La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 686)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 353 591 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 1 658 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 686)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°680) - Le retour de David au Château -
Le dîner était terminé, l’esclave Endymion MDE avait été libéré des accessoires ornant son corps et principalement ceux le pénétrant puis il avait été entrainé à quatre pattes, tenu en laisse par Monsieur le Marquis jusqu’au petit salon, jouxtant la salle à manger. Mademoiselle Lucie et Monsieur Julien, comme d’ailleurs Madame Marie, étaient partis quelques instants se rafraichir, eux allaient revenir sous peu, seul Monsieur le Majordome, Walter, avait pris congé pour s’occuper du restant du Cheptel, en compagnie du nouveau Garde en Chef, le sieur Maximilien. Juste avant de regagner le petit salon, le téléphone portable de Monsieur le Marquis sonna. En voyant apparaitre le nom de son interlocuteur s’afficher, le Noble eut un large sourire radieux et il ne put s’empêcher de dire à haute voix « Oh, c’est lui ! … yes ! » Il décrocha en hâte :
- Ho, c’est toi ! Quelle belle surprise ! Comment vas-tu ?
- ………..
- Mais c’est une excellente idée, et tu peux être là sous peu ?
- ……….
- Tu es en train de me dire que tu es devant le portail ?
- ……….
- Très bien, je vais donc t’ouvrir le portail électrique … arrives … à tout de suite…
Le Maître raccrocha et fit demi-tour entrainant Son esclave toujours à Ses pieds. D’un pas pressé et enjoué, le Maître tirait sur la laisse et emmena Son chien soumis jusqu’à la double-porte d’entrée dans le grand hall. Là il appuya sur le bouton à-côté de l’interphone vidéo, ce qui enclencha l’ouverture automatique du portail situé tout au fond de l’allée centrale et de l’immense parc, puis il franchit la lourde double-porte pour aller à l’extérieur sur le perron du Château, tout en ordonnant à son esclave de se dépêcher… Les pneus d’une grosse Mercédès noire crissaient sur les graviers, un jeune homme, trente-cinq ans environ, élégamment vêtu, sortait du véhicule et se précipitait vers Monsieur le Marquis d’Evans, montant quatre à quatre les quelques escaliers donnant sur le Perron de l’ancestrale Demeure. Monsieur le Marquis lâcha la laisse de son chien soumis, ouvrait grand ses bras. L’homme se lova tout contre le Noble en lui donnant un long baiser sur la bouche suivit d’une étreinte amoureuse ponctué un tendre enlacement. Endymion MDE restait parfaitement immobile, ses lombes bien cambrées attendant qu’un nouvel ordre lui soit donné.
- Ho, mon David ! comme ton absence m’a manqué, mon Cher David !
- La solitude, ne pas pouvoir te voir comme je l’aurai souhaité m’a véritablement éprouvé. J’ai vécu cette absence comme une longue attente douloureuse. Etre sans les autres lorsque ce sont les autres qui éclairent toute notre conscience, nous réduit à souffrir sans cesse de l’ennui et de la langueur du manque…! lui répondit David d’une voix douce, amoureuse et très sensuelle.
Monsieur le Marquis embrassait encore la bouche de celui qui était son compagnon intime dans sa vie privée, depuis plus de dix années. David était le fils unique d’une grande famille bourgeoise Lyonnaise. Très brillant, d’une intelligence rare, vraiment cultivé, c’était un grand littéraire issu des grandes écoles. Il était devenu un grand avocat au barreau de Lyon et de surcroit il était un passionné de psychologie et philosophie. Il était du genre à dévorer un livre de 500 pages en une petite nuit ! C’était aussi un passionné d’Art et de Grande Musique classique aussi. Bien que d’allure virile, il avait une part de féminité en lui avec une attitude quelque peu maniérée. A l’évidence, on pouvait constater un puissant amour sans faille pour le Noble et la réciprocité était aussi une évidence à voir comme ils s’embrassaient passionnément.
