La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 698)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 698) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 698)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°697) -

A ce moment-là, je sentis sa main courir sur mon flan et partir sur mon cul qu'il claqua sans ménagement.

- Ouiii…Ouiiiiiiii Maître, continuais-je … je vous en supplie, puis-je jouiiiiiiir …Maî… Maître...
- Ooooohhhh mais je ne suis pas prêt de te laisser jouir Ma salope ! Me glissa-t-il dans l'oreille. Je veux que tu me sentes encore pendant tout le temps que je déciderai ou du moins jusqu'à ce que je veuille te faire sentir l'honneur que je te fais en te prenant avec Ma queue et en te baisant ainsi de la sorte ...

Je me cambrais encore plus contre Le Maître alors que je sentais sa main venir travailler l’entrée de mon cul. Il se retira de ma chatte pour y mettre ses doigts afin de bien les lubrifier. Il continua pendant un moment avant de reprendre possession de ma chatte avec sa bite de nouveau et dans une cadence régulière dans ses coups de boutoirs. Il continua à bouger ses doigts contre mon anus. Je me forçais à me détendre pour lui laisser le passage. Le Maître réussi à introduire ses doigts en moi...

- Tu es tellement serrée Ma chienne. Ça va être tellement bon de te sodomiser ! Maintenant je t'ordonne de te mettre sur le tapis en levrette, me dit-il en frappant mes fesses de ses mains fermes tout en se retirant de nouveau de mon sexe béant.

J'obéis tout de suite et me mis en position, toujours très excitée. Le Maître s'installa derrière moi et reprit tout de suite position de mon sexe surchauffé. Il continua à me labourer, à me pilonner sans discontinu ma chatte quand d'un seul coup, il changea d’orifice et pénétra doucement mon cul sans prévenir et sans préambule tout en me faisant crier autant de surprise que de douleur. En revanche, s’il m’encula sans préliminaires anaux, il le fit avec douceur et c’est donc très lentement qu’il avait enfoncé sa grosse et noble verge dans mon fondement. Mes premiers cris furent très vite remplacer par du plaisir ascensionnel car je ressentais de plus en plus une montée de sensations divines qui me procuraient des spasmes et irradiaient tout mon corps. Sentir ce phallus entre mes entrailles me fit découvrir les plaisirs inouïs de la sodomie. Visiblement le Maître savait comment aborder cette saillie et donner ainsi du plaisir qui montait de plus en plus dans toute mon échine.

- Oooooh ! Maî … Maître… c'est trop bon ! criais-je encore … C'est trop bon ! J'aime ce que vous me faites ressentir et que vous me montriez que je Vous appartiens. Je suis toute à Vous... Aaaaaah ! hummm !
- Oui Ma chienne, tu es totalement et irrévocablement à Moi !

Il continuait son savoureux manège alors que je criais de plus en plus fort, mais cette fois de mille plaisirs. Je me retenais de jouir mais c'était de plus en plus dur, tant je me sentais pleinement possédée, remplie....

- Oooooh ! Maî … Maître, je vous en supplie ! Je n’… Je n'arrive plus à me retenir ! Aaaaaah !
- Non pas encore, Ma Chienne. Retiens- toi encore un peu, je l’exige !

Alors, je fis encore en sorte de penser à autre chose et j'y arrivais un peu pendant un petit moment. Monsieur le Marquis continuait à me baiser le cul mais maintenant que le passage était fait, il accentua la cadence et m’enculait dur et fort à grands coups de reins. Ses couilles venaient frapper contre mes fesses, ces vas et viens étaient puissants, ces assauts virils tel un cerf en rut. Il me doigtait en même temps le sexe maintenant et jouais avec mon clitoris et vagin. Je ressentais donc diverses et fortes excitations, clitoridienne, vaginale et anale. Il poussait de plus en plus fort dans mes entrailles alors que je reprenais mes cris de chienne comblée. Je sentis la bite du Maître avoir comme des soubresauts dans mon cul et il sortit rapidement. Il reprit tout de suite, sans attendre, sa possession par la pénétration de ma chatte.

- Vas-y Ma salope ! Jouis, montre-moi comment tu aimes ce que je te fais, chienne !

Je me laissais donc, enfin, aller à la jouissance qui fut explosive. Un premier et puissant orgasme m’enivra telle une décharge électrique me secouant tout le corps de plaisirs immenses et alors que Le Maître se déversait dans ma chatte à grands jets de spermes. Un deuxième orgasme dans la foulée du premier, tout aussi fort, m'emportait en même temps que celui du Maître. Nos corps vibraient, nos cris de jouissance se mélangèrent, nos deux corps ne faisaient plus qu’un, ils jouissaient à l’unisson. Mais le Maître n’en resta pas là et se retira très vite pour poursuivre de pomper Sa queue dans mes entrailles de mon cul alors qu’il n’avait pas encore débandé, ce qui me donna un troisième et dernier orgasme, mais celui-ci fut différent, une véritable découverte pour moi, car ce fut un orgasme anal. Je ne savais que l’on pouvait jouir du cul ainsi. Quel pied ! Il resta planté sur moi pendant quelques minutes avant de se retirer et de se mettre devant ma bouche. Je mis sa queue sans perdre une seconde dans ma cavité buccale ou je le nettoyais avec le plus grand soin… Une fois fini, un claquement de doigts me fit remettre en position d’attente agenouillée… D’un geste de ma main, le Maître m’autorisa à m’exprimer :

