La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°705) - histoire érotique

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°704) -

Le Maître m’ordonne de me relever et de quitter chaussures et pantalon. En l’espace de deux minutes, je présente mon intime anatomie encagée, sans la moindre pudeur et m’affiche même ostensiblement, fier de m’exhiber et de répondre aux ordres du Maître. Je trouve d’ailleurs étrange que le Maître ne m’ait pas fait ôter la marinière, d’habitude il m’exige d’être entièrement nu. Monsieur Armand soulève et soupèse la lourde cage de chasteté, puis complimente.

- Un bien bel objet, orné de tes Nobles Armoiries, si je distingue bien, faute de lunettes… Questionne Monsieur Armand.
- Ce sont bien Mes Armoiries, tu as parfaitement raison.
- Mais qu’est-ce que ce harnais, a-t’il une fonction particulière avec cette cage ?

Le Maitre sourit… Il m’attrape par un bras me fait pencher en avant et m’écarte le cul de ses deux mains.

- Sa principale fonction est de tenir le gode encré dans son cul de salope…
- Il ne me semble pas très épais ? Questionne encore Monsieur Armand en glissant son index entre mes sphincters et l’objet en question.
- L’objectif n’est pas de lui dilaté le cul !
- Ah bon, quelle est sa fonction ?
- Simplement rappeler à ce chien, à chaque pas qu’il fait, ce qu’il est, pour qui il est…
- Je vois, très intéressant ! Bon je t’abandonne quelques instants, je te laisse si tu le souhaites te rafraichir, ici, il y a la salle de bain.

Monsieur Armand nous quitte. Le Maître m’ordonne de défaire les bagages et de ranger soigneusement ses vêtements dans la penderie. Je m’exécute prestement. Lui pendant ce temps s’installe sur l’un des trois fauteuils et passe encore quelques texto. La deuxième valise contient tout un attirail d’accessoires Bdsm : Des godes de toutes tailles, des plugs, deux ou trois cages de chasteté, des cordages et liens divers, des bracelets et colliers en cuir, des harnais, et divers autres objets tels des fouets, des cravaches et autres instruments de torture. Je range le tout soigneusement.

- Apporte moi la cravache, celle avec un manche métallique et positionne-toi devant moi en levrette face à mes pieds.

Aussitôt en place, les premiers coups de cravache tombent sur mon cul… Je n’en connais pas la raison, mais le Maître me rafraichit la mémoire.

- Je te rappelle qu’il t’est formellement interdit de te toucher la bite, fut-ce t’elle encagée !

Je ne comprends pas, mais ne bouge pas !

- Tu as touché ta queue en t’installant dans la voiture, petite salope ! Tu ne devais pas le faire, quelle qu’en soit la raison.

J’encaisse la vingtaine de coups sans broncher et accepte la sentence respectueusement et silencieusement. Je sais que le Maître et sévère et ne laisse rien passer. Mais je sais aussi que les châtiments qu’Il me donne, sont toujours justes et mérités, et qu’ils sont là pour me remettre sur le droit chemin. Alors, il est dans mon devoir de les accepter pour bien vivre ma soumission. J’ai un tel besoin d’obéissance ! …

Première rencontre avec la soumise Nina :

Quelqu’un frappe à la porte de la chambre. Le Noble répond :

- Entrez !

Juste avant que la porte ne s’ouvre, le Maître m’ordonne de me tenir à genoux, mains sur la tête. Je vois entrer Monsieur Armand, tenant par les cheveux une jeune femme. Etrangement, elle aussi porte sur le torse, une marinière, à l’identique de celle que je porte. Le bas de son corps est nu, hormis une paire de chaussures à talons aiguilles. Elle est blonde, cheveux mi-longs, le regard clair, totalement dépilée elle aussi. Un large collier lui entrave le cou. Monsieur Armand, la maintient fermement, elle grimace ! Il la place tout près du fauteuil, là où se trouve le Maître, puis lâche sa chevelure. La jeune femme soumise, écarte les jambes, baisse la tête, croise les bras dans le dos, prend une posture très respectueuse.

- Je voulais te présenter en avant-première ma nouvelle chienne, celle que je vais faire concourir !