- Souvent j’ai pensé à toi, j’imaginais te regarder et mon désir approchait, léger, entre ma tête et mon sexe. Rien encore ne bougeait, ni ne gonflait, sinon le peut-être d’une promesse rieuse. J’avais envie d’être près de toi, de me sentir en éveil. Pendant cette absence, bien souvent mon désir voulait rencontrer le tien, s’en assurer. J’imaginai mes mains glisser sur toi à loisir, te redessiner, te sculpter, te voir frémir. Je n’en pouvais plus, mes lèvres cherchant ton cou, mes joues les recoins soyeux de ta peau. J’avais envie que tu m’investisses, que tu entres en moi, tantôt en douceur, pour savourer chaque millimètre, tantôt d’un coup, comme aimanté… Comme je suis content d’être là, tout contre toi, viens, emmène-moi, accompagne moi ! Chuchotait David
Monsieur le Marquis attrapa la main de David, leurs doigts s’accrochèrent et se serrèrent entre eux. Le Noble se pencha et pour attraper la laisse d’Endymion MDE.
- Oh, le petit chien-chien soumis que voila ! Je ne t’avais point encore vu ! dit David en s’accroupissant devant le visage de l’esclave MDE.
De sa main libre, il lui caressa longuement les cheveux, les joues, ces doigts fins effleuraient les lèvres d’Endymion MDE. Ces quelques caresses sensuelles avaient mis en émoi les sens d’Endymion MDE, sa queue s’était subitement redressée, un fin filet de mouille s’en échappait... La laisse se tendit subitement, David et Monsieur le Marquis, main dans la main entrèrent dans le Château, entrainant derrière eux, toujours à quatre pattes l’esclave MDE. Ils regagnèrent le petit salon ou étaient installés ceux qui avaient dîné avec le Maître. David était évidemment connu, Madame Marie et Mademoiselle Lucie l’embrassèrent affectueusement, Monsieur Julien, lui, un peu en retrait, s’approcha et lui serra la main.
- Marie, peux-tu nous servir un bon et bel Armagnac ! Dictait le Maître.
Le Maître s’était assis sur un canapé, tout près de David et avait ordonné à Endymion MDE de se positionner en levrette devant lui. Sitôt dans la position requise, l’esclave MDE sentit des pieds se poser sur son dos. Ce lourd fardeau, le fit se plier un peu plus encore, ses épaules touchaient terre alors que son cul était relevé et parfaitement cambré. Les quatre Dominants et David dégustèrent ce vieil armagnac en discutant de tout et de rien pendant un long moment. Le discours riche de vocabulaire de David était toujours aussi fluide, élégant, raffiné et choyé, il semblait toujours réfléchir avant de parler, se taisait entre deux phrases, puis reprenait la parole en des termes choisis, avec le verbe parfaitement érudit et adapté. A l’évidence, il devait exceller dans ses plaidoiries d’avocat !
- Ma chère Lucie, ce soir je vais te confier cette petite salope ! Dit le Maître en reprenant la main de David, tout en donnant un coup de talon contre l’omoplate d’Endymion MDE, comme pour lui faire comprendre qu’on parlait bien de lui.
- Merci Papounet ! Lui répondit-elle, telle une petite fille bien sage…
La petite fille bien sage ne l’était pas tant que ça, aussitôt elle s’intéressait aux burnes de l’esclave MDE, celles-ci étaient à portée de ses mains. Elle les lui attrapa sauvagement et les lui tirait vers l’arrière, les remontant tout contre sa raie. Le chien ne pipait mot, il serrait les dents pour ne pas gémir tant la pression lui était douloureuse…
- J’ai bien l’intention de m’amuser avec ce sac à foutre de ce clébard… Reprit-elle beaucoup plus vicieusement.
