La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 691)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 691)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°688) - Epreuve d'endurance -
Endymion MDE ne se préoccupait plus de ceux discutant, il était tout entier accaparer par ce qu’il faisait. Sa langue avide glissait sur ces Nobles chaussures. Combien il était heureux d’être récompensé d’une telle manière. Il aimait se retrouver aux pieds du Maître, se sentir si bas près de Celui qu’il vénérait tant. Il humidifiait cette chaussure de sa salive avec dévotion et admiration. A qu’il était bon pour lui de se voir prosterner ainsi, fier d’être réduit à moins que rien, devant un public ne faisant même pas cas de lui… A peine sentit-il, qu’on lui dégrafait le zip de cette combinaison, cette main douce glissant entre le tissu de ce vêtement et son fessier rebondi ! Il était plongé dans des ressentis tellement extraordinaires… Son cul pourtant avait été mis à nu, une main délicate avait attrapé ses génitaux pour les extirper et les exposer contre cette toile bleue et rêche. Un doigt glissait sur sa raie imberbe, s’arrêtait parfois contre son anneau, ou dessinait quelques cercles tout autour de son anus…
- Tu es beaucoup plus joli ainsi petit chien, avec ton membre tendu et exposé !
Evidemment Endymion MDE avait reconnu la voix de celui qui lui causait. David était arrivé sur ces entrefaites, accompagné de Monsieur Julien et de Mademoiselle Lucie. Ces deux derniers discutaient avec Jacques le charpentier, ami d’enfance du Maître. L’esclave MDE ne les avait pas entendu arrivés tant il était absorbé par cette Vénération et Dévotion, lui procurant un tel bien être. David s’amusait avec ses couilles, les caressait délicatement, ses doigts effleuraient son périnée glabre. Ses mains écartaient les lobes fessiers dégageant largement son petit trou de lope. Un liquide blanchâtre s’en échappait, tant il avait été dosé par le foutre de Monsieur Jacques. David de son index récoltait ce surplus de sperme et le réintroduisait lentement dans cette cavité sombre et dilatée.
- Garde ses protéines en toi petit chien, nourris-toi d’elles, absorbe-les, avale-les par ton petit trou !
Ce David était d’une délicatesse et douce perversion. Perversion toujours raffinée, réfléchie et parfaitement maîtrisée par le choix de ses mots souvent poétiques mais aussi par le choix de chacun de ses gestes efféminées tout en douceur, car visiblement il aimait les esclaves comme un être humain aime les animaux, il les cajolait, caressait et jouait avec cela et toujours avec une judicieuse intelligence et approche délicatement perverse. Il avait un style bien différent de celui habituellement utilisé en ces lieux, mais ses affables et aimables attentions produisaient un effet incroyable sur celui toujours prosterné et dévoué. Quand soudainement, une main plus ferme se resserrait sur ses couilles, en aucune manière se ne pouvait être celle de David. Des ongles pénétraient ses chairs délicates. On tirait sur ses burnes avec une poigne rigoureuse, l’obligeant à se relever sur ses jambes. Une main lui tenait la tête tout contre les chaussures du Noble.
- Lèche, salope, continue, montre nous ton adoration au Maître !
Le cul haut, la tête au sol, l’esclave MDE cherchait son souffle. Mademoiselle Lucie accroupie, le tenait la tête appuyée alors que Monsieur Julien lui tirait les couilles sans se préoccuper des plaintes d’Endymion MDE.
- Tiens David, peux-tu lui nouer les couilles s’il te plait, bien fermement.
Mademoiselle Lucie tendait un cordage en coton épais, David en deux temps trois mouvements nouait le lien tout autour des burnes cramoisies de l’esclave MDE, mais sans aucune brusquerie, rapide nouage efficace et tout en douceur …
- Nous allons pouvoir tester le nouveau palan installé ! annonçait le Maître.
Placé juste dessous, on installa à quatre pattes Endymion MDE, cul contre une lourde et imposante chaine venant du palan, sur laquelle on noua l’extrémité du cordage relié aux burnes d’Endymion MDE. Monsieur le Marquis attrapait la commande électrique du treuil et faisait remonter lentement la chaine entrainant et tirant vers le haut les couilles de l’esclave MDE.
