La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°703)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°703)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°698)-
Je m'étais donc endormie sans aucun problème. J'avais été baisée, enculée, doigtée et pour la première fois de ma vie de femme soumise, j'avais joui, pas une fois mais trois fois et intensément. Je me sentais totalement, pleinement satisfaite. Je me réveillais donc heureuse et épanouie, je me sentais enfin à ma place. Je pouvais apercevoir quelques rayons de soleil qui filtraient par le soupirail du cachot. Je me remis à quatre pattes et m'approchais de l'écuelle ou je bus un peu d'eau claire. Je partis ensuite vers les toilettes turcs et le petit lavabo au fond pour effectuer mes ablutions matinales. Une fois que j’eus finie, j'entendis des pas résonner sur les dalles de pierres dans le couloir et venir dans ma direction. Je me dépêchais donc de me mettre en position d'attente agenouillée devant la porte du cachot. La porte grinça et s'ouvrit sur Walter toujours dans sa stricte tenue de domestique. Je baissais immédiatement la tête afin de ne pas croiser son regard de Dominant sur moi. Il s'approcha doucement et caressa mes épaules et mon dos. Un frisson me parcourut le corps. Il continua de me toucher doucement et vient se placer devant moi.
- Tu vas commencer ta journée par me sucer, chienne ! Après, je t’emmènerais aux pieds du Maître, me dit-il en empoignant mes cheveux dans un de ses poings.
Le Majordome rapprocha mon visage vers son bas-ventre. Je tendis mes mains vers son vêtement et tira sur la fermeture éclair de sa braguette et je déboutonnai son pantalon qui tomba au bas de ses chevilles. Je mis une de mes mains sur ses fesses pour me maintenir et de l'autre je pris sa bite déjà fortement excitée par une semi-érection. Je fis quelques allées et retours alors que sa grosse queue continuait de gonfler dans ma main. Je passais ma langue sur ses testicules avant de les prendre une par une dans ma bouche. Une fois fait, je tirais encore plus ma langue pour le lécher sur la totalité de sa hampe de bas en haut puis redescendais du gland à la base de ses couilles puis remontait et ainsi de suite. Ensuite, je le pris en bouche totalement et commençais à la sucer de plus en plus fort et de plus en plus vite en creusant mes joues.
- Regarde-moi, chienne.
Je levais donc mon regard vers celui du Majordome alors que je continuais à le sucer. Il caressa mon visage et me fis un sourire de bien-être. Sa main toujours en poing dans mes cheveux me faisait mal, mais paradoxalement m'excitait en même temps.
- Arrête-toi ! Je vais baiser ta bouche à défaut de pouvoir avoir le reste pour le moment ! Alors tiens-toi bien ! annonça-t-il alors qu'il commençait à ruer déjà des hanches.
Alors, je détendis ma gorge au maximum pour laisser faire ce qu'il voulait de ma bouche grande ouverte et en me tenant à ses fesses. Le Majordome plongea son épais et rigide pieu de chair dans ma cavité buccale totalement offerte. Sauvagement, il s'enfonça entre mes lèvres et plongea jusqu'au plus profond de ma gorge... Ne prêtant aucune attention aux efforts que je fis pour récupérer un peu d'air entre quelques vigoureux vas et viens, il accéléra son Vit dans mon fourreau de chair dans lequel il glissa en des vas et viens encore cadencés, puissants, et s'enfonça sans ménagement, usant de mon écrin humide que je offre à son épaisse queue qui durcit à son maximum encore jusqu'à envahir tout l'espace de ma bouche docile... Au bout de quelques minutes, Walter semble tout près de jouir et c’est en râlant de plaisirs d’un mâle en rut, qu’il lâcha :
- Aaaaaaah ! c'est tellement bon de fourrer ta bouche de bonne chienne. Je … Aaaaaaah Je vais venir, avale tout ! dit-il alors que son sperme arriva au fond de ma gorge en de longues et abondantes giclées.