Et c’était ainsi qu’elle fit sortir de ce salon Endymion MDE, le tenant sévèrement et fermement, le faisant marcher à reculons. Elle et Monsieur Julien l’emmenèrent dans un lieu bien connu de tous les soumis et soumises vivants au Château, une salle spécialisée pour les entrainements bien particuliers. Perverse et sévère comme l’est sa mère, et d’une parfaite maitrise comme l’est Monsieur le Marquis, son père. Elle exigea que l’esclave MDE se tienne incliné, mains en appui sur un établi, le cul tendu, les reins creusés, les cuisses écartées. Elle lui montra un gros plug, qu’elle venait de choisir parmi une multitude d’autres.
- Tu vois l’engin le chien, ton cul de salope va devoir l’avaler entièrement. Je te conseille de bien te détendre pour faciliter la pénétration, car de gré ou de force je vais te l’enfoncer entièrement dans ton cul de putain.
Ces mots humiliants permirent à la nouille d’Endymion MDE de s’épanouir. Elle arborait de nouveau une solide et ferme érection, malgré la dimension effrayante de ce volumineux plug.
- Tu es une grosse catin, une vraie grosse salope, comme jamais j’ai vu ! Annonçait Monsieur Julien en lui donnant deux claques sur son cul.
Il tâtait la nouille de l’esclave MDE, testait sa fermeté, alors que deux doigts imprégnés de gel lubrifiant, ceux de Mademoiselle Lucie, glissait dans son cul.
- Détends-toi, t’ai-je ordonné ! exigeait Mademoiselle Lucie
Ces doigts agiles et fins glissaient et exploraient l’intimité de l’esclave, tournoyaient dans cette cavité humide et chaude, fourrageait ce trou, le trifouillaient, ressortaient et pénétraient encore jusqu’au moment où l’esclave MDE sentit le gode englué de lubrifiant pointer tout contre sa pastille. La pression exercée sur l’objet était plus que déterminé, son trou ployait et cédait, s’écartait et se pliait aux exigences de cette douloureuse mais tout autant délicieuse et large pénétration.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis d’Evans installé confortablement dans son immense lit à baldaquin, faisait glisser ses mains contre le corps nu de David. Le Maître sentait une heureuse tension intérieure monter d’un cran. Il semblait tester et vérifier la fermeté de ses cuisses, ou la courbe de ses reins. Le corps de David se tendait, les bras du Maître l’enserrait, sa poitrine contre la sienne, ses jambes en contact avec celles de David. Leur plaisir était avant tout ce désir réciproque, plus que telle ou telle sensation précise d’épiderme, c’était l’envie de s’accoupler… Tous les gestes tendres du Maître emmenait David, lui les yeux clos espérait… Les caresses du Noble, en le touchant, le caressant, en le pressant de mille manières, en lui mordillant bouche, en effleurant ses lèvres, en le bouleversant mettait David en transe, son être tout entier en ébullition…. Mais le Maître voulait attendre pour mieux l’emplir de cette force que David souhaitait et stimulait d’un soupir, d’un regard complice, d’un sourire confiant. Les yeux de Monsieur le Marquis se fermaient pour mieux voir David de l’intérieur, il le connaissant tant et pourtant à chaque fois il avait l’impression de le découvrir. Mais le désir était trop fort… Alors le Noble maintenant allait et venait, bien au chaud de David, il prenait les commandes, amplifiait les mouvements, accélérait le rythmes, frappait comme la houle d’équinoxe. Il l’empoignait, le courbait, le retournait, l’ouvrait plus encore, comme pour tout savoir de Lui, pour repousser plus loin son point extrême. Allaient-ils sauter dans le ciel ensemble ? Non, pas encore, c’était trop bon, il fallait rebondir, il restait tant à découvrir…
Dans une autre pièce du Château, pour Endymion MDE les choses étaient bien différentes, cet énorme plug avait bien du mal à s’insérer en lui, il geignait et gémissait, implorait même qu’on l’encule d’un gode plus étroit. Pourtant sa queue bandait toujours plus… Pour toute réponse et pour étouffer ses plaintes et ses lamentations, Monsieur Julien s’était assis sur l’établi entre ses bras tendus et lui avait enfilé sa longue et large bite en fond de gorge…
- Ecarte-toi et offre-toi encore un peu, plus que deux centimètres et ce plug investira totalement ton trou de lope ! ordonnait Mademoiselle Lucie, comme pour encourager l’esclave MDE.