- Oh putain, tu vas le pendre par les couilles ! Interrogeait Monsieur Jacques comme paniqué.
Le Maître souriait, un sourire tranquillement pervers.
- Non ne t’inquiète pas mon cher Jacques, il va pouvoir garder ses appuis au sol. Je vais le soulever ainsi jusqu’à ce que la pointe de ses pieds effleure le béton. Ses mains lui serviront de soutien, à moins qu’il en décide autrement… ah ah ah ! S’esclaffait Monsieur le Marquis !
Arque bouté, dans une situation plus qu’inconfortable Endymion MDE ne brillait guère. Tout son poids ou presque était tenu par ses membres supérieurs, ses couilles étaient étirées vers le haut…
- Quelle torture lui imposes-tu, j'ai mal à mes couilles en le voyant suspendu ainsi ! reprenait Monsieur Jacques en ironisant…
- Allons allons, Jacques, ce n’est point une torture… n’oublie pas que pour Mes esclaves masochistes, ils ne sont pas comme nous, leur excitation passe par la douleur, il faut sans cesse exacerber leur masochisme pour qu’il puisse prendre leur pied… Tiens d’ailleurs, regarde sa nouille, n’est-elle pas raide et drue ?
- Oh que diable, tu as raison, il bande comme un cerf en rut ce chien…
Les ongles de Mademoiselle Lucie griffaient cette hampe de chair tendue, provoquant une douce complainte de l’esclave…
- Bon, laissons-le un bon quart d’heure ainsi, et allons boire un verre tous ensemble ! Décidait le Maître.
Tous quittèrent les lieux, sauf un, David ! Il avait obtenu l’accord de son amant pour observer l’endurance d’Endymion MDE. En effet il s’intéressait de près au développement de l’endurance, travaillait sur cette question et préparait même une thèse philosophique sur le thème précisément ‘’L’esprit est-il plus fort que le corps, concernant l’endurance ?’’. Il était convaincu que certains considéraient l’endurance comme des efforts d’intensité maximale, alors que certaines exigences pouvaient conduire à s’entrainer à une moindre intensité. Pour d’autres l’endurance ne correspondait qu’à des efforts à des épreuves de force. D’autres encore confondaient les exigences de la tâche et la nature des activités. Pour lui, il y avait une confusion des sens, l’endurance correspondait à la capacité à maintenir le plus longtemps possible un effort d’une certaine intensité, le plus souvent proche de la puissance maximale. Cette forme d’endurance pouvait concerner des efforts nécessitant des contractions concentriques, excentriques et/ou isométriques. Mais avant tout, l’endurance psychologique lui semblait la plus intéressante, car elle correspondait à la capacité à maintenir le plus longtemps possible un effort physique et/ou une activité mentale malgré un stress psychologique. De tout ça, David avait déjà bien étudier cette problématique, il avait été conduit à faire des expérience en suivant des étapes, comme par exemple mesurer la durée limite du maintien de l’effort à améliorer, définir un objectif de durée de maintien d’une certaine intensité fondé sur des exigences ou encore construire des exercices permettant de tendre vers l’effort. Lui-même était un exemple, il était un coureur de fond, il savait que s’il voulait progresser, il devait s’entrainer régulièrement et varier les formes d’efforts, course continue, variation d’allure, contraste de phase, etc… et de travailler par répétition, séries.
Regarder l’esclave MDE dans l’impuissance et dans l’effort, le passionnait donc… Il ne lui disait rien, se contentait de le regarder, de noter ses expressions, ses tensions musculaires et il le laissa ainsi pendant un long quart d’heure… Lorsque celui-ci fut écoulé, alors, il s’adressa à lui en l’encouragement, il lui parlait tout en le caressant affectueusement sur toute son échine et en lui disant qu’il était un bon petit chien endurant, parce que volontaire, audacieux et battant ! Il avait su effacer la douleur physique par une volonté mentale à toute épreuve. Ces mots dits sur un ton d’une incroyable douceur de ton, apaisants et encourageants firent rebander de plus belle l’esclave MDE. Il était fier d’entendre ses mots, fier d’avoir réussi cette épreuve si douloureuse et contraignante que le Maître lui avait imposé, fier d’avoir strictement obéi aux exigences du Maître.
