retard pour votre orgie… c’est une joie de m’accueillir dans Votre demeure.
- Ah, Monsieur Le Duc de la Fougère ! Pas de souci, je suis très heureux de votre présence ici, voyons, tout Dominant est le bienvenu chez moi. Mais dites-moi votre chien que vous tenez là en laisse est sublime, mon cher ami !
- Oui, merci, cet esclave est mon fidèle compagnon, digne d’être à mes pieds, il m’écoute au doigt et à l’œil, Comme vous le voyez, c’est un black d’une carrure impressionnante, debout il mesure plus de 2 mètres. Il est tout en muscles, c’est un ancien basketteur professionnel, devenu un parfait chien soumis à Mes pieds ! … Mais que vois-je, Monsieur le Marquis ? Encore l’une de Vos nouvelles recrues, décidément, Vous m’épatez, à croire qu’ils souhaitent tous être à Vos pieds !
- En effet, il s’agit d’une jeune recrue, elle vient tout juste d’arriver, elle doit encore beaucoup apprendre, la petite chienne. N’est-ce pas soumise Pauline MDE ?
- Oui, Maitre, dis-je tête toujours baissée.
- Tu vois petite chienne, ce black, ce chien-soumis est parfaitement obéissant, lui ! Il n’a pas l’esprit rebelle, comme toi …
- Je suppose que cette petite femelle a dû subir bien des châtiments dans ce cas. Je ne doute pas un instant qu’elle sera Vous obéir aux doigts et à l’œil, Monsieur le Marquis, Vous êtes un expert pour faire plier les esclaves mal dressés de son espèce…
L’esclave noir visiblement baraqué présent aux pieds de son Maitre, semblait manifester une envie soudaine, il se mit à bander juste en me regardant, par le fait que son Maître Monsieur Le Duc de la Fougère ne lui ayant pas fixé sa cage de chasteté, certainement pour qu’il puisse participer à l’orgie en tant que baiseur de soumises et soumis. Cette érection assez spontanée ne passe pas inaperçue aux yeux du Duc :
- Je crois que soumis Samy, a une envie subite, peut-il aller renifler le sexe de cette femelle, mon cher ami ?
- Bien sûr, je ne peux refuser un tel honneur à un esclave aussi bien dressé. Je crois que nous allons bien nous divertir, mon ami.
L’homme claqua des doigts, et soumis Samy fit le tour de mon corps, il vint planter son visage au niveau de mes lèvres intimes. Cette situation, m’excite énormément quand il commence par me lécher mon clito et mes lèvres. C’est si excitant qu’un esclave puisse me prendre ainsi, aux pieds de ces deux Dominants, comme une vulgaire chienne-soumise qui est utilisée pour vider les couilles d’un soumis. Je n’arriverai pas à contenir le désir qui me brûle les entrailles, je suis trop excitée, je mouille tellement que ma cyprine coule le long de mes cuisses alors que l’esclave accentue son léchage en enfonçant sa longue langue dans mon sexe...
- Chienne, position 5, me lance Monsieur le Marquis d’Evans.
A ces mots, je me plie en levrette, présentant ma croupe bien relevée, les bras allongés devant moi, la tête posée au sol. Je ferme les yeux, préférant savourer le plaisir d’une grosse bite dans mon vagin. Le nez de soumis Samy, vient écarter mes lèvres, et renifle abondamment mon sexe entre deux coups de langues profonds, je sens son souffle chaud me caresser. Je sens son envie de me baiser parcourir mon corps …
- Je crois, que soumis Samy a envie de cette soumise. Remarquez, Monsieur le Marquis, comme son sexe est bien dressé… D’ailleurs, votre soumise Pauline MDE a l’air aussi d’être bien excitée ...
- Il s’agit de Votre esclave, à Vous de décider, s’il a droit à se vider ses couilles de soumis. Ma chienne-soumise est prête en position de saillie ! Elle doit apprendre à retenir l’orgasme qui lui brûle les entrailles, cette épreuve peut être intéressante.