Et ces encouragements humiliant furent bénéfiques, avec un double effet, l’objet était enfin entré tout entier, tenant les sphincters intimes d’Endymion MDE largement écartés et dilatés, sa bite était parfaitement raide et droite et perlait à grosses gouttes.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis d’Evans et son amant avaient perdu toute notion d’heure, de fatigue, toutes ces contraintes qui appartiennent à la vie. Quelques chose de diffus amollissait la nuque du Noble, réchauffait sa peau, adoucissait ses épaules, alanguissait ses jambes, humidifiait les paumes de ses mains, ses aisselles, mais durcissait son Noble sexe. David venait de s’assoir à califourchon sur l’une des cuisses de Monsieur le Marquis et empoignait ce membre brulant, sa langue effleurait ce gland turgescent. La main du Maître caressait son dos d’un lent mouvement et cette main s’aventurait jusqu’à ces poils doux comme une herbe jeune qui tapissaient sa raie anale. Mais tout d’un coup tout se bousculait, Monsieur le Marquis reprenait la situation en main allongeant David sur le lit. Sa langue remontait sur l’épaule jusqu’à l’oreille de David. Il lui susurrait des mots usés et adorables impulsant une fougue nouvelle. David renversé sur le dos se laissait faire, ses gestes ne lui appartenaient plus. Ils s’enchainaient, évidents, incontrôlés, et ses yeux se fermaient afin qu’il soit mieux présent à cette houle qui s’emparait de lui. Il sentait son corps oublier toute maitrise, il se laissait fouiller avec un évident plaisir, se laissait pénétré par un puissant courant brulant et moite qui les tissait l’un à l’autre, espérant et l’un et l’autre cette explosion de la jouissance qui anéantirait leur désir… C’est dans cette extase de plaisirs charnels qu’ils firent l’amour toute la nuit, jusqu’à la prochaine fois !
(A suivre…)
Le dîner était terminé, l’esclave Endymion MDE avait été libéré des accessoires ornant son corps et principalement ceux le pénétrant puis il avait été entrainé à quatre pattes, tenu en laisse par Monsieur le Marquis jusqu’au petit salon, jouxtant la salle à manger. Mademoiselle Lucie et Monsieur Julien, comme d’ailleurs Madame Marie, étaient partis quelques instants se rafraichir, eux allaient revenir sous peu, seul Monsieur le Majordome, Walter, avait pris congé pour s’occuper du restant du Cheptel, en compagnie du nouveau Garde en Chef, le sieur Maximilien. Juste avant de regagner le petit salon, le téléphone portable de Monsieur le Marquis sonna. En voyant apparaitre le nom de son interlocuteur s’afficher, le Noble eut un large sourire radieux et il ne put s’empêcher de dire à haute voix « Oh, c’est lui ! … yes ! » Il décrocha en hâte :
- Ho, c’est toi ! Quelle belle surprise ! Comment vas-tu ?
- ………..
- Mais c’est une excellente idée, et tu peux être là sous peu ?
- ……….
- Tu es en train de me dire que tu es devant le portail ?
- ……….
- Très bien, je vais donc t’ouvrir le portail électrique … arrives … à tout de suite…
Le Maître raccrocha et fit demi-tour entrainant Son esclave toujours à Ses pieds. D’un pas pressé et enjoué, le Maître tirait sur la laisse et emmena Son chien soumis jusqu’à la double-porte d’entrée dans le grand hall. Là il appuya sur le bouton à-côté de l’interphone vidéo, ce qui enclencha l’ouverture automatique du portail situé tout au fond de l’allée centrale et de l’immense parc, puis il franchit la lourde double-porte pour aller à l’extérieur sur le perron du Château, tout en ordonnant à son esclave de se dépêcher… Les pneus d’une grosse Mercédès noire crissaient sur les graviers, un jeune homme, trente-cinq ans environ, élégamment vêtu, sortait du véhicule et se précipitait vers Monsieur le Marquis d’Evans, montant quatre à quatre les quelques escaliers donnant sur le Perron de l’ancestrale Demeure. Monsieur le Marquis lâcha la laisse de son chien soumis, ouvrait grand ses bras. L’homme se lova tout contre le Noble en lui donnant un long baiser sur la bouche suivit d’une étreinte amoureuse ponctué un tendre enlacement. Endymion MDE restait parfaitement immobile, ses lombes bien cambrées attendant qu’un nouvel ordre lui soit donné.
