La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 676)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 676)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°675) - De bien agréables retrouvailles au Château -
Monsieur Walter était là, dans un habit impeccablement taillé et de bonne facture dans l’élégance même du strict domestique. Il était debout tout en haut du vaste perron en pierre du Château attendant Monsieur le Marquis. Derrière lui, la grande et massive double porte d’entrée en bois, vernie et sculptée. Partant sur chacun de ses côtés, sur les larges marches d’escaliers du perron du haut et en continuité jusqu’en bas de ces mêmes marches jusqu’aux graviers se tenaient agenouillés tout le cheptel du Noble soit au total, une cinquantaine d’esclaves tous dévoués corps et âme à leur Maître. Ils formaient ainsi tous ensemble une véritable haie d’honneur, en cette position de soumission sur leurs genoux et qui allait de pair avec leur tête baissée. Ils étaient nus, portant tous un collier avec pour les mâles une cage de chasteté et pour les femelles des pinces aux tétons munies d’une chaînette à leurs seins. Se tenaient aussi aux pieds du Majordome Walter, en laisse et nues, tenues à quatre pattes, reins cambrées, les deux femelles soumises les plus reconnues du cheptel puisque elles avaient l’honneur d’être titrées MDE. Les soumises Laïs MDE et Phryné MDE patientaient donc sagement, ne montrant ni leur excitation, ni leur plaisir sans borne de retrouver enfin leur Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Elles avaient appris, comme tous les soumis ici, à ne pas montrer leurs sentiments, leurs émotions, seul le devoir de fierté d’appartenir devait transparaitre. Leur tenue était irréprochable, altières, elles dévoilaient leur croupe, écartant légèrement leurs cuisses pour afficher ostensiblement leur intimité. Près d’elles, il y avait aussi, dans la même posture et tenue, un mâle soumis, celui qu’on appelait ici, chien docile qui se détachait un peu du haut de la haie d’honneur des autres esclaves.
Les pneus de la Ranger Rover crissaient sous le gravier très soigneusement ratissé. Monsieur le Majordome se précipita, entraînant avec lui les trois soumis, pour aller ouvrir la portière droite du véhicule et accueillir respectueusement Monsieur le Marquis.
- Ha ! Je suis si heureux de vous retrouver Monsieur le Marquis, soyez le bienvenu dans Votre Château.
- Mon cher Walter, bonjour mon vieil ami, comment vas-tu ? lui répondit le Maître dans une chaleureuse poignée de mains et sur un ton d’estime empli de considération amicale pour son Majordome.
Monsieur le Marquis ne fit pas cas de ses deux chiennes MDE et du mâle prosternés tous les trois, en levrette, à Ses Nobles Pieds. Il continua à converser tranquillement avec Son Majordome. Madame Marie, la cuisinière, embrassait chaleureusement Walter, on aurait dit deux frères et sœurs se retrouvant dans leur amicale accolade puis elle disparaissait rapidement. Ahmed et Maximilien étaient sortis eux aussi du véhicule, et maintenant Le Maître faisait les présentations.
- Voilà Maximilien lequel je viens de recruter, pour te seconder Mon cher Walter, car j’ai pleinement conscience des lourdes tâches qui t’incombent ici et que tu as donc vraiment besoin d’être épaulé.
- Bonjour Monsieur ! heureux de vous connaitre, fit Maximilien respectueusement, en tendant la main à Walter.
- Bonjour Maximilien, soyez le bienvenue ici en cette prestigieuse demeure.
- Je sais qu’entre vous les ‘Monsieurs’ ne dureront pas, tout comme le vouvoiement ! Et que vous deviendrez très vite deux amis et que naturellement le tutoiement deviendra une normalité ! répliqua le Noble
Pendant ce temps, Ahmed avait fait sortir soumise Estelle et Endymion MDE de leur cage, et les tenait par les cheveux pour les rapprocher des trois autres soumis toujours impeccablement galbés. Eux aussi se positionnèrent dans cette tenue provocante mais familière. Monsieur le Majordome alors en discussion avec le Maître marqua un temps d’arrêt en voyant Endymion MDE.