- Je vous remercie Maître, de m'avoir fait l'honneur de me fourrer avec Votre queue, d’avoir possession de ce qui est à Vous, dis-je en me remettant sur mes genoux.
- C'est bien, Ma chienne. Tu as bien appliquée Mes ordres ! C'était très bon de te baiser ainsi ! Je vais recommencer très bientôt ! soit en certaine, c’est quand Je veux, comme Je veux et ou Je veux…
- Comme bon vous semblera, Maître Vénéré, mon corps ne m’appartient plus, il est Votre…

Le Maître resta nu devant moi avec à la hauteur de mes yeux, son sexe me redonnait envie de le reprendre en bouche. Je ne pus m'empêcher de me lécher les lèvres. Le Maître releva mon visage et me regarda droit dans les yeux en me souriant, en me tenant de ses doigts, mon menton relevé :

- Ma belle chienne, je veux savoir si tu as des questions ?
- Oui Maître, j'ai des questions !
- Alors, vas-y. Je t'écoute : s'exclama-t-il
- Maître, m'avez-vous fait l'honneur d'un Cachot ou est-ce une erreur ? Je pensais ne pas en être digne encore, demandais-je en baissant mon regard.
- Non, il n'y a pas d'erreur. Tu m'as été plus que dévouée de par nos échanges sur Skype, par ton engagement dans ton comportement exemplaire de soumise parfaitement obéissante mais aussi par ta présence ici en tant que telle. Alors comme tu as accepté de venir au Château en toute connaissance de cause, tu as mérité ce Cachot, maintenant, sans attendre, car je l’ai décidé ainsi … C’est une façon à Moi, de te montrer que je sais récompenser quand il le faut, autant que je saurai punir, s’il le faut. N’oublie jamais ça...
- Je vous prie, Maître, d'accepter mes remerciement pour ce privilège que vous faites à Votre soumise.
- Je le sais, Ma belle. As-tu d'autres questions ?
- Non Maître pas pour le moment.
- Bien, Je vais faire appeler pour que tu sois ramenée au Cachot. Tu dois te tenir prête parce que je te ferais venir quand bon me semblera auprès de Moi, à Mes nobles pieds !
- Oui Maître. Merci Maître de daigner apprécier ma modeste présence à Vos divins pieds.

Monsieur le Marquis repartit vers le bureau et appuya sur une touche de l'interphone. Il demanda à Walter de me ramener. Quelques secondes plus tard Walter entra dans la pièce et empoigna ma laisse. Alors d’un signe il me fit comprendre de me mettre devant lui. Je m'exécutai et je me plaçai à quatre pattes devant Le Majordome qui me dominait et me toisait de haut... Puis d'un léger coup de pied, il m’obligea à me mettre en mouvement et c'est ainsi, poussée du pied, que je suis mise au pas, domptée, soumise et comblée. Je sortis ainsi tenue en laisse, Walter derrière moi, je suis nue et à quatre pattes quand il progressa lentement sur la moquette épaisse de ce couloir. Guidée parfois par les petits coups de pied du Majordome qui me dirigeait tout au long d’un des vastes et luxueux couloirs du Château. J’avançai docilement, il ne remarquait même pas les autres esclaves ou domestiques qui allaient et venaient le long de cet interminable couloir qui doit être, je suppose, l'axe principal, le coeur de La Noble Demeure au vu de sa longueur. Mais soudain, il me fit bifurquer et me fit emprunter un couloir secondaire, moins imposant que celui que l’on venait de quitter et Walter me mena jusqu'à un étroit escalier, assez abrupt, étroit et de pierre taillée, un escalier circulaire descendant en colimaçon dans les profondeurs du Château.

Avec difficulté et appréhension, je descendis, toujours placée devant, lentement l'étroit escalier qui menait jusqu'à un petit vestibule carré, aux murs nus équarris, à l'exception du mur nord habillé d’une tenture bordeaux et dont une petite et ancienne porte ferrée occupe le centre de ce mur. Le Majordome sortit d'une poche de Sa veste une lourde clef de fer, il l'enfonça dans la serrure et tourna avant que d'appuyer l'épaule contre la porte qui, dans un grincement, s'ouvrit sous la poussée. Puis le domestique me poussa du pied sur mes fesses vers l’entrée dans cette étroite cellule sombre. Il y avait tout en haut un soupirail mais aussi un lit métallique avec un matelas et une couverture, un WC à la turc et un sommaire et petit lavabo avait été installé dans le fond. Il y avait aussi un lourd anneau d'acier scellé au mur et à cet anneau une longue chaîne amassée sur le sol de terre battue. Le Majordome se saisit de la chaîne et en chercha le bout, qui était garni d'une menotte d'acier épais qu'il referma sur une de mes chevilles, le tout fermé par un épais cadenas.

- Voila ton véritable cachot ! Pas le cachot de transit dans lequel Marie t’a amenée. … Quant à toi, je te prendrais, salope ! Tu me fais bander comme un fou, la chienne. Ton cul et ta chatte seront bientôt à ma portée !
- Bien Monsieur, je ferais comme il vous plaira, si telle est la Volonté du Maître !
- Oh oui, tu le feras et tu en redemanderas, chienne ! dit-il avant de sortir du Cachot et de me laisser seule.

Une fois, le Majordome parti. Je bus un peu d'eau claire dans l'écuelle qui m'avait été attribuée. Mon esprit vagabonda vers les dernières paroles de Walter qui m'avait excité. Bien que j'appartenais Corps et Âme au Maître, je trouvais le Majordome très beau et si le Maître m’offrait à son domestique, je serai bien évidemment toute à lui. Je finis pas m'endormir rapidement sur cette pensée ...

(A suivre …)

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