- Ho, mon David ! comme ton absence m’a manqué, mon Cher David !
- La solitude, ne pas pouvoir te voir comme je l’aurai souhaité m’a véritablement éprouvé. J’ai vécu cette absence comme une longue attente douloureuse. Etre sans les autres lorsque ce sont les autres qui éclairent toute notre conscience, nous réduit à souffrir sans cesse de l’ennui et de la langueur du manque…! lui répondit David d’une voix douce, amoureuse et très sensuelle.
Monsieur le Marquis embrassait encore la bouche de celui qui était son compagnon intime dans sa vie privée, depuis plus de dix années. David était le fils unique d’une grande famille bourgeoise Lyonnaise. Très brillant, d’une intelligence rare, vraiment cultivé, c’était un grand littéraire issu des grandes écoles. Il était devenu un grand avocat au barreau de Lyon et de surcroit il était un passionné de psychologie et philosophie. Il était du genre à dévorer un livre de 500 pages en une petite nuit ! C’était aussi un passionné d’Art et de Grande Musique classique aussi. Bien que d’allure virile, il avait une part de féminité en lui avec une attitude quelque peu maniérée. A l’évidence, on pouvait constater un puissant amour sans faille pour le Noble et la réciprocité était aussi une évidence à voir comme ils s’embrassaient passionnément.
- Souvent j’ai pensé à toi, j’imaginais te regarder et mon désir approchait, léger, entre ma tête et mon sexe. Rien encore ne bougeait, ni ne gonflait, sinon le peut-être d’une promesse rieuse. J’avais envie d’être près de toi, de me sentir en éveil. Pendant cette absence, bien souvent mon désir voulait rencontrer le tien, s’en assurer. J’imaginai mes mains glisser sur toi à loisir, te redessiner, te sculpter, te voir frémir. Je n’en pouvais plus, mes lèvres cherchant ton cou, mes joues les recoins soyeux de ta peau. J’avais envie que tu m’investisses, que tu entres en moi, tantôt en douceur, pour savourer chaque millimètre, tantôt d’un coup, comme aimanté… Comme je suis content d’être là, tout contre toi, viens, emmène-moi, accompagne moi ! Chuchotait David
Monsieur le Marquis attrapa la main de David, leurs doigts s’accrochèrent et se serrèrent entre eux. Le Noble se pencha et pour attraper la laisse d’Endymion MDE.
- Oh, le petit chien-chien soumis que voila ! Je ne t’avais point encore vu ! dit David en s’accroupissant devant le visage de l’esclave MDE.
De sa main libre, il lui caressa longuement les cheveux, les joues, ces doigts fins effleuraient les lèvres d’Endymion MDE. Ces quelques caresses sensuelles avaient mis en émoi les sens d’Endymion MDE, sa queue s’était subitement redressée, un fin filet de mouille s’en échappait... La laisse se tendit subitement, David et Monsieur le Marquis, main dans la main entrèrent dans le Château, entrainant derrière eux, toujours à quatre pattes l’esclave MDE. Ils regagnèrent le petit salon ou étaient installés ceux qui avaient dîné avec le Maître. David était évidemment connu, Madame Marie et Mademoiselle Lucie l’embrassèrent affectueusement, Monsieur Julien, lui, un peu en retrait, s’approcha et lui serra la main.
- Marie, peux-tu nous servir un bon et bel Armagnac ! Dictait le Maître.