- Dites-moi, Monsieur le Marquis vous vous lancez dans l’élevage de porcs ?
L’esclave MDE était d’une saleté repoussante, tout son corps était couvert de boue, il puait…
- Ahmed et Maximilien, allez nettoyer ce chien MDE et sitôt propre, vous le ramènerez dans le grand salon. Ordonnait le Maître.
Endymion MDE était conduit dans les écuries du Château. Là à grandes eaux, il fut lavé, nettoyé, savonné, étrillé, brossé, frotté, aseptisé. Ce traitement énergique lui raviva quelques belles démangeaison à la suite de la séance d’orties peu avant son arrivée ici. Mais là n’était pas l’important, sitôt propre et sec, il regagna le Grand Salon. Dans cette fastueuse pièce richement meublée et décorée, Monsieur le Marquis était assis dans un petit fauteuil crapaud, avec toujours près de Lui, Laïs MDE et Phryné MDE, cette fois-ci affairées, à sucer la belle tige épaisse du Noble. En effet, Monsieur le Marquis avait baissé son pantalon aux chevilles, avait quitté ses chaussettes et chaussures et se laissait léchouiller ses testicules et pomper sa bite par Ses deux petites chiennes soumises. Chien docile, sa nouille enfermée dans une cage, se contentait de lui lécher les pieds. Monsieur Walter était à genoux devant la croupe de soumise Estelle. Il lui écartait ses lèvres intimes et examinait ses chairs cachées. Il releva les yeux en direction du Maître :
- Monsieur le Marquis, si je puis me permettre, vous n’êtes vraiment pas raisonnable… une chienne supplémentaire ! Ne croyez-vous pas qu’il n’y en a pas suffisamment ici ?
- Mon cher Walter, j’ai promis à un couple de vieux amis de m’occuper de leur soumise et de leur la rendre parfaitement dressée d’ici quelques mois, alors je compte aussi sur toi pour m’aider à ce dressage qui devra être parfait. Ma réputation est en jeu, alors on devra faire un travail impeccable afin de rendre cette chienne parfaitement comme elle doit devenir …
Il se tut un instant, posa de nouveau et attentivement son regard sur cette vulve.
- Aucun souci, vous savez bien que vous pouvez compter sur moi. .. Mais que sont ces cloques et boursouflures sur cette chatte et ce trou ?
- Rien de grave, mon cher Walter, simplement quelques frottements d’orties passés ici ou là. Répondit le Maître avec un sourire malicieux.
Le Noble interpella Son esclave d’un claquement de doigt. Endymion MDE approchait près de lui, tête baissée, bras croisés dans le dos. Monsieur le Marquis l’attrapa par sa nouille, la lui souleva, la lui retroussa, pour bien dégager son gland.
- Regarde Mon cher Walter, ce chien lui aussi à de beaux œdèmes sur sa queue, son gland et ses couilles. Ma grand-mère, la Marquis Angèle-Marie-Antoinette d’Evans me disait toujours qu’il n’y avait rien de mieux pour la circulation sanguine que des piqûres d’orties…
Walter palpait sans ménagement la bite et les burnes du chien MDE, puis ordonna à chien docile de venir lécher les génitaux d’Endymion MDE.
- La mienne, ma grand-mère disait, langue de chien vaut mieux que langue de médecin ! affirmait le Majordome en riant….
Maximilien croyait rêver, il n’imaginait pas un instant qu’un univers aussi vicieux et pervers puisse exister. Il regardait, avec de grands yeux, les deux dominants joués avec celles soumises et heureuses de l’être, il les entendait humilier ces mâles heureux d’être accablés et bafoués. Tout ça lui paraissait incroyable, il ne l’avait même pas imaginé, même pas en rêve… Evidemment son excitation était à son apogée, son jean déformé… Et visiblement, il ne regrettait absolument pas son nouvel emploi ! Son admiration envers l’univers de son patron ne cesser pas de s’accroître !
- Te plairait-il mon cher Maximilien de tester l’une de mes deux chiennes ! interrogeait le Maître.