David alors appuya sur la commande électrique du treuil et fit descendre la chaine, afin qu’Endymion MDE puisse pousser enfin les genoux au sol. Il exigea ensuite qu’il se redresse, se tienne debout… Là encore dans cette position, ses burnes étaient maintenant étirées vers le bas, tant la chaine était lourde.
- Tiens-toi bien droit, mignon petit chien, écarte juste un peu plus les cuisses, tel l’écartement fragile des pétales d’une fleur au matin…
Alors Endymion MDE prit la position demandée, et lorsqu’il fut correctement installé, David s’approcha de lui, dézipa totalement la fermeture éclair de sa combinaison de travail, lui ôta les manches pour laisser son torse nu, celle-ci glissa le long de son corps. David joua alors avec sa bouche sur les petits tétons dressés d’Endymion MDE, les lui léchant, les lui mordillant parfois, tout en le caressant délicieusement et toujours avec cette savoureuse douceur dans chacun de ses gestes délicats. La bite de l’esclave arborait fièrement une virilité à toute épreuve…
- Me promets-tu une chose petit chien mignon ? Demandait-il à Endymion MDE
Que fallait-il lui promettre ?
- Tu me promets de ne pas jouir ! reprenait-il
- Je vous le promets Monsieur. Répondit Endymion MDE.
Alors David s’agenouilla devant l’esclave MDE, approcha sa bouche tout contre son sexe. D’abord, il lécha du bout de sa langue les testicules du soumis puis toujours sans aucune brusquerie, sa langue lécha la verge tendue de la base de la hampe au méat urinaire du gland. David prit son temps à s’attarder à lécher le tour du gland violacé, faisant des ronds avec la pointe de sa langue sur la base du gland. Ensuite il le prit en bouche et l’avala tout doucement, en approchant sa bouche lentement et suça délicieusement sans à-coup toute la verge en gorge profonde mais toujours avec lenteur dans des vas et viens. Cela dura un bon moment divin pour l’esclave MDE quand il arrêta cette sublime fellation juste au moment où il sentit qu’Endymion MDE ne pourrait tenir plus longtemps sa promesse tant la fellation était d’une extrême et délicieuse extase…
(A suivre…)
Endymion MDE ne se préoccupait plus de ceux discutant, il était tout entier accaparer par ce qu’il faisait. Sa langue avide glissait sur ces Nobles chaussures. Combien il était heureux d’être récompensé d’une telle manière. Il aimait se retrouver aux pieds du Maître, se sentir si bas près de Celui qu’il vénérait tant. Il humidifiait cette chaussure de sa salive avec dévotion et admiration. A qu’il était bon pour lui de se voir prosterner ainsi, fier d’être réduit à moins que rien, devant un public ne faisant même pas cas de lui… A peine sentit-il, qu’on lui dégrafait le zip de cette combinaison, cette main douce glissant entre le tissu de ce vêtement et son fessier rebondi ! Il était plongé dans des ressentis tellement extraordinaires… Son cul pourtant avait été mis à nu, une main délicate avait attrapé ses génitaux pour les extirper et les exposer contre cette toile bleue et rêche. Un doigt glissait sur sa raie imberbe, s’arrêtait parfois contre son anneau, ou dessinait quelques cercles tout autour de son anus…
- Tu es beaucoup plus joli ainsi petit chien, avec ton membre tendu et exposé !
Evidemment Endymion MDE avait reconnu la voix de celui qui lui causait. David était arrivé sur ces entrefaites, accompagné de Monsieur Julien et de Mademoiselle Lucie. Ces deux derniers discutaient avec Jacques le charpentier, ami d’enfance du Maître. L’esclave MDE ne les avait pas entendu arrivés tant il était absorbé par cette Vénération et Dévotion, lui procurant un tel bien être. David s’amusait avec ses couilles, les caressait délicatement, ses doigts effleuraient son périnée glabre. Ses mains écartaient les lobes fessiers dégageant largement son petit trou de lope. Un liquide blanchâtre s’en échappait, tant il avait été dosé par le foutre de Monsieur Jacques. David de son index récoltait ce surplus de sperme et le réintroduisait lentement dans cette cavité sombre et dilatée.
- Garde ses protéines en toi petit chien, nourris-toi d’elles, absorbe-les, avale-les par ton petit trou !