A ces mots, je sens mon estomac faire un tour, j’ai envie d’hurler le droit à la jouissance. Je réfléchis, si ce soumis me pénètre, je n’arriverai pas à retenir mon orgasme, je me sens déjà très humide rien qu’à l’idée de me faire prendre par ce mâle corpulent black en chaleur. L’humiliation, les orgies, et tout le reste, oui, mais retenir un orgasme encore plus longtemps me parait impossible. Confrontée à mes réflexions, je n’entends pas Monsieur le Duc placer un préservatif sur l’impressionnant sexe dressé de son soumis Samy. Un frisson d’excitation me parcourt, quand l’esclave mâle vient placer ses deux mains sur mon fessier. Ce contact est froid, et étrangement doux, à la fois. Les yeux toujours fermés, je me mords la langue pour ne pas crier déjà mon plaisir. Mon corps est tendu, sous la pression de l’esclave qui m’enjambe quand je sens sa verge noire épaisse et longue se placer à l’entrée de mon sexe trempé. La pression sur mon fessier augmente, le sexe de soumis Samy s’insinue en moi, avec force, et sans ménagement, il me pénètre d’un coup de reins puissant. Cette intrusion est forte et profonde. Son sexe d’un calibre bien au-dessus de la normale, me déchire l’entrée de mon vagin. Sa pression augmente, je tente de garder la position, mais ses mouvements de bassin sont rudes et brusques pour devenir cadencés et plus précis…
A plusieurs reprises, je sens mon corps divaguer. Cette pénétration, se fait plus intense, plus profonde, et le plaisir augmente encore en moi, je sens mon ventre grogner de désir. Je tente de faire abstraction de la cyprine qui coule de mon sexe, je tente de faire abstraction de l’orgasme présent au fond de mes entrailles qui n’attend qu’à exploser. Le soumis mâle au-dessus de moi, finit rapidement par éjaculer abondamment en moi accompagné de longs râles orgasmiques, il devait, je suppose n’avoir pas eu droit à se vider les couilles depuis déjà longtemps car il éjacule sans retenue de longs jets de sperme dans sa capote et reste un long moment immobile en coït… Quand il se retire, son préservatif est ôté, et posé sur ma croupe, en signe de remerciement. Je tente d’imposer le calme à mon corps car je me suis retenue, je ne sais pas comment j’ai réussi à ne pas jouir. Je n’ose un mouvement, des bruits de pas reprennent, jusqu’à s’estomper au loin. Je suis de nouveau seule avec Monsieur le Marquis d’Evans et je sens une main me retirer le préservatif sur mes fesses, puis une caresse est appliquée à ce même endroit, je reconnais de suite cette caresse bienveillante, celle du Maitre.
- Debout chienne, tes mains sur ta nuque.
Je m’exécute aussitôt, plaçant mes mains sur ma nuque, tête baissée, cuisses écartées. Le silence se fait, puis il vint placer deux doigts sous mon menton, m’obligeant à redresser la tête, pour autant, je garde les yeux rivés au sol.
- Regarde-moi, Pauline.
Surprise par cette appellation, je lève les yeux, pour me plonger dans le regard bleu dominant et étrangement lumineux du Maitre. Jamais encore il m’avait appelée ainsi, je trouvais mon simple prénom beau dit entre ses lèvres, sa façon de le prononcer était empli de respect.
- Je suis fière de toi, tu es restée calme, sereine, ne laissant trahir d’aucune manière ton envie de rébellion. Tu n’as pas laissé ton corps prendre le dessus en te retenant de jouir, ton esprit a su vaincre ton envie irrésistible de jouissance. Cette épreuve, je me devais de te l’imposer, et je dois dire que je suis surpris par ton comportement, et surtout je suis fier de toi, soumise, tu ne m’as pas fait honte face à ce Dominant, tu as su retenir ton orgasme, alors que je devine qu’il te brûle les entrailles.
Mon regard perdu dans le siens, ses mots résonnent en écho dans mon esprit, je suis à présent détendue, sereine, mon calme intérieur est revenu.
- Dis-moi, soumise à quoi as-tu pensé durant cette baise en levrette ?
J’ouvre la bouche, je la referme, prends une inspiration, garde le contact visuel, et décide de lui dire la vérité quoiqu’il en coûte.