Monsieur le Marquis n’était pas dupe, il ne lui laissa même pas le temps de répondre.
- Tiens, choisi celle que tu veux et prends là, à quatre pattes, là, devant nous…
Ce fut la soumise Laïs MDE qu’il sélectionna… La femelle soumise à regret laissa la queue du Maître, et s’installa au centre de la pièce à quatre pattes, reins parfaitement cambrés, vulve offerte, bouche entrouverte, alors que Maximilien tombait son jean. Sans prier garde, il lui planta son pieu ferme et droit dans la bouche et se fit pomper sauvagement. La langue de Laïs MDE s’enroulait, ses lèvres se refermaient sur ce mandrin de chair et glissait rapidement, elle lui titillait son gland, l’avalait, le recrachait, le faisait aller et venir en elle, enfonçait cette grosse queue le plus profondément possible, la branlant avec sa bouche, avec dextérité et envoûtement … Jamais Maximilien n’avait vécu une telle pipe… Il crut jouir au bout de deux minutes seulement. Il se retira rapidement pour éviter d’éjaculer trop vite. Il s’agenouilla derrière la chienne, posa son sexe baveux tout contre ses lèvres intimes et d’un coup de reins sauvage la pénétra sans plus attendre. Une dizaine de vifs et vigoureux allers-retours suffisait pour que Maximilien perde pied, Il jouissait comme jamais il n’avait joui, en râlant sauvagement tout en accentuant ses coups de boutoirs… Il s’effondrait sur le dos de la chienne soumise MDE, l’enserrant entre ses bras, gardant sa bite en elle en un profond coït, comme dépité de n’avoir pu se contenir plus longtemps. Pendant les brefs instants de ce coït, Laïs MDE était restée impassible, stoïque, simplement chaloupée par les quelques coups de reins sauvages. Elle n’avait pas sourcillé, même pas gémi, même pas laissé entrapercevoir le plaisir qui la submergeait. Ses chairs intimes s’étaient à chaque fois contractées, emprisonnant cette queue lorsqu’elle voulait s’échapper, ses muscles s’étaient relâchés pour libérer cette bite lorsque celle-ci voulait s’engouffrer dans les tréfonds de ses entrailles. Maximilien en nage, relevait enfin la tête :
- Oh Monsieur le Marquis, votre chienne MDE est une véritable machine à vider des couilles, tant avec sa bouche, qu’avec sa chatte…
Elle l’était, Monsieur le Marquis expliquait à Maximilien qu’elle avait été dressée et éduquée patiemment, longuement, pour satisfaire les hommes en rut, pour les soulager, pour les vider !
- Ce n’est pas le cas de cette catin ! Constatait Monsieur Walter, deux de ses doigts dans la chatte de soumise Estelle
Celle-ci gémissait, se tortillait dans tous les sens, exprimant son désir de jouir.
- Il va falloir tonifier et muscler ces parois beaucoup trop souples à mon goût, il va y avoir du travail, il va falloir que cette petite garce apprenne aussi à se taire, ce n’est pas parce qu’on la fouille qu’elle doit espérer jouir… Reprenait le Majordome.