Il continuait à besogner ma cavité buccale pendant tout le temps que son sexe ne s'était pas ramolli. Une fois finie, il recula et remonta son pantalon qu'il reboutonna. Et tandis que j’avalais les dernières gouttes tout en reprenant de l’air dans mes poumons, il attrapa ma laisse et tira dessus pour me redresser en position agenouillée. Il joua un moment avec mes tétons et y accrocha des pinces reliées entre elles par une chaîne. Ensuite il fit passer entre mes seins une autre chaîne qu'il attrapa derrière mon cul et qui passait sur ma chatte. Il accrocha cette chaîne à mon collier. Nous partîmes et nous prîmes la même direction que l'on avait empruntée la veille. Je sentais la chaîne bouger sur mes lèvres intimes et frotter mon clitoris, ce qui m’apportait une excitation à chaque demi-mètre effectué toujours en quadrupédie. Nous arrivâmes devant une haute double-porte. Le Majordome frappa deux coups francs. Nous entendîmes une réponse laconique :
- Entrez ! Je reconnu tout de suite la voie du Maître ce qui m'excita directement.
Walter pénétra dans ce qui ressemblait à une immense et spacieuse salle de bain en tirant toujours sur ma laisse.
- Monsieur le Marquis, selon Vos ordres, je vous amène cette petite chienne dévouée ! annonça Walter.
- Approche Ma bonne chienne, viens vers moi, Cypris MDE, tu vas participer à mes ablutions et laver Mon corps que tu dois apprendre, à Vénérer comme il se doit. La toilette du Maître est un privilège, tiens-toi le pour dit ! m'avisa Le Maître alors que j'étais toujours à quatre pattes.
Je fus surprise d’apercevoir un homme à genoux devant des toilettes avec la tête enfoncée dans les WC, le cul relevé et encombré. Je ne comprenais pas qui il était mais je devinais qu'il devait être un des esclaves du Maître. Je m'approchais du Maître alors que celui-ci me tendait un gant de toilette. Sous Son ordre m’imposant de venir jusqu’à Lui à Ses côtés, j’enjambais la baignoire et je m'assis sur le rebord de façon à pouvoir effectuer la tâche confiée par Le Maître.
- Prends ce gant de toilette, dépose un peu de savon liquide sur celui-ci et frotte moi les épaules et le dos.
Avec grand soin et une délicate attention, je me penchais en avant, mettant en relief ma poitrine nue, et je m’exécutais en essayant de ne pas me préoccuper des Nobles doigts qui me caressaient et retroussaient mes lèvres intimes. Un gémissement de plaisirs m'échappa lorsque je sentis Le Maître me pénétrer avec Ses doigts. Le Maître me rappela à l’ordre.
- Allons petite chienne, ne te préoccupe point de ce que je te fais, concentre-toi sur ce que j’exige de toi. Lave moi la poitrine maintenant et correctement !
J'entendis la porte s’ouvrir de nouveau mais je fis abstraction de ce qui se passait pour me concentrer sur ma tâche. Je ne pus cependant ne pas entendre la voix de Walter se moquant de l'esclave.
- Tu joues à l’autruche ! Entendis-je.
Monsieur le Marquis s’esclaffa à son tour, alors que je continuais à le nettoyer consciencieusement. Je me léchais les lèvres car j'aurais souhaitée pouvoir passer ma langue sur le corps merveilleusement bien sculpté du Maître. J'entendis Le Maître rétorquer à son Majordome, alors que je rêvassais sur son torse viril :
- Une putain d’autruche, regarde mon cher Walter ce que je lui ai carré dans le cul pour bien le lui dilater. Je pense qu’avec ce qui va suivre, Ma salope saura me remercier…
Entendre les paroles crues du Maître Vénéré, celles-ci eurent pour conséquence que ma chatte laissa échapper une grande quantité de ma cyprine. Le Maître dut le sentir car il tourna rapidement la tête vers moi et fixa son regard au mien que je baissais rapidement. Walter répondit au Maître :
- Ce chien a fait des progrès, dire qu’en arrivant dans Votre Noble Demeure, nous pouvions tout juste lui enfiler deux doigts. Aujourd’hui il prend de beaux calibres…
Je continuais à me concentrer sur ma tâche. Je lavais maintenant le bas ventre du Maître Vénéré. Je passais lentement le gant sur le sexe gorgé de sang du Maître alors que Walter sortit avec l'esclave. Je continuais à laver la noble verge du Maître tout en me mordant ma lèvre inférieure. Le Maître devait apprécier mes caresses car Il posa sa tête sur le rebord de la baignoire pour me laisser plus de place tout en écartant ses jambes.
- Ne t'arrête pas, ma chienne ! Enlève le gant et fais-moi du bien avec tes mains, m'imposa-t-il en fermant les yeux.