- J’avais envie d’exploser de plaisirs orgasmiques, de crier fort ma jouissance, de me laisser envahir par le plaisir charnel…
Le Maitre reste impassible à chacun de mes mots, je me tais laissant le silence s’installer, je sais que je devrais lui supplier une punition à l’instant même pour ces mots que je viens de prononcer. Je soutiens son regard, lui montrant toute ma considération, ainsi que tout le respect que j’ai pour lui. Je me prépare à toutes éventualités, punition forte, humiliation sévère, voir même rejet de ce monde, pour ces propos tenus. Le visage impassible du Maitre, m’admire, il contient ses émotions avec une telle dextérité, que cela me révolte, j’ai envie de savoir ce qu’il pense à cet instant même, j’aimerai pouvoir lire en lui, comme un livre ouvert, et ce Dominant m’est indéchiffrable. Les précédents que j’ai pu connaitre, ne savaient pas autant maitriser leurs émotions, et cela étaient ma force face à eux. Mais là, je me sens démunie, impossible de pouvoir deviner la suite des évènements. Les minutes défilent, et une tension s’installe entre nous deux, je sens mon bas ventre se torde, je me sens devenir de nouveau humide, mais je tente d’ignorer cette sensation délicieuse qui me pique la chair. J’ai envie de faire un pas en avant pour embrasser le Maitre, mais je ne bouge pas, soumise. J’ai envie de baisser le regard, mais ce geste signifierait que je serais prête à me soumettre totalement et aveuglément à lui, ce qui n’est pas encore le cas. Je remarque une étincelle éclairée ses pupilles, cela me déroute. Puis un sourire se dessine sur son visage, il me pousse en arrière, dos au mur, il place ses mains sur mes bras, les écartent, puis ses doigts se joignent aux miens.
Avant même que je comprenne ce qu’il se passe, ses lèvres viennent se poser sur les miennes, il m’embrasse avec force et domination, je réponds à son baiser avec beaucoup d’émotions. Je tente de lui faire comprendre à quel point, je lui reconnaissante pour ce baiser, à quel point, j’ai envie de lui à cet instant même. Il s’appuie sur moi, frottant son bassin contre mes cuisses, je sens son sexe dur. Notre baiser est intense, et jamais un homme ne m’avait embrassé de cette manière. Il libère ses mains l’espace d’un instant pour descendre son pantalon à ses cuisses. Puis il place une de mes jambes sur sa taille, et reprenant mes mains contre le mur, il s’enfonce en moi, avec force, ce contact m’électrise, je suis dégoulinante de plaisir, il me pénètre à la fois avec force et douceur, je sens très vite une vague de chaleur parcourir mon corps. Il m’assène de coups de reins rapides et efficaces, mon sexe est contracté contre le sien, augmentant ainsi les sensations. Son sexe bute contre le fond de ma paroi vaginale, ce contact est un pur délice. Nos lèvres toujours accrochées, je me sens possédé par cet homme, ce Maitre à qui j’appartiens. A cette pensée, l’envie d’orgasme monte d’un cran. Privée de jouissances depuis mon arrivée au Château, je sens ma jambe gauche faiblir sous mon poids, il me lâche une main, pour la placer sous mes fesses, afin de me maintenir. Mon corps se mets à trembler, j’en perds le contrôle, je suis en transe, prête à exploser. Il s’écarte un instant de moi, et avant même que je le supplie, il lâche dans un râle :
- Jouis, soumise, maintenant.
Face à cet ordre, l’orgasme que je contenais en moi, enflamme mon corps, je perle de sueur, par reflexe, je place mon avant-bras libre au niveau de ma bouche, et je me mords avec force afin d’étouffer mes cris. Face à ce comportement, le Maitre m’arrache le bras de ma bouche, et l’immobilise. Mes cris résonnent en écho dans ce couloir, je me sens couler sous les coups de reins du Maitre, je ne retiens plus rien, et deviens entre ses bras, son emprise, sa soumise fontaine qui jouit avec plaisir, et sans retenue. Cet orgasme est long, trop bon, trop violent, trop divin et je balance mes hanches afin d’être en rythme avec le Maitre pour obtenir meilleure satisfaction. Les yeux fermés, je me sens dans un autre univers, plein de plaisirs, et mon corps irradié ne se supporte plus, je me cambre en avant, pour accueillir d’avantage le sexe du Maitre. Je sens la semence du Maitre envahir mes entrailles, une seconde fois, une vague de chaleur me parcourt et me procure un bonheur intense. Une fois encore, j’ai envie de me mordre pour étouffer mes cris. Je ne peux joindre le geste à ma pensée, et je gémis sans retenue, sans peur. J’aimerai que cette sensation soit infinie. Alors que mon orgasme est au maximum, je me sens perdre pied, et je m’écroule au pied du Maitre, inconsciente, mais si heureuse... Je suis enfin un des soumises MDE du Château.
Fin de Pauline au Château
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