Elle était affalée, cambrée, yeux fermés, bouche bée, sa langue sans cesse passait sur ses lèvres comme si elle était assoiffée, une soif terrible de désirs, de plaisirs… Elle gémissait, frissonnait, tremblait, sursautait à chaque fois que ces deux doigts s’engouffraient et se retiraient d’elle… Son jus coulait le long de ses cuisses largement écartées. Une véritable femelle en chaleur qui par la vision de la saillie de soumise Laïs avait excité fortement …
Chien docile, avec sa langue experte avait fait oublier les démangeaisons d’Endymion MDE. Sa queue était raide, dure et luisante de bave. Il la lapait goulument avec délectation, léchait ces petites gouttes nacrées s’échappant de cette bite turgescente. Avec le plat de sa langue il lui titillait les boules, les couilles de l’esclave frétillaient, il les humectait de sa salive, un petit jeu de bave de mouille et de glisse. La vision de ce gland brillant et la chaleur de cette bite attisait les sens de ce mâle… Mais lui ne pouvait pas bander. Sa queue enfermée était douloureusement comprimée. Chien docile gémissait, parfois sa main cherchait à caresser sa queue encagée…
- Ça suffit les deux cabots. Venez nettoyer les chiennes…
Ahmed s’était précipité, avait empoigné chien docile par son collier l’avait approché de la vulve de soumise Estelle et lui ordonnait de nettoyer ces souillures le long de ses cuisses. L’esclave Endymion MDE, lui, fut rapidement mis en contact avec le sexe de sa sœur de soumission Laïs MDE. Quel plaisir pour lui de retrouver ces sucs, ces odeurs intimes. A plusieurs reprises, il glissait sa langue dans les replis de cette chatte humide. Qu’il était heureux de retrouver celle qui lui avait tant manqué pendant son séjour outre atlantique. Endymion MDE la gratifiait et la saluait ainsi, lui exprimant son plaisir de ses retrouvailles. Il était tant absorbé par ce qu’il faisait et donnait qu’il lui fallut un certain temps pour entendre les cris de son compagnon de soumission chien docile. Pourtant il beuglait comme un veau… Le Maître lui assénait sur son cul des coups de badine…
- Pourquoi salope, as-tu cherché à te caresser la nouille, lorsque tu léchais celle de Mon esclave. Tu sais que tu ne dois pas le faire !
Les coups étaient cinglants, terribles, marquant et zébrant le cul de chien docile.
- T’ai-je commandé d’arrêter de lécher soumise Estelle, petite salope ?
Chien docile se faisait copieusement sermonner et douloureusement haranguer. Les quinze coups reçus le ramenaient rapidement à la raison. Il se prosterna devant les pieds du Maître, lui présentait ses plus humbles excuses et le remerciait de son Autorité tant il avait soif de soumission… Monsieur le Marquis alors le mit à la disposition d’Ahmed et Maximilien, pour décharger la voiture et installer confortablement, le nouveau Garde en chef du Château ! ...
(A suivre…)
Monsieur Walter était là, dans un habit impeccablement taillé et de bonne facture dans l’élégance même du strict domestique. Il était debout tout en haut du vaste perron en pierre du Château attendant Monsieur le Marquis. Derrière lui, la grande et massive double porte d’entrée en bois, vernie et sculptée. Partant sur chacun de ses côtés, sur les larges marches d’escaliers du perron du haut et en continuité jusqu’en bas de ces mêmes marches jusqu’aux graviers se tenaient agenouillés tout le cheptel du Noble soit au total, une cinquantaine d’esclaves tous dévoués corps et âme à leur Maître. Ils formaient ainsi tous ensemble une véritable haie d’honneur, en cette position de soumission sur leurs genoux et qui allait de pair avec leur tête baissée. Ils étaient nus, portant tous un collier avec pour les mâles une cage de chasteté et pour les femelles des pinces aux tétons munies d’une chaînette à leurs seins. Se tenaient aussi aux pieds du Majordome Walter, en laisse et nues, tenues à quatre pattes, reins cambrées, les deux femelles soumises les plus reconnues du cheptel puisque elles avaient l’honneur d’être titrées MDE. Les soumises Laïs MDE et Phryné MDE patientaient donc sagement, ne montrant ni leur excitation, ni leur plaisir sans borne de retrouver enfin leur Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Elles avaient appris, comme tous les soumis ici, à ne pas montrer leurs sentiments, leurs émotions, seul le devoir de fierté d’appartenir devait transparaitre. Leur tenue était irréprochable, altières, elles dévoilaient leur croupe, écartant légèrement leurs cuisses pour afficher ostensiblement leur intimité. Près d’elles, il y avait aussi, dans la même posture et tenue, un mâle soumis, celui qu’on appelait ici, chien docile qui se détachait un peu du haut de la haie d’honneur des autres esclaves.
Les pneus de la Ranger Rover crissaient sous le gravier très soigneusement ratissé. Monsieur le Majordome se précipita, entraînant avec lui les trois soumis, pour aller ouvrir la portière droite du véhicule et accueillir respectueusement Monsieur le Marquis.