Trop excitée par le privilège de cette situation, je fis ce que Le Maître exigeait de moi. Je passais ma main sur son prépuce ce qui le fit grogner de plaisir. Je commençais par de lent va et viens sur la grosse et noble queue avant d'accélérer de plus en plus. Le Maître tendit son bras et me doigta la chatte à la même vitesse que la pression effectuée sur Lui. Au bout de quelques minutes, je sentis des soubresauts de sa verge et Le Maître éjacula dans ma main tandis qu’il laissa échapper des râles jouissifs. Je fus peinée de voir la noble semence du Maître partir dans l'eau... Le Maître se redressa et sortit de son bain. Je restais à la place ou j'étais car je n'avais pas reçu l'ordre de bouger.
- Viens sécher mon corps, Ma chienne ! dit Le Maître.
Je sortis de l'eau et attrapais une serviette qui était à proximité. Je commençais par sécher ses épaules, je descendis par la suite et je n'oubliais aucune parcelle du corps du Maître Vénéré. J'allais me laisser tomber à genoux quand Le Maître me dit de me retourner et d'essuyer maintenant mes jambes pleines d'eau en écartant bien celles-ci et en ne pliant pas mes genoux afin que mon corps fasse l’équerre, mon dos à l’horizontal, ma poitrine tombante dans le vide, ce qui fit balancer mes seins lourds. Mon fessier bien exposé à Son regard ainsi qu’une vue imprenable sur ma chatte largement offerte ainsi. Je fis comme Le Maître l'exigeait. Je me penchais encore mieux et essuyais mes jambes et mes pieds. Alors que j'allais me redresser Le Maître enfonça Sa grosse et noble queue dans ma chatte, Sa verge ayant rapidement repris de la vigueur. Il nous fit tourner de façons à ce que je puisse m'appuyer pleinement sur le rebord de la baignoire. Il continua à me baiser la chatte par derrière avec des coups de reins puissants et profonds dans mon sexe trempé et si excité de recevoir enfin le joyaux du Maître.
- Tu es tellement serrée ma chienne. C'est si bon de te baiser ainsi ! Il finit par sortir de ma chatte et pointa son phallus contre ma rondelle puis il cracha sur mon anus et enfonça sa bite dans celui-ci sans préambule. Ainsi il me défonça le cul sans préparation. J'avais tellement mouillé pendant le bain du Maître que même mon cul semblait lubrifié. Le Maître me pilonna le cul toujours avec la même dextérité.
- Maî... Maître, j'ai envie de jouir ! Puis-je Maître ? Suppliais-je très vite.
- Non Ma chienne, patiente encore un peu !
Je me retiens le plus longtemps possible. Le Maître attrapa la chaîne entre mes seins et tira dessus. La sensation était exquise et j'eus du mal à me retenir. J'allais passer par-dessus bord quand Le Maître me donna enfin l'autorisation de jouir.
- Quand je vais tirer sur les attaches une nouvelle fois, tu pourras venir à la jouissance autour de Ma noble queue !
Le Maître me baisait encore le cul quand il tira à nouveau sur les fers. Alors, je lâchais totalement prise et laissai mon orgasme m'envahir telle une forte décharge qui irradia tout mon corps de spasmes jouissifs.
- Ouiiiiiiiiiiii Maître ! Criais-je, sans retenue.