Ce David était d’une délicatesse et douce perversion. Perversion toujours raffinée, réfléchie et parfaitement maîtrisée par le choix de ses mots souvent poétiques mais aussi par le choix de chacun de ses gestes efféminées tout en douceur, car visiblement il aimait les esclaves comme un être humain aime les animaux, il les cajolait, caressait et jouait avec cela et toujours avec une judicieuse intelligence et approche délicatement perverse. Il avait un style bien différent de celui habituellement utilisé en ces lieux, mais ses affables et aimables attentions produisaient un effet incroyable sur celui toujours prosterné et dévoué. Quand soudainement, une main plus ferme se resserrait sur ses couilles, en aucune manière se ne pouvait être celle de David. Des ongles pénétraient ses chairs délicates. On tirait sur ses burnes avec une poigne rigoureuse, l’obligeant à se relever sur ses jambes. Une main lui tenait la tête tout contre les chaussures du Noble.
- Lèche, salope, continue, montre nous ton adoration au Maître !
Le cul haut, la tête au sol, l’esclave MDE cherchait son souffle. Mademoiselle Lucie accroupie, le tenait la tête appuyée alors que Monsieur Julien lui tirait les couilles sans se préoccuper des plaintes d’Endymion MDE.
- Tiens David, peux-tu lui nouer les couilles s’il te plait, bien fermement.
Mademoiselle Lucie tendait un cordage en coton épais, David en deux temps trois mouvements nouait le lien tout autour des burnes cramoisies de l’esclave MDE, mais sans aucune brusquerie, rapide nouage efficace et tout en douceur …
- Nous allons pouvoir tester le nouveau palan installé ! annonçait le Maître.
Placé juste dessous, on installa à quatre pattes Endymion MDE, cul contre une lourde et imposante chaine venant du palan, sur laquelle on noua l’extrémité du cordage relié aux burnes d’Endymion MDE. Monsieur le Marquis attrapait la commande électrique du treuil et faisait remonter lentement la chaine entrainant et tirant vers le haut les couilles de l’esclave MDE.
- Oh putain, tu vas le pendre par les couilles ! Interrogeait Monsieur Jacques comme paniqué.
Le Maître souriait, un sourire tranquillement pervers.
- Non ne t’inquiète pas mon cher Jacques, il va pouvoir garder ses appuis au sol. Je vais le soulever ainsi jusqu’à ce que la pointe de ses pieds effleure le béton. Ses mains lui serviront de soutien, à moins qu’il en décide autrement… ah ah ah ! S’esclaffait Monsieur le Marquis !
Arque bouté, dans une situation plus qu’inconfortable Endymion MDE ne brillait guère. Tout son poids ou presque était tenu par ses membres supérieurs, ses couilles étaient étirées vers le haut…
- Quelle torture lui imposes-tu, j'ai mal à mes couilles en le voyant suspendu ainsi ! reprenait Monsieur Jacques en ironisant…
- Allons allons, Jacques, ce n’est point une torture… n’oublie pas que pour Mes esclaves masochistes, ils ne sont pas comme nous, leur excitation passe par la douleur, il faut sans cesse exacerber leur masochisme pour qu’il puisse prendre leur pied… Tiens d’ailleurs, regarde sa nouille, n’est-elle pas raide et drue ?
- Oh que diable, tu as raison, il bande comme un cerf en rut ce chien…
Les ongles de Mademoiselle Lucie griffaient cette hampe de chair tendue, provoquant une douce complainte de l’esclave…
- Bon, laissons-le un bon quart d’heure ainsi, et allons boire un verre tous ensemble ! Décidait le Maître.