- Ha ! Je suis si heureux de vous retrouver Monsieur le Marquis, soyez le bienvenu dans Votre Château.
- Mon cher Walter, bonjour mon vieil ami, comment vas-tu ? lui répondit le Maître dans une chaleureuse poignée de mains et sur un ton d’estime empli de considération amicale pour son Majordome.
Monsieur le Marquis ne fit pas cas de ses deux chiennes MDE et du mâle prosternés tous les trois, en levrette, à Ses Nobles Pieds. Il continua à converser tranquillement avec Son Majordome. Madame Marie, la cuisinière, embrassait chaleureusement Walter, on aurait dit deux frères et sœurs se retrouvant dans leur amicale accolade puis elle disparaissait rapidement. Ahmed et Maximilien étaient sortis eux aussi du véhicule, et maintenant Le Maître faisait les présentations.
- Voilà Maximilien lequel je viens de recruter, pour te seconder Mon cher Walter, car j’ai pleinement conscience des lourdes tâches qui t’incombent ici et que tu as donc vraiment besoin d’être épaulé.
- Bonjour Monsieur ! heureux de vous connaitre, fit Maximilien respectueusement, en tendant la main à Walter.
- Bonjour Maximilien, soyez le bienvenue ici en cette prestigieuse demeure.
- Je sais qu’entre vous les ‘Monsieurs’ ne dureront pas, tout comme le vouvoiement ! Et que vous deviendrez très vite deux amis et que naturellement le tutoiement deviendra une normalité ! répliqua le Noble
Pendant ce temps, Ahmed avait fait sortir soumise Estelle et Endymion MDE de leur cage, et les tenait par les cheveux pour les rapprocher des trois autres soumis toujours impeccablement galbés. Eux aussi se positionnèrent dans cette tenue provocante mais familière. Monsieur le Majordome alors en discussion avec le Maître marqua un temps d’arrêt en voyant Endymion MDE.
- Dites-moi, Monsieur le Marquis vous vous lancez dans l’élevage de porcs ?
L’esclave MDE était d’une saleté repoussante, tout son corps était couvert de boue, il puait…
- Ahmed et Maximilien, allez nettoyer ce chien MDE et sitôt propre, vous le ramènerez dans le grand salon. Ordonnait le Maître.
Endymion MDE était conduit dans les écuries du Château. Là à grandes eaux, il fut lavé, nettoyé, savonné, étrillé, brossé, frotté, aseptisé. Ce traitement énergique lui raviva quelques belles démangeaison à la suite de la séance d’orties peu avant son arrivée ici. Mais là n’était pas l’important, sitôt propre et sec, il regagna le Grand Salon. Dans cette fastueuse pièce richement meublée et décorée, Monsieur le Marquis était assis dans un petit fauteuil crapaud, avec toujours près de Lui, Laïs MDE et Phryné MDE, cette fois-ci affairées, à sucer la belle tige épaisse du Noble. En effet, Monsieur le Marquis avait baissé son pantalon aux chevilles, avait quitté ses chaussettes et chaussures et se laissait léchouiller ses testicules et pomper sa bite par Ses deux petites chiennes soumises. Chien docile, sa nouille enfermée dans une cage, se contentait de lui lécher les pieds. Monsieur Walter était à genoux devant la croupe de soumise Estelle. Il lui écartait ses lèvres intimes et examinait ses chairs cachées. Il releva les yeux en direction du Maître :
- Monsieur le Marquis, si je puis me permettre, vous n’êtes vraiment pas raisonnable… une chienne supplémentaire ! Ne croyez-vous pas qu’il n’y en a pas suffisamment ici ?
- Mon cher Walter, j’ai promis à un couple de vieux amis de m’occuper de leur soumise et de leur la rendre parfaitement dressée d’ici quelques mois, alors je compte aussi sur toi pour m’aider à ce dressage qui devra être parfait. Ma réputation est en jeu, alors on devra faire un travail impeccable afin de rendre cette chienne parfaitement comme elle doit devenir …
Il se tut un instant, posa de nouveau et attentivement son regard sur cette vulve.