Il continua de bouger en moi quand d'un seul coup de reins, il sortit de mon cul et reprit possession de ma chatte en chaleur. Il reprit les vas et viens dans mon sexe trempé tout en tirant de plus en plus fort sur le lien qui enserra mes tétons. Ma jouissance n'avait pas de fin et je continuais à crier à n’en plus finir. Alors que Sa grosse queue était encore en érection, Le Maître se retira et se mit devant moi. Il claqua des doigts et je sus ce que je devais faire. Je tombais à genoux devant Lui et le pris dans ma bouche pour le nettoyer. Je le pris le plus profondément possible dans ma gorge et je le nettoyais aussi consciencieusement que possible avec ma langue. Le Maître éjacula à nouveau dans ma bouche en de longs jets que j'avalais. Je repassais ma langue sur toute sa longueur pour ne perdre aucune gouttes de sa précieuse semence et retomba à genoux devant lui quand ma tâche fut finie... Ainsi, le Maître me fit l'honneur de Sa semence au bout de mon quatrième orgasme …
(A suivre …)
Je m'étais donc endormie sans aucun problème. J'avais été baisée, enculée, doigtée et pour la première fois de ma vie de femme soumise, j'avais joui, pas une fois mais trois fois et intensément. Je me sentais totalement, pleinement satisfaite. Je me réveillais donc heureuse et épanouie, je me sentais enfin à ma place. Je pouvais apercevoir quelques rayons de soleil qui filtraient par le soupirail du cachot. Je me remis à quatre pattes et m'approchais de l'écuelle ou je bus un peu d'eau claire. Je partis ensuite vers les toilettes turcs et le petit lavabo au fond pour effectuer mes ablutions matinales. Une fois que j’eus finie, j'entendis des pas résonner sur les dalles de pierres dans le couloir et venir dans ma direction. Je me dépêchais donc de me mettre en position d'attente agenouillée devant la porte du cachot. La porte grinça et s'ouvrit sur Walter toujours dans sa stricte tenue de domestique. Je baissais immédiatement la tête afin de ne pas croiser son regard de Dominant sur moi. Il s'approcha doucement et caressa mes épaules et mon dos. Un frisson me parcourut le corps. Il continua de me toucher doucement et vient se placer devant moi.
- Tu vas commencer ta journée par me sucer, chienne ! Après, je t’emmènerais aux pieds du Maître, me dit-il en empoignant mes cheveux dans un de ses poings.
Le Majordome rapprocha mon visage vers son bas-ventre. Je tendis mes mains vers son vêtement et tira sur la fermeture éclair de sa braguette et je déboutonnai son pantalon qui tomba au bas de ses chevilles. Je mis une de mes mains sur ses fesses pour me maintenir et de l'autre je pris sa bite déjà fortement excitée par une semi-érection. Je fis quelques allées et retours alors que sa grosse queue continuait de gonfler dans ma main. Je passais ma langue sur ses testicules avant de les prendre une par une dans ma bouche. Une fois fait, je tirais encore plus ma langue pour le lécher sur la totalité de sa hampe de bas en haut puis redescendais du gland à la base de ses couilles puis remontait et ainsi de suite. Ensuite, je le pris en bouche totalement et commençais à la sucer de plus en plus fort et de plus en plus vite en creusant mes joues.
- Regarde-moi, chienne.
Je levais donc mon regard vers celui du Majordome alors que je continuais à le sucer. Il caressa mon visage et me fis un sourire de bien-être. Sa main toujours en poing dans mes cheveux me faisait mal, mais paradoxalement m'excitait en même temps.
- Arrête-toi ! Je vais baiser ta bouche à défaut de pouvoir avoir le reste pour le moment ! Alors tiens-toi bien ! annonça-t-il alors qu'il commençait à ruer déjà des hanches.
Alors, je détendis ma gorge au maximum pour laisser faire ce qu'il voulait de ma bouche grande ouverte et en me tenant à ses fesses. Le Majordome plongea son épais et rigide pieu de chair dans ma cavité buccale totalement offerte. Sauvagement, il s'enfonça entre mes lèvres et plongea jusqu'au plus profond de ma gorge... Ne prêtant aucune attention aux efforts que je fis pour récupérer un peu d'air entre quelques vigoureux vas et viens, il accéléra son Vit dans mon fourreau de chair dans lequel il glissa en des vas et viens encore cadencés, puissants, et s'enfonça sans ménagement, usant de mon écrin humide que je offre à son épaisse queue qui durcit à son maximum encore jusqu'à envahir tout l'espace de ma bouche docile... Au bout de quelques minutes, Walter semble tout près de jouir et c’est en râlant de plaisirs d’un mâle en rut, qu’il lâcha :
- Aaaaaaah ! c'est tellement bon de fourrer ta bouche de bonne chienne. Je … Aaaaaaah Je vais venir, avale tout ! dit-il alors que son sperme arriva au fond de ma gorge en de longues et abondantes giclées.