Le Maître s’était assis sur un canapé, tout près de David et avait ordonné à Endymion MDE de se positionner en levrette devant lui. Sitôt dans la position requise, l’esclave MDE sentit des pieds se poser sur son dos. Ce lourd fardeau, le fit se plier un peu plus encore, ses épaules touchaient terre alors que son cul était relevé et parfaitement cambré. Les quatre Dominants et David dégustèrent ce vieil armagnac en discutant de tout et de rien pendant un long moment. Le discours riche de vocabulaire de David était toujours aussi fluide, élégant, raffiné et choyé, il semblait toujours réfléchir avant de parler, se taisait entre deux phrases, puis reprenait la parole en des termes choisis, avec le verbe parfaitement érudit et adapté. A l’évidence, il devait exceller dans ses plaidoiries d’avocat !
- Ma chère Lucie, ce soir je vais te confier cette petite salope ! Dit le Maître en reprenant la main de David, tout en donnant un coup de talon contre l’omoplate d’Endymion MDE, comme pour lui faire comprendre qu’on parlait bien de lui.
- Merci Papounet ! Lui répondit-elle, telle une petite fille bien sage…
La petite fille bien sage ne l’était pas tant que ça, aussitôt elle s’intéressait aux burnes de l’esclave MDE, celles-ci étaient à portée de ses mains. Elle les lui attrapa sauvagement et les lui tirait vers l’arrière, les remontant tout contre sa raie. Le chien ne pipait mot, il serrait les dents pour ne pas gémir tant la pression lui était douloureuse…
- J’ai bien l’intention de m’amuser avec ce sac à foutre de ce clébard… Reprit-elle beaucoup plus vicieusement.
Et c’était ainsi qu’elle fit sortir de ce salon Endymion MDE, le tenant sévèrement et fermement, le faisant marcher à reculons. Elle et Monsieur Julien l’emmenèrent dans un lieu bien connu de tous les soumis et soumises vivants au Château, une salle spécialisée pour les entrainements bien particuliers. Perverse et sévère comme l’est sa mère, et d’une parfaite maitrise comme l’est Monsieur le Marquis, son père. Elle exigea que l’esclave MDE se tienne incliné, mains en appui sur un établi, le cul tendu, les reins creusés, les cuisses écartées. Elle lui montra un gros plug, qu’elle venait de choisir parmi une multitude d’autres.
- Tu vois l’engin le chien, ton cul de salope va devoir l’avaler entièrement. Je te conseille de bien te détendre pour faciliter la pénétration, car de gré ou de force je vais te l’enfoncer entièrement dans ton cul de putain.
Ces mots humiliants permirent à la nouille d’Endymion MDE de s’épanouir. Elle arborait de nouveau une solide et ferme érection, malgré la dimension effrayante de ce volumineux plug.
- Tu es une grosse catin, une vraie grosse salope, comme jamais j’ai vu ! Annonçait Monsieur Julien en lui donnant deux claques sur son cul.
Il tâtait la nouille de l’esclave MDE, testait sa fermeté, alors que deux doigts imprégnés de gel lubrifiant, ceux de Mademoiselle Lucie, glissait dans son cul.