- Aucun souci, vous savez bien que vous pouvez compter sur moi. .. Mais que sont ces cloques et boursouflures sur cette chatte et ce trou ?
- Rien de grave, mon cher Walter, simplement quelques frottements d’orties passés ici ou là. Répondit le Maître avec un sourire malicieux.
Le Noble interpella Son esclave d’un claquement de doigt. Endymion MDE approchait près de lui, tête baissée, bras croisés dans le dos. Monsieur le Marquis l’attrapa par sa nouille, la lui souleva, la lui retroussa, pour bien dégager son gland.
- Regarde Mon cher Walter, ce chien lui aussi à de beaux œdèmes sur sa queue, son gland et ses couilles. Ma grand-mère, la Marquis Angèle-Marie-Antoinette d’Evans me disait toujours qu’il n’y avait rien de mieux pour la circulation sanguine que des piqûres d’orties…
Walter palpait sans ménagement la bite et les burnes du chien MDE, puis ordonna à chien docile de venir lécher les génitaux d’Endymion MDE.
- La mienne, ma grand-mère disait, langue de chien vaut mieux que langue de médecin ! affirmait le Majordome en riant….
Maximilien croyait rêver, il n’imaginait pas un instant qu’un univers aussi vicieux et pervers puisse exister. Il regardait, avec de grands yeux, les deux dominants joués avec celles soumises et heureuses de l’être, il les entendait humilier ces mâles heureux d’être accablés et bafoués. Tout ça lui paraissait incroyable, il ne l’avait même pas imaginé, même pas en rêve… Evidemment son excitation était à son apogée, son jean déformé… Et visiblement, il ne regrettait absolument pas son nouvel emploi ! Son admiration envers l’univers de son patron ne cesser pas de s’accroître !
- Te plairait-il mon cher Maximilien de tester l’une de mes deux chiennes ! interrogeait le Maître.
Monsieur le Marquis n’était pas dupe, il ne lui laissa même pas le temps de répondre.
- Tiens, choisi celle que tu veux et prends là, à quatre pattes, là, devant nous…
Ce fut la soumise Laïs MDE qu’il sélectionna… La femelle soumise à regret laissa la queue du Maître, et s’installa au centre de la pièce à quatre pattes, reins parfaitement cambrés, vulve offerte, bouche entrouverte, alors que Maximilien tombait son jean. Sans prier garde, il lui planta son pieu ferme et droit dans la bouche et se fit pomper sauvagement. La langue de Laïs MDE s’enroulait, ses lèvres se refermaient sur ce mandrin de chair et glissait rapidement, elle lui titillait son gland, l’avalait, le recrachait, le faisait aller et venir en elle, enfonçait cette grosse queue le plus profondément possible, la branlant avec sa bouche, avec dextérité et envoûtement … Jamais Maximilien n’avait vécu une telle pipe… Il crut jouir au bout de deux minutes seulement. Il se retira rapidement pour éviter d’éjaculer trop vite. Il s’agenouilla derrière la chienne, posa son sexe baveux tout contre ses lèvres intimes et d’un coup de reins sauvage la pénétra sans plus attendre. Une dizaine de vifs et vigoureux allers-retours suffisait pour que Maximilien perde pied, Il jouissait comme jamais il n’avait joui, en râlant sauvagement tout en accentuant ses coups de boutoirs… Il s’effondrait sur le dos de la chienne soumise MDE, l’enserrant entre ses bras, gardant sa bite en elle en un profond coït, comme dépité de n’avoir pu se contenir plus longtemps. Pendant les brefs instants de ce coït, Laïs MDE était restée impassible, stoïque, simplement chaloupée par les quelques coups de reins sauvages. Elle n’avait pas sourcillé, même pas gémi, même pas laissé entrapercevoir le plaisir qui la submergeait. Ses chairs intimes s’étaient à chaque fois contractées, emprisonnant cette queue lorsqu’elle voulait s’échapper, ses muscles s’étaient relâchés pour libérer cette bite lorsque celle-ci voulait s’engouffrer dans les tréfonds de ses entrailles. Maximilien en nage, relevait enfin la tête :
- Oh Monsieur le Marquis, votre chienne MDE est une véritable machine à vider des couilles, tant avec sa bouche, qu’avec sa chatte…
Elle l’était, Monsieur le Marquis expliquait à Maximilien qu’elle avait été dressée et éduquée patiemment, longuement, pour satisfaire les hommes en rut, pour les soulager, pour les vider !