Il continuait à besogner ma cavité buccale pendant tout le temps que son sexe ne s'était pas ramolli. Une fois finie, il recula et remonta son pantalon qu'il reboutonna. Et tandis que j’avalais les dernières gouttes tout en reprenant de l’air dans mes poumons, il attrapa ma laisse et tira dessus pour me redresser en position agenouillée. Il joua un moment avec mes tétons et y accrocha des pinces reliées entre elles par une chaîne. Ensuite il fit passer entre mes seins une autre chaîne qu'il attrapa derrière mon cul et qui passait sur ma chatte. Il accrocha cette chaîne à mon collier. Nous partîmes et nous prîmes la même direction que l'on avait empruntée la veille. Je sentais la chaîne bouger sur mes lèvres intimes et frotter mon clitoris, ce qui m’apportait une excitation à chaque demi-mètre effectué toujours en quadrupédie. Nous arrivâmes devant une haute double-porte. Le Majordome frappa deux coups francs. Nous entendîmes une réponse laconique :
- Entrez ! Je reconnu tout de suite la voie du Maître ce qui m'excita directement.
Walter pénétra dans ce qui ressemblait à une immense et spacieuse salle de bain en tirant toujours sur ma laisse.
- Monsieur le Marquis, selon Vos ordres, je vous amène cette petite chienne dévouée ! annonça Walter.
- Approche Ma bonne chienne, viens vers moi, Cypris MDE, tu vas participer à mes ablutions et laver Mon corps que tu dois apprendre, à Vénérer comme il se doit. La toilette du Maître est un privilège, tiens-toi le pour dit ! m'avisa Le Maître alors que j'étais toujours à quatre pattes.
Je fus surprise d’apercevoir un homme à genoux devant des toilettes avec la tête enfoncée dans les WC, le cul relevé et encombré. Je ne comprenais pas qui il était mais je devinais qu'il devait être un des esclaves du Maître. Je m'approchais du Maître alors que celui-ci me tendait un gant de toilette. Sous Son ordre m’imposant de venir jusqu’à Lui à Ses côtés, j’enjambais la baignoire et je m'assis sur le rebord de façon à pouvoir effectuer la tâche confiée par Le Maître.
- Prends ce gant de toilette, dépose un peu de savon liquide sur celui-ci et frotte moi les épaules et le dos.
Avec grand soin et une délicate attention, je me penchais en avant, mettant en relief ma poitrine nue, et je m’exécutais en essayant de ne pas me préoccuper des Nobles doigts qui me caressaient et retroussaient mes lèvres intimes. Un gémissement de plaisirs m'échappa lorsque je sentis Le Maître me pénétrer avec Ses doigts. Le Maître me rappela à l’ordre.
- Allons petite chienne, ne te préoccupe point de ce que je te fais, concentre-toi sur ce que j’exige de toi. Lave moi la poitrine maintenant et correctement !
J'entendis la porte s’ouvrir de nouveau mais je fis abstraction de ce qui se passait pour me concentrer sur ma tâche. Je ne pus cependant ne pas entendre la voix de Walter se moquant de l'esclave.
- Tu joues à l’autruche ! Entendis-je.
Monsieur le Marquis s’esclaffa à son tour, alors que je continuais à le nettoyer consciencieusement. Je me léchais les lèvres car j'aurais souhaitée pouvoir passer ma langue sur le corps merveilleusement bien sculpté du Maître. J'entendis Le Maître rétorquer à son Majordome, alors que je rêvassais sur son torse viril :
- Une putain d’autruche, regarde mon cher Walter ce que je lui ai carré dans le cul pour bien le lui dilater. Je pense qu’avec ce qui va suivre, Ma salope saura me remercier…
Entendre les paroles crues du Maître Vénéré, celles-ci eurent pour conséquence que ma chatte laissa échapper une grande quantité de ma cyprine. Le Maître dut le sentir car il tourna rapidement la tête vers moi et fixa son regard au mien que je baissais rapidement. Walter répondit au Maître :
- Ce chien a fait des progrès, dire qu’en arrivant dans Votre Noble Demeure, nous pouvions tout juste lui enfiler deux doigts. Aujourd’hui il prend de beaux calibres…
Je continuais à me concentrer sur ma tâche. Je lavais maintenant le bas ventre du Maître Vénéré. Je passais lentement le gant sur le sexe gorgé de sang du Maître alors que Walter sortit avec l'esclave. Je continuais à laver la noble verge du Maître tout en me mordant ma lèvre inférieure. Le Maître devait apprécier mes caresses car Il posa sa tête sur le rebord de la baignoire pour me laisser plus de place tout en écartant ses jambes.
- Ne t'arrête pas, ma chienne ! Enlève le gant et fais-moi du bien avec tes mains, m'imposa-t-il en fermant les yeux.