- Détends-toi, t’ai-je ordonné ! exigeait Mademoiselle Lucie
Ces doigts agiles et fins glissaient et exploraient l’intimité de l’esclave, tournoyaient dans cette cavité humide et chaude, fourrageait ce trou, le trifouillaient, ressortaient et pénétraient encore jusqu’au moment où l’esclave MDE sentit le gode englué de lubrifiant pointer tout contre sa pastille. La pression exercée sur l’objet était plus que déterminé, son trou ployait et cédait, s’écartait et se pliait aux exigences de cette douloureuse mais tout autant délicieuse et large pénétration.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis d’Evans installé confortablement dans son immense lit à baldaquin, faisait glisser ses mains contre le corps nu de David. Le Maître sentait une heureuse tension intérieure monter d’un cran. Il semblait tester et vérifier la fermeté de ses cuisses, ou la courbe de ses reins. Le corps de David se tendait, les bras du Maître l’enserrait, sa poitrine contre la sienne, ses jambes en contact avec celles de David. Leur plaisir était avant tout ce désir réciproque, plus que telle ou telle sensation précise d’épiderme, c’était l’envie de s’accoupler… Tous les gestes tendres du Maître emmenait David, lui les yeux clos espérait… Les caresses du Noble, en le touchant, le caressant, en le pressant de mille manières, en lui mordillant bouche, en effleurant ses lèvres, en le bouleversant mettait David en transe, son être tout entier en ébullition…. Mais le Maître voulait attendre pour mieux l’emplir de cette force que David souhaitait et stimulait d’un soupir, d’un regard complice, d’un sourire confiant. Les yeux de Monsieur le Marquis se fermaient pour mieux voir David de l’intérieur, il le connaissant tant et pourtant à chaque fois il avait l’impression de le découvrir. Mais le désir était trop fort… Alors le Noble maintenant allait et venait, bien au chaud de David, il prenait les commandes, amplifiait les mouvements, accélérait le rythmes, frappait comme la houle d’équinoxe. Il l’empoignait, le courbait, le retournait, l’ouvrait plus encore, comme pour tout savoir de Lui, pour repousser plus loin son point extrême. Allaient-ils sauter dans le ciel ensemble ? Non, pas encore, c’était trop bon, il fallait rebondir, il restait tant à découvrir…
Dans une autre pièce du Château, pour Endymion MDE les choses étaient bien différentes, cet énorme plug avait bien du mal à s’insérer en lui, il geignait et gémissait, implorait même qu’on l’encule d’un gode plus étroit. Pourtant sa queue bandait toujours plus… Pour toute réponse et pour étouffer ses plaintes et ses lamentations, Monsieur Julien s’était assis sur l’établi entre ses bras tendus et lui avait enfilé sa longue et large bite en fond de gorge…
- Ecarte-toi et offre-toi encore un peu, plus que deux centimètres et ce plug investira totalement ton trou de lope ! ordonnait Mademoiselle Lucie, comme pour encourager l’esclave MDE.
Et ces encouragements humiliant furent bénéfiques, avec un double effet, l’objet était enfin entré tout entier, tenant les sphincters intimes d’Endymion MDE largement écartés et dilatés, sa bite était parfaitement raide et droite et perlait à grosses gouttes.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis d’Evans et son amant avaient perdu toute notion d’heure, de fatigue, toutes ces contraintes qui appartiennent à la vie. Quelques chose de diffus amollissait la nuque du Noble, réchauffait sa peau, adoucissait ses épaules, alanguissait ses jambes, humidifiait les paumes de ses mains, ses aisselles, mais durcissait son Noble sexe. David venait de s’assoir à califourchon sur l’une des cuisses de Monsieur le Marquis et empoignait ce membre brulant, sa langue effleurait ce gland turgescent. La main du Maître caressait son dos d’un lent mouvement et cette main s’aventurait jusqu’à ces poils doux comme une herbe jeune qui tapissaient sa raie anale. Mais tout d’un coup tout se bousculait, Monsieur le Marquis reprenait la situation en main allongeant David sur le lit. Sa langue remontait sur l’épaule jusqu’à l’oreille de David. Il lui susurrait des mots usés et adorables impulsant une fougue nouvelle. David renversé sur le dos se laissait faire, ses gestes ne lui appartenaient plus. Ils s’enchainaient, évidents, incontrôlés, et ses yeux se fermaient afin qu’il soit mieux présent à cette houle qui s’emparait de lui. Il sentait son corps oublier toute maitrise, il se laissait fouiller avec un évident plaisir, se laissait pénétré par un puissant courant brulant et moite qui les tissait l’un à l’autre, espérant et l’un et l’autre cette explosion de la jouissance qui anéantirait leur désir… C’est dans cette extase de plaisirs charnels qu’ils firent l’amour toute la nuit, jusqu’à la prochaine fois !
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...