Tous quittèrent les lieux, sauf un, David ! Il avait obtenu l’accord de son amant pour observer l’endurance d’Endymion MDE. En effet il s’intéressait de près au développement de l’endurance, travaillait sur cette question et préparait même une thèse philosophique sur le thème précisément ‘’L’esprit est-il plus fort que le corps, concernant l’endurance ?’’. Il était convaincu que certains considéraient l’endurance comme des efforts d’intensité maximale, alors que certaines exigences pouvaient conduire à s’entrainer à une moindre intensité. Pour d’autres l’endurance ne correspondait qu’à des efforts à des épreuves de force. D’autres encore confondaient les exigences de la tâche et la nature des activités. Pour lui, il y avait une confusion des sens, l’endurance correspondait à la capacité à maintenir le plus longtemps possible un effort d’une certaine intensité, le plus souvent proche de la puissance maximale. Cette forme d’endurance pouvait concerner des efforts nécessitant des contractions concentriques, excentriques et/ou isométriques. Mais avant tout, l’endurance psychologique lui semblait la plus intéressante, car elle correspondait à la capacité à maintenir le plus longtemps possible un effort physique et/ou une activité mentale malgré un stress psychologique. De tout ça, David avait déjà bien étudier cette problématique, il avait été conduit à faire des expérience en suivant des étapes, comme par exemple mesurer la durée limite du maintien de l’effort à améliorer, définir un objectif de durée de maintien d’une certaine intensité fondé sur des exigences ou encore construire des exercices permettant de tendre vers l’effort. Lui-même était un exemple, il était un coureur de fond, il savait que s’il voulait progresser, il devait s’entrainer régulièrement et varier les formes d’efforts, course continue, variation d’allure, contraste de phase, etc… et de travailler par répétition, séries.
Regarder l’esclave MDE dans l’impuissance et dans l’effort, le passionnait donc… Il ne lui disait rien, se contentait de le regarder, de noter ses expressions, ses tensions musculaires et il le laissa ainsi pendant un long quart d’heure… Lorsque celui-ci fut écoulé, alors, il s’adressa à lui en l’encouragement, il lui parlait tout en le caressant affectueusement sur toute son échine et en lui disant qu’il était un bon petit chien endurant, parce que volontaire, audacieux et battant ! Il avait su effacer la douleur physique par une volonté mentale à toute épreuve. Ces mots dits sur un ton d’une incroyable douceur de ton, apaisants et encourageants firent rebander de plus belle l’esclave MDE. Il était fier d’entendre ses mots, fier d’avoir réussi cette épreuve si douloureuse et contraignante que le Maître lui avait imposé, fier d’avoir strictement obéi aux exigences du Maître.
David alors appuya sur la commande électrique du treuil et fit descendre la chaine, afin qu’Endymion MDE puisse pousser enfin les genoux au sol. Il exigea ensuite qu’il se redresse, se tienne debout… Là encore dans cette position, ses burnes étaient maintenant étirées vers le bas, tant la chaine était lourde.
- Tiens-toi bien droit, mignon petit chien, écarte juste un peu plus les cuisses, tel l’écartement fragile des pétales d’une fleur au matin…
Alors Endymion MDE prit la position demandée, et lorsqu’il fut correctement installé, David s’approcha de lui, dézipa totalement la fermeture éclair de sa combinaison de travail, lui ôta les manches pour laisser son torse nu, celle-ci glissa le long de son corps. David joua alors avec sa bouche sur les petits tétons dressés d’Endymion MDE, les lui léchant, les lui mordillant parfois, tout en le caressant délicieusement et toujours avec cette savoureuse douceur dans chacun de ses gestes délicats. La bite de l’esclave arborait fièrement une virilité à toute épreuve…
- Me promets-tu une chose petit chien mignon ? Demandait-il à Endymion MDE
Que fallait-il lui promettre ?
- Tu me promets de ne pas jouir ! reprenait-il
- Je vous le promets Monsieur. Répondit Endymion MDE.
Alors David s’agenouilla devant l’esclave MDE, approcha sa bouche tout contre son sexe. D’abord, il lécha du bout de sa langue les testicules du soumis puis toujours sans aucune brusquerie, sa langue lécha la verge tendue de la base de la hampe au méat urinaire du gland. David prit son temps à s’attarder à lécher le tour du gland violacé, faisant des ronds avec la pointe de sa langue sur la base du gland. Ensuite il le prit en bouche et l’avala tout doucement, en approchant sa bouche lentement et suça délicieusement sans à-coup toute la verge en gorge profonde mais toujours avec lenteur dans des vas et viens. Cela dura un bon moment divin pour l’esclave MDE quand il arrêta cette sublime fellation juste au moment où il sentit qu’Endymion MDE ne pourrait tenir plus longtemps sa promesse tant la fellation était d’une extrême et délicieuse extase…
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