- Ce n’est pas le cas de cette catin ! Constatait Monsieur Walter, deux de ses doigts dans la chatte de soumise Estelle
Celle-ci gémissait, se tortillait dans tous les sens, exprimant son désir de jouir.
- Il va falloir tonifier et muscler ces parois beaucoup trop souples à mon goût, il va y avoir du travail, il va falloir que cette petite garce apprenne aussi à se taire, ce n’est pas parce qu’on la fouille qu’elle doit espérer jouir… Reprenait le Majordome.
Elle était affalée, cambrée, yeux fermés, bouche bée, sa langue sans cesse passait sur ses lèvres comme si elle était assoiffée, une soif terrible de désirs, de plaisirs… Elle gémissait, frissonnait, tremblait, sursautait à chaque fois que ces deux doigts s’engouffraient et se retiraient d’elle… Son jus coulait le long de ses cuisses largement écartées. Une véritable femelle en chaleur qui par la vision de la saillie de soumise Laïs avait excité fortement …
Chien docile, avec sa langue experte avait fait oublier les démangeaisons d’Endymion MDE. Sa queue était raide, dure et luisante de bave. Il la lapait goulument avec délectation, léchait ces petites gouttes nacrées s’échappant de cette bite turgescente. Avec le plat de sa langue il lui titillait les boules, les couilles de l’esclave frétillaient, il les humectait de sa salive, un petit jeu de bave de mouille et de glisse. La vision de ce gland brillant et la chaleur de cette bite attisait les sens de ce mâle… Mais lui ne pouvait pas bander. Sa queue enfermée était douloureusement comprimée. Chien docile gémissait, parfois sa main cherchait à caresser sa queue encagée…
- Ça suffit les deux cabots. Venez nettoyer les chiennes…
Ahmed s’était précipité, avait empoigné chien docile par son collier l’avait approché de la vulve de soumise Estelle et lui ordonnait de nettoyer ces souillures le long de ses cuisses. L’esclave Endymion MDE, lui, fut rapidement mis en contact avec le sexe de sa sœur de soumission Laïs MDE. Quel plaisir pour lui de retrouver ces sucs, ces odeurs intimes. A plusieurs reprises, il glissait sa langue dans les replis de cette chatte humide. Qu’il était heureux de retrouver celle qui lui avait tant manqué pendant son séjour outre atlantique. Endymion MDE la gratifiait et la saluait ainsi, lui exprimant son plaisir de ses retrouvailles. Il était tant absorbé par ce qu’il faisait et donnait qu’il lui fallut un certain temps pour entendre les cris de son compagnon de soumission chien docile. Pourtant il beuglait comme un veau… Le Maître lui assénait sur son cul des coups de badine…
- Pourquoi salope, as-tu cherché à te caresser la nouille, lorsque tu léchais celle de Mon esclave. Tu sais que tu ne dois pas le faire !
Les coups étaient cinglants, terribles, marquant et zébrant le cul de chien docile.
- T’ai-je commandé d’arrêter de lécher soumise Estelle, petite salope ?
Chien docile se faisait copieusement sermonner et douloureusement haranguer. Les quinze coups reçus le ramenaient rapidement à la raison. Il se prosterna devant les pieds du Maître, lui présentait ses plus humbles excuses et le remerciait de son Autorité tant il avait soif de soumission… Monsieur le Marquis alors le mit à la disposition d’Ahmed et Maximilien, pour décharger la voiture et installer confortablement, le nouveau Garde en chef du Château ! ...
(A suivre…)
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