Trop excitée par le privilège de cette situation, je fis ce que Le Maître exigeait de moi. Je passais ma main sur son prépuce ce qui le fit grogner de plaisir. Je commençais par de lent va et viens sur la grosse et noble queue avant d'accélérer de plus en plus. Le Maître tendit son bras et me doigta la chatte à la même vitesse que la pression effectuée sur Lui. Au bout de quelques minutes, je sentis des soubresauts de sa verge et Le Maître éjacula dans ma main tandis qu’il laissa échapper des râles jouissifs. Je fus peinée de voir la noble semence du Maître partir dans l'eau... Le Maître se redressa et sortit de son bain. Je restais à la place ou j'étais car je n'avais pas reçu l'ordre de bouger.
- Viens sécher mon corps, Ma chienne ! dit Le Maître.
Je sortis de l'eau et attrapais une serviette qui était à proximité. Je commençais par sécher ses épaules, je descendis par la suite et je n'oubliais aucune parcelle du corps du Maître Vénéré. J'allais me laisser tomber à genoux quand Le Maître me dit de me retourner et d'essuyer maintenant mes jambes pleines d'eau en écartant bien celles-ci et en ne pliant pas mes genoux afin que mon corps fasse l’équerre, mon dos à l’horizontal, ma poitrine tombante dans le vide, ce qui fit balancer mes seins lourds. Mon fessier bien exposé à Son regard ainsi qu’une vue imprenable sur ma chatte largement offerte ainsi. Je fis comme Le Maître l'exigeait. Je me penchais encore mieux et essuyais mes jambes et mes pieds. Alors que j'allais me redresser Le Maître enfonça Sa grosse et noble queue dans ma chatte, Sa verge ayant rapidement repris de la vigueur. Il nous fit tourner de façons à ce que je puisse m'appuyer pleinement sur le rebord de la baignoire. Il continua à me baiser la chatte par derrière avec des coups de reins puissants et profonds dans mon sexe trempé et si excité de recevoir enfin le joyaux du Maître.
- Tu es tellement serrée ma chienne. C'est si bon de te baiser ainsi ! Il finit par sortir de ma chatte et pointa son phallus contre ma rondelle puis il cracha sur mon anus et enfonça sa bite dans celui-ci sans préambule. Ainsi il me défonça le cul sans préparation. J'avais tellement mouillé pendant le bain du Maître que même mon cul semblait lubrifié. Le Maître me pilonna le cul toujours avec la même dextérité.
- Maî... Maître, j'ai envie de jouir ! Puis-je Maître ? Suppliais-je très vite.
- Non Ma chienne, patiente encore un peu !
Je me retiens le plus longtemps possible. Le Maître attrapa la chaîne entre mes seins et tira dessus. La sensation était exquise et j'eus du mal à me retenir. J'allais passer par-dessus bord quand Le Maître me donna enfin l'autorisation de jouir.
- Quand je vais tirer sur les attaches une nouvelle fois, tu pourras venir à la jouissance autour de Ma noble queue !
Le Maître me baisait encore le cul quand il tira à nouveau sur les fers. Alors, je lâchais totalement prise et laissai mon orgasme m'envahir telle une forte décharge qui irradia tout mon corps de spasmes jouissifs.
- Ouiiiiiiiiiiii Maître ! Criais-je, sans retenue.
Il continua de bouger en moi quand d'un seul coup de reins, il sortit de mon cul et reprit possession de ma chatte en chaleur. Il reprit les vas et viens dans mon sexe trempé tout en tirant de plus en plus fort sur le lien qui enserra mes tétons. Ma jouissance n'avait pas de fin et je continuais à crier à n’en plus finir. Alors que Sa grosse queue était encore en érection, Le Maître se retira et se mit devant moi. Il claqua des doigts et je sus ce que je devais faire. Je tombais à genoux devant Lui et le pris dans ma bouche pour le nettoyer. Je le pris le plus profondément possible dans ma gorge et je le nettoyais aussi consciencieusement que possible avec ma langue. Le Maître éjacula à nouveau dans ma bouche en de longs jets que j'avalais. Je repassais ma langue sur toute sa longueur pour ne perdre aucune gouttes de sa précieuse semence et retomba à genoux devant lui quand ma tâche fut finie... Ainsi, le Maître me fit l'honneur de Sa semence au bout de mon quatrième orgasme …
(A suivre …)
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