‘’Que je vais faire concourir’’ ??? Ces mots m’interpellent… Suis-je là pour un concours ? Le Maître reste assis. Attentif, Il dévisage la jeune femme soumise, un regard à la fois perçant, vicieux et autoritaire.

- Présente ta chatte à Monsieur le Marquis d’Evans ! Ordonne Monsieur Armand à sa chienne.

La jeune femme alors décroise ses bras, ouvre un peu plus les cuisses et fléchissant un tant soit peu les genoux et positionne ses doigts sur son sexe glabre puis écarte largement ses lèvres intimes laissant apparaitre ses chairs cachées.

- C’est une vraie nympho, une véritable petite garce ! Reprend Monsieur Armand

Monsieur le Marquis n’a pas encore dit un mot, n’a pas bougé de son fauteuil, il a simplement baissé la tête et les yeux pour entrapercevoir ce petit minou offert. Au bout d’un moment, Il s’enquière de connaitre son nom

- Je l’ai prénommée soumise Nina ! Lui répond Armand.
- Approche Nina, viens près de moi ! Ordonne calmement, tranquillement Monsieur le Marquis.

soumise Nina approche près de cette Noble main retournée, paume vers le plafond, majeur à la verticale. Sans attendre un quelconque ordre, elle pose sa fente sur ce doigt tendu en fléchissant un peu plus encore les jambes, puis s’empale brutalement en poussant un long gémissement. Monsieur Armand, attentif mais pas inactif, lui soulève sa marinière, dégageant ainsi sa belle poitrine bien ferme. Il lui titille les mamelons, alors qu’elle se fait doigter copieusement, en haletant.

- C’est bien Nina, ta cavité en souple, chaude et bien humide ! Annonce le Maître en sa qualité d’expert.
- Elle mouille beaucoup, c’est une vraie salope ! reprend Monsieur Armand.

J’assiste à ce beau spectacle, ma nouille remplit totalement ma cage. Je mouille également, un fin filet sort de ma bite et s’accroche à l’une de mes cuisses. Le Maître se dégage de cette vulve frémissante, et me tend son doigt humide de ces intimes sécrétions.

- Lèche mon chien ! m’ordonne-t-il.

J’approche à quatre pattes et déguste ce divin nectar. Je suce ce doigt avec délectation. A peine ai-je eu le temps de terminer mon « travail » que le Maître ordonne encore :

- Présente ton cul Nina, mon chien a très envie, j’en suis sûr, de te bouffer ta petite rondelle de chienne soumise !

La jeune femme se retourne, incline son corps à quarante-cinq, s’écarte les fesses pour dégager son sillon anal. Le Maître m’attrape par les cheveux et précipite mon visage entre ces deux lobes fessiers.

- Lèche mon chien, bouffe bien ce cul, glisse ta langue dans ce trou… M’ordonne le Noble.

Si j’en crois les gémissements de soumise Nina et les soubresauts de ce corps offert, je crois bien apporter un intense plaisir à cette jeune femme soumise. Ma langue glisse sur cet anneau plissé, le titille puis cherche à le percer. J’y parviens sans grande difficulté. Ma langue humidifie largement, pénètre et ressort de cet anus souple et déjà bien dilaté, laissant présager un intense travail anal. Je dépose généreusement ma salive afin de lubrifier ce petit trou. Puis soudain, je suis attrapé par les cheveux et tiré vers l’arrière sauvagement. Ma bouche ventousée sur ce trou laisse échapper un gros « splaaach » !

- C’est bien le chien, tu as su lubrifier correctement ce cul ! Me lance le Maitre.

Monsieur le Marquis à glisser son majeur sans la moindre difficulté dans ce fourreau surchauffé. Nina gémit et tortille du cul comme si elle voulait que ce doigt aille au plus profond d’elle-même…

- Ne t’inquiète pas petite chienne, bientôt en lieu et place de ce doigt, tu auras enfoncé dans ton cul quelque chose de plus conséquent et de bien plus prégnant…

Et une nouvelle fois, le Noble doigt s’insère entre mes lèvres et glisse dans ma bouche…

(